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vendredi 4 janvier 2013

Ségolène Royal prétend avoir refusé le ministère de la Justice

Trierweiler ne préfère-t-elle pas encore Taubira ?

Ségolène Royal, présidente PS de la région Poitou-Charentes, rongée par les regrets 

Perdue dans ses bottes, elle se mine d'avoir choisi (?) de ne pas accepter le ministère de la Justice. 
Cette position forte place Vendôme l'aurait aidée, explique-t-elle, à réussir son atterrissage, lors de la législative à La Rochelle où le peuple lui a préféré son rival Olivier Falorni, un dissident du PS à Paris, mais candidat légitime dans sa région

La battue de la présidentielle n'est qu'une plaie

L'ex du Président Hollande accumule les vestes (et revers, aussi !) 

Sa descente aux enfers la fait déprimer: elle est aussi vertigineuse que la chute du père de ses enfants dans les sondages.
Elle se croyait chérie de la population, mais se fit battre de six points par Nicolas Sarkozy en 2007.
En 2008 au congrès de Reims, elle confirme sa candidature au poste de premier secrétaire le second tour la donne perdante de 42 voix face à Martine Aubry.
Candidate à la primaire socialiste de 2011, elle n'arrive que quatrième, derrière Arnaud Montebourg, Martine Aubry et François Hollande, avec 6,95 % des voix...
Qui voudrait d'une poisseuse ?

Sa Cynique Majesté Royal entretient la rumeur de son arrivée à la Justice
Interrogée par VSD cette semaine, la refoulée a détecté l'origine de ce borborygme  de lendemain de fêtes dans les salles de rédaction: ce serait "le fait qu'ON m'avait proposé d'être Garde des Sceaux. Mais pourquoi ne pas désigner ce 'ON' ?
"J'ai refusé parce que j'avais dit que je serais candidate à la présidence de l'Assemblée nationale. J'aurais dû accepter: le fait d'être ministre m'aurait aidée à gagner la législative". Telle est son idée du respect des institutions, considérées comme tremplin aux ambitions personnelles.

Qui voudrait d'elle aujourd'hui au gouvernement ? 

Pour la sexagénaire, "l'échéance politique normale pour un remaniement se situe après le scrutin municipal de 2014. Avant, je n'en vois pas l'utilité, ni la justification. Mais ça n'est pas moi qui décide".

"Vous savez, après les élections législatives, j'aurais pu tout arrêter", lâche l'ex-ministre, en guise de test compassionnel. "J'ai au contraire décidé de poursuivre ma carrière politique. Alors évidemment, si l'on juge utile que je rentre dans le dispositif gouvernemental, j'accepterai avec fierté de servir mon pays".

"Au risque de vous paraître immodeste, je considère que j'ai beaucoup de choses à apporter", insiste-t--elle encore.

On ne s'en débarrassera pas comme ça



Royal n'est pas expulsable ?

Elle confirme par ailleurs qu'elle siégera au conseil d'administration de la Banque publique d'investissement pour y représenter l'Association des Régions de France.
Destinée notamment à garantir le financement des PME, cette nouvelle structure bancaire (la loi la créant a été publiée au JO le 1er janvier), "doit être un outil essentiel" pour le "sauvetage" puis "la modernisation du tissu industriel", commente Mme Royal.

"Je n'ai pas décliné l'Institut du Monde Arabe que l'on m'a effectivement proposé de diriger, mais j'ai considéré que je pouvais être encore plus utile ailleurs", déclare-t-elle.

Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée ?
Qui la claquera ?



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