La réalité du droit de grâce présidentielle.
Le parti socialiste est lancé dans une guerre psychologique où tous les coups seront permis aussi longtemps que les Français n’exprimeront pas leur dégoût de ces pratiques de manipulation de l’opinion.
Il faut en effet avoir fort peu de respect pour ses concitoyens pour accaparer les médias complaisants et y multiplier les interventions sans que le temps de parole y soit décompté. Il suffit donc de désigner les intervenants et leur fixer un planning pour que les petits soldats du PS escortés d’un Noël Mamère ou d’un Bayrou défilent tous à tour de rôle pour livrer leurs impressions et sentiments qui n’ajoutent rien sur le fond à ce qu’a pu débiter le précédent, mais contribue à modeler l’opinion, jour après jour, sans bases autres que subjectives et surtout sans fondement historique ni juridique.
Il faut rappeler inlassablement les faits et démontrer à quel point les élus du PS ne méritent pas plus notre respect qu’ils ne nous en manifestent. Si les élus de droite étaient autant mobilisés dans la défense de la vérité, les citoyens ne seraient pas amenés à pallier leurs insuffisances, qu’ils pourraient payer fort cher le moment des élections venu.
Le PS, manipulateur de l’opinion, ment par omission.
Qu’est-ce que le droit de grâce ?
■ Le PS sait que c’est un droit et non pas un abus de pouvoir : abrogé (1791) et rétabli (1802), c’est une survivance de l’Ancien Régime,.
Il a été exercé en Conseil Supérieur de la Magistrature par les Présidents de la République selon les différentes constitutions de 1946 à 1958. Le Premier ministre et le Garde des Sceaux donnent leur contre-seeing.
Tout ou partie de la peine en cause peut-être remise.
La grâce présidentielle peut être individuelle ou collective.
■ Amnistie, grâce et grâce amnistiante
-l’amnistie efface les conséquences pénales d’une infraction (disparition des pièces), mais ne remet pas en cause les réparations civiles envers la victime. Le passé amnistié est protégé par la loi, avec certaines réserves.
-la grâce : cf. ci-dessus – le PS sait que c’est un droit ;
-la grâce amnistiante, intermédiaire entre amnistie et grâce : la loi définit les catégories de condamnés qui peuvent être amnistiés et le Président de la République désigne les bénéficiaires par décret.
■ La pratique
Grâce collective du 14 Juillet :
- Mitterrand : 1981=4775 – 1985=2763 – 1988=4230 – 1989=3091 – 1993=4000
- Chirac : il a exclu de la grâce les auteurs de crimes et délits sur mineurs de moins de 15 ans ; les auteurs d’actes de terrorisme et de trafic de drogue. Le PS appréciera les restrictions apportées.
La remise partielle de peine est également prévue par la loi: 7 jours/mois (maximum de 4 mois)
Réaction du Garde des Sceaux à la mauvaise foi du PS :
Le ministre de la Justice Pascal Clément a dénoncé mardi "l'hypocrisie" de l'opposition, qui conteste l'amnistie de Guy Drut. "Quand le Président de la République exerce son droit de grâce, que ce soit pour (Maxime) Gremetz, que ce soit pour (José) Bové, que ce soit pour (Harlem) Désir, je n'ai jamais entendu votre indignation!", a-t-il lancé.
"Si c'était en mon pouvoir, je vous décernerais une médaille d'or: celle de l'hypocrisie", a-t-il ajouté.
"L'amnistie n'a pas dispensé M. Drut de sa peine. Il a payé les 50.000 euros de sanction financière" et "il n'avait pas été condamné à la suspension de ses droits civiques", a-t-il souligné lors de la séance des questions au gouvernement en présence de Guy Drut.
"M. Drut ne pouvait plus, si sa condamnation était inscrite sur son casier judiciaire, siéger comme membre du Comité international olympique (...) C'était donc une seconde peine", a estimé M. Clément.
"En conscience, j'ai proposé au président de la République qu'il y ait la possibilité pour la France de compter trois, et non pas deux membres du CIO".
Le PS verrait très bien qu’il y ait deux poids, deux mesures et que la seconde peine s’applique à la droite, exclusivement…
POUR
LA   LIBERTE   D' EXPRESSIONFree speech offers latitude but not necessarily licensemercredi 31 mai 2006
mardi 30 mai 2006
Guy Drut amnistié: et alors ?
En vertu des pouvoirs du Président de la République, J. Chirac a amnistié Guy Drut, condamné en octobre dernier dans l'affaire des marchés publics d'Ile-de-France. La justice lui reprochait d'avoir bénéficié d'un emploi fictif entre juin 1990 et février 1993 dans l'entreprise de bâtiment et travaux publics Sicra.
Guy Drut, champion olympique du 110 mètres haies en 1976, puis ministre des Sports de 1995 à 1997, a été condamné en octobre dernier à 15 mois de prison avec sursis et 50.000 euros d'amende.
Avant de prendre cette mesure d'amnistie individuelle "pour services rendus à la Nation", le chef de l'Etat avait veillé à ce que la condamnation pécuniaire ait été payée et vérifié que Guy Drut n'ait pas été condamné à une peine d'inéligibilité.
Jean-Louis Debré, président de l'Assemblée nationale, a déclaré que le Président s’est fait complètement embobiner par les représentants du monde sportif". Mais l'ancien ministre de l'Intérieur a aussi ajouté qu’il n’aurait pas eu le courage de le faire". Des députés de l’UMP manquent aussi cruellement de courage. Il faut rappeler en outre que Guy Drut est membre du Comité International Olympique où la France n’est pas sur-représentée et où elle aurait perdu 1/3 de ses membres.
Courageux, B. Delanoe, le maire socialiste de Paris, ne s’est pas exprimé sur le sujet, lui qui a été si convaincant dans la défense de la candidature de la capitale aux J.O.
Le PS a saisi de l’occasion pour crier à l’injustice qui est un thème porteur et rassembleur. (Très) Pauvre en propositions constructives, il a l’indignation facile mais la pédagogie défaillante malgré le nombre élevé d’enseignants dans ses rangs, car il n’explique pas aux Français qu’en démocratie les lois votées sont faites pour être appliquées. Or, "l'amnistie, c'est une loi votée par le Parlement et les députés qui la votent assument leurs responsabilités", a fait valoir J.L. Debré.
La presse ‘libre’ qui emboîte le pas au PS et ne s’embarrasse pas de détails, tronque évidemment les propos nuancés du président de l’Assemblée pour exploiter les termes d’ «erreur ravageuse », tout en escamotant son appréciation d’un « geste courageux ».
S'insurgeant donc contre un traitement médiatique en "deux poids, deux mesures", le parti socialiste oublie donc volontiers que José Bové (Vert trotskiste) ou le brillant député communiste Maxime Gremetz ont été graciés. "On a trouvé que c'était normal", a ironiquement souligné Jean-Louis Debré.
■ Le cas José Bové
En 2003, Jacques Chirac accorda deux mois de remise de peine au leader syndical José Bové ; ces deux mois s'ajoutant aux deux mois de remise de peine dont il bénéficera au titre de la grâce collective du 14 juillet. Conformément à l'article 17 de la Constitution, cette grâce présidentielle est une prérogative exclusive du président de la République qui n'a pas à la motiver.
José Bové a toujours affirmé qu'il n'était «pas question» pour lui de s'«agenouiller devant le président Chirac» pour demander une grâce, tout en faisant savoir qu'il ne s'«opposerait pas» à une «libération anticipée»…
■ Le cas Harlem Désir
Harlem Désir, député PS, fut condamné à 18 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende pour recel d'abus de biens sociaux de novembre 1986 à octobre 1987, alors qu'il était président de SOS Racisme!
Les supporters de SOS Racisme ont dû être déçus, choqués, voire ulcérés. Non, ils ont oublié, excusé…
Tous ceux qui savent et n’ont pas oublié qu’il a osé demander l’amnistie pour le camarade Bové n’en croient pas leurs oreilles!
■ Le cas des hurleurs
- Le grotesque Hollande illustre le sens moral du PS qui hurle à la ‘désinvolture’ : "Il faut en finir avec la pratique monarchique de la Ve République qui, dans le meilleur des cas, offre au chef de l'Etat la possibilité d'un pardon républicain pour des cas de détresse ou des situations humanitaires et, dans le pire, permet d'oublier une condamnation infamante touchant un ami politique".
Ses amis politiques, les agités Bové - Gremetz seraient-ils visés par le comique en chef du PS ?
- Le psycho-maniaque Arnaud Montebourg, député socialiste, accuse Jacques Chirac d'"organiser l'impunité de ses propres amis et de lui-même". "Privilèges judiciaires en série, protection de ses amis, pressions sur les juges, détournement de la loi comme celle de l'amnistie pour protéger des gens qui ont été condamnés". (Europe 1, vendredi 26 mai)
Où était-il quand la loi de 2002 sur l’amnistie était votée ?
Son clone, Vincent Peillon, député européen PS, est plus lyrique. "Quelle image pour la France!", a-t-il lancé, en affirmant que Guy Drut, ancien champion olympique, est "un citoyen comme les autres". (LCI, vendredi 26 mai).
Tous les Français sont des champions et les Bleus vont le prouver à la Coupe du Monde de foot, soyons-en assurés !
- Nous n’avons pas eu droit, à ma connaissance, à une pensée définitive de Marie-sEGOlène Royal. Espérons qu’elle n’est pas souffrante. Simplement en institut de beauté : ça pourrait prendre un moment pour lui donner des formes. Dégustons !
- Le malheureux Gilles Artigues, député UDF, proche de François Bayrou, indisponible pour cause de chevauchée réparatrice dans la campagne béarnaise: "Il suffit, en effet, d'être l'ami de l'Elysée pour voir s'effacer une condamnation qui était loin d'être minime sur des faits avérés".
Il parle plus vite qu’il ne pense : et si on tournait sa langue avant d’affirmer que Gremetz et Bové sont des amis du Président ? Il suffit d’être l’ami d’un ex-ministre de l’Education Nationale pour sortir des âneries.
-Le cas de syndicats de magistrats
Pour le Syndicat de la magistrature, en toute impartialité, l'amnistie accordée par Jacques Chirac à Guy Drut "montre encore une fois que le président de la République méprise la justice". Font-ils référence au ‘mépris de la justice’ concernant les Bové et Gremetz. "Nous sommes scandalisés. A l'heure où les institutions sont critiquées de toutes parts, Jacques Chirac contribue à leur affaiblissement" (Déclarations, vendredi 26 mai) Que dire de la demande de Harlem Désir en faveur de l’amnistie de Bové ?
Selon l’Union syndicale des magistrats, qui connaît ses dossiers : Il s'agit d'"un retour des privilèges". Lorsque l'amnistie "s'applique à des personnalités individuelles choisies, cette mesure s'apparente au retour des privilèges qui ont été abolis par la Révolution française". "Quelle image de la justice donne-t-on à ceux qui ont été condamnés après les manifestations anti-CPE ou les émeutes de banlieue ?" (Déclarations, vendredi 26 mai)
Nous avons affaire à des professionnels de la justice en flagrant délit d’injustice : il bénéficient de l’impunité de leurs propos et ne risque pas d’être poursuivis pour calomnie. Pourquoi se priver ? Un privilège que la Révolution française n’a pas aboli…
- Déclarations de ministres
Dominique de Villepin, Premier ministre:"Guy Drut est un grand champion. Les polémiques, il faut savoir les placer là où elles pourraient éventuellement mériter d'être placées (...) ou d'être écartées". "Je ne vois aucune raison de polémiquer autour d'un grand champion qui nous a fait vibrer par son engagement". (Déclaration, vendredi 26 mai)
Pascal Clément, Garde des Sceaux
La mesure d'amnistie de Guy Drut "a pris en compte les mérites sportifs exceptionnels" de l'ancien champion "dont la renommée internationale a concouru au rayonnement de la France dans le monde". La mesure d'exclusion du CIO "pourra ainsi lui permettre de reprendre sa place au sein de cet organisme afin d'y poursuivre son action dans l'intérêt du sport olympique et de la France". L'amnistie, décidée "sur proposition du Garde des Sceaux", est fondée sur "la loi du 6 août 2002, applicable aux 'personnes qui se sont distinguées d'une manière exceptionnelle dans les domaines humanitaire, culturel, sportif, scientifique ou économique'", rappelle Pascal Clément. Guy Drut "a payé l'amende à laquelle il avait été condamné". (Communiqué, vendredi 26 mai)
Ils ont dit "deux poids, deux mesures", mais savent-ils ce qu’ils disent, ou est-ce de la démagogie ? Comme chacun sait, les synapses des députés PS ne se connectent pas bien, si bien que la mémoire du PS est compartimentée et sa morale est à géométrie variable. Tout de même, à ce point, c’est une épidémie de la maladie d’Alzheimer. Il fallait leur stimuler les neurones, puisque les médias ne jouent pas non plus leur rôle. Epidémie, mais peut-être pandémie donc?
Ainsi la dictature de l’opinion publique par la presse se vérifie en permanence dans ce pays démocratique. Le prestige de l’écrit et de l’écran, qu’on le veuille ou non, est encore immense quoi qu’on puisse y entendre et y voir, depuis le parti pris du quotidien du soir Le Monde à la propagande en continu de France-Inter, en passant par les articles du Parisien, de Libération ou l’émission-tribune de Serge Moatti.
Il faudra aussi que, spécialement dans les 12 mois à venir, les Français(es) exercent davantage leur sens critique et expriment leur désaccord haut et fort avec le manque de respect de la gauche et de la presse démocratique à la française pour les électeurs.
En vertu des pouvoirs du Président de la République, J. Chirac a amnistié Guy Drut, condamné en octobre dernier dans l'affaire des marchés publics d'Ile-de-France. La justice lui reprochait d'avoir bénéficié d'un emploi fictif entre juin 1990 et février 1993 dans l'entreprise de bâtiment et travaux publics Sicra.
Guy Drut, champion olympique du 110 mètres haies en 1976, puis ministre des Sports de 1995 à 1997, a été condamné en octobre dernier à 15 mois de prison avec sursis et 50.000 euros d'amende.
Avant de prendre cette mesure d'amnistie individuelle "pour services rendus à la Nation", le chef de l'Etat avait veillé à ce que la condamnation pécuniaire ait été payée et vérifié que Guy Drut n'ait pas été condamné à une peine d'inéligibilité.
Jean-Louis Debré, président de l'Assemblée nationale, a déclaré que le Président s’est fait complètement embobiner par les représentants du monde sportif". Mais l'ancien ministre de l'Intérieur a aussi ajouté qu’il n’aurait pas eu le courage de le faire". Des députés de l’UMP manquent aussi cruellement de courage. Il faut rappeler en outre que Guy Drut est membre du Comité International Olympique où la France n’est pas sur-représentée et où elle aurait perdu 1/3 de ses membres.
Courageux, B. Delanoe, le maire socialiste de Paris, ne s’est pas exprimé sur le sujet, lui qui a été si convaincant dans la défense de la candidature de la capitale aux J.O.
Le PS a saisi de l’occasion pour crier à l’injustice qui est un thème porteur et rassembleur. (Très) Pauvre en propositions constructives, il a l’indignation facile mais la pédagogie défaillante malgré le nombre élevé d’enseignants dans ses rangs, car il n’explique pas aux Français qu’en démocratie les lois votées sont faites pour être appliquées. Or, "l'amnistie, c'est une loi votée par le Parlement et les députés qui la votent assument leurs responsabilités", a fait valoir J.L. Debré.
La presse ‘libre’ qui emboîte le pas au PS et ne s’embarrasse pas de détails, tronque évidemment les propos nuancés du président de l’Assemblée pour exploiter les termes d’ «erreur ravageuse », tout en escamotant son appréciation d’un « geste courageux ».
S'insurgeant donc contre un traitement médiatique en "deux poids, deux mesures", le parti socialiste oublie donc volontiers que José Bové (Vert trotskiste) ou le brillant député communiste Maxime Gremetz ont été graciés. "On a trouvé que c'était normal", a ironiquement souligné Jean-Louis Debré.
■ Le cas José Bové
En 2003, Jacques Chirac accorda deux mois de remise de peine au leader syndical José Bové ; ces deux mois s'ajoutant aux deux mois de remise de peine dont il bénéficera au titre de la grâce collective du 14 juillet. Conformément à l'article 17 de la Constitution, cette grâce présidentielle est une prérogative exclusive du président de la République qui n'a pas à la motiver.
