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jeudi 15 mars 2012

Thomas Hollande accuse la campagne de son père de manquer de "ferveur"

Dans les jupes de sa maman, le fils casse le père



Par fils interposé, la fille se vengerait-elle
de son propre père militaire dominateur,
contre le père laxiste de ses enfants ?




L'amère Royal instrumentaliserait-elle le fils ?

Le fils de... François Hollande et Marie-sEGOlène Royal, Thomas (28 ans), a confié ses impressions sur la campagne de son père.

" Même si je note que les meetings sont pleins, il n’y a pas la même ferveur, le même engouement [qu'en 2007]", estime - nostalgique - cet ex-animateur de la ségosphère de 2007. Il y a cinq ans, les gens venaient déjà convaincus aux meetings de Ségolène Royal. "Là, je parlerais plutôt de curiosité", estime l'avocat (ci-contre à la Guadeloupe): ventre de malnutri aux Restos du Coeur). "Le contexte n’est plus le même. Le désespoir est réel et beaucoup de gens ne croient plus dans la politique. En 2007, les deux candidats avaient un très fort pouvoir d’attraction ou de répulsion. Cela favorisait l’intérêt", ajoute - essoufflé - , au Parisien.

Interrogé sur le charisme de protozoaire dont son père est affublé, Thomas Hollande réplique, objectivement : "Depuis le meeting du Bourget, les gens le regardent différemment. Il a réussi à faire taire les doutes, estime-t-il, y compris au sein du PS [en langage ségolénien dans le texte], sur son absence de stature présidentielle. Le François Hollande d’il y a trois mois n’est plus le François Hollande d’aujourd’hui. Il a effectué un travail sur lui-même [il a perdu de la masse pondérale...], sur sa façon de s’exprimer. Ce travail de présidentialisation a été réussi".
" Je ne suis pas inquiet : le candidat commence à prendre des risques sur le fond", analyse - cruellement- celui qui tente - mollement- de faire exister le papa-candidat sur le web.



Thomas Hollande et sa maman,
même rame de métro Fiat Punto
et même sourire sincère...



Thomas (le bien nommé, ci-contre) n'a d'autre qualification que d'être un fils de...
Elu à rien, il n'a aucune légitimité et n'intéresse que parce qu'il semble bien être la voix de sa mère.
On ne lui connaît pas d'autre femme dans sa vie, en ce moment. Elle devra être autoritaire: depuis la défaite de Ségolène Royal, le 9 octobre aux primaires socialistes, le jeune homme donne de ses parents des portraits fort contrastés. "Mon père s’occupe de la cuisine et des courses, il adore aller au Carrefour de la porte d’Auteuil et au marché le dimanche. Quand j’étais ado, ma mère était plus autoritaire que lui… Il cédait à tous nos caprices", se souvient Thomas.


Petite note culturelle (!)
Thomas Holland (1374-1400), fut 3e comte de Kent. Il fut envoyé par le roi Richard II d'Angleterre pour arrêter son propre oncle,le comte d'Arundel. En récompense, il reçut une partie des terres confisquées et fut créé duc de Surrey le 29 septembre 1397.

1 commentaire:

  1. Ha si les fils Sarkozy s’épanchaient dans la presse que diraient les baveux et baveuses...........

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