Bayonne: le tweet qui accable les faux-culs du PS

Un tweet socialiste promettait un "comité d'accueil" musclé à N. Sarkozy

Le directeur de communication de François Hollande joue les vierge effarouchées

Manuel Valls a fermement démenti l'implication de militants socialistes dans l'incident autour de la visite du candidat UMP à Bayonne. Delphine Batho y était allée de son couplet polémique, sans savoir de quoi elle parlait, hostile à priori et stupidement méchante.

Quelques preuves sèment pourtant le doute sur le rôle réel de socialistes locaux...

Des militants socialistes ont-ils provoqué l'affrontement avec Nicolas Sarkozy, violemment pris à partie jeudi dans les rues de Bayonne ? La population réservait un bel accueil au président et ont-ils donc voulu gâcher la fête ?

Si le PS nie la moindre implication dans cette agression, Alain Juppé n’a pas hésité à dénoncer un " guet-apens " monté par des indépendantistes basques et des militants socialistes.

A en croire le maire d'Evry et porte-parole de François Hollande, " aucun militant socialiste n’a participé " à l'accrochage avec Nicolas Sarkozy jeudi à Bayonne. Une affirmation aussitôt démentie par l’UMP qui s’est offusquée dans un communiqué du " mensonge de Manuel Valls ".


Photos de militants à l’appui, le parti présidentiel démontre que plusieurs militants arboraient des portraits de François Hollande

Des affiches de campagne du parti socialiste étaient brandies lors de l’échauffourée. Les images télévisées de l’événement permettent également d’identifier de nombreux partisans de François Hollande parmi les manifestants.

Des élus locaux ont été identifiés comme participants actifs à l’agression du président de la République, ce qui constitue une grave atteinte aux principes fondamentaux de la démocratie.

De nombreux éléments accréditent l'idée que certains responsables de la fédération socialiste des Pyrénés Atlantiques sont impliqués dans ce " guet-apens " dénoncé par le ministre des Affaires étrangères.

Mercredi vers 13 heures, un candidat suppléant dans la 5e circonscription des Pyrénées Atlantiques et dirigeant de la fédération départementale du PS, sous l'autorité de la Ch'tite Brochen-Aubry, lance un tweet plus que suspect dans lequel ce Simon Piveteau promet un " comité d’accueil " à Nicolas Sarkozy.

Une bande d'extrémistes radicalise la campagne

Le PS fait le jeu du Front national

Un comité d’accueil composé d’un mélange détonnant de militants indépendantistes basques et de partisans de François Hollande, qui pourrait avoir été préparé de longue date par le parti socialiste local.

Le hasard faisant bien les choses, le Mouvement des Jeunes Socialistes (MJS) départemental avait justement choisi d’organiser un tractage sur le parcours suivi par le candidat Nicolas Sarkozy.

Il ne fait pas de doute que le PS a eu la volonté de créer les conditions d'un affrontement et la mobilisation de l'appareil socialiste démontre l’intention délibérée de s'en prendre au candidat de la majorité.

Mais l'objectif socialiste de mobilisation des forces de l'ordre et la recherche de la violence ont fourni aux Français l'occasion de constater à quoi mène l’anti-sarkozysme primaire.

A lévidence, les menaces pesant sur la démocrtie viennent aussi bien de la gauche sournoise
Depuis le temps que Sa Cynique Majesté Royal cherche à soulever un "vent de révolte" et appelle même les jeunes à descendre dans la rue, qui sème le vent de la haine, récolte la tempête de la violence.

Mme Brochen-Aubry est-elle plus molle encore que sa "gauche molle" ?

Ou la comploteuse est-elle plus fausse que les plus fourbes d'un parti que nul plus qu'elle n'avait encore jamais autant "sali" ?

Toujours est-il que la courageuse reste muette.