José Bové a toujours affirmé qu'il n'était «pas question» pour lui de s'«agenouiller devant le président Chirac» pour demander une grâce, tout en faisant savoir qu'il ne s'«opposerait pas» à une «libération anticipée»…
■ Le cas Harlem Désir
Harlem Désir, député PS, fut condamné à 18 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende pour recel d'abus de biens sociaux de novembre 1986 à octobre 1987, alors qu'il était président de SOS Racisme!
Les supporters de SOS Racisme ont dû être déçus, choqués, voire ulcérés. Non, ils ont oublié, excusé…
Tous ceux qui savent et n’ont pas oublié qu’il a osé demander l’amnistie pour le camarade Bové n’en croient pas leurs oreilles!
■ Le cas des hurleurs
- Le grotesque Hollande illustre le sens moral du PS qui hurle à la ‘désinvolture’ : "Il faut en finir avec la pratique monarchique de la Ve République qui, dans le meilleur des cas, offre au chef de l'Etat la possibilité d'un pardon républicain pour des cas de détresse ou des situations humanitaires et, dans le pire, permet d'oublier une condamnation infamante touchant un ami politique".
Ses amis politiques, les agités Bové - Gremetz seraient-ils visés par le comique en chef du PS ?
- Le psycho-maniaque Arnaud Montebourg, député socialiste, accuse Jacques Chirac d'"organiser l'impunité de ses propres amis et de lui-même". "Privilèges judiciaires en série, protection de ses amis, pressions sur les juges, détournement de la loi comme celle de l'amnistie pour protéger des gens qui ont été condamnés". (Europe 1, vendredi 26 mai)
Où était-il quand la loi de 2002 sur l’amnistie était votée ?
Son clone, Vincent Peillon, député européen PS, est plus lyrique. "Quelle image pour la France!", a-t-il lancé, en affirmant que Guy Drut, ancien champion olympique, est "un citoyen comme les autres". (LCI, vendredi 26 mai).
Tous les Français sont des champions et les Bleus vont le prouver à la Coupe du Monde de foot, soyons-en assurés !
- Nous n’avons pas eu droit, à ma connaissance, à une pensée définitive de Marie-sEGOlène Royal. Espérons qu’elle n’est pas souffrante. Simplement en institut de beauté : ça pourrait prendre un moment pour lui donner des formes. Dégustons !
- Le malheureux Gilles Artigues, député UDF, proche de François Bayrou, indisponible pour cause de chevauchée réparatrice dans la campagne béarnaise: "Il suffit, en effet, d'être l'ami de l'Elysée pour voir s'effacer une condamnation qui était loin d'être minime sur des faits avérés".
Il parle plus vite qu’il ne pense : et si on tournait sa langue avant d’affirmer que Gremetz et Bové sont des amis du Président ? Il suffit d’être l’ami d’un ex-ministre de l’Education Nationale pour sortir des âneries.
-Le cas de syndicats de magistrats
Pour le Syndicat de la magistrature, en toute impartialité, l'amnistie accordée par Jacques Chirac à Guy Drut "montre encore une fois que le président de la République méprise la justice". Font-ils référence au ‘mépris de la justice’ concernant les Bové et Gremetz. "Nous sommes scandalisés. A l'heure où les institutions sont critiquées de toutes parts, Jacques Chirac contribue à leur affaiblissement" (Déclarations, vendredi 26 mai) Que dire de la demande de Harlem Désir en faveur de l’amnistie de Bové ?
Selon l’Union syndicale des magistrats, qui connaît ses dossiers : Il s'agit d'"un retour des privilèges". Lorsque l'amnistie "s'applique à des personnalités individuelles choisies, cette mesure s'apparente au retour des privilèges qui ont été abolis par la Révolution française". "Quelle image de la justice donne-t-on à ceux qui ont été condamnés après les manifestations anti-CPE ou les émeutes de banlieue ?" (Déclarations, vendredi 26 mai)
Nous avons affaire à des professionnels de la justice en flagrant délit d’injustice : il bénéficient de l’impunité de leurs propos et ne risque pas d’être poursuivis pour calomnie. Pourquoi se priver ? Un privilège que la Révolution française n’a pas aboli…
- Déclarations de ministres
Dominique de Villepin, Premier ministre:"Guy Drut est un grand champion. Les polémiques, il faut savoir les placer là où elles pourraient éventuellement mériter d'être placées (...) ou d'être écartées". "Je ne vois aucune raison de polémiquer autour d'un grand champion qui nous a fait vibrer par son engagement". (Déclaration, vendredi 26 mai)
Pascal Clément, Garde des Sceaux
La mesure d'amnistie de Guy Drut "a pris en compte les mérites sportifs exceptionnels" de l'ancien champion "dont la renommée internationale a concouru au rayonnement de la France dans le monde". La mesure d'exclusion du CIO "pourra ainsi lui permettre de reprendre sa place au sein de cet organisme afin d'y poursuivre son action dans l'intérêt du sport olympique et de la France". L'amnistie, décidée "sur proposition du Garde des Sceaux", est fondée sur "la loi du 6 août 2002, applicable aux 'personnes qui se sont distinguées d'une manière exceptionnelle dans les domaines humanitaire, culturel, sportif, scientifique ou économique'", rappelle Pascal Clément. Guy Drut "a payé l'amende à laquelle il avait été condamné". (Communiqué, vendredi 26 mai)
Ils ont dit "deux poids, deux mesures", mais savent-ils ce qu’ils disent, ou est-ce de la démagogie ? Comme chacun sait, les synapses des députés PS ne se connectent pas bien, si bien que la mémoire du PS est compartimentée et sa morale est à géométrie variable. Tout de même, à ce point, c’est une épidémie de la maladie d’Alzheimer. Il fallait leur stimuler les neurones, puisque les médias ne jouent pas non plus leur rôle. Epidémie, mais peut-être pandémie donc?
Ainsi la dictature de l’opinion publique par la presse se vérifie en permanence dans ce pays démocratique. Le prestige de l’écrit et de l’écran, qu’on le veuille ou non, est encore immense quoi qu’on puisse y entendre et y voir, depuis le parti pris du quotidien du soir Le Monde à la propagande en continu de France-Inter, en passant par les articles du Parisien, de Libération ou l’émission-tribune de Serge Moatti.
Il faudra aussi que, spécialement dans les 12 mois à venir, les Français(es) exercent davantage leur sens critique et expriment leur désaccord haut et fort avec le manque de respect de la gauche et de la presse démocratique à la française pour les électeurs.
lundi 29 mai 2006
EADS : histoire d’une fusion.
- Thalès, en apéritif -offert par Alain Gomez…
Anciennement Thomson-CSF jusqu'en 2000, Thales est une société d'électronique spécialisée dans l'aérospatiale, la défense et les technologies de l'information.
En 1968, une fusion entre la Compagnie française Thomson-Houston et la Compagnie générale de télégraphie Sans Fil (CSF) donne naissance à Thomson-CSF. Les années 1970 sont marquées par la diversification des activités de Thomson-CSF.
En février 1982, Thomson-CSF est nationalisée (gouvernement Mauroy, le fameux Charles Hernu est ministre de le Défense au moment de l’affaire du Rainbow Warrior –crise cardiaque (?) en 1990) et en 1983, elle regroupe les activités d'électronique militaire de Thomson SA.
En octobre 1997, le gouvernement socialiste décide de regrouper autour de Thomson-CSF les activités d'électronique spatiale et de défense et les activités de communications militaire d'Alcatel, les activités d'électronique professionnelle et de défense de Dassault Électronique, ainsi que les activités satellites d'Aérospatiale (voir EADS).
En 1998, la majorité du capital de Thomson-CSF, soit 53,06 %, est désormais détenue par des actionnaires du secteur privé. Le PS n’est donc pas accroc des nationalisations. Des libéraux qui s’ignorent, donc…
Dans les années 1990, les activités « multi-domestiques » de défense se développent à l’international.
1991: Signature d'un contrat de 2,8 milliards de dollars pour la vente à Taïwan de six frégates qui seront à l'origine de Clearstream 1).
Alain Gomez, son président, qui milita au CERES, est un ‘ami de trente ans’ du ministre de la Défense de l’époque…Jean-Pierre Chevènement : le monde est petit et le système démocratique et républicain de la co-optation, c’est-à-dire du copinage, s’applique l’air de rien chez les donneurs de leçons socialistes. D’où les affaires entre amis…qu’on appelle ici des rétro-commissions. C’est le généreux Alain Gomez qui arrose.
En décembre 2000, Thomson-CSF devient Thales. Ce nom devient la dénomination de toutes les subdivisions du groupe. Cà brouille un peu les pistes…
2005: Thales est détenu à 31,3% par l'Etat français, 9,5% par Alcatel, 5,7% par le groupe industriel Marcel Dassault, 4,6% par l'actionnariat salarié, le reste flottant en Bourse. Le groupe emploie 55.476 salariés et réalise un chiffre d'affaires de 10,26 milliards d'euros pour un bénéfice net de 334 millions d'euros.
- EADS a été créé le 10 juillet 2000 par la fusion de l'allemand Daimler Chrysler Aerospace AG, du français Aérospatiale Matra et de l'espagnol CASA.
A la fin des années 90, les gouvernements des 4 pays membres du consortium Airbus Industrie (Allemagne, Espagne, France et Grande-Bretagne) coopérèrent au regroupement des industries européennes de l’aéronautique et de l’espace, impliquant Aerospatiale , Dasa , BAe et CASA ,
en réaction à la concentration des grandes entreprises nord-américaines du secteur aérospatial avec la fusion de Northrop et Grumman dès1993, de Raytheon et de BAe Business Jets en 1994, de Lockheed et Martin Marietta en 1996 et enfin avec la reprise de McDonnell Douglas Corporation par Boeing en 1997.
En France, les fiançailles d’Aérospatiale avec Dassault Aviation ne conduisent à aucune union. En revanche, le capital d’Aérospatiale est ouvert au groupe Lagardère en juillet 1998, et l’union de l’ancienne société nationale avec Matra de Jean-Luc Lagardère donne naissance, le 4 juin 1999, à une entreprise à capital privé –gouvernement socialiste de L. Jospin–,: Aérospatiale Matra S.A.
En Grande-Bretagne, le gouvernement travailliste opte lui aussi pour la consolidation nationale: British Aerospace plc (BAe) et la branche défense de General Electric Corporation (GEC Marconi) fusionnent en 1999 pour créer BAE Systems.
En Allemagne, DaimlerChrysler Aerospace AG (Dasa) et l’Espagnol Construcciones Aeronáuticas S.A. (CASA) annoncent aussi le 11 juin 1999, leur intention de fusionner.
Tout cela pour arriver à la création de la future société par actions EADS– European Aeronautic Defence and Space Company. les présidents d’Aérospatiale Matra, Jean-Luc Lagardère, et de DaimlerChrysler Aerospace, Jürgen E. Schrempp, le chancelier Gerhard Schröder, le Premier ministre Lionel Jospin et le ministre de l’Economie et des Finances Dominique Strauss-Kahn signent le contrat à Strasbourg, le 14 octobre 1999.
L’Espagnol CASA rejoint EADS, à Madrid le 2 décembre 1999, en tant que troisième membre fondateur. Le premier ministre espagnol José María Aznar, le Premier ministre français Lionel Jospin et le chancelier Gerhard Schröder marquent par leur présence la dimension politique de cette fusion industrielle à la taille de l’Europe.
Le 1° enfant issu de ces unions naît le 19 décembre 2000 : Airbus annonce avec ses partenaires le lancement officiel du programme A380, le plus gros avion de transport commercial au monde, avec 555 places sur deux ponts.
L’unité d’EADS responsable de la maintenance aéronautique est Sogerma Services, à Mérignac.
Filiales d’EADS :
Airbus, filiale à 100 % du groupe EADS
EADS Sodern
EADS Space Transportation
Eurocopter, filiale à 100% du groupe EADS.
Socata, filiale à 100% du groupe EADS.
- EADS et Clearstream
En avril 2006, le groupe EADS s'est retrouvé au centre de l'affaire Clearstream 2 (affaire du corbeau des frégates de Taiwan). Des perquisitions ont été effectuées dans les bureaux de Noël Forgeard, co-président d'EADS, Gustav Humbert, président d'Airbus et Jean-Louis Gergorin, vice-président d'EADS. Deux membres d'EADS semblent être au coeur de cette affaire: Jean-Louis Gergorin et Imad Lahoud, directeur scientifique et frère de Marwan Lahoud, président de MBDA, la branche missile d'EADS Défense et sécurité (DS).
Le 8 mai 2006, le président d'honneur du MDC (Mouvement des citoyens), Jean-Pierre Chevènement, a affirmé le 7 mai 2006 au Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro: "Au niveau d'EADS, il y a un certain ménage à faire. Je ne mets en cause personne directement (mais) il y a de fortes présomptions que l'origine de cette affaire soit au sein de l'état-major d'EADS.".
Je n’accuse personne, mais… je dénonce !
Le 16 mai 2006, Noël Forgeard s'est exprimé au Salon aéronautique de Berlin. "Ce n'est absolument pas quelque chose qui concerne la société"... "c'est quelque chose qui concerne deux personnes…Cela n'a absolument rien à voir avec EADS, même si certains le disent".
Les brebis galeuses sont désignées.
- Thalès, en apéritif -offert par Alain Gomez…
Anciennement Thomson-CSF jusqu'en 2000, Thales est une société d'électronique spécialisée dans l'aérospatiale, la défense et les technologies de l'information.
En 1968, une fusion entre la Compagnie française Thomson-Houston et la Compagnie générale de télégraphie Sans Fil (CSF) donne naissance à Thomson-CSF. Les années 1970 sont marquées par la diversification des activités de Thomson-CSF.
En février 1982, Thomson-CSF est nationalisée (gouvernement Mauroy, le fameux Charles Hernu est ministre de le Défense au moment de l’affaire du Rainbow Warrior –crise cardiaque (?) en 1990) et en 1983, elle regroupe les activités d'électronique militaire de Thomson SA.
En octobre 1997, le gouvernement socialiste décide de regrouper autour de Thomson-CSF les activités d'électronique spatiale et de défense et les activités de communications militaire d'Alcatel, les activités d'électronique professionnelle et de défense de Dassault Électronique, ainsi que les activités satellites d'Aérospatiale (voir EADS).
En 1998, la majorité du capital de Thomson-CSF, soit 53,06 %, est désormais détenue par des actionnaires du secteur privé. Le PS n’est donc pas accroc des nationalisations. Des libéraux qui s’ignorent, donc…
Dans les années 1990, les activités « multi-domestiques » de défense se développent à l’international.
1991: Signature d'un contrat de 2,8 milliards de dollars pour la vente à Taïwan de six frégates qui seront à l'origine de Clearstream 1).
Alain Gomez, son président, qui milita au CERES, est un ‘ami de trente ans’ du ministre de la Défense de l’époque…Jean-Pierre Chevènement : le monde est petit et le système démocratique et républicain de la co-optation, c’est-à-dire du copinage, s’applique l’air de rien chez les donneurs de leçons socialistes. D’où les affaires entre amis…qu’on appelle ici des rétro-commissions. C’est le généreux Alain Gomez qui arrose.
En décembre 2000, Thomson-CSF devient Thales. Ce nom devient la dénomination de toutes les subdivisions du groupe. Cà brouille un peu les pistes…
2005: Thales est détenu à 31,3% par l'Etat français, 9,5% par Alcatel, 5,7% par le groupe industriel Marcel Dassault, 4,6% par l'actionnariat salarié, le reste flottant en Bourse. Le groupe emploie 55.476 salariés et réalise un chiffre d'affaires de 10,26 milliards d'euros pour un bénéfice net de 334 millions d'euros.
- EADS a été créé le 10 juillet 2000 par la fusion de l'allemand Daimler Chrysler Aerospace AG, du français Aérospatiale Matra et de l'espagnol CASA.
A la fin des années 90, les gouvernements des 4 pays membres du consortium Airbus Industrie (Allemagne, Espagne, France et Grande-Bretagne) coopérèrent au regroupement des industries européennes de l’aéronautique et de l’espace, impliquant Aerospatiale , Dasa , BAe et CASA ,
en réaction à la concentration des grandes entreprises nord-américaines du secteur aérospatial avec la fusion de Northrop et Grumman dès1993, de Raytheon et de BAe Business Jets en 1994, de Lockheed et Martin Marietta en 1996 et enfin avec la reprise de McDonnell Douglas Corporation par Boeing en 1997.
