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lundi 13 avril 2020

Le déconfinement est soumis à la mise en place de tests massifs et de confinement strict

Qui l'INSERM cherche-t-il à placer  face à ses responsabilités, le président ou le peuple français ?

L'INSERM prépare les esprits avant la prise de parole de Macron

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Déplacement de Macron dans les rues de Pantin,mardi 6 avril, sans respecter les règles de distanciation sociale
Le déconfinement ne pourra pas intervenir avant fin mai-début juin. 
Si Macron ne met pas en place un système de tests massifs et d'isolement des personnes infectées, une fin brutale du confinement provoquera une nouvelle vague épidémique, prévient une étude de l'INSERM, notamment.  Après l'insouciance dans le réapprovisionnement en masques et le mauvais exemple dans les sorties de Macron au théâtre, en mars, ou dans les rues de Pantin, sans aucune distanciation sociale, encore en avril, l'heure est donc à la punition, comme dirait le préfet Lallement. 
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"La levée du confinement sans stratégie de sortie entraînerait une deuxième vague écrasant largement le système de santé", selon le résumé de l'étude, mise en ligne dimanche et révélée lundi 13 avril dans la presse, quelques heures avant la quatrième allocution de Macron, comme la reine d'Angleterre...
"Le tracement et dépistage massif de cas-contacts pour les isoler rapidement sont nécessaires" 

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Un préalable à toute stratégie de déconfinement progressif "tout en maintenant les écoles fermées et les personnes âgées isolées", selon ces travaux réalisés conjointement par l’équipe de Vittoria Colizza et Pierre-Yves Boëlle (Institut national de la santé et de la recherche médicale, INSERM, et l'Institut Pierre Louis d'épidémiologie et de santé publique et Médecine Sorbonne Université (dirigé par Fabrice Carratet situé à la fois sur le site de l'hôpital de la Salpêtrière - où on retombe sur la très agressive Karine Lacombe (dans l'équipe CLEPIVIR) - et du site de l'hôpital Saint-Antoine - où on retrouve Eric Caumes (qui s'est lui aussi déjà pareillement beaucoup manifesté dans les media contre le professeur Didier Raoult).

L'étude évalue l'effet en Ile-de-France du confinement instauré le 17 mars à l'échelle nationale - et peu respecté par les joggeurs et les désoeuvrés de Seine-Saint-Denis, ou les Parisiens briseurs de confinement repérés à Saint-Malo ou La Baule, comme sur l'île de Ré ou dans les campagnes de France - plutôt que dans les 'clusters' de Strasbourg, de La Balme-de-Sillingy, en Haute-Savoie, ou de l'Oise - et modélise l'efficacité de différentes stratégies de sortie possibles "à partir de mai ou juin" laissant entendre qu'il ne faut pas rêver d'une levée de confinement avant. 

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C'est l'une des autres recommandations de Jérôme Salomon, numéro 2 du ministère de la Santé comme directeur général  et croque-mort qui comptabilise chaque soir les morts de la journée et qui travailla à l'INSERM, de Karine Lacombe (chef de service à La Pitié Salpêtrière) et de Eric Caumes (chef de service à La Pitié Salpêtrière), selon l'étude qui estime le pourcentage de la population infectée au 5 avril à entre 1% et 6%.

Le locataire démasqué de l'Elysée doit se prononcer lundi soir sur la stratégie française contre la pandémie et la prolongation du confinement près d'un mois après l'avoir instauré


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