
Personne n’a oublié les affaires d’Etat que le PS traîne comme des casseroles dont il faut à tout prix couvrir le bruit :
- l'affaire des écoutes de l'Elysée, une affaire d'état, met en cause

150 personnes en auraient été victimes, dont les terroristes Charles Pasqua, François Froment-Meurice, qui était secrétaire général-adjoint du Centre des démocrates sociaux (CDS), et des avocats (Jacques Vergès, Francis Szpiner), le compagnon de l’actrice Carole Bouquet et des (ex-) journalistes (Hervé Brusini et Michel Cardoze ou Edwy Plenel), Jean-Edern Hallier, etc : tous des hommes dangereux !

Pierre-Eugène Charroy, général de brigade de l’armée de terre, qui était responsable à l’époque du groupement interministériel de contrôle (GIC) ;
Gilles Ménage, ancien conseiller technique de François Mitterrand ;

Louis Schweitzer, son successeur auprès de Laurent Fabius, PDG de Renault jusqu'au 29 avril 2005.
Paul Barril, capitaine de gendarmerie, ancien chef du GIGN, déjà impliqué dans le scandale des Irlandais de Vincennes.
Par ailleurs, le tribunal déclara que les fautes n'étaient pas « détachables du service de l'État ».
Des mœurs dont les vertueux du PS ignorent sans doute l’existence ou ne veulent plus entendre parler ; d’où leur tapage médiatique.
- ni l’affaire politico-financière ELF, également appelée'"affaire Dumas"

(du nom de l’ex-Garde des Sceaux, président du Conseil Constitutionnel et complice de Mitterrand), n'est en fait qu'un volet de … l'affaire des frégates de Taïwan (que re-voilà… !). On ne va tout de même pas en faire une affaire d’Etat, mais le silence actuel de Roland Dumas est étourdissant, comme dirait Marie-sEGOlène!
- ni l’affaire politico-financière de la Société Générale,

- ni l’affaire du sang contaminé, trop douloureuse, et non financière ;
- ni l’affaire de la MNEF, où était cité le député PS de Paris Jean-

Christophe Cambadélis, l'ancien conseiller –actuellement silencieux- en communication de Lionel Jospin, (implication de l’UNEF-ID, dissoute depuis, et des trotskistes de l’OCI et de la LCR –fers de lance dans les désordres anti-CPE). On ne va pas en faire une affaire d’Etat !
-ni l’affaire Testut, qui porte sur des prélèvements réalisés par les sociétés

et qui concerne, entre autres, un emprunt obligataire de 100 millions émis par le Crédit Lyonnais, le Crédit Agricole et les AGF : on n’aime pas les profits au PS, mais on ne peut pas s’en passer…
- ni l'affaire politico-financière du Carrefour du développement, qui, dans

- ni l'affaire Urba, une affaire financière très complexe aussi, qui impliqua une foule de socialistes actuellement délicats de la narine droite, et qui concerne le financement occulte du Parti Socialiste , porte notamment sur les conditions

Pourtant, Henri Emmanuelli, gourou de l’UNEF –peu regardante, mais qui est à bonne école: on

- ni l’affaire Airbus, qui concerne un autre financement occulte : Airbus aurait financé

- ni d’autres encore, tels
L'affaire Péchiney-Triangle, un autre scandale politico-financier de la fin des années 80, où on retrouve encore Pierre Bérégovoy (et Alain Boublil, son ancien directeur de cabinet au ministère des Finances).
L'affaire de la CDDE qui porte sur la création présumée d'emplois fictifs, effectués par Lionel

Ou l'affaire Agos portant sur la création d'un emploi fictif (1993-1995) au sein de la société Agos, filiale de l'Agence des foyers et résidences hôtelières privées (AFRP), une structure de gestion de foyers pour travailleurs immigrés et personnes défavorisées, et ce au profit de Jean-Christophe Cambadélis, député PS, n° 2 du PS à l'époque des faits.
Nous baignons donc en pleine éthique, que ce pauvre Hollande réclame pour les autres : l’impudeur du personnage et de sa compagne est à citer en exemple à Mamère ou Liepiets, qui réclament des têtes au nom de la morale politique dans des faits qui ne sont pas avérés. Mais ils sont tellement pressés de retourner aux affaires !...
Peut-on parler d’enrichissement personnel dans l’affaire Clearstream 2, comme dans Clearstream 1 ? La machination contre la majorité actuelle a essayé de le faire croire, avec une histoire de comptes privés qui mouillait les uns et les autres, ici ou là, mais ils ont dû admettre qu’elle n’était aucunement fondée : dommage, n’est-ce pas ?
A la différence des condamnations qui ont frappé le PS dans les affaires ELF, MNEF ou Testut, par exemple : embarrassant, non ?
Plus préoccupée qu’il n’y paraît, la gauche ne souhaite surtout pas que Clearstream 2 ramène les électeurs aux nombreuses affaires des années Mitterrand ou Jospin. D’où cette énergie dans le brouillage de pistes et la surenchère.
Le PS nous rebat les oreilles avec des notions qui lui sont étrangères, telle l’éthique. Vous, comme moi, nous croyons qu’il faut avoir un minimum de sens moral pour oser s’en prévaloir, mais au PS, on ne redoute de rien ; ou, plutôt, moins on n’en a, plus il faut l’étaler : c’est comme la culture…
La complicité des médias est choquante.
D’une part, ils prétendent non seulement nous informer, mais aussi nous expliquer…, et d’autre part, ils se taisent quand il ne faut pas déranger les partis- et

En revanche, les médias ne se privent pas de répandre des faux bruits, impunément, en présentant sentencieusement les calomnies au conditionnel. La liberté d’expression et la liberté de la presse seraient-elles faites pour çà ! Sans parler de leurs informateurs, donc des fuites et du non respect du secret de l’instruction.
Cà pue , mais ils ne savent pas d’où çà vient…

Avec des SI, on peut mettre la droite dans une bouteille, pensent-ils. Ils font de la copie, donc du

On en sommes nous de la fonction pédagogique de la presse??
Il nous reste la presse étrangère, et Internet !
ok sur pas mal de choses, mais attention à ce que vous écrivez. Pour Pezet, il a été réhabilité par la justice en 1988 et exonéré du soupçon d'enrichissement personnel. Pour Tapie, la liste est en revanche un peu courte, et pour Dumas aussi je crois.
RépondreSupprimerBob