En France, les fiançailles d’Aérospatiale avec Dassault Aviation ne conduisent à aucune union. En revanche, le capital d’Aérospatiale est ouvert au groupe Lagardère en juillet 1998, et l’union de l’ancienne société nationale avec Matra de Jean-Luc Lagardère donne naissance, le 4 juin 1999, à une entreprise à capital privé –gouvernement socialiste de L. Jospin–,: Aérospatiale Matra S.A.
En Grande-Bretagne, le gouvernement travailliste opte lui aussi pour la consolidation nationale: British Aerospace plc (BAe) et la branche défense de General Electric Corporation (GEC Marconi) fusionnent en 1999 pour créer BAE Systems.
En Allemagne, DaimlerChrysler Aerospace AG (Dasa) et l’Espagnol Construcciones Aeronáuticas S.A. (CASA) annoncent aussi le 11 juin 1999, leur intention de fusionner.
Tout cela pour arriver à la création de la future société par actions EADS– European Aeronautic Defence and Space Company. les présidents d’Aérospatiale Matra, Jean-Luc Lagardère, et de DaimlerChrysler Aerospace, Jürgen E. Schrempp, le chancelier Gerhard Schröder, le Premier ministre Lionel Jospin et le ministre de l’Economie et des Finances Dominique Strauss-Kahn signent le contrat à Strasbourg, le 14 octobre 1999.
L’Espagnol CASA rejoint EADS, à Madrid le 2 décembre 1999, en tant que troisième membre fondateur. Le premier ministre espagnol José María Aznar, le Premier ministre français Lionel Jospin et le chancelier Gerhard Schröder marquent par leur présence la dimension politique de cette fusion industrielle à la taille de l’Europe.
Le 1° enfant issu de ces unions naît le 19 décembre 2000 : Airbus annonce avec ses partenaires le lancement officiel du programme A380, le plus gros avion de transport commercial au monde, avec 555 places sur deux ponts.
L’unité d’EADS responsable de la maintenance aéronautique est Sogerma Services, à Mérignac.
Filiales d’EADS :
Airbus, filiale à 100 % du groupe EADS
EADS Sodern
EADS Space Transportation
Eurocopter, filiale à 100% du groupe EADS.
Socata, filiale à 100% du groupe EADS.
- EADS et Clearstream
En avril 2006, le groupe EADS s'est retrouvé au centre de l'affaire Clearstream 2 (affaire du corbeau des frégates de Taiwan). Des perquisitions ont été effectuées dans les bureaux de Noël Forgeard, co-président d'EADS, Gustav Humbert, président d'Airbus et Jean-Louis Gergorin, vice-président d'EADS. Deux membres d'EADS semblent être au coeur de cette affaire: Jean-Louis Gergorin et Imad Lahoud, directeur scientifique et frère de Marwan Lahoud, président de MBDA, la branche missile d'EADS Défense et sécurité (DS).
Le 8 mai 2006, le président d'honneur du MDC (Mouvement des citoyens), Jean-Pierre Chevènement, a affirmé le 7 mai 2006 au Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro: "Au niveau d'EADS, il y a un certain ménage à faire. Je ne mets en cause personne directement (mais) il y a de fortes présomptions que l'origine de cette affaire soit au sein de l'état-major d'EADS.".
Je n’accuse personne, mais… je dénonce !
Le 16 mai 2006, Noël Forgeard s'est exprimé au Salon aéronautique de Berlin. "Ce n'est absolument pas quelque chose qui concerne la société"... "c'est quelque chose qui concerne deux personnes…Cela n'a absolument rien à voir avec EADS, même si certains le disent".
Les brebis galeuses sont désignées.
samedi 27 mai 2006
Clearstream: les amalgames déstabilisateurs.
Clearstream 1, dossier instruit par le juge Van Ruymbeke.
1- Des ministres à la fois de gauche et de droite sont associés dans les prétendues rétro-commissions de l’affaire des frégates de Taïwan. Or, seuls les ministres Strauss-Kahn et Chevènement qui étaient aux affaires semblent en situation d’avoir bénéficié des sommes payées par Thomson d’Alain Gomez, proche de…J.P. Chevènement au CERES, comme Loïc Le Floch Prigent !
Si les falsificateurs ou leurs commanditaires désignent par la même occasion les ministres Sarkozy et Madelin, c’est pour noyer le poisson et surtout paralyser la droite.
Cette technique est inspirée des milieux trotskistes : discréditer un maximum de personnes dans l’opinion, dans le but de faire croire au pourrissement du système. Les élus du PS démontrent leur maturité à cette occasion en affirmant haut et fort : « Ce n’est pas nous, c’est les autres !»
2- C’est dès avril et mai 2004 que le juge Van Ruymbeke, oralement, puis par deux lettres anonymes de Jean-Louis Gergorin (sur cinq), avait été informé de prétendues rétro-commissions que quatre personnalités politiques (entre autres) auraient touchées dans la vente de six frégates à Taïwan en 1991 et placées sur des comptes secrets à la chambre de compensation luxembourgeoise Clearstream.
Il faudra plus d'un an au juge Van Ruymbeke pour démontrer que les informations étaient fausses. Pourquoi cette durée de l’instruction du juge jusqu’en 2005? Cette affaire était-elle un potentiel moyen de pression et une monnaie d’échange, en cas de besoin? En somme, une poire pour la soif de pouvoir en 2006-2007 ? Ou l’après-2007, puisque le PS s’y voit déjà et fait tout, vraiment tout ce qu’il peut ! Alors, finie l’affaire des frégates de Taïwan ; bonjour les parapluies de Cherbourg.
Clearstream 2, dossier instruit par les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons (Sept 2004).
1- Mais Jean-Louis Gergorin a déclaré au Figaro vendredi dernier qu’il considère toujours que les listings anonymes ont "une probabilité de forte exactitude".
Le juge Van Ruymbeke n’a-t-il pas jugé autrement ? Gergorin en dira-t-il plus aux juges qui l’ont convoqué après le pont de l’Ascension ?
Pour ne pas être accusé d’être à l’origine des manipulations, Gergorin devra faire des révélations sur la provenance des ‘faux’ listings. Reparlera-t-on des entretiens secrets Van Ruynbeke-Denis Robert ?
Qui des ministres de gauche et de droite est visé par cette nouvelle déclaration de Gergorin?
2- Partie civile dans l'affaire Clearstream, Alain Madelin a demandé mercredi matin à ses deux juges de "démasquer les manipulateurs, les magouilleurs, les falsificateurs". Derrière le scandale Clearstream, il y a d'abord l’affaire des frégates de Taïwan, rappelle-t-il.
Des ventes d’armes par un gouvernement de gauche, ce n’est pas joli, joli…et l’image de moralité du PS est réduite à néant: le PS n’est pas ‘plus blanc que blanc’…
Les associations et mouvements divers pour la paix et contre tous les armements ont sûrement exprimé leur indignation et condamné le gouvernement socialiste d’Edith Cresson, mais je n’ai pas dû les entendre. Alain Madelin leur donne l’occasion de renouveler leurs exhortations en faveur de la paix et de stigmatiser le parti socialiste: il est toujours temps de bien faire…
A noter que ni Dominique Strauss-Kahn (mis en examen pour …abus de biens sociaux en 2000, il bénéficia d’un non-lieu en octobre 2001 –de justesse avant les législatives de 2002), ni Chevènement (qui démissionna en…1991, pourquoi ? –battu aux législatives de 2002), aucun des deux ne communique sur le sujet…
Et que le PS est retourné opportunément à ses luttes intestines ! Plus de salves d’indignation et de demandes multiples de mise à mort. Les enseignants et porte-voix du PS Dray et Ayrault travailleraient-ils enfin au succès de leurs étudiants anti-CPE ? Rien n’est moins sûr, puisque des assurances ont été données pour que les taux de réussite soient inégalés. Riton Emmanuelli fait-il une cure pour les nerfs ? Plutôt une thalasso, mais je ne le vois pas partager le bain à remous de Marie-sEGO… Ils n’ont pas les mêmes valeurs ! Et le bain de boue ?
3- ‘Destruction de preuve’? C’est ce dont A. Madelin se plaint auprès de ses juges. Le dossier du général Rondot mentionnerait en effet (juillet 2004) des instructions pour détruire des preuves. C’est un certain Alain Juillet, présenté par Le Parisien mercredi comme assurant "le secrétariat du CIR" (Comité interministériel du renseignement), qui "aurait avoué aux deux magistrats", lors de la perquisition de son bureau le 30 mars 2006, "avoir détruit un dossier concernant Clearstream [...] il y a environ six mois".
Or, le Secrétariat général de la défense nationale (SGDN), rattaché à Matignon, a affirmé jeudi dans un communiqué que M. Juillet n'avait "pas de responsabilité au sein du CIR" qui en tout état de cause, y est-il précisé, "n'a jamais eu à traiter de l'affaire Clearstream". "Il n'a jamais détenu de dossier relatif à cette affaire", est-il également indiqué.
On progresse ?
4- Le général Rondot dit-il la vérité ?
Avant de rencontrer le juge Van Ruymbeke, Gergorin avait fait part de ses informations en novembre 2003 au général Philippe Rondot, ancien conseiller pour le renseignement et les opérations spéciales auprès du ministre de la Défense. Ce dernier a tenu informé le directeur de cabinet de Michèle Alliot-Marie, Philippe Marland, de ses investigations, ainsi que Dominique de Villepin, alors ministre des Affaires étrangères.
5- Violation du secret de l'instruction ? Eh bien non !
Mercredi en fin de journée, la chambre criminelle de la Cour de cassation a rejeté la demande de dépaysement –formulée par le parquet général- de l’information judiciaire ouverte la semaine dernière pour violation du secret de l’instruction en marge de cette affaire.
Liberté de la presse : contre-pouvoir impuni, au nom de l’égalité de tous devant la loi et de la démocratie. La Justice en sort grandie. Et les djeun’s privilégiés, qui sont si susceptibles sur le sujet du respect qui leur est dû et qu’ils méritent prioritairement, plus que quiconque –en particulier leurs aînés et autres oubliés de la société–, vont être impressionnés par le respect que manifeste –accessoirement– la Justice aux institutions. Ils vont courir voter, avec la même pugnacité (aux deux tours) et la même ferveur, qu’ils sont descendus dans la rue ! Evidemment, c’est moins festif ! Mais SUD-Elections (?), pour la circonstance, pourrait à nouveau bloquer gares et routes et José Bové, l’affreux Jojo, pourrait mettre un peu d’animation et démonter les isoloirs… Faisons-leur confiance.
Clearstream 1, dossier instruit par le juge Van Ruymbeke.
1- Des ministres à la fois de gauche et de droite sont associés dans les prétendues rétro-commissions de l’affaire des frégates de Taïwan. Or, seuls les ministres Strauss-Kahn et Chevènement qui étaient aux affaires semblent en situation d’avoir bénéficié des sommes payées par Thomson d’Alain Gomez, proche de…J.P. Chevènement au CERES, comme Loïc Le Floch Prigent !
Si les falsificateurs ou leurs commanditaires désignent par la même occasion les ministres Sarkozy et Madelin, c’est pour noyer le poisson et surtout paralyser la droite.
Cette technique est inspirée des milieux trotskistes : discréditer un maximum de personnes dans l’opinion, dans le but de faire croire au pourrissement du système. Les élus du PS démontrent leur maturité à cette occasion en affirmant haut et fort : « Ce n’est pas nous, c’est les autres !»
2- C’est dès avril et mai 2004 que le juge Van Ruymbeke, oralement, puis par deux lettres anonymes de Jean-Louis Gergorin (sur cinq), avait été informé de prétendues rétro-commissions que quatre personnalités politiques (entre autres) auraient touchées dans la vente de six frégates à Taïwan en 1991 et placées sur des comptes secrets à la chambre de compensation luxembourgeoise Clearstream.
Il faudra plus d'un an au juge Van Ruymbeke pour démontrer que les informations étaient fausses. Pourquoi cette durée de l’instruction du juge jusqu’en 2005? Cette affaire était-elle un potentiel moyen de pression et une monnaie d’échange, en cas de besoin? En somme, une poire pour la soif de pouvoir en 2006-2007 ? Ou l’après-2007, puisque le PS s’y voit déjà et fait tout, vraiment tout ce qu’il peut ! Alors, finie l’affaire des frégates de Taïwan ; bonjour les parapluies de Cherbourg.
Clearstream 2, dossier instruit par les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons (Sept 2004).
1- Mais Jean-Louis Gergorin a déclaré au Figaro vendredi dernier qu’il considère toujours que les listings anonymes ont "une probabilité de forte exactitude".
Le juge Van Ruymbeke n’a-t-il pas jugé autrement ? Gergorin en dira-t-il plus aux juges qui l’ont convoqué après le pont de l’Ascension ?
Pour ne pas être accusé d’être à l’origine des manipulations, Gergorin devra faire des révélations sur la provenance des ‘faux’ listings. Reparlera-t-on des entretiens secrets Van Ruynbeke-Denis Robert ?
Qui des ministres de gauche et de droite est visé par cette nouvelle déclaration de Gergorin?
2- Partie civile dans l'affaire Clearstream, Alain Madelin a demandé mercredi matin à ses deux juges de "démasquer les manipulateurs, les magouilleurs, les falsificateurs". Derrière le scandale Clearstream, il y a d'abord l’affaire des frégates de Taïwan, rappelle-t-il.
Des ventes d’armes par un gouvernement de gauche, ce n’est pas joli, joli…et l’image de moralité du PS est réduite à néant: le PS n’est pas ‘plus blanc que blanc’…
Les associations et mouvements divers pour la paix et contre tous les armements ont sûrement exprimé leur indignation et condamné le gouvernement socialiste d’Edith Cresson, mais je n’ai pas dû les entendre. Alain Madelin leur donne l’occasion de renouveler leurs exhortations en faveur de la paix et de stigmatiser le parti socialiste: il est toujours temps de bien faire…
A noter que ni Dominique Strauss-Kahn (mis en examen pour …abus de biens sociaux en 2000, il bénéficia d’un non-lieu en octobre 2001 –de justesse avant les législatives de 2002), ni Chevènement (qui démissionna en…1991, pourquoi ? –battu aux législatives de 2002), aucun des deux ne communique sur le sujet…
Et que le PS est retourné opportunément à ses luttes intestines ! Plus de salves d’indignation et de demandes multiples de mise à mort. Les enseignants et porte-voix du PS Dray et Ayrault travailleraient-ils enfin au succès de leurs étudiants anti-CPE ? Rien n’est moins sûr, puisque des assurances ont été données pour que les taux de réussite soient inégalés. Riton Emmanuelli fait-il une cure pour les nerfs ? Plutôt une thalasso, mais je ne le vois pas partager le bain à remous de Marie-sEGO… Ils n’ont pas les mêmes valeurs ! Et le bain de boue ?
3- ‘Destruction de preuve’? C’est ce dont A. Madelin se plaint auprès de ses juges. Le dossier du général Rondot mentionnerait en effet (juillet 2004) des instructions pour détruire des preuves. C’est un certain Alain Juillet, présenté par Le Parisien mercredi comme assurant "le secrétariat du CIR" (Comité interministériel du renseignement), qui "aurait avoué aux deux magistrats", lors de la perquisition de son bureau le 30 mars 2006, "avoir détruit un dossier concernant Clearstream [...] il y a environ six mois".
Or, le Secrétariat général de la défense nationale (SGDN), rattaché à Matignon, a affirmé jeudi dans un communiqué que M. Juillet n'avait "pas de responsabilité au sein du CIR" qui en tout état de cause, y est-il précisé, "n'a jamais eu à traiter de l'affaire Clearstream". "Il n'a jamais détenu de dossier relatif à cette affaire", est-il également indiqué.
On progresse ?
4- Le général Rondot dit-il la vérité ?
Avant de rencontrer le juge Van Ruymbeke, Gergorin avait fait part de ses informations en novembre 2003 au général Philippe Rondot, ancien conseiller pour le renseignement et les opérations spéciales auprès du ministre de la Défense. Ce dernier a tenu informé le directeur de cabinet de Michèle Alliot-Marie, Philippe Marland, de ses investigations, ainsi que Dominique de Villepin, alors ministre des Affaires étrangères.
5- Violation du secret de l'instruction ? Eh bien non !
Mercredi en fin de journée, la chambre criminelle de la Cour de cassation a rejeté la demande de dépaysement –formulée par le parquet général- de l’information judiciaire ouverte la semaine dernière pour violation du secret de l’instruction en marge de cette affaire.
