La Turquie assure notre avenir terroriste en nous faisant le cadeau empoisonné de douze islamistes de Syrie
Et, parce qu'ils nous aiment, les Turcs sifflent notre hymne national
Un djihadiste et ses deux compagnes ont été placés en garde à vue, mardi matin, et leurs neuf enfants mineurs ont été confiés à l’aide sociale par le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis), après avoir été transférés de Turquie.
Les trois adultes, un homme de 35 ans et ses deux femmes, dont l’une âgée de 36 ans, sont pris en charge par la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Leurs enfants ont été placés .
Un cas d’expulsion "régulier" : combien d'autres encore ?
Cette opération, distincte des rapatriements au cas par cas d’enfants en provenance du Kurdistan syrien, s’inscrit dans le cadre des expulsions régulières des djihadistes par la Turquie. Fin mai 2019, les autorités françaises avaient enregistré le retour de 277 revenants.
"Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais" (Léon Trotski – Leur morale et la nôtre)
Il n’est pas un jour où media et politiciens ne s’interrogent sur ce que la France pourrait bien faire des criminels français qui ont choisi de servir l’Etat islamique . Les uns voudraient que les détenus de la Syrie soient jugés sur place, tandis que les autres accepteraient leur retour en France dans le but de les juger, les emprisonner et de les remettre un jour ou l’autre dans le circuit… au prétexte que le coût de leur entretien deviendrait insupportable et en feignant de croire qu'ils sont revenus à la raison, contrits et désireux de s'amender !
Il y a aussi les femmes voilées, encombrées d'une marmaille désirée ou produite pour le service armé, sans le moindre remords de leur sinistre participation à ce génocide, qui tentent d’émouvoir – un bébé dans chaque bras – les vertueux humanistes, éternels idiots du village des "droits de l’homme"… La télévision populiste n'hésite pas à nous présenter les mamies éplorées !
Dans un 'manifeste des intellectuels français pour la résistance à l’abandon de l’Algérie française' (soutenu par le maréchal Alphonse Juin) et paru le dans le contexte du conflit algérien, on pouvait lire : "C’est une des formes les plus lâches de la trahison que d’empoisonner, jour après jour, la conscience de la France". Qu'avons-nous appris depuis? Macron en est conscient, lui qui ressort sans cesse son projet de loi sur la GPA, sans la mener à son terme - il est seulement favorable à la reconnaissance à l'état civil de la filiation des enfants nés à l'étranger de GPA -, rien que pour faire se dresser une partie de la population contre l'autre et tirer les marrons du feu. En suscitant la polémique en France, le cynique distrait la population pendant qu'il fait passer ses textes par ordonnances, ni vu ni connu...
Comment gérer ce sujet sensible ?
Près de 2.000 Français radicalisés ont combattu en Syrie et en Irak sous le drapeau de Daesh depuis 2014. 450 seraient morts et 300 seraient déjà revenus en France. Et les autres ? Que fait-on d’eux, dès lors que nos prisons sont surpeuplées ?… Les juger sur le lieu de leurs forfaits ? Il faudrait pour cela que Syriens et Irakiens en acceptent la responsabilité, sachant que les méprisants militants droits de l'hommistes les jugent incapables de rendre une justice équitable… sachant que s’ils les condamnaient à mort, la France s’opposerait à leur exécution. Sur ce point, le 27 février 2019, sur BFM TV, la garde des Sceaux Nicole Belloubet, a rappelé la position française : "Il y a une limite. Notre pays n’accepte pas la peine de mort. Si tel est le cas, nous interviendrions pour demander que cette peine ne soit pas exécutée. C’est une condition sine qua non". Le problème reste donc entier dans la mesure où ni la Syrie, ni l’Irak, ni les Kurdes ne sont en mesure de gérer indéfiniment ces prisonniers qui, par la force des choses, recouvreront très vite leur liberté… Mais sommes-nous mieux équipés pour les assumer ?
Or, il existe une troisième voie qui les mettrait en paix avec leurs consciences : l’exécution de ces djihadistes, sur le sol qu'ils ont choisi, au cours d'une opération militaire. La belle mort.
Durant ces années, dans le cadre de la coalition internationale et au péril de leurs vies, nos forces spéciales se sont efforcéEs de traquer les criminels, de les localiser et de les éliminer. C'est un total mépris d'Etat qu'ignorer le sacrifice des militaires en service commandé et de ramener en France ceux et celles qui ont combattu leur pays. Dès lors, si le droit international a permis de les tuer durant ce conflit, pourquoi accorder aujourd’hui la vie sauve à des fanatiques religieux et racistes prêts à reprendre, bientôt, leurs actions terroristes, cette fois à l'intérieur.
Seulement, voilà ! Les démocrates sont en situation de faiblesse. Comme l’a souligné notre ministre : "Notre pays n’accepte pas la peine de mort"…
Lors de son entretien sur BFM TV, Nicole Belloubet a rappelé - non sans mépris des justices proche-orientales - son obligation d’assurer aux djihadistes français "un minimum de droits à un procès équitable. Nous veillons à ce que les droits de la défense soient assurés"… et de rappeler que "les Français concernés bénéficient de la protection consulaire". Les maires d'opposition qui ne passeront pas sous les fourches caudines de Macron avant les prochaines municipales seront déclarés "ennemis" de Macron, a menacé le belliqueux Gilles Boyer, mais nos déserteurs islamistes sont ses amis...
Dans ce cas, comment venir à bout de ces monstres qui mettent à profit les faiblesses du système démocratique et nos idéaux humanistes et qui se reproduisent sans retenue malgré le contexte de guerre qui menace d'abord les enfants en bas âge qu'il nous faut maintenant traiter avec bienveillance ? Alors que les media ont montré leurs crimes (souvent floutés pour protéger les âmes sensibles), quelle part d'humanité peut-on encore déceler chez ces "humanoïdes" robotisés par un islam cruel et conquérant, dès lors qu'ils sont capables de se faire photographier en exhibant la tête de leurs victimes innocentes en guise de trophée ?
Serait-il juste et équitable qu'il viennent occuper un univers carcéral surpeuplé en prenant des places dans les prisons françaises 5 étoiles avec portables, soirées récréatives et "parloirs intimes", véritables studios sexuels, de crainte d'en faire des monstres ?
Nos enfants doivent-ils payer pour les bons sentiments de leurs parents ?
Notre pays n'accepte pas la peine de mort?……………….Ca dépend pour qui!
RépondreSupprimerAu fait, ce type et ses fatmas, ils sont allées faire quoi là-bas?
Uniquement se reproduire?
Et nous nous allons bien nourrir cette .........… avec les allocs, des logements, les soigner……..peut être les décorer et saluer leur courage de rentrer en France!!!!!!!!!!!!
Honte à tous ces collabos!
Messieurs les juges, dépêchez-vous de laisser "crever" de soif un handicapé pour faire des économies au profit de ces ......…La ça ne coutera pas cher aux dires de certains abr..is
Lisa