Bilan de l'ancien ministre de la Culture, à un an
Frédéric Mitterrand pointe les changements des grands directeurs d'administration
La vaniteuse affiche sa bêtise triomphante dès la passation de pouvoirs |
et le "déni démocratique" des socialistes du gouvernement, dans un entretien accordé au Figaro.
Un an après l'arrivée de sa remplaçante, l'ancien ministre de la Culture déclare: "J'étais impartial, ce n'est plus le cas rue de Valois." Frédéric Mitterrand réagit ainsi aux dernières nominations de la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti: les engagements du candidat Hollande ne s'appliquent pas au président; comment les ministres se sentiraient-ils engagés ?
Principal sujet de mécontentement, les remplacements "systématiques" des grands directeurs d'administration.
Comme Jean-Marie Besset, directeur du Centre dramatique national de Montpellier, Eric Garandeau, du Centre national du cinéma (CNC), ou encore tout récemment Jean-François Colosimo, du Centre national du livre (CNL).
"Trop c'est trop", explique Frédéric Mitterrand dans les colonnes du quotidien de droite. "Ce n'est plus la lutte des classes, c'est de la féodalité", que perçoitobserve l'ancien ministre de la Culture dans ces "débarquements".
Au pouvoir, des "technocrates dogmatiques"
Le prédécesseur d'Aurélie Filippetti a fait le deuil de la Maison de l'Histoire de France, "un projet politique [voulu par Nicolas Sarkozy] et j'ai compris, sans l'accepter" sa dissolution. "Mais le Centre national de la musique sur lequel il y avait un large consensus? Je ne comprends, ni n'accepte, ce geste."
Au sujet de la Hadopi, il estime enfin dans cet entretien que "le volet pédagogique a fonctionné" et souligne la nécessité d'une instance de régulation.
Quant à Nicolas Sarkozy, Frédéric Mitterrand ne l'a revu "qu'une fois" depuis mai 2012. "C'était très violent d'être ministre", précise-t-il.
Mais quelle gourde insipide cette nana... c'est pas de la Culture Mme Filipetti les concours de quéquettes ! C'est de la crétinerie à l'état naturel, ou alors juste de la culture socialiste ?
RépondreSupprimerFaites pipi sur l'herbe pour prendre vos marques vous n'en ressortirez pas grandie et vos prédécesseurs et successeurs se marrent à la simple évocation de votre nom...
Triste pour un pays qui a rayonné dans le monde pendant des siècles...