Liberté de la presse : contre-pouvoir impuni, au nom de l’égalité de tous devant la loi et de la démocratie. La Justice en sort grandie. Et les djeun’s privilégiés, qui sont si susceptibles sur le sujet du respect qui leur est dû et qu’ils méritent prioritairement, plus que quiconque –en particulier leurs aînés et autres oubliés de la société–, vont être impressionnés par le respect que manifeste –accessoirement– la Justice aux institutions. Ils vont courir voter, avec la même pugnacité (aux deux tours) et la même ferveur, qu’ils sont descendus dans la rue ! Evidemment, c’est moins festif ! Mais SUD-Elections (?), pour la circonstance, pourrait à nouveau bloquer gares et routes et José Bové, l’affreux Jojo, pourrait mettre un peu d’animation et démonter les isoloirs… Faisons-leur confiance.
jeudi 25 mai 2006
mercredi 24 mai 2006
Robert Denis n’est pas clair comme de l’eau de roche.
On ne peut laisser Denis Robert nager entre deux eaux du marigot, car il est un des exemples d’activistes qui illustrent la stratégie ‘nouvelle’ des trotskistes pablistes. Ils ne cherchent pas à abattre le pouvoir par des actions révolutionnaires violentes, mais à exercer un ‘contre-pouvoir’ sous toutes ses formes au quotidien, en exploitant tous les malaises, en contaminant des actions locales, en montant en épingle des dysfonctionnements locaux et en défendant des petites causes perdues locales. Ainsi, s’enracinent-ils discrètement et pourrissent-ils la vie locale. L’addition des actions locales donne alors à croire qu’il s’agit de problèmes multiples, alors qu’il n’est question que du même, réel parfois, mais de préférence monté de toutes pièces et gonflé. Il n’est donc pas question de prise de pouvoir, mais de déstabilisation du pouvoir.
Par ailleurs, sortis de nulle part, semble-t-il, mais en fait partout implantés localement, des associations et comités apparaissent-ils subitement à l’échelon national: ils sont le plus souvent l’émanation de réseaux trotskistes et participent du même complot. Qui peut croire que Act Up et Droit au Logement (DAL) sont le produit de la génération spontanée? Plus que par l’intérêt des plus défavorisés, ils sont motivés par une mission de sape politique. ATTAC n’est-il pas né au trotskiste Monde Diplomatique? De même, on comprend que l’affaire Clearstream 2 n’a pas surgi tout à coup, naturellement, comme par enchantement.
En juin 2004, les juges chargés de l'enquête sur les frégates de Taïwan reçoivent deux lettres et un cédérom d'un -ou plusieurs- "corbeau(x) ". C’est une vieille histoire (Clearstream 1) qui est ainsi relancée, dans laquelle on retrouve les mêmes protagonistes qu’il a suffit de réactiver par des accusations calomnieuses que la rumeur a amplifiées, grâce… aux médias ‘infiltrés’ qui tirent profit de l’activisme de ses sapeurs trotskistes. La plupart ont leur quota de sapeurs, qui leur assurent de la copie ; ce qu’ils appellent le journalisme d’investigation. Calomnie et rumeur sont les armes habituelles de ce contre-pouvoir révolutionnaire.
Denis Robert (né en 1958) est, donc, un ex-journaliste trotskiste à Libération où plus de 15% des effectifs sont des sapeurs ex-trotskistes…. Pendant une douzaine d’années il s’y est spécialisé dans les affaires politico-financières aux fins de pression médiatique militante, telle l’affaire des frégates de Taïwan (1991) dite affaire Clearstream 1. Par son travail sur l’opinion, il fait donc partie des troupes trotskistes de la ‘transformation sociale’.
En 1996, l’Appel de Genève rassemble sept magistrats anti-corruption pour la création d’un ‘espace’ judiciaire européen. Et qui sont ces sept? Le juge Van Ruymbeke est du nombre. Robert reçoit alors les confidences d’un ancien cadre de ce qui était devenu Clearstream 1 (l’affaire des frégates de Taïwan) et mène une enquête sur les transactions douteuses de blanchiment d’argent qu’il dénonce dans un de ses ouvrages, Révélation$ (2001). Une commission de l’Assemblée nationale mène l’enquête à son tour sous la présidence du tandem Dupond-Dupont/Peillon-Montebourg. Denis Robert exploite les développements de l’affaire à la fois dans un nouveau livre et un film!
Ce n’est ni l’appât du gain, ni la notoriété, ni un supplément de pureté que recherche le journaliste-militant, mais la publicité des commissions supposées, comme moyen de subversion politique, grâce aux nombreux procès en diffamation dont il fait l’objet. Comme quoi la publicité faite à la justice ne sert pas nécessairement la Justice…
En 2003, l’affaire Clearstream 2 (affaire du corbeau) naquit de la publication de listings de comptes Clearstream (rétro-commissions) fournis par Robert (comment était-il en leur possession ??) à Imad Lahoud qui était demandeur! Or, lorsque Le Monde (plusieurs directeurs étant des trotskistes notoires) publie les listings, Robert constate qu’ils ne sont pas exacts… Le journaliste d’investigation s’en étonne, mais se satisfait d’un « Je t’expliquerai ! » de la part de Lahoud. Déjà à l’époque, investigation n’est pas synonyme d’établissement de la vérité… La boue n’est pas seulement celle des autres…
C’est, en janvier 2006, un rebondissement de ce qui devient à nouveau une affaire d’état, à la suite de la plainte et la constitution de partie civile de Nicolas Sarkozy.
Difficile d’y voir clair ! Mais certains faits, au-delà de la rumeur, sont troublants.
- les rencontres journalistes-juges : Denis Robert - Renaud Van Ruymbeke. La séparation de ces pouvoirs n’est pas inscrite dans la constitution ; c’est peut-être bien l’origine de la déviance des institutions, quelle que soit la république : IV°, V°, voire VI°... Idée à creuser !
- Comment l’ex-journaliste Denis Robert s’est-il procuré les listings informatiques? Une question aussi fondamentale ne semble pas posée : de telles informations sont-elles à ce point faciles d’accès que la source importe si peu ? Sur le Web ?? Y sont-elles arrivées toutes seules ? La réponse n’apporterait-elle donc rien de plus à l’affaire? Le rôle de Robert est-t-il tellement secondaire?
- les rencontres journalistes-informaticiens: pourquoi le journaliste Denis Robert a-t-il rencontré Imad Lahoud, plutôt qu’un informaticien d’EADS parmi tant d’autres? On imaginerait mieux que l’informaticien ait provoqué ce contact avec le journaliste, lequel avait un intérêt à lui céder ses informations, dans le but de déstabilisation politique à la trotskiste !
Les deux hommes avaient des motifs différents, comme tendent à le prouver les affirmations de Lahoud dans Le Figaro du 20-05-06, où il charge la DGSE : il n’aurait servi que d’intermédiaire et les falsifications de listings seraient l’œuvre des services secrets. Bilan Robert et Lahoud seraient innocents, bien qu’étant les auteurs des fuites, pour des raisons assez peu …morales ! La moralité étant chère à la gauche…
- les accusations visant des hommes de gauche, tel Alain Gomez, ancien dirigeant de Thomson-CSF, proche de Chevènement (CERES), allié du PC, selon les trotskistes. Pourquoi tant d’hommes de gauche de premier plan sont-ils impliqués sur le fond de l’affaire et que ce sont plutôt ses avatars supputés et subalternes qui alimentent la presse libre à la façon de Le Monde qui en fait une affaire d’état?
- Clearstream 2 est-il une vengeance de feu Loïk Le Floch-Prigent? Ce dirigeant de l’UNEF… entré au CERES de Chevènement, fut PDG de ELF-Aquitaine, mis en examen et condamné dans l’affaire du même nom, impliquant Roland Dumas, ministre, et futur président du Conseil Constitutionnel (qui veille au bon respect de la constitution !), nommé par F. Mitterrand (2000)…pour bons et loyaux services et pour protéger son ami personnel ! Il fut néanmoins condamné à l’emprisonnement.
- le rôle de J.M. Colombani, camarade trotskiste d’Edwy Plenel (photo), dans Le Monde est-il digne du privilège de l’impunité républicaine, et pourquoi pas démocratique pendant que nous y sommes, au nom de la liberté de la presse ?
Comment se fait-il que les médias manifestent si peu d’intérêt pour l’affaire des frégates de Taïwan (Clearstream 1) ? Est-ce parce qu’elle a pourri le 2° septennat de F. Mitterrand et le gouvernement d’E. Cresson –accusée, par ailleurs, de ‘favoritisme’ à la Commission européenne?
Fin 2005, le juge Van Ruymbeke démontre que les accusations du corbeau sont pure manipulation. Mais l’affaire rebondit de plus belle : qu’on m’explique !
- Et comment se fait-il que le trotskiste Robert met en cause aussi bien des ministres de droite : Sarkozy (Intérieur) ou Alain Madelin (ex-Economie) que de gauche : Jean-Pierre Chevènement (Intérieur) et Dominique Strauss-Kahn (Economie), ce dernier étant candidat à la Présidentielle de 2007? Tous nient bien sûr avoir été destinataires de commissions occultes (500 millions de dollars US) dans le cadre de la vente par Thomson (et Alain Gomez, proche de Chevènement, ministre alors en activité, n’oublions pas…) en 1991 de six frégates militaires à Taïwan, pour une somme fabuleuse, qui aurait en effet été utile aux électeurs PS de base : 2,8 milliards de dollars.
C’est que la gauche unie a de lourds antécédents de désunion et de rivalités qu’elle ne cherche guère à surmonter, qu’elle entretient même à plaisir, pour exister : on n’est plus frères des staliniens que des sectes trotskistes rivales. Je l’ai dit, c’est un marigot !
Chevènement n’est pas très incisif parmi les détracteurs de la droite actuelle: est-ce l’aveu de ses propres turpitudes ?... Attendons de voir tire les marrons du feu. Et si c’était José Bové (Confédération paysanne, réseau trotskiste) qui est poussé par la LCI dans la candidature à la Présidentielle de 2007…
Le succès de librairie du premier livre de Denis Robert est inexplicable autrement que par le support des réseaux trotskistes de propagande; or, les médias font désormais l’impasse sur ce personnage : troublante investigation de journalistes indépendants ! Denis Robert peut s’éclipser ; le ver est dans le fruit.
On ne peut laisser Denis Robert nager entre deux eaux du marigot, car il est un des exemples d’activistes qui illustrent la stratégie ‘nouvelle’ des trotskistes pablistes. Ils ne cherchent pas à abattre le pouvoir par des actions révolutionnaires violentes, mais à exercer un ‘contre-pouvoir’ sous toutes ses formes au quotidien, en exploitant tous les malaises, en contaminant des actions locales, en montant en épingle des dysfonctionnements locaux et en défendant des petites causes perdues locales. Ainsi, s’enracinent-ils discrètement et pourrissent-ils la vie locale. L’addition des actions locales donne alors à croire qu’il s’agit de problèmes multiples, alors qu’il n’est question que du même, réel parfois, mais de préférence monté de toutes pièces et gonflé. Il n’est donc pas question de prise de pouvoir, mais de déstabilisation du pouvoir.
Par ailleurs, sortis de nulle part, semble-t-il, mais en fait partout implantés localement, des associations et comités apparaissent-ils subitement à l’échelon national: ils sont le plus souvent l’émanation de réseaux trotskistes et participent du même complot. Qui peut croire que Act Up et Droit au Logement (DAL) sont le produit de la génération spontanée? Plus que par l’intérêt des plus défavorisés, ils sont motivés par une mission de sape politique. ATTAC n’est-il pas né au trotskiste Monde Diplomatique? De même, on comprend que l’affaire Clearstream 2 n’a pas surgi tout à coup, naturellement, comme par enchantement.
En juin 2004, les juges chargés de l'enquête sur les frégates de Taïwan reçoivent deux lettres et un cédérom d'un -ou plusieurs- "corbeau(x) ". C’est une vieille histoire (Clearstream 1) qui est ainsi relancée, dans laquelle on retrouve les mêmes protagonistes qu’il a suffit de réactiver par des accusations calomnieuses que la rumeur a amplifiées, grâce… aux médias ‘infiltrés’ qui tirent profit de l’activisme de ses sapeurs trotskistes. La plupart ont leur quota de sapeurs, qui leur assurent de la copie ; ce qu’ils appellent le journalisme d’investigation. Calomnie et rumeur sont les armes habituelles de ce contre-pouvoir révolutionnaire.
Denis Robert (né en 1958) est, donc, un ex-journaliste trotskiste à Libération où plus de 15% des effectifs sont des sapeurs ex-trotskistes…. Pendant une douzaine d’années il s’y est spécialisé dans les affaires politico-financières aux fins de pression médiatique militante, telle l’affaire des frégates de Taïwan (1991) dite affaire Clearstream 1. Par son travail sur l’opinion, il fait donc partie des troupes trotskistes de la ‘transformation sociale’.
En 1996, l’Appel de Genève rassemble sept magistrats anti-corruption pour la création d’un ‘espace’ judiciaire européen. Et qui sont ces sept? Le juge Van Ruymbeke est du nombre. Robert reçoit alors les confidences d’un ancien cadre de ce qui était devenu Clearstream 1 (l’affaire des frégates de Taïwan) et mène une enquête sur les transactions douteuses de blanchiment d’argent qu’il dénonce dans un de ses ouvrages, Révélation$ (2001). Une commission de l’Assemblée nationale mène l’enquête à son tour sous la présidence du tandem Dupond-Dupont/Peillon-Montebourg. Denis Robert exploite les développements de l’affaire à la fois dans un nouveau livre et un film!
Ce n’est ni l’appât du gain, ni la notoriété, ni un supplément de pureté que recherche le journaliste-militant, mais la publicité des commissions supposées, comme moyen de subversion politique, grâce aux nombreux procès en diffamation dont il fait l’objet. Comme quoi la publicité faite à la justice ne sert pas nécessairement la Justice…
En 2003, l’affaire Clearstream 2 (affaire du corbeau) naquit de la publication de listings de comptes Clearstream (rétro-commissions) fournis par Robert (comment était-il en leur possession ??) à Imad Lahoud qui était demandeur! Or, lorsque Le Monde (plusieurs directeurs étant des trotskistes notoires) publie les listings, Robert constate qu’ils ne sont pas exacts… Le journaliste d’investigation s’en étonne, mais se satisfait d’un « Je t’expliquerai ! » de la part de Lahoud. Déjà à l’époque, investigation n’est pas synonyme d’établissement de la vérité… La boue n’est pas seulement celle des autres…
C’est, en janvier 2006, un rebondissement de ce qui devient à nouveau une affaire d’état, à la suite de la plainte et la constitution de partie civile de Nicolas Sarkozy.
Difficile d’y voir clair ! Mais certains faits, au-delà de la rumeur, sont troublants.
- les rencontres journalistes-juges : Denis Robert - Renaud Van Ruymbeke. La séparation de ces pouvoirs n’est pas inscrite dans la constitution ; c’est peut-être bien l’origine de la déviance des institutions, quelle que soit la république : IV°, V°, voire VI°... Idée à creuser !
- Comment l’ex-journaliste Denis Robert s’est-il procuré les listings informatiques? Une question aussi fondamentale ne semble pas posée : de telles informations sont-elles à ce point faciles d’accès que la source importe si peu ? Sur le Web ?? Y sont-elles arrivées toutes seules ? La réponse n’apporterait-elle donc rien de plus à l’affaire? Le rôle de Robert est-t-il tellement secondaire?
- les rencontres journalistes-informaticiens: pourquoi le journaliste Denis Robert a-t-il rencontré Imad Lahoud, plutôt qu’un informaticien d’EADS parmi tant d’autres? On imaginerait mieux que l’informaticien ait provoqué ce contact avec le journaliste, lequel avait un intérêt à lui céder ses informations, dans le but de déstabilisation politique à la trotskiste !
Les deux hommes avaient des motifs différents, comme tendent à le prouver les affirmations de Lahoud dans Le Figaro du 20-05-06, où il charge la DGSE : il n’aurait servi que d’intermédiaire et les falsifications de listings seraient l’œuvre des services secrets. Bilan Robert et Lahoud seraient innocents, bien qu’étant les auteurs des fuites, pour des raisons assez peu …morales ! La moralité étant chère à la gauche…
- les accusations visant des hommes de gauche, tel Alain Gomez, ancien dirigeant de Thomson-CSF, proche de Chevènement (CERES), allié du PC, selon les trotskistes. Pourquoi tant d’hommes de gauche de premier plan sont-ils impliqués sur le fond de l’affaire et que ce sont plutôt ses avatars supputés et subalternes qui alimentent la presse libre à la façon de Le Monde qui en fait une affaire d’état?
