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vendredi 21 octobre 2016

Le député PS Boutih réclame "une offensive anti-racaille"

Le petit beur est-il inspiré par le démantèlement de la "jungle" de Calais ?

Téléguidé par Manuel Valls, Boutih a réclamé une "vraie offensive antiracaille", en réponse à l'exaspération des manifestants policiers
 
Le député socialiste Malek Boutih, proche de Manuel Valls, a une réaction