
La date du 10 mai a été retenue car elle correspond à l'adoption par le parlement français de la loi reconnaissant la traite et l'esclavage comme un crime contre l'Humanité, le 10 mai 2001.
Jacques Chirac a rappelé "l'infamie" de la traite négrière et invité les Français à regarder leur passé, "sans concession, mais aussi sans rougir".
Il n'est toujours pas politiquement correct de rappeler que, dans le



Pour des milliers de jeunes Africains, qui risquent leur vie chaque année sur des embarcations de survie pour un avenir de travaux pénibles et sous-payés en Europe, la notion d'esclavage semble encore d'actualité.
Reste la question du ‘rôle positif’ de la colonisation, laquelle est souvent présentée comme

« Il n’y a pas d’aspect qualitatif dans l’alinéa 2 » retiré de la loi sur les rapatriés relatif à l’enseignement du « rôle positif » de la colonisation « car le fait d’évoquer le rôle positif n’est pas exclusif du rôle négatif », explique Christian Vanneste, rédacteur de l’article et signataire de la lettre adressée au Président de la République. On regrettera l'indifférence ostensible de la gauche malfaisante, qui a manifestement d'autres priorités que cette 1° journée du souvenir, et préfère s'abandonner à ses obsessions : déposer une motion de censure et réclamer le départ du Président de la République.
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