- Clearstream 2 est-il une vengeance de feu Loïk Le Floch-Prigent? Ce dirigeant de l’UNEF… entré au CERES de Chevènement, fut PDG de ELF-Aquitaine, mis en examen et condamné dans l’affaire du même nom, impliquant Roland Dumas, ministre, et futur président du Conseil Constitutionnel (qui veille au bon respect de la constitution !), nommé par F. Mitterrand (2000)…pour bons et loyaux services et pour protéger son ami personnel ! Il fut néanmoins condamné à l’emprisonnement.
- le rôle de J.M. Colombani, camarade trotskiste d’Edwy Plenel (photo), dans Le Monde est-il digne du privilège de l’impunité républicaine, et pourquoi pas démocratique pendant que nous y sommes, au nom de la liberté de la presse ?
Comment se fait-il que les médias manifestent si peu d’intérêt pour l’affaire des frégates de Taïwan (Clearstream 1) ? Est-ce parce qu’elle a pourri le 2° septennat de F. Mitterrand et le gouvernement d’E. Cresson –accusée, par ailleurs, de ‘favoritisme’ à la Commission européenne?
Fin 2005, le juge Van Ruymbeke démontre que les accusations du corbeau sont pure manipulation. Mais l’affaire rebondit de plus belle : qu’on m’explique !
- Et comment se fait-il que le trotskiste Robert met en cause aussi bien des ministres de droite : Sarkozy (Intérieur) ou Alain Madelin (ex-Economie) que de gauche : Jean-Pierre Chevènement (Intérieur) et Dominique Strauss-Kahn (Economie), ce dernier étant candidat à la Présidentielle de 2007? Tous nient bien sûr avoir été destinataires de commissions occultes (500 millions de dollars US) dans le cadre de la vente par Thomson (et Alain Gomez, proche de Chevènement, ministre alors en activité, n’oublions pas…) en 1991 de six frégates militaires à Taïwan, pour une somme fabuleuse, qui aurait en effet été utile aux électeurs PS de base : 2,8 milliards de dollars.
C’est que la gauche unie a de lourds antécédents de désunion et de rivalités qu’elle ne cherche guère à surmonter, qu’elle entretient même à plaisir, pour exister : on n’est plus frères des staliniens que des sectes trotskistes rivales. Je l’ai dit, c’est un marigot !
Chevènement n’est pas très incisif parmi les détracteurs de la droite actuelle: est-ce l’aveu de ses propres turpitudes ?... Attendons de voir tire les marrons du feu. Et si c’était José Bové (Confédération paysanne, réseau trotskiste) qui est poussé par la LCI dans la candidature à la Présidentielle de 2007…
Le succès de librairie du premier livre de Denis Robert est inexplicable autrement que par le support des réseaux trotskistes de propagande; or, les médias font désormais l’impasse sur ce personnage : troublante investigation de journalistes indépendants ! Denis Robert peut s’éclipser ; le ver est dans le fruit.
vendredi 19 mai 2006
Escroquerie intellectuelle de l’opposition.
Sur le sujet de la légitimité de Président de la République.
L’opposition et les médias affirment –sans le démontrer- que le Président est illégitime ! (pas de verbe au conditionnel, ici…) Motif : s’est-il emparé du pouvoir ? Non ! Des irrégularités dans le scrutin ? Non ! Etait-il inéligible ? Non ! Mais quoi ??
Lors des Présidentielles de avril et mai 2002, la gauche était éliminée au 1° tour pour être arrivée 3° avec seulement 16,18% des suffrages, après J.Chirac (19,88%), ce qui est clair et fort peu glorieux en soi de la part du PS qui s’y voyait déjà, non sans arrogance; et qui ainsi faisait la preuve de son illégitimité aux affaires encore un mois plus tôt,
mais surtout pour être arrivée après Le Pen (16,86%), ce qui est la honte suprême pour les donneurs de leçons de morale ! Et ce n’est pas tout…
Au 2° tour, le Président fut réélu avec 82,21% des suffrages exprimés (contre 13,41%).
L’opposition a donc le président qu’elle mérite, puisqu’au moment des élections, elle était au pouvoir avec le candidat Jospin, qui était lui-même le Premier ministre rejeté sans regrets, avec sa majorité. Par conséquent, la volonté du peuple est incontestable et souveraine. Or, pour ceux qui sont plus à l’aise dans les rumeurs que dans l’acceptation de l’implacable cruauté des faits, il y a mieux.
Si, par hypothèse, le peuple souverain s’était égaré au moment des présidentielles, il aurait corrigé son vote à l’occasion des législatives, qui sont intervenues après les Présidentielles. Il n’en a rien été –tout au contraire- et les exégètes n’en disent rien, mais développent des analyses fumeuses que les faits contredisent. Les médias les reprennent à leur compte et les colportent complaisamment, à des fins partisanes. Ils reçoivent sans doute des dossiers de presse politique de la part des intéressés, comme les chroniqueurs, de la télévision, par exemple (cf. la bande à Ruquier, etc)… et s’en contentent ! La paresse intellectuelle des journalistes, ajoutée à la faiblesse de leur formation en ESJ (par exemple) et au militantisme du milieu professionnel, font que l’information est occultée ou détournée et les citations sont tronquées, pour des motifs inavouables. La dénonciation des procédés des médias déclenche, comme il se doit, des réactions aussi vives qu’indécentes.
La gauche de 2002 dût patienter jusqu’aux Régionales de mars 2004 pour retrouver un peu de rose aux joues et beaucoup de sa fatuité.
Il y a mieux, disions-nous.
Lors des législatives des 9 et 16 juin 2002, un mois plus tard, les électeurs républicains confirmèrent leur choix, démocratiquement.
PS= 141 élus; PC= 21; PRG= 7; Verts= 3 ; Divers gauche= 6, qui font un volume inversement proportionnel à leurs scores ;
UMP= 369 ; UDF= 22 ; etc…
Ca se passe de commentaires. Ce nouveau camouflet pour l’opposition ne justifie pas sa soif carnassière actuelle : il serait temps que la gauche se reconnaisse seule responsable et coupable de sa débâcle. Alors qu’on le dit pétrifié, le gouvernement gouverne et enregistre des résultats positifs. Quant à certains élus de la droite, il serait souhaitable qu’ils ne se prennent pas pour des fonctionnaires frileux, soucieux de conserver leurs avantages acquis et qu’ils mouillent la chemise. Qu’ils soient plus combatifs et ne craignent pas de se positionner pour assurer la riposte: le pays s’en trouverait mieux. En effet, la gauche nous ressasse les vertus de la diversité, tout en la condamnant à droite. Que vous soyez Sarkozistes ou Villepinistes, c’est votre droit et c’est légitime. Il n’est que la gauche pour être totalitaire. Ne tombez pas dans leur panneau du « je ne veux voir qu’une seule tête»! Il sera toujours temps de nous la jouer ‘Droite unie’, comme ils nous ont fait le coup de la ‘gauche unie’…Ce que nous pouvons à loisir observer avec l’après-CPE. Ou le défilé du 1° mai. Ou les tractations dans la gauche extrême. Ou la pléthore de candidats potentiels au PS, dont la plus improbable, j’ai nommé…Marie-sEGOlène, qui, à court d’idées personnelles, s’adonne actuellement à du marketing idéologique auprès des masses laborieuses, qu’elle connaît si bien de loin, qu’elle est obligée de l’approcher pour une pêche aux idées : le meilleur espoir du PS en est restée à la boîte à idées… Impressionnant !
L’incompétence et la servilité des instituts de sondage éclataient au grand jour. Les grands airs de connaisseurs de leurs distingués porte-paroles et directeurs médiatiques maussades prêtent à rire. Ils continuent pourtant à se montrer…
Donc, un peu de pudeur, Mesdames et Messieurs de l’opposition, et pas de désinformation, les médias, SVP ! Outre qu’elles révèlent votre mépris de vos concitoyens, vos pratiques honteuses sont un outrage à la pensée et à la démocratie.
Rappel des derniers sondages (%) concernant le 1° tour des Présidentielles de 2002 :
CSA- Chirac: 19,5 ; Bayrou: 6 ;
Jospin: 18 ; Laguiller:7 ; Chevènement: 6 ,5 ; Mamère: 5 ; Hue: 5 ;Le Pen: 14
Ifop- Chirac: 20 ; Bayrou: 6,5 ;
Jospin: 16,5 ; Laguiller: 7 ; Chevènement: 8,5 ; Mamère: 6,5 ; Hue: 5,5 ; Le Pen: 10,5
Sofres- Chirac: 20 ; Bayrou: 6 ;
Jospin: 18; Laguiller: 8 ; Chevènement: 6 ; Mamère: 5 ; Hue: 6 ; Le Pen: 13 ;
Ipsos- Chirac: 20 ; Bayrou: 6 ;
Jospin: 18 ; Laguiller: 7 ; Chevènement: 6,5 ; Mamère: 6,5 ; Hue: 5 ; Le Pen: 14
A comparer aux résultats officiels :
Chirac: 19,88% ; Bayrou: 16,86 ;
Jospin: 16,18 (sensiblement moins que dans chacune des 4 estimations…, sauf Hue !)
Laguiller: 5,72 ; Chevènement: 5,33 ; Mamère: 5,25 ; Hue: 3,37 ;
Le Pen: 16,86 (fatalement sous-estimé par tous les instituts : pas coupables un seul instant d’avoir encouragé les électeurs à exprimer un vote de mécontentement ??)
L’ensemble des instituts de sondages avait surévalué les candidats de gauche : comment se fait-ce ?
Ils ont en revanche servi le FN : de quoi piailler après coup !
Que chacun des responsables batte sa coulpe et tire les leçons.
Sur le sujet de la légitimité de Président de la République.
L’opposition et les médias affirment –sans le démontrer- que le Président est illégitime ! (pas de verbe au conditionnel, ici…) Motif : s’est-il emparé du pouvoir ? Non ! Des irrégularités dans le scrutin ? Non ! Etait-il inéligible ? Non ! Mais quoi ??
Lors des Présidentielles de avril et mai 2002, la gauche était éliminée au 1° tour pour être arrivée 3° avec seulement 16,18% des suffrages, après J.Chirac (19,88%), ce qui est clair et fort peu glorieux en soi de la part du PS qui s’y voyait déjà, non sans arrogance; et qui ainsi faisait la preuve de son illégitimité aux affaires encore un mois plus tôt,
mais surtout pour être arrivée après Le Pen (16,86%), ce qui est la honte suprême pour les donneurs de leçons de morale ! Et ce n’est pas tout…
Au 2° tour, le Président fut réélu avec 82,21% des suffrages exprimés (contre 13,41%).
L’opposition a donc le président qu’elle mérite, puisqu’au moment des élections, elle était au pouvoir avec le candidat Jospin, qui était lui-même le Premier ministre rejeté sans regrets, avec sa majorité. Par conséquent, la volonté du peuple est incontestable et souveraine. Or, pour ceux qui sont plus à l’aise dans les rumeurs que dans l’acceptation de l’implacable cruauté des faits, il y a mieux.
Si, par hypothèse, le peuple souverain s’était égaré au moment des présidentielles, il aurait corrigé son vote à l’occasion des législatives, qui sont intervenues après les Présidentielles. Il n’en a rien été –tout au contraire- et les exégètes n’en disent rien, mais développent des analyses fumeuses que les faits contredisent. Les médias les reprennent à leur compte et les colportent complaisamment, à des fins partisanes. Ils reçoivent sans doute des dossiers de presse politique de la part des intéressés, comme les chroniqueurs, de la télévision, par exemple (cf. la bande à Ruquier, etc)… et s’en contentent ! La paresse intellectuelle des journalistes, ajoutée à la faiblesse de leur formation en ESJ (par exemple) et au militantisme du milieu professionnel, font que l’information est occultée ou détournée et les citations sont tronquées, pour des motifs inavouables. La dénonciation des procédés des médias déclenche, comme il se doit, des réactions aussi vives qu’indécentes.
La gauche de 2002 dût patienter jusqu’aux Régionales de mars 2004 pour retrouver un peu de rose aux joues et beaucoup de sa fatuité.
Il y a mieux, disions-nous.
Lors des législatives des 9 et 16 juin 2002, un mois plus tard, les électeurs républicains confirmèrent leur choix, démocratiquement.
PS= 141 élus; PC= 21; PRG= 7; Verts= 3 ; Divers gauche= 6, qui font un volume inversement proportionnel à leurs scores ;
UMP= 369 ; UDF= 22 ; etc…
Ca se passe de commentaires. Ce nouveau camouflet pour l’opposition ne justifie pas sa soif carnassière actuelle : il serait temps que la gauche se reconnaisse seule responsable et coupable de sa débâcle. Alors qu’on le dit pétrifié, le gouvernement gouverne et enregistre des résultats positifs. Quant à certains élus de la droite, il serait souhaitable qu’ils ne se prennent pas pour des fonctionnaires frileux, soucieux de conserver leurs avantages acquis et qu’ils mouillent la chemise. Qu’ils soient plus combatifs et ne craignent pas de se positionner pour assurer la riposte: le pays s’en trouverait mieux. En effet, la gauche nous ressasse les vertus de la diversité, tout en la condamnant à droite. Que vous soyez Sarkozistes ou Villepinistes, c’est votre droit et c’est légitime. Il n’est que la gauche pour être totalitaire. Ne tombez pas dans leur panneau du « je ne veux voir qu’une seule tête»! Il sera toujours temps de nous la jouer ‘Droite unie’, comme ils nous ont fait le coup de la ‘gauche unie’…Ce que nous pouvons à loisir observer avec l’après-CPE. Ou le défilé du 1° mai. Ou les tractations dans la gauche extrême. Ou la pléthore de candidats potentiels au PS, dont la plus improbable, j’ai nommé…Marie-sEGOlène, qui, à court d’idées personnelles, s’adonne actuellement à du marketing idéologique auprès des masses laborieuses, qu’elle connaît si bien de loin, qu’elle est obligée de l’approcher pour une pêche aux idées : le meilleur espoir du PS en est restée à la boîte à idées… Impressionnant !
L’incompétence et la servilité des instituts de sondage éclataient au grand jour. Les grands airs de connaisseurs de leurs distingués porte-paroles et directeurs médiatiques maussades prêtent à rire. Ils continuent pourtant à se montrer…
Donc, un peu de pudeur, Mesdames et Messieurs de l’opposition, et pas de désinformation, les médias, SVP ! Outre qu’elles révèlent votre mépris de vos concitoyens, vos pratiques honteuses sont un outrage à la pensée et à la démocratie.
Rappel des derniers sondages (%) concernant le 1° tour des Présidentielles de 2002 :
CSA- Chirac: 19,5 ; Bayrou: 6 ;
Jospin: 18 ; Laguiller:7 ; Chevènement: 6 ,5 ; Mamère: 5 ; Hue: 5 ;Le Pen: 14
Ifop- Chirac: 20 ; Bayrou: 6,5 ;
Jospin: 16,5 ; Laguiller: 7 ; Chevènement: 8,5 ; Mamère: 6,5 ; Hue: 5,5 ; Le Pen: 10,5
Sofres- Chirac: 20 ; Bayrou: 6 ;
Jospin: 18; Laguiller: 8 ; Chevènement: 6 ; Mamère: 5 ; Hue: 6 ; Le Pen: 13 ;
Ipsos- Chirac: 20 ; Bayrou: 6 ;
Jospin: 18 ; Laguiller: 7 ; Chevènement: 6,5 ; Mamère: 6,5 ; Hue: 5 ; Le Pen: 14
A comparer aux résultats officiels :
Chirac: 19,88% ; Bayrou: 16,86 ;
Jospin: 16,18 (sensiblement moins que dans chacune des 4 estimations…, sauf Hue !)
Laguiller: 5,72 ; Chevènement: 5,33 ; Mamère: 5,25 ; Hue: 3,37 ;
Le Pen: 16,86 (fatalement sous-estimé par tous les instituts : pas coupables un seul instant d’avoir encouragé les électeurs à exprimer un vote de mécontentement ??)
L’ensemble des instituts de sondages avait surévalué les candidats de gauche : comment se fait-ce ?
Ils ont en revanche servi le FN : de quoi piailler après coup !
Que chacun des responsables batte sa coulpe et tire les leçons.
lundi 15 mai 2006
Le PS est malsain.
Il suppute en permanence, maquille la réalité et distille la calomnie.
