Je vous remercie de me retrouver à l'adresse suivante :
où le blog a de nouveau migré - en toute légalité ! -
depuis plusieurs jours.
Merci de bien vouloir venir m'y retrouver.
A tout de suite !
POUR
LA   LIBERTE   D' EXPRESSIONFree speech offers latitude but not necessarily licenseDepuis les effusions de Macron avec Trump, les hommes politiques gardent leurs distance avec le président français |
Or, Macron n'a fait que 24% au premier tour de la présidentielle de 2017 et n'a rassemblé que 66% des votants au second, avec 2 millions de votants en plus qui se sont abstenus quand, en 2002, face à Jean-Marie Le Pen, Jacques Chirac avait atteint 82%.
Dès 2016, 'Nuit debout' se proposait déjà de construire une "convergence des luttes", scandée par des nuits de violences déjà perpétrées par des révolutionnaires proches des communistes du PCF et de la CGT, ainsi que des trotskistes de SUD et Solidaires, mais anonymés sous le terme de "casseurs" (les 14 et 15 avril ou les 22 et 23 avril). Les organisateurs de Nuit debout avaient "pris acte des demandes [de la préfecture de police] et mis en œuvre les dispositions nécessaires" pour éviter de futurs débordements. Le 1er mai 2016, à la suite d'incidents au cours du défilé, la police demanda la dispersion de Nuit debout, puis évacua 600 personnes de la place de la République occupée. A la suite de quoi, un arrêté de la préfecture de police durcit les conditions de rassemblement. En revanche, le 1er mai 2018, les organisateurs accusent le gouvernement de n'avoir rien fait et laissé se dérouler le saccage de magasins et de matériel urbain au nom de l'anti-capitalisme.
Des activistes politiques peuvent-ils être qualifiés de "casseurs" ? Ce sont des révolutionnaires. |
Violences lors de la manifestation du 1er-Mai à Paris : "Il est hors de question de trouver des excuses aux services de renseignement ou à la police. Ils ont un job à faire ils sont payés pour ça. Et c'est ce que l'on attend d'eux", Aziz Senni, chef d'entreprise #lesinformés pic.twitter.com/RJgyXOMFnQ— franceinfo (@franceinfo) 2 mai 2018
Les nervis de la CGT ne sont-ils pas vecteurs de violences ? |
Les casseurs ne sont pas que des"jeunes" révolutionnaires |
L'hôpital de la Pitié Salpêtrière sous bonne garde sur le trajet du cortège #manif5juillet #LoiTravail
Une manifestation sauvage a été bloquée par la police. Après une assemblée générale à la Bourse du travail à Paris, des opposants ont décidé de manifester entre la place Denfert-Rochereau et la place d'Italie pour protester contre la "mise en cage du droit de manifester", rapporte Libération (en juillet 2016).
— Antonin Grégoire (@Antonyn6) 5 juillet 2016
Nan mais attaquer un hôpital déjà, paye ton symbole, mais en plus Necker, spécialisé dans les soins pour les enfants…
Un hopital attaqué alors que des enfants sont en train d'être opérés. Kaboul? Bagdad? Non. Hopital Necker, Paris. #nausee #manif14juin
Necker ? Les ENFANTS MALADES ?! Vraiment ?!— Mother Of Lardons (@KQOFE) 14 juin 201
Je veux bien qu'on m'explique encore que casser c'est révolutionnaire làhttps://t.co/b4eajQyK0m
La #Manif14Juin attaque #Necker-enfants malades, où le petit rescapé de #Magnanville est hospitalisé.
Méprisable.
Attaque insupportable de casseurs contre @hopital_necker. Honteux. Mon soutien aux professionnels de santé mobilisés auprès des patients.
Que les grévistes s'en prennent à @hopital_necker des enfants malades est intolérable. Les sanctions doivent être exemplaires.