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LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

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mardi 13 juin 2006

Royal, responsable dans l’affaire d’Outreau.
Quoi qu’en dise le juge Burgaud, quoi qu’en dise la corporation, le juge N’EST PAS SEUL.
D’abord il est placé sous l’autorité du magistrat qui est son supérieur hiérarchique et qu’il peut consulter, ce que le juge Burgaud n’a pas consenti à faire.
Ensuite, il n’a pas été abandonné aux mains de la bienveillante commission parlementaire. Il a été encadré, cornaqué par deux conseillers qui lui soufflaient les réponses devant et hors caméras. A la place de l’accusé, il s’est fait plus modeste et moins arrogant : il les écoutait et répétait ce qu’il fallait dire. Le lendemain, les
médias le décrivirent comme embarrassé, peu convaincant et écrasé par l'énorme pression et les menaces. En réalité, il fut plutôt dur d’oreille –on saura pourquoi, ci-dessous…-, lent à reproduire les propos de ses tuteurs et fort peu spontané. Et la vérité dans tout cela ? La main sur la Bible…
Pour faire bonne mesure, malgré les dérapages de la procédure, la police de la justice» absout les juges d'Outreau. La coupe est pleine.
On le dit jeune et inexpérimenté. Il est né le 23 octobre 1971 à Niort (Deux-Sèvres) et a tout de même 30 ans au début de l’affaire. Faire confiance aux jeunes et leur donner des responsabilités : ne pas leur manquer de respect, entendait-on au moment du CPE. Le jeunisme aurait-il des inconvénients ?
- Après Sciences Po, Bordeaux il a travaillé dans une société de conseil. Il s’orienta ensuite vers l'Ecole nationale de la magistrature (ENM) en janvier 1996, et en sortit en 2000 (91e sur 161 ): sujet moyen : que dire des suivants…
- Nommé le 1er septembre 2000 juge d'instruction au
tribunal de grande instance de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais), il fut chargé par hasard de l'enquête sur l'affaire de pédophilie dite d'Outreau, quelques mois après son arrivée, le 22 février 2001. Il ne doute pas alors de ses capacités, de pouvoir maîtriser l’affaire et de s’imposer aux personnes. Il ne redoute de rien : il est le représentant de la Justice.
- Avant que le scandale d'Outreau ne soit réglé, Fabrice Burgaud fut … promu au
parquet de Paris, où il fut muté à Paris et affecté, le croirez-vous ? à la prestigieuse section …antiterroriste, en juillet 2002. Au Palais de justice de Paris, certains découvrent alors les travers du jeune juge d'instruction. « Il a cette rigidité qui s'inscrit dans sa structure mentale et dont il ne se départ pas », remarque un vice-procureur.
L'Ecole nationale de la magistrature (ENM, à Bordeaux) partage la responsabilité du scandale d’Outreau pour n’avoir pas détecté un dangereux psycho-rigide et pour l’avoir laché dans la nature en prenant la responsabilité de le diplômer. C’est comme les pédophiles des séminaires et des IUFM. Avant de stigmatiser l’institution judiciaire, prenons le problème à sa source. Les magistrats de l’ENM ont-ils cautionné le recrutement intensif de magistrats formés au rabais pour faire face aux besoins et créer les postes réclamés à cor et à cri? Le juge Burgaud serait ambitieux, froid, dur, obstiné, partial, arrogant, provocateur. Et donc, incompétent et irresponsable. Et ça ne se remarque pas ? Les profs de l’ENM ne connaissent-ils donc pas individuellement chacun de leurs auditeurs ? Les professeurs de l’ENM sont-ils compétents et impliqués?