Ainsi, le Parti socialiste, par exemple, lance-t-il au jugé (à l'aveugle, car aucun fait 'jugé', ici, non plus...) des noms de successeurs potentiels qui seraient susceptibles de remplacer éventuellement le Premier ministre. La presse aux ordres a successivement désigné Michèle Aillot-Marie, Nicolas Sarkosy, Jacques Barrot, Alain Juppé ou Jean-Louis Borloo, ce que ceux-ci ont bien sûr démenti tour à tour, mais la gauche, outre qu’elle dope les ventes de Le Monde, cherche à accréditer l’idée, toujours sans preuves (seulement des indices..., des interprétations..., que des rivalités de personnes existent au sein du gouvernement. Elle souligne en fait que le choix est vaste entre les personnalités premiers-ministrables à droite.
Mais la gauche ne peut faire que ce qu’elle sait faire: répandre des rumeurs, à défaut d’idées positives, de solutions alternatives, de programme et d’alliances de gouvernement. Dans son égarement consécutif à sa défaite de 2002, elle cultive le subjectif et s’abandonne à ses fantasmes, disons plutôt 'ses mauvais instincts'. La gauche se remettra-t-elle de tant d’inconséquence et de bassesses? Peu nous chaut !
Le PS appelle à la mutinerie dans les rangs de la droite. Bayrou la Haine –un ami très cher qui vous veut du mal-, l'ours lâché dans l'Assemblée nationale, s’est empressé de répondre qu’il était décidé à trahir ses ‘amis’ en faveur de l’occupant…du devant de la scène médiatique, le PS, pour "exister politiquement", selon J.L. Debré, qui dénonce une motion de censure "fondée sur des rumeurs, sur des bavardages" autour de l'affaire Clearstream et exprime sa répugnance : "Ce n'est pas en plantant un poignard dans le dos de ses amis politiques qu'on retrouve les chemins de la morale politique". Or, le Béarnais se fait le chantre de cette morale. Soit, il abjure la droite. Elle s’en remettra. Paris vaut bien une messe, n’est-ce pas ?
Rien ne le justifie, puisqu’il n’existe pas de faits avérés d’une faute grave dans l’affaire Clearstream et le rejet de sa réforme du CPE par des jeunes sous influence ne remet pas non plus en cause sa capacité à gouverner. Ces exemples démontrent l’incapacité des faiseurs d’opinion à faire œuvre pédagogique auprès des Français en présentant objectivement les réformes nécessaires en Europe, plutôt que de les caresser dans le sens du poil et d’entraver l’adaptation du pays à un monde nouveau, en s’accrochant aux avantages acquis comme la moule à son rocher ! Le ‘sens de l’histoire’ n’est plus à l’ordre du jour !
Dès lors le PS, dans son irresponsabilité et son action de sape du moral des Français, n’est pas apte à assurer la reconstruction de ce qu’il détruit. Les Français, en leur for intérieur, condamnent les pompiers incendiaires. Ils veulent garder l’espoir et être guidés vers un avenir meilleur : la gauche destructrice est disqualifiée.
Qu’est-ce qui autorise le PS à déclarer que Sarkosy est un ‘manipulateur’ ? De quel droit peut on affirmer sans démontrer? Monsieur Fabius pourrait-il préciser, plutôt qu’insinuer, à quel "soutien de la haute-finance" et "d'un certain nombre de médias" il fait allusion ? Pense-t-il au Crédit Lyonnais ? A la Société Générale ? A-t-il lu Le Monde et Libération ou écouté France-Inter ou France 2 pour affirmer qu’ils soutiennent Sarkosy ?
Les Français ne veulent pas le retour du PS qui fait des gorges chaudes de ses propres attaques sans preuves, ni de ce climat de petites phrases assassines, d’accusations gratuites et d’hypothèses relayées par les feuilles de choux et autres médias qui s’en gargarisent et en font leurs choux gras.
D’ailleurs, la gauche insupporte aussi une partie de la gauche. Dans « Notre opinion » du 13 mai 2006, Jean-François Kahn s’écrit dans Marianne: ‘C’est honteux. Ca devient crapuleux.’ Il explique : "Quand on substitue au débat, fût-il rude, le lynchage ; quand à la confrontation d’idées on préfère l’utilisation des poignards dans l’anonymat des bas-fonds ; quand plutôt que de convaincre on saigne et on s’achève dans la fureur des hallalis ; quand on feint de se serrer les coudes, de se tenir par la barbichette, de s’échanger allégrement casse contre séné alors qu’en réalité, on investit toute son énergie dans de sadiques opérations destinées à se liquider mutuellement (et pas seulement à droite d’ailleurs), c’est, en réalité la République qui prend tous les coups. Nouvelle version du pompier pyromane : on répand la boue, on contraint les passants à y patauger, et on les montre du doigt en hurlant : "Dieu comme ils sont sales !" On nourrit, on engraisse, on gave le Front national, et on appelle, ensuite, à la résistance antifasciste. "
Nul doute que JFK le petit (de Marianne) désigne le PS… puisqu’il observe plus loin que: "Minablement, la gauche officielle (en ordre dispersé, évidemment) tambourine un jour que le Premier ministre doit démissionner (pour faire place à Sarkosy?) ; un autre que Chirac doit partir (dans ce cas elle serait bien embêtée : qui présenterait-elle à la présidentielle et avec quel programme ?) ; ou encore qu’il convient de dissoudre l’Assemblée, ce qui cette fois, est une excellente suggestion. " JFK envisage donc des élections au 15 août et poursuit dans l’utopie dont je vous fait grâce.
Marianne se démarque du PS en soulignant sa différence : "Nous critiquons mais nous ne lynchons pas. Jamais ! Notre parti n’a jamais été celui des piranhas. " Il a peu de chance d’être entendu, mais voilà pour les petits carnassiers voraces du PS. Le repas est servi : A table !
Il suppute en permanence, maquille la réalité et distille la calomnie.
Ainsi, le Parti socialiste, par exemple, lance-t-il au jugé (à l'aveugle, car aucun fait 'jugé', ici, non plus...) des noms de successeurs potentiels qui seraient susceptibles de remplacer éventuellement le Premier ministre. La presse aux ordres a successivement désigné Michèle Aillot-Marie, Nicolas Sarkosy, Jacques Barrot, Alain Juppé ou Jean-Louis Borloo, ce que ceux-ci ont bien sûr démenti tour à tour, mais la gauche, outre qu’elle dope les ventes de Le Monde, cherche à accréditer l’idée, toujours sans preuves (seulement des indices..., des interprétations..., que des rivalités de personnes existent au sein du gouvernement. Elle souligne en fait que le choix est vaste entre les personnalités premiers-ministrables à droite.
Mais la gauche ne peut faire que ce qu’elle sait faire: répandre des rumeurs, à défaut d’idées positives, de solutions alternatives, de programme et d’alliances de gouvernement. Dans son égarement consécutif à sa défaite de 2002, elle cultive le subjectif et s’abandonne à ses fantasmes, disons plutôt 'ses mauvais instincts'. La gauche se remettra-t-elle de tant d’inconséquence et de bassesses? Peu nous chaut !
Le PS appelle à la mutinerie dans les rangs de la droite. Bayrou la Haine –un ami très cher qui vous veut du mal-, l'ours lâché dans l'Assemblée nationale, s’est empressé de répondre qu’il était décidé à trahir ses ‘amis’ en faveur de l’occupant…du devant de la scène médiatique, le PS, pour "exister politiquement", selon J.L. Debré, qui dénonce une motion de censure "fondée sur des rumeurs, sur des bavardages" autour de l'affaire Clearstream et exprime sa répugnance : "Ce n'est pas en plantant un poignard dans le dos de ses amis politiques qu'on retrouve les chemins de la morale politique". Or, le Béarnais se fait le chantre de cette morale. Soit, il abjure la droite. Elle s’en remettra. Paris vaut bien une messe, n’est-ce pas ?
Rien ne le justifie, puisqu’il n’existe pas de faits avérés d’une faute grave dans l’affaire Clearstream et le rejet de sa réforme du CPE par des jeunes sous influence ne remet pas non plus en cause sa capacité à gouverner. Ces exemples démontrent l’incapacité des faiseurs d’opinion à faire œuvre pédagogique auprès des Français en présentant objectivement les réformes nécessaires en Europe, plutôt que de les caresser dans le sens du poil et d’entraver l’adaptation du pays à un monde nouveau, en s’accrochant aux avantages acquis comme la moule à son rocher ! Le ‘sens de l’histoire’ n’est plus à l’ordre du jour !
Dès lors le PS, dans son irresponsabilité et son action de sape du moral des Français, n’est pas apte à assurer la reconstruction de ce qu’il détruit. Les Français, en leur for intérieur, condamnent les pompiers incendiaires. Ils veulent garder l’espoir et être guidés vers un avenir meilleur : la gauche destructrice est disqualifiée.
Qu’est-ce qui autorise le PS à déclarer que Sarkosy est un ‘manipulateur’ ? De quel droit peut on affirmer sans démontrer? Monsieur Fabius pourrait-il préciser, plutôt qu’insinuer, à quel "soutien de la haute-finance" et "d'un certain nombre de médias" il fait allusion ? Pense-t-il au Crédit Lyonnais ? A la Société Générale ? A-t-il lu Le Monde et Libération ou écouté France-Inter ou France 2 pour affirmer qu’ils soutiennent Sarkosy ?
Les Français ne veulent pas le retour du PS qui fait des gorges chaudes de ses propres attaques sans preuves, ni de ce climat de petites phrases assassines, d’accusations gratuites et d’hypothèses relayées par les feuilles de choux et autres médias qui s’en gargarisent et en font leurs choux gras.
D’ailleurs, la gauche insupporte aussi une partie de la gauche. Dans « Notre opinion » du 13 mai 2006, Jean-François Kahn s’écrit dans Marianne: ‘C’est honteux. Ca devient crapuleux.’ Il explique : "Quand on substitue au débat, fût-il rude, le lynchage ; quand à la confrontation d’idées on préfère l’utilisation des poignards dans l’anonymat des bas-fonds ; quand plutôt que de convaincre on saigne et on s’achève dans la fureur des hallalis ; quand on feint de se serrer les coudes, de se tenir par la barbichette, de s’échanger allégrement casse contre séné alors qu’en réalité, on investit toute son énergie dans de sadiques opérations destinées à se liquider mutuellement (et pas seulement à droite d’ailleurs), c’est, en réalité la République qui prend tous les coups. Nouvelle version du pompier pyromane : on répand la boue, on contraint les passants à y patauger, et on les montre du doigt en hurlant : "Dieu comme ils sont sales !" On nourrit, on engraisse, on gave le Front national, et on appelle, ensuite, à la résistance antifasciste. "
Nul doute que JFK le petit (de Marianne) désigne le PS… puisqu’il observe plus loin que: "Minablement, la gauche officielle (en ordre dispersé, évidemment) tambourine un jour que le Premier ministre doit démissionner (pour faire place à Sarkosy?) ; un autre que Chirac doit partir (dans ce cas elle serait bien embêtée : qui présenterait-elle à la présidentielle et avec quel programme ?) ; ou encore qu’il convient de dissoudre l’Assemblée, ce qui cette fois, est une excellente suggestion. " JFK envisage donc des élections au 15 août et poursuit dans l’utopie dont je vous fait grâce.
Marianne se démarque du PS en soulignant sa différence : "Nous critiquons mais nous ne lynchons pas. Jamais ! Notre parti n’a jamais été celui des piranhas. " Il a peu de chance d’être entendu, mais voilà pour les petits carnassiers voraces du PS. Le repas est servi : A table !
dimanche 14 mai 2006
Socialistes, journalistes et juges ne nous méritent pas.
Tout le monde déblatère, sauf Le Monde! Au PS, ils s'appuient sur Le Monde pour répandre la bonne parole. Faut-il qu'il soient à court d'inspiration pour aller puiser des idées chez Colombani et qu'ils soient de mèche pour prendre ce journal pour référence. Il est vrai que les juges organisent les fuites, que Le Monde les déverse et que la gauche assure l'après-vente avec ses commentaires fétides (augmentation des ventes de 40%: juteux complot!). Lorsqu'ils sont pointés du doigt, Le Monde fait un caca nerveux. Personne ne s’y retrouve dans l’affaire ‘Darkstream’ (c’est du Fabius grand cru bourgeois), mais Le Monde nous dit tout sur elle, comme Pierre Perret sur le zizi. Et les autres organes (!) de presse qui lui emboîtent le pas : "Tous ensemble !"
Y compris bon nombre de magistrats-syndicalistes. Car les fuites ont une origine et le vrai scandale dans les manipulations de l’opinion de l’affaire Clearstream, c’est la collusion magistrats-presse –au service de la gauche, comme si l’affaire d’Outreau n’avait pas été assez douloureuse pour susciter un examen de conscience général. Dans une certaine presse, on se dit libre -de tout- et surtout d’accumuler des hypothèses, des sornettes; tandis que quelques juges revendiquent une indépendance qui se manifeste par du n’importe quoi, avec des fautes professionnelles à la pelle et un militantisme à ciel ouvert.
Mais à gauche, on n’a pas de mémoire, ni d’états d’âme (cf. les affaires du PS –précédent ‘post’ de PaSiDupes).
Or, ce qu’ils ont tous en commun, c’est l’arrogance, à défaut de moralité. Grâce aux menaces de ses réseaux, toute mafia (chère à Mamère, le ver(t) qui connaît le PS) fait en sorte, d’être intouchable et abuse des moyens à sa disposition, tout en dorant la pilule de la population. La bande des 3 n’est pas plus sociale que d’autres, ni plus objective, ni plus juste. Ils le sont même moins que ceux qui craignent leur hiérarchie ou la loi. Pourtant, les dérives de ces 3 catégories socio-professionnelles autocratiques constituent, plus que toutes les autres, une menace pour la démocratie et la population, dans la mesure où elles s’auto-régulent fort peu et ne craignent ni dieu, ni maître. De quel droit bafouent-ils Liberté, Egalité, Fraternité, et que les trois ‘contre-pouvoirs’ (?) seraient libres de nous manipuler, plus égaux que la masse et plus teigneux que le compatriote moyen.
Voyez le ton, la morgue et l’aplomb de St-Just-Montebourg ou la hargne de Mamère ou la duplicité de Dray et d’Emmanuelli? Croyez-vous que Hollande, qui trépigne d'impatience avant même d'avoir le début d'un programme et qui se donne des airs de pureté virginale, va se poser longtemps en exemple ?
Approuvez-vous l’impunité dont bénéficie le juge d’Outreau ? Que pensez-vous du lâcher de juges inexpérimentés dans la nature du Pas-de-Calais? La déformation en ESM ne vaut pas une formation. Ce n’est pas mieux que l'implantation d' ours dans les Pyrénées !
Qui est fier de sa presse, dite d’investigation, qui reçoit à domicile des pièces (falsifiées?)versées aux dossiers judiciaires et les transcriptions d’interrogatoires? Il ne lui reste qu’à décider de l’exploitation politique qui peut en être faite. Joli boulot ! C’est ainsi qu’une information judiciaire contre X pour "violation du secret de l’instruction" a été ouverte vendredi par le parquet de Paris. Elle concerne "18 articles publiés en un seul mois (entre le 14 avril et le 12 mai 2006) dans différents quotidiens et hebdomadaires". L’enquête pour violation du secret de l’instruction à l’encontre du juge Renaud van Ruymbeke contribuera au retour du "calme et de la sérénité" selon le ministre de la Justice, Pascal Clément, MAIS pour Dominique Barella, président de l’Union syndicale des magistrats (USM), ce n’est qu’une procédure "éminemment symbolique" qui n’aboutira pas. Péremptoire? Prend-il ses désirs pour la réalité ? A-t-il quelque chose à masquer ? Il a exhorté le Garde des Sceaux –qui gouverne- à revenir sur sa décision afin de dissiper les "espèces d'écrans de fumée" de l'affaire Clearstream. Son syndicat de magistrats va-t-il s’opposer à la manifestation de la vérité? Ce serait un comble, mais on a tout lieu de le penser.
