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dimanche 4 juillet 2010

Florence Woerth dénonce l'injustice, les mensonges et la calomnie de l'opposition

L'honneur d'un homme en "république du respect"


Florence Woerth, épouse du ministre du Travail, Eric Woerth, a dénoncé aujourd'hui "l'injustice", les "mensonges" et "calomnies" dont son mari est la victime dans l'affaire Bettencourt.

Sur BFM-TV, elle a ajouté: "Il est plus qu'intègre, on ne pourra rien lui reprocher. C'est plus que de la calomnie", dénonçant "la folie collective". Et c'est peu dire !

VOIR et ENTENDRE Florence Woerth accusant l'opposition de calomnie :

Le montage médiatique de déstabilisation

Bien que Florence Woerth n'ait été en charge que de la gestion d'une partie de la fortune de Liliane Bettencourt, l'héritière milliardaire de L'Oréal, le PS instrumentalisa sa position comme cheval de Troie contre la réforme des retraites engagée par son mari, Eric Woerth, ministre du Travail. Florence Woerth fut ainsi plongée au cœur de la polémique, avant que sa démission ne devienne effective, et avec la révélation, mercredi dernier, par le site Mediapart, d’enregistrements pirates qui suggèrent de possibles fraudes fiscales, sans apporter de preuves.

Le montage, initié par Arnaud Montebourg et soutenu par Mediapart, trouva un renfort avec l'attaque de l'eurodéputée d'Europe Ecologie, Eva Joly, qualifiée de "vieille éthique" par le Verts peu galant, J.-V. Placé ... Suivirent les Hamon, Aubry et Royal ou autres Cambadélis, toujours à l'affût d'un mauvais coup.
Elle officialisa au passage sa démission anticipée: "les révélations ne m’autorisent plus à rester".



Les femmes de ministre à la maison ou hôtesse de caisses ?

Suite à l’irruption de l’affaire à l’Assemblée nationale mardi, Florence Woerth a décidé de sortir du silence, sur Europe 1.


ENTENDRE Florence Woerth sans son entretien accordé à Marc-Olivier Fogiel sur Europe 1 le mercredi 30 juin:


Les féministes sont toujours attendues aux côtés de cette femme de ministre...
Une seule, la Ligue du droit international des femmes, a vu dans ce départ annoncé une "entorse au respect de l'autonomie des femmes". Le saviez-vous ? C'est que la presse ne nous dit que ce qu'elle veut et qui sert l'opposition. Si la presse est libre, elle ne l'est pas de l'idéologie dominante.

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