Burgaud a eu en outre ‘un désir d’avenir’ (!) et la volonté de plaire à la ministre Marie-sEGOlène Royal, pour faire carrière. Dans un souci idéologique de parité, Jospin avait placé Marie-sEGOlène aux ministères de l'Enseignement scolaire, puis de la Famille (2000). Mère de la nation, puritaine et pudibonde, celle qui devait prendre du galon dans l’opposition et devenir la Maréchale Royal, s’est illustrée sur de fameux champs de bataille en faisant campagne:
- en 2002 contre la pornographie,
- en 2003 contre le string des jeunes filles («Aux yeux des garçons, le string réduit les jeunes filles à leur postérieur [...] Après, on s'étonne que les adolescentes soient victimes d'attouchements ou de violences sexuelles.».
Au ministère de l'Enseignement scolaire, elle fit parler d'elle en bataillant non pas contre les violences urbaines (déjà importantes à l’époque) tels les dommages à abribus (cf. son fils défavorisé, Julien), mais contre…le bizutage et… la pédophilie. Et nous y voilà, et voilà le résultat !
Le Fabrice Burgaud-del Dongo est né à Niort, dans la zone d’influence de la Maréchale, et le jeune arriviste colle à l’action de la ministre locale pour se faire remarquer, sortir de l’anonymat. Elle est en croisade contre les pédophiles; qu’à cela ne tienne, il va en serrer quelques-uns et sa carrière sera assurée, à condition de ne pas les lâcher.
Certes, le jeune homme n’est pas le héros de Stendhal ; il ne suscite pas spécialement l’amour de tous ceux qui le croisent et sa vie privée ne semble pas peuplée de belles Gina : Niort n’est pas Parme et la duchesse Gina n’est pas la Maréchale. Si sa silhouette frêle d’adolescent, son teint blafard, ses yeux cernés et ses traits tirés évoquent davantage la Veuve Poignet, ne nous étonnons pas que l’adolescent demeuré soit resté sourd, sourd à ses victimes et claquemuré dans la citadelle de ses certitudes et le donjon de son ambition. Toute forteresse a ses douves et eaux troubles, mais chacun ses turpitudes. Marie-sEGOlène peut être fière de lui, pense-t-il: elle va le distinguer. Mais c’est Waterloo ! La Commission d’enquête parlementaire veut lui accorder de bons moments de solitude sur le Lac de Côme : l’opinion n’est pas d’accord.
Quelle est la responsabilité de la ministre qui lance une campagne de chasse aux pédophiles?
Elle l’a initiée. Marie-SEGOlène Royal et Claude Allègre ont diffusé une circulaire, le 4 septembre 1997. Ce texte de 27 pages sur les violences sexuelles a provoqué un déferlement de plaintes, mais aussi un vrai malaise dans le corps enseignant, qui s'estime outrageusement soupçonné. Les affaires de mœurs qui ne dépassaient pas jusque-là une vingtaine par an, s’envolent à 175 dans l’année qui suit.
Enfin, pourrait-on penser, l’Education nationale fait le nécessaire pour protéger les élèves et dénoncer ceux qui les agressent. Malheureusement, ce n’est pas si simple que cela. Car 73 % de l’ensemble de ces affaires ont finalement fait l’objet d’un classement sans suite, d’un non-lieu ou d’une relaxe (contre une moyenne de 5 % de relaxe, tous délits confondus). C’est que le soupçon s’est installé, le moindre geste devenant suspect. Personne n’est plus à l’abri d’un réglement de compte ou d’une rumeur malveillante. Et la moralité de certains élèves de l’école républicaine, qui plus est formés à la citoyenneté, est si rudimentaire, que ce n’est pas un problème d’accuser un éducateur d’agression sexuelle, pour rire, pour montrer à ses pairs de quoi on est capable. Une chance que ça ne se filme pas pour diffusion sur mobiles !
Des enseignants et des religieux ont eu en effet à souffrir des enfants mythomanes qui ont appris dans les médias qu’ils pouvaient impunément régler des comptes avec ceux dont c’est le métier de les côtoyer, parce que cette maman candidate à l’Elysée, mère de quatre enfants, n’a manifestement pas une bonne connaissance des ados actuels : elle ne leur est pas assez proche. A preuve un fils majeur de 19 ans qui casse le mobilier urbain. La Maréchale va-t-elle nuire encore dix ans?