Même son de cloche à l'Association française des magistrats instructeurs (AFMI) qui regrette, sans s'être concertées aucunement, "la focalisation sur un juge d'instruction" dans le but "de masquer le fond de l'affaire" Clearstream, dans laquelle leur collègue est mis en cause. On se sert déjà les coudes, pour plus de transparence…
D’ailleurs, les politiciens vertueux-teigneux se déconsidèrent, tel St-Just-Montebourg (leader de la ‘génération nouvelle de dirigeants politiques’ dans sa guerre ‘à mort’) qui a déjà vitupéré pour la défense de Renaud Van Ruymbeke , et qui développe un ’raisonnement’ imparable, dont il a le secret: si les juges ne peuvent plus violer le secret de l’instruction, c’est que les institutions ne fonctionnent pas et qu’il faut changer les institutions… CQFD ! Tout se tient ? Pas sûr, mais autant qu’à Outreau, s' il y a problème, ce n’est pas que les juges sont incapables, c’est que les institutions ne tournent pas rond. CQFD. Est-ce qu’il tourne rond, le matamore ?
Ils se liguent tous pour entraver l’apparition de la vérité ; ils serrent les rangs, pour notre bien : c’est une question de culture socialiste.
La déclaration du général Rondot a peu de chances d’être entendue. "Mon sentiment, c'est que Jean-Louis Gergorin est à l'origine de l'affaire avec Imad Lahoud et que Dominique de Villepin était de bonne foi", insiste le général Rondot, qui estime avoir été "instrumentalisé". Pourtant, l’ancien Premier ministre socialiste Laurent Fabius a estimé à Radio J (il soigne les djeun’s) qu’il fallait "respecter absolument la liberté de la presse" et dans le même temps empêcher qu’il y ait "des mises en cause judiciaires avant qu’il y ait eu des décisions réelles". En somme, il veut des faits, il attend les preuves ; pas la presse, ni ses roses collègues : l’original ! A l’évidence, Fabius, le rassembleur Normand, sait combien il faut ménager les médias à la veille des élections, même au détriment de la justice et de la vérité: il sait que la presse les tient, lui et les siens, par les c******* ! Ce n’est pas bon pour son intégrité (physique- pour la moralité, c'est vous qui voyez...), ni surtout pour la liberté d’expression, ni la démocratie, ni la république que le PS s’est appropriée…
Tremblez, Français ! "La presse choisit de (ne) publier que certains extraits à des fins douteuses, pour mettre en cause le président de la République, Dominique de Villepin et Michèle Alliot-Marie. C’est inacceptable", prévient le Général Rondot. Raison de plus pour les Français de craindre pour leur peau, quand, comme à Outreau, ou les brebis pyrénéennes, ils se trouveront autrement plus démunis que les politiciens face à ces trois rouleaux compresseurs.
De menace en délire, nous n’en pouvons plus. Ainsi, Le Monde a maintenant son Zola qui n’hésite pas à voir dans l’embrouille Clearstream une nouvelle affaire de faux bordereaux, comme dans l’affaire…Dreyfus. Le boss y voit des points communs évidents; c'est çà la culture auMonde. Colombani est victime d’un dédoublement de la personnalité, mais à l'hôpital St Anne, on est rassuré; on l’a retrouvé. Ils vont pouvoir mettre la main dessus et lui passer la chemise à l’envers. En attendant, il court toujours, et on peut lire, si on y tient, les termes excessifs et ignobles de ‘boules puantes’ (déjà mentionnées ici), mais aussi de ‘lynchage’, de ‘aux abois’, qui expriment en clair ( ?) ce dégoût du sang que les médias affichent.
Or, ce qui scandalise le plus les Français, ce ne sont pas tant les affaires que l’exploitation éhontée qu' en fait la presse, sachant que c’est tout rouge bonnet et bonnet rose. Ce qui indigne les Français, ce sont les faux-semblants du Sieur Colombani qui flatte le lecteur, comme d’autres utilisent les femmes et les enfants (les vieillards? Pas avant cet été : c’est un problème saisonnier…) : "Notre intention est de persévérer : contribuer à la manifestation de la vérité est la meilleure façon de défendre nos libertés, qui sont aussi les vôtres", écrit-il dans un billet adressé "à nos lecteurs". La presse people a un mérite: elle n’a pas honte de ce qu’elle est. Au Monde, on croit que la démagogie marche encore : un peu de RESPECT pour vos lecteurs, s’il vous plaît: Zola vous regarde! Le Monde défend son territoire dans le caniveau, contre les tabloids…
Qui a parlé de monarchie, de fin de règne ? Les institutions sont-elles en cause ? Chacun sait que ce sont la gauche fielleuse, la presse totalitaire et des juges autistes et cet ensemble de mégalomanes qui porte la lourde responsabilité du climat délétère qu’ils dénoncent. Assez de leur volonté de puissance et de leurs déviances.
A quand la fin de la dictature de la bande des trois?
Tout le monde déblatère, sauf Le Monde! Au PS, ils s'appuient sur Le Monde pour répandre la bonne parole. Faut-il qu'il soient à court d'inspiration pour aller puiser des idées chez Colombani et qu'ils soient de mèche pour prendre ce journal pour référence. Il est vrai que les juges organisent les fuites, que Le Monde les déverse et que la gauche assure l'après-vente avec ses commentaires fétides (augmentation des ventes de 40%: juteux complot!). Lorsqu'ils sont pointés du doigt, Le Monde fait un caca nerveux. Personne ne s’y retrouve dans l’affaire ‘Darkstream’ (c’est du Fabius grand cru bourgeois), mais Le Monde nous dit tout sur elle, comme Pierre Perret sur le zizi. Et les autres organes (!) de presse qui lui emboîtent le pas : "Tous ensemble !"
Y compris bon nombre de magistrats-syndicalistes. Car les fuites ont une origine et le vrai scandale dans les manipulations de l’opinion de l’affaire Clearstream, c’est la collusion magistrats-presse –au service de la gauche, comme si l’affaire d’Outreau n’avait pas été assez douloureuse pour susciter un examen de conscience général. Dans une certaine presse, on se dit libre -de tout- et surtout d’accumuler des hypothèses, des sornettes; tandis que quelques juges revendiquent une indépendance qui se manifeste par du n’importe quoi, avec des fautes professionnelles à la pelle et un militantisme à ciel ouvert.
Mais à gauche, on n’a pas de mémoire, ni d’états d’âme (cf. les affaires du PS –précédent ‘post’ de PaSiDupes).
Or, ce qu’ils ont tous en commun, c’est l’arrogance, à défaut de moralité. Grâce aux menaces de ses réseaux, toute mafia (chère à Mamère, le ver(t) qui connaît le PS) fait en sorte, d’être intouchable et abuse des moyens à sa disposition, tout en dorant la pilule de la population. La bande des 3 n’est pas plus sociale que d’autres, ni plus objective, ni plus juste. Ils le sont même moins que ceux qui craignent leur hiérarchie ou la loi. Pourtant, les dérives de ces 3 catégories socio-professionnelles autocratiques constituent, plus que toutes les autres, une menace pour la démocratie et la population, dans la mesure où elles s’auto-régulent fort peu et ne craignent ni dieu, ni maître. De quel droit bafouent-ils Liberté, Egalité, Fraternité, et que les trois ‘contre-pouvoirs’ (?) seraient libres de nous manipuler, plus égaux que la masse et plus teigneux que le compatriote moyen.
Voyez le ton, la morgue et l’aplomb de St-Just-Montebourg ou la hargne de Mamère ou la duplicité de Dray et d’Emmanuelli? Croyez-vous que Hollande, qui trépigne d'impatience avant même d'avoir le début d'un programme et qui se donne des airs de pureté virginale, va se poser longtemps en exemple ?
Approuvez-vous l’impunité dont bénéficie le juge d’Outreau ? Que pensez-vous du lâcher de juges inexpérimentés dans la nature du Pas-de-Calais? La déformation en ESM ne vaut pas une formation. Ce n’est pas mieux que l'implantation d' ours dans les Pyrénées !
Qui est fier de sa presse, dite d’investigation, qui reçoit à domicile des pièces (falsifiées?)versées aux dossiers judiciaires et les transcriptions d’interrogatoires? Il ne lui reste qu’à décider de l’exploitation politique qui peut en être faite. Joli boulot ! C’est ainsi qu’une information judiciaire contre X pour "violation du secret de l’instruction" a été ouverte vendredi par le parquet de Paris. Elle concerne "18 articles publiés en un seul mois (entre le 14 avril et le 12 mai 2006) dans différents quotidiens et hebdomadaires". L’enquête pour violation du secret de l’instruction à l’encontre du juge Renaud van Ruymbeke contribuera au retour du "calme et de la sérénité" selon le ministre de la Justice, Pascal Clément, MAIS pour Dominique Barella, président de l’Union syndicale des magistrats (USM), ce n’est qu’une procédure "éminemment symbolique" qui n’aboutira pas. Péremptoire? Prend-il ses désirs pour la réalité ? A-t-il quelque chose à masquer ? Il a exhorté le Garde des Sceaux –qui gouverne- à revenir sur sa décision afin de dissiper les "espèces d'écrans de fumée" de l'affaire Clearstream. Son syndicat de magistrats va-t-il s’opposer à la manifestation de la vérité? Ce serait un comble, mais on a tout lieu de le penser.
Même son de cloche à l'Association française des magistrats instructeurs (AFMI) qui regrette, sans s'être concertées aucunement, "la focalisation sur un juge d'instruction" dans le but "de masquer le fond de l'affaire" Clearstream, dans laquelle leur collègue est mis en cause. On se sert déjà les coudes, pour plus de transparence…
D’ailleurs, les politiciens vertueux-teigneux se déconsidèrent, tel St-Just-Montebourg (leader de la ‘génération nouvelle de dirigeants politiques’ dans sa guerre ‘à mort’) qui a déjà vitupéré pour la défense de Renaud Van Ruymbeke , et qui développe un ’raisonnement’ imparable, dont il a le secret: si les juges ne peuvent plus violer le secret de l’instruction, c’est que les institutions ne fonctionnent pas et qu’il faut changer les institutions… CQFD ! Tout se tient ? Pas sûr, mais autant qu’à Outreau, s' il y a problème, ce n’est pas que les juges sont incapables, c’est que les institutions ne tournent pas rond. CQFD. Est-ce qu’il tourne rond, le matamore ?
Ils se liguent tous pour entraver l’apparition de la vérité ; ils serrent les rangs, pour notre bien : c’est une question de culture socialiste.
La déclaration du général Rondot a peu de chances d’être entendue. "Mon sentiment, c'est que Jean-Louis Gergorin est à l'origine de l'affaire avec Imad Lahoud et que Dominique de Villepin était de bonne foi", insiste le général Rondot, qui estime avoir été "instrumentalisé". Pourtant, l’ancien Premier ministre socialiste Laurent Fabius a estimé à Radio J (il soigne les djeun’s) qu’il fallait "respecter absolument la liberté de la presse" et dans le même temps empêcher qu’il y ait "des mises en cause judiciaires avant qu’il y ait eu des décisions réelles". En somme, il veut des faits, il attend les preuves ; pas la presse, ni ses roses collègues : l’original ! A l’évidence, Fabius, le rassembleur Normand, sait combien il faut ménager les médias à la veille des élections, même au détriment de la justice et de la vérité: il sait que la presse les tient, lui et les siens, par les c******* ! Ce n’est pas bon pour son intégrité (physique- pour la moralité, c'est vous qui voyez...), ni surtout pour la liberté d’expression, ni la démocratie, ni la république que le PS s’est appropriée…
Tremblez, Français ! "La presse choisit de (ne) publier que certains extraits à des fins douteuses, pour mettre en cause le président de la République, Dominique de Villepin et Michèle Alliot-Marie. C’est inacceptable", prévient le Général Rondot. Raison de plus pour les Français de craindre pour leur peau, quand, comme à Outreau, ou les brebis pyrénéennes, ils se trouveront autrement plus démunis que les politiciens face à ces trois rouleaux compresseurs.
De menace en délire, nous n’en pouvons plus. Ainsi, Le Monde a maintenant son Zola qui n’hésite pas à voir dans l’embrouille Clearstream une nouvelle affaire de faux bordereaux, comme dans l’affaire…Dreyfus. Le boss y voit des points communs évidents; c'est çà la culture auMonde. Colombani est victime d’un dédoublement de la personnalité, mais à l'hôpital St Anne, on est rassuré; on l’a retrouvé. Ils vont pouvoir mettre la main dessus et lui passer la chemise à l’envers. En attendant, il court toujours, et on peut lire, si on y tient, les termes excessifs et ignobles de ‘boules puantes’ (déjà mentionnées ici), mais aussi de ‘lynchage’, de ‘aux abois’, qui expriment en clair ( ?) ce dégoût du sang que les médias affichent.
Or, ce qui scandalise le plus les Français, ce ne sont pas tant les affaires que l’exploitation éhontée qu' en fait la presse, sachant que c’est tout rouge bonnet et bonnet rose. Ce qui indigne les Français, ce sont les faux-semblants du Sieur Colombani qui flatte le lecteur, comme d’autres utilisent les femmes et les enfants (les vieillards? Pas avant cet été : c’est un problème saisonnier…) : "Notre intention est de persévérer : contribuer à la manifestation de la vérité est la meilleure façon de défendre nos libertés, qui sont aussi les vôtres", écrit-il dans un billet adressé "à nos lecteurs". La presse people a un mérite: elle n’a pas honte de ce qu’elle est. Au Monde, on croit que la démagogie marche encore : un peu de RESPECT pour vos lecteurs, s’il vous plaît: Zola vous regarde! Le Monde défend son territoire dans le caniveau, contre les tabloids…
Qui a parlé de monarchie, de fin de règne ? Les institutions sont-elles en cause ? Chacun sait que ce sont la gauche fielleuse, la presse totalitaire et des juges autistes et cet ensemble de mégalomanes qui porte la lourde responsabilité du climat délétère qu’ils dénoncent. Assez de leur volonté de puissance et de leurs déviances.
A quand la fin de la dictature de la bande des trois?
vendredi 12 mai 2006
Clearstream-4. PS: turpitudes et diversion.
La gauche ne craint rien plus que de se pencher sur son passé. Elle s’acharne donc à accréditer les rumeurs les plus contradictoires et à faire diversion avec une motion de censure ou des prises de parole multiples mais orchestrées. A vouloir laver toujours plus blanc que sa voisine, elle rappelle qu’elle a accumulé pas mal de linge sale, dont elle essaie de couvrir les odeurs avec des boules puantes.
Personne n’a oublié les affaires d’Etat que le PS traîne comme des casseroles dont il faut à tout prix couvrir le bruit :
- l'affaire des écoutes de l'Elysée, une affaire d'état, met en cause
François Mitterrand dans une affaire d’écoutes téléphoniques illégales sous son premier septennat (1983-1986), mais révélée seulement le 2 avril 1993 et qui implique une cellule antiterroriste (??) de l’Élysée, créée par François Mitterrand dès 1982 et dirigée par Christian Prouteau.
150 personnes en auraient été victimes, dont les terroristes Charles Pasqua, François Froment-Meurice, qui était secrétaire général-adjoint du Centre des démocrates sociaux (CDS), et des avocats (Jacques Vergès, Francis Szpiner), le compagnon de l’actrice Carole Bouquet et des (ex-) journalistes (Hervé Brusini et Michel Cardoze ou Edwy Plenel), Jean-Edern Hallier, etc : tous des hommes dangereux !
12 personnes ont été inculpées, dont Christian Prouteau, chef de la cellule anti-terroristes de l’Élysée et ancien chef du Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) et
Pierre-Eugène Charroy, général de brigade de l’armée de terre, qui était responsable à l’époque du groupement interministériel de contrôle (GIC) ;
Gilles Ménage, ancien conseiller technique de François Mitterrand ;
Michel Delebarre, ancien directeur du cabinet de Pierre Mauroy, ancien ministre ;
Louis Schweitzer, son successeur auprès de Laurent Fabius, PDG de Renault jusqu'au 29 avril 2005.
Paul Barril, capitaine de gendarmerie, ancien chef du GIGN, déjà impliqué dans le scandale des Irlandais de Vincennes.
Par ailleurs, le tribunal déclara que les fautes n'étaient pas « détachables du service de l'État ».
Des mœurs dont les vertueux du PS ignorent sans doute l’existence ou ne veulent plus entendre parler ; d’où leur tapage médiatique.
- ni l’affaire politico-financière ELF, également appelée'"affaire Dumas"
(du nom de l’ex-Garde des Sceaux, président du Conseil Constitutionnel et complice de Mitterrand), n'est en fait qu'un volet de … l'affaire des frégates de Taïwan (que re-voilà… !). On ne va tout de même pas en faire une affaire d’Etat, mais le silence actuel de Roland Dumas est étourdissant, comme dirait Marie-sEGOlène!