Pour éradiquer le fléau de la pédophilie, tous les moyens sont bons, même ceux qui peuvent frapper des innocents. Jean-Michel Hayat, conseiller technique de Marie-SEGOlène Royal alors ministre déléguée chargée de l’Enseignement scolaire, déclara : « Mes ministres m’ont dit qu’ils préfèrent que neuf enseignants innocents soient poursuivis en justice, si cela permet de sauver un enfant de la pédophilie. » Pourtant, ils n’ignoraient pas qu’à Montmirail, le 2 juin 1997, le mensonge d’un collégien avait été mortel : un professeur accusé d'attouchements, Bernard Hanse, 50 ans, s'était suicidé. Il a été retrouvé dans sa voiture, une balle dans la tête.
Il faut savoir qu’en revanche, en droit français et en bonne justice, la jurisprudence protège le mineur reconnu coupable de dénonciation calomnieuse ou mensongère car il bénéficie d’une relaxe (ce qu’on appelle un acquittement, au pénal) : dissuasif ou stimulant ? Mis en examen, Joachim, le charmant ‘jeune adolescent’, avait d'abord reconnu avoir menti devant les gendarmes avant de se rétracter. En juin 2001, le collégien accusateur est relaxé. La Maréchale Me Voilà-M'as-tu vu(e)? va essayer de recruter des enseignants électeurs socialistes en masse. Qu’ils y réfléchissent à deux fois. Une signature dans l’Education Nationale peut être fatale.
Les ministres socialistes avaient-ils mesuré la portée de leurs mesures démagogiques ? L’intention est certainement louable, mais c’est le réalisme qui manque le plus quand on brasse des concepts du style de son credo laïc et politicien: la famille n'est pas le monopole de la droite… Il faut faire ce qu’on sait faire ! Que de ravages au nom de l‘idéologie de la récupération! Marie-sEGOlène cherche des créneaux pour se faire remarquer, et advienne que pourra… Plutôt que de choisir la précipitation, a-t-elle pris la précaution de tester ses dispositions et d’assurer des périodes probatoires ? Il y avait urgence à graffiter son nom au bas d’un maximum de circulaires et à se créer un bilan, dont nous subissons maintenant les conséquences.
La vaniteuse Maréchale a plus de goût pour micros et caméras que pour l’obscur travail d’élaboration de circulaires et de décrets d’application sensés et équilibrés. C’est une chose d’étudier les fiches qu’on se fait préparer pour les présenter à la presse ébaubie et s’en est une autre de réfléchir à deux fois et en profondeur. Elle avait pourtant, sur des sujets simples, l’occasion de faire la démonstration de ses aptitudes. Las ! Elle est vaine, OK ! mais surtout superficielle et centrée sur elle-même.
Elle n’a pas le sens du service de l’Etat : c’est rédhibitoire dans la course à l’Elysée. Pourtant mère de quatre enfants, la Maréchale Cognac-Jay est-elle si loin des contingences de la société que ses conseillers découvrent fugitivement dans leurs déplacements et qu’elle ne connaît que théoriquement par ouï-dire, ou par fiches, qu’elle n’ait pas imaginé les malheurs qu’allaient semer partout ses circulaires irréfléchies?
Ainsi,
- comment peut-on être assez niaise pour croire que les enfants ne mentent jamais ;
- comment ne pas prévoir que tout le monde prendrait peur et que les "signalements parapluie", destinés à protéger les institutions, et les fausses allégations se multiplieraient;
- comment peut-on être ministre de la Famille et assez cruche pour méconnaître l’aspect sordide des relations entre conjoints désunis:
LE FIGARO du 31 mai 2004 s’interrogeait: Comment en arrivons nous là ? Un père de 52 ans est condamné sur plainte de son ex-épouse rendue furieuse par le refus d’augmenter la pension alimentaire. Le père a été relaxé, mais l’histoire ne dit pas ce qu’il est advenu de la mère pourtant à l’origine de cette incarcération. A-t-elle été condamnée ? La Maréchale-ministre vit en union libre et doit sortir du Couvent de la Sainte Famille…
- comment être assez simple pour ignorer que les gentilles mamans peuvent être indignes. Le tribunal correctionnel de Pontoise a prononcé un jugement plutôt inhabituel. Il a condamné une mère qui avait porté plainte contre son mari pour attouchements sexuels sur leur fille de 2 ans à... 5 000 francs d'amende et 1 franc symbolique. Motif: dénonciation calomnieuse. «Mme K., dont le seul but était de séparer définitivement son époux de ses enfants, avait connaissance de la fausseté de ces graves accusations», indique le verdict, dont elle a cependant fait appel. Le père, Philippe Marchal, un ingénieur de la région parisienne, est loin de pavoiser. «J'ai été sali, montré du doigt, privé de mes enfants pendant des mois, lâche-t-il amèrement. Rien ne peut vraiment réparer ça.»
Un inquiétant phénomène semble donc gagner les prétoires français: des centaines de pères se voient accuser, parfois à tort, du pire des crimes. Certains y perdent leur emploi, leur honneur et l'amour de leurs enfants. Trop facile de s’imaginer que seuls les éducateurs sont des victimes potentielles ; ce sont tous les conjoints qui sont en sursis…
Certes, les Marc Dutroux et l’affaire actuelle d’Angers existent, mais combien de présumés coupables par les médias étaient innocents, ont connu la honte, mais ont été relaxés par la justice : les juges ne sont pas tous des Burgaud… Il reste que les adultes victimes de ces fausses allégations, en basculant dans la catégorie infamante du pédophile, ont subi de plein fouet les dérives d’une machine judiciaire qui en est arrivée à inverser la charge de la preuve et à remplacer la présomption d’innocence par la présomption de crédibilité de la parole de l’enfant. Il est impossible de se sortir d'une dénonciation calomnieuse de pédophilie, c'est insupportable.

Les médias, perplexes et peu courageux dans leur ensemble, ne savent pas comment faire bon usage de la myope liberté de la presse et de sa jumelle borgne, la liberté d’expression. La terrible Maréchale leur fait peur : et si jamais elle arrivait au pouvoir ? Il faut la ménager, car elle n’est guère tolérante : on lesait dans sa région… Alors ils en ont perdu la mémoire. Seront-ils libres ( ?) de fouiller leurs archives pour nous rappeler de combien de victimes la candidate favorite des médias est responsable.
Le rôle des médias est plus trouble encore que celui de la justice. Exemple : En 2001, Jack Lang était ministre de l'Education. Et, à cette époque, le mari d'une institutrice de maternelle, dans le Pas-de-Calais, avait été accusé de pédophilie sur des enfants dont sa femme avait la charge. La justice a prononcé un non-lieu qui a blanchi Alain Hodique, 60 ans, qui avait toujours affirmé son innocence.
De plus, Jack Lang avait été poursuivi en violation de la présomption d'innocence devant le tribunal correctionnel d'Arras. Le tribunal s'était déclaré incompétent en avril 2002 et avait renvoyé l'affaire devant la Haute cour de justice, Jack Lang étant protégé par sa fonction ministérielle.
Si la relaxe d’Alain Hodique a été quelque peu sous-traitée par les médias -à part dans Le Figaro du 15 décembre 2005- le rôle de Jack Lang a été bien souvent carrément occulté : privilège de la liberté de la presse partisanne. Cela n’a pas été le cas dans
Le Figaro du jeudi 22 décembre 2005
qui nous apprenait que l’affaire n’était pas close puisque le parquet général s’est pourvu en cassation contre Alain Hodique. Le quotidien national n’a, cette fois-ci, pas oublié de rappeler le rôle de Jack Lang dans cette affaire.
Peut-on alors imaginer que les autres médias ont subi des pressions ou se soient autocensurés, et n’aient pas cité la contribution malheureuse de l’ancien ministre de la Culture à ce lynchage médiatique, afin de ne pas l’irriter ? On peut à juste titre s’interroger sur ce silence dans une affaire où l’honneur d’un homme a été sali par les médias et par le ministre de tutelle de l’époque.
Bien que des voix stigmatisent l’irresponsabilité de la presse, des institutions ou des parents d'élèves et parce que la société permissive et perverse donne à voir et entendre aux enfants plus qu’ils ne peuvent supporter, les éducateurs sont quotidiennement exposés aux dénonciations calomnieuses: «Certains instituteurs n'osent même plus poser la main sur l'épaule d'une gamine, de peur d'être inculpés pour attouchements sexuels.»
Pascal, un maître de cours élémentaire, raconte 447 jours de calvaire en trente minutes face à la caméra: mis en examen pour attouchements sexuels sur l'une de ses élèves, ce père de famille a finalement été relaxé. «On veut nous faire passer pour des pédophiles en puissance, alors que 90% des agressions sexuelles sont le fait du père, du beau-père ou du grand-père de l'enfant», souligne une institutrice parisienne.
Peu importe à la ministre si des professions sont menacées d’infamie. Les électeurs enseignants de la Maréchale s’en souviendront-ils en 2007 ? Jack Lang, en revanche, devenu ministre de l’Éducation nationale, alerté par les enseignants d’éducation physique sur qui se sont mises à pleuvoir des dizaines de plaintes plus fantaisistes les unes que les autres, rectifie le tir et signe alors une nouvelle circulaire en appelant les responsables hiérarchiques à leur capacité de discernement (mais seulement pour les professeurs de sport) : c’est implicitement admettre qu’ ils en ont passablement manqué !
La ministre n’a pas non plus envisagé un instant que dans certaines des luttes qui opposent père et mère les accusations de pédophilie les faits ne sont pas aussi souvent avérés que les flashes radio et les articles de presse ne le laissent penser. Faire du sensationnalisme sur un tel sujet justifie évidemment mal le mépris de certains journaux et magazines pour la presse caniveau ! Légère, la ministre ! Une fois Maréchale-Présidente, imaginez les dégâts.

Le PS n’a encore pas su se taire.
Badinter -et Guigou-la-sinistre qui soutient la Royale candidate en est solidaire, …avec des réserves !- se sont cru obligés de nous faire connaître leur avis : parler, ça va ( ?); mais agir, on n’a pas remarqué, ou alors on a à le regretter! Il ne fait pas avancer les choses sur ce sujet pas plus que sur de nombreux autres.
Deux dérives sont pourtant apparues:

- faire repasser la protection de l’enfant au second plan derrière les droits élémentaires des professionnels (qu’en pensent les syndicats ?)
-ou continuer à prendre le risque de traîner des innocents dans une terrible épreuve dont tous ne sont pas sortis vivants.
Le plus inquiétant et symptomatique, c’est que la haute administration a pu sereinement penser qu’il valait mieux sacrifier des adultes innocents que de risquer de passer à côté d’un enfant victime. La société face à la monstruosité de la pédophilie n’a pas su éviter de réagir parfois d’une manière monstrueuse, au gouvernement socialiste même. Il est temps de redresser la barre. Peut-on compter sur la vaniteuse figure de mode candidate à la Présidentielle par la grâce des médias? Lang a démontré sa capacité à redresser une situation, mais la Maréchale Royal n’admet pas ses torts : un de ses défauts avérés.

1 commentaire:

  1. J'ai beaucoup appris et ce que vous indiquez mériterait d'être mieux connu
    L'artcle est un peulong cependant.

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