- ni l’affaire politico-financière de la Société Générale,
dans laquelle les noms de plusieurs hommes politiques du Parti Socialiste, dont celui de Pierre Bérégovoy, alors ministre des Finances de François Mitterrand, étaient cités dans cette affaire. On ne va pas en faire une affaire d’Etat !
- ni l’affaire du sang contaminé, trop douloureuse, et non financière ;
- ni l’affaire de la MNEF, où était cité le député PS de Paris Jean-
Christophe Cambadélis, l'ancien conseiller –actuellement silencieux- en communication de Lionel Jospin, (implication de l’UNEF-ID, dissoute depuis, et des trotskistes de l’OCI et de la LCR –fers de lance dans les désordres anti-CPE). On ne va pas en faire une affaire d’Etat !
-ni l’affaire Testut, qui porte sur des prélèvements réalisés par les sociétés de Bernard Tapie, alors député PS des Bouches-du-Rhône,
et qui concerne, entre autres, un emprunt obligataire de 100 millions émis par le Crédit Lyonnais, le Crédit Agricole et les AGF : on n’aime pas les profits au PS, mais on ne peut pas s’en passer…
- ni l'affaire politico-financière du Carrefour du développement, qui, dans les années 80, mouilla notamment Christian Nucci, alors Ministre de la Coopération socialiste, ainsi que son chef de cabinet, Yves Chalier ;
- ni l'affaire Urba, une affaire financière très complexe aussi, qui impliqua une foule de socialistes actuellement délicats de la narine droite, et qui concerne le financement occulte du Parti Socialiste , porte notamment sur les conditions d'attribution de marchés publics et consiste en extorsion de fonds, faux et usage de faux et corruption : pas de quoi en effet faire les écoeurés au PS, dont la narine gauche est très tolérante, car elle est plus républicaine …
Pourtant, Henri Emmanuelli, gourou de l’UNEF –peu regardante, mais qui est à bonne école: on a les mentors qu'on peut-, trésorier du PS, a finalement été reconnu coupable par la justice de complicité de trafic d'influence, et a été condamné le 16 décembre 1997 à dix-huit mois de prison avec sursis (pan, sur le bec ! mais voler pour nourrir ses enfants coûte bien plus cher à ses électrices) et à deux ans de privation de ses droits civiques - dura lex, sed lex: plus qu’une rumeur ? A-t-il déjà oublié ? Et ses complices :Gérard Monate, Philippe Sanmarco , ancien député PS des Bouches-du-Rhône et Michel Pezet, ancien député PS, ancien président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et ex-premier secrétaire de la fédération PS des Bouches-du-Rhône, qui cherche à sévir à nouveau, du côté d’Aix-en-Provence…
- ni l’affaire Airbus, qui concerne un autre financement occulte : Airbus aurait financé illégalement la campagne présidentielle de Lionel Jospin : c’est l’Europe socialiste ! Alors, voter contre l’Europe, ce serait ne pas avoir la reconnaissance du ventre… De toute façon, encore un qui a des raisons de ne pas être aussi incisif que ses compères du PS ! D'autant qu'on ne peut ignorer les liens étroits Airbus-EADS...
- ni d’autres encore, tels
L'affaire Péchiney-Triangle, un autre scandale politico-financier de la fin des années 80, où on retrouve encore Pierre Bérégovoy (et Alain Boublil, son ancien directeur de cabinet au ministère des Finances).
L'affaire de la CDDE qui porte sur la création présumée d'emplois fictifs, effectués par Lionel Jospin, encore lui, au profit du Parti Socialiste, lors de sa présidence au Comité départemental de développement économique (CDDE) de Haute-Garonne de 1992 à 1996.
Ou l'affaire Agos portant sur la création d'un emploi fictif (1993-1995) au sein de la société Agos, filiale de l'Agence des foyers et résidences hôtelières privées (AFRP), une structure de gestion de foyers pour travailleurs immigrés et personnes défavorisées, et ce au profit de Jean-Christophe Cambadélis, député PS, n° 2 du PS à l'époque des faits.
Nous baignons donc en pleine éthique, que ce pauvre Hollande réclame pour les autres : l’impudeur du personnage et de sa compagne est à citer en exemple à Mamère ou Liepiets, qui réclament des têtes au nom de la morale politique dans des faits qui ne sont pas avérés. Mais ils sont tellement pressés de retourner aux affaires !...
Peut-on parler d’enrichissement personnel dans l’affaire Clearstream 2, comme dans Clearstream 1 ? La machination contre la majorité actuelle a essayé de le faire croire, avec une histoire de comptes privés qui mouillait les uns et les autres, ici ou là, mais ils ont dû admettre qu’elle n’était aucunement fondée : dommage, n’est-ce pas ?
A la différence des condamnations qui ont frappé le PS dans les affaires ELF, MNEF ou Testut, par exemple : embarrassant, non ?
Plus préoccupée qu’il n’y paraît, la gauche ne souhaite surtout pas que Clearstream 2 ramène les électeurs aux nombreuses affaires des années Mitterrand ou Jospin. D’où cette énergie dans le brouillage de pistes et la surenchère.
Le PS nous rebat les oreilles avec des notions qui lui sont étrangères, telle l’éthique. Vous, comme moi, nous croyons qu’il faut avoir un minimum de sens moral pour oser s’en prévaloir, mais au PS, on ne redoute de rien ; ou, plutôt, moins on n’en a, plus il faut l’étaler : c’est comme la culture…
La complicité des médias est choquante.
D’une part, ils prétendent non seulement nous informer, mais aussi nous expliquer…, et d’autre part, ils se taisent quand il ne faut pas déranger les partis- et syndicats- et associations- et lobbies-amis… Ils n’ont plus d’archives ou ont reçu l’ordre de ne pas s’en servir. Ils ont aussi la mémoire courte. Ils manient le chloroforme, comme chacun sait.
En revanche, les médias ne se privent pas de répandre des faux bruits, impunément, en présentant sentencieusement les calomnies au conditionnel. La liberté d’expression et la liberté de la presse seraient-elles faites pour çà ! Sans parler de leurs informateurs, donc des fuites et du non respect du secret de l’instruction.
Cà pue , mais ils ne savent pas d’où çà vient…
Et ils s’étonneront que la jeunesse courageuse et pugnace, comme ils se sont plus à dire, ne leur fasse pas confiance et boude les urnes, comme les parents. Il faut dire que nous demandons tous le respect, mais ils ne le savent pas !
Avec des SI, on peut mettre la droite dans une bouteille, pensent-ils. Ils font de la copie, donc du chiffre (d’affaire). Résultat, ils se déconsidèrent ; rares sont ceux qui lisent la presse, qui va mal, se plaint-elle. Or, personne ne se soucie du devenir de France-Soir et du pluralisme de la presse : que ceux qui y croient encore lèvent la main ! La plupart des organes de presse sont un vaste tabloïd ; un peu plus, un peu moins…
On en sommes nous de la fonction pédagogique de la presse??
Il nous reste la presse étrangère, et Internet !
La gauche ne craint rien plus que de se pencher sur son passé. Elle s’acharne donc à accréditer les rumeurs les plus contradictoires et à faire diversion avec une motion de censure ou des prises de parole multiples mais orchestrées. A vouloir laver toujours plus blanc que sa voisine, elle rappelle qu’elle a accumulé pas mal de linge sale, dont elle essaie de couvrir les odeurs avec des boules puantes.
Personne n’a oublié les affaires d’Etat que le PS traîne comme des casseroles dont il faut à tout prix couvrir le bruit :
- l'affaire des écoutes de l'Elysée, une affaire d'état, met en cause
François Mitterrand dans une affaire d’écoutes téléphoniques illégales sous son premier septennat (1983-1986), mais révélée seulement le 2 avril 1993 et qui implique une cellule antiterroriste (??) de l’Élysée, créée par François Mitterrand dès 1982 et dirigée par Christian Prouteau.
150 personnes en auraient été victimes, dont les terroristes Charles Pasqua, François Froment-Meurice, qui était secrétaire général-adjoint du Centre des démocrates sociaux (CDS), et des avocats (Jacques Vergès, Francis Szpiner), le compagnon de l’actrice Carole Bouquet et des (ex-) journalistes (Hervé Brusini et Michel Cardoze ou Edwy Plenel), Jean-Edern Hallier, etc : tous des hommes dangereux !
12 personnes ont été inculpées, dont Christian Prouteau, chef de la cellule anti-terroristes de l’Élysée et ancien chef du Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) et
Pierre-Eugène Charroy, général de brigade de l’armée de terre, qui était responsable à l’époque du groupement interministériel de contrôle (GIC) ;
Gilles Ménage, ancien conseiller technique de François Mitterrand ;
Michel Delebarre, ancien directeur du cabinet de Pierre Mauroy, ancien ministre ;
Louis Schweitzer, son successeur auprès de Laurent Fabius, PDG de Renault jusqu'au 29 avril 2005.
Paul Barril, capitaine de gendarmerie, ancien chef du GIGN, déjà impliqué dans le scandale des Irlandais de Vincennes.
Par ailleurs, le tribunal déclara que les fautes n'étaient pas « détachables du service de l'État ».
Des mœurs dont les vertueux du PS ignorent sans doute l’existence ou ne veulent plus entendre parler ; d’où leur tapage médiatique.
- ni l’affaire politico-financière ELF, également appelée'"affaire Dumas"
(du nom de l’ex-Garde des Sceaux, président du Conseil Constitutionnel et complice de Mitterrand), n'est en fait qu'un volet de … l'affaire des frégates de Taïwan (que re-voilà… !). On ne va tout de même pas en faire une affaire d’Etat, mais le silence actuel de Roland Dumas est étourdissant, comme dirait Marie-sEGOlène!
- ni l’affaire politico-financière de la Société Générale,
dans laquelle les noms de plusieurs hommes politiques du Parti Socialiste, dont celui de Pierre Bérégovoy, alors ministre des Finances de François Mitterrand, étaient cités dans cette affaire. On ne va pas en faire une affaire d’Etat !
- ni l’affaire du sang contaminé, trop douloureuse, et non financière ;
- ni l’affaire de la MNEF, où était cité le député PS de Paris Jean-
Christophe Cambadélis, l'ancien conseiller –actuellement silencieux- en communication de Lionel Jospin, (implication de l’UNEF-ID, dissoute depuis, et des trotskistes de l’OCI et de la LCR –fers de lance dans les désordres anti-CPE). On ne va pas en faire une affaire d’Etat !
-ni l’affaire Testut, qui porte sur des prélèvements réalisés par les sociétés de Bernard Tapie, alors député PS des Bouches-du-Rhône,
et qui concerne, entre autres, un emprunt obligataire de 100 millions émis par le Crédit Lyonnais, le Crédit Agricole et les AGF : on n’aime pas les profits au PS, mais on ne peut pas s’en passer…
- ni l'affaire politico-financière du Carrefour du développement, qui, dans les années 80, mouilla notamment Christian Nucci, alors Ministre de la Coopération socialiste, ainsi que son chef de cabinet, Yves Chalier ;
- ni l'affaire Urba, une affaire financière très complexe aussi, qui impliqua une foule de socialistes actuellement délicats de la narine droite, et qui concerne le financement occulte du Parti Socialiste , porte notamment sur les conditions d'attribution de marchés publics et consiste en extorsion de fonds, faux et usage de faux et corruption : pas de quoi en effet faire les écoeurés au PS, dont la narine gauche est très tolérante, car elle est plus républicaine …
Pourtant, Henri Emmanuelli, gourou de l’UNEF –peu regardante, mais qui est à bonne école: on a les mentors qu'on peut-, trésorier du PS, a finalement été reconnu coupable par la justice de complicité de trafic d'influence, et a été condamné le 16 décembre 1997 à dix-huit mois de prison avec sursis (pan, sur le bec ! mais voler pour nourrir ses enfants coûte bien plus cher à ses électrices) et à deux ans de privation de ses droits civiques - dura lex, sed lex: plus qu’une rumeur ? A-t-il déjà oublié ? Et ses complices :Gérard Monate, Philippe Sanmarco , ancien député PS des Bouches-du-Rhône et Michel Pezet, ancien député PS, ancien président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et ex-premier secrétaire de la fédération PS des Bouches-du-Rhône, qui cherche à sévir à nouveau, du côté d’Aix-en-Provence…
- ni l’affaire Airbus, qui concerne un autre financement occulte : Airbus aurait financé illégalement la campagne présidentielle de Lionel Jospin : c’est l’Europe socialiste ! Alors, voter contre l’Europe, ce serait ne pas avoir la reconnaissance du ventre… De toute façon, encore un qui a des raisons de ne pas être aussi incisif que ses compères du PS ! D'autant qu'on ne peut ignorer les liens étroits Airbus-EADS...
- ni d’autres encore, tels
L'affaire Péchiney-Triangle, un autre scandale politico-financier de la fin des années 80, où on retrouve encore Pierre Bérégovoy (et Alain Boublil, son ancien directeur de cabinet au ministère des Finances).
L'affaire de la CDDE qui porte sur la création présumée d'emplois fictifs, effectués par Lionel Jospin, encore lui, au profit du Parti Socialiste, lors de sa présidence au Comité départemental de développement économique (CDDE) de Haute-Garonne de 1992 à 1996.
Ou l'affaire Agos portant sur la création d'un emploi fictif (1993-1995) au sein de la société Agos, filiale de l'Agence des foyers et résidences hôtelières privées (AFRP), une structure de gestion de foyers pour travailleurs immigrés et personnes défavorisées, et ce au profit de Jean-Christophe Cambadélis, député PS, n° 2 du PS à l'époque des faits.
Nous baignons donc en pleine éthique, que ce pauvre Hollande réclame pour les autres : l’impudeur du personnage et de sa compagne est à citer en exemple à Mamère ou Liepiets, qui réclament des têtes au nom de la morale politique dans des faits qui ne sont pas avérés. Mais ils sont tellement pressés de retourner aux affaires !...
Peut-on parler d’enrichissement personnel dans l’affaire Clearstream 2, comme dans Clearstream 1 ? La machination contre la majorité actuelle a essayé de le faire croire, avec une histoire de comptes privés qui mouillait les uns et les autres, ici ou là, mais ils ont dû admettre qu’elle n’était aucunement fondée : dommage, n’est-ce pas ?
A la différence des condamnations qui ont frappé le PS dans les affaires ELF, MNEF ou Testut, par exemple : embarrassant, non ?
Plus préoccupée qu’il n’y paraît, la gauche ne souhaite surtout pas que Clearstream 2 ramène les électeurs aux nombreuses affaires des années Mitterrand ou Jospin. D’où cette énergie dans le brouillage de pistes et la surenchère.
Le PS nous rebat les oreilles avec des notions qui lui sont étrangères, telle l’éthique. Vous, comme moi, nous croyons qu’il faut avoir un minimum de sens moral pour oser s’en prévaloir, mais au PS, on ne redoute de rien ; ou, plutôt, moins on n’en a, plus il faut l’étaler : c’est comme la culture…
La complicité des médias est choquante.
D’une part, ils prétendent non seulement nous informer, mais aussi nous expliquer…, et d’autre part, ils se taisent quand il ne faut pas déranger les partis- et syndicats- et associations- et lobbies-amis… Ils n’ont plus d’archives ou ont reçu l’ordre de ne pas s’en servir. Ils ont aussi la mémoire courte. Ils manient le chloroforme, comme chacun sait.
En revanche, les médias ne se privent pas de répandre des faux bruits, impunément, en présentant sentencieusement les calomnies au conditionnel. La liberté d’expression et la liberté de la presse seraient-elles faites pour çà ! Sans parler de leurs informateurs, donc des fuites et du non respect du secret de l’instruction.
Cà pue , mais ils ne savent pas d’où çà vient…
Et ils s’étonneront que la jeunesse courageuse et pugnace, comme ils se sont plus à dire, ne leur fasse pas confiance et boude les urnes, comme les parents. Il faut dire que nous demandons tous le respect, mais ils ne le savent pas !
Avec des SI, on peut mettre la droite dans une bouteille, pensent-ils. Ils font de la copie, donc du chiffre (d’affaire). Résultat, ils se déconsidèrent ; rares sont ceux qui lisent la presse, qui va mal, se plaint-elle. Or, personne ne se soucie du devenir de France-Soir et du pluralisme de la presse : que ceux qui y croient encore lèvent la main ! La plupart des organes de presse sont un vaste tabloïd ; un peu plus, un peu moins…
On en sommes nous de la fonction pédagogique de la presse??
Il nous reste la presse étrangère, et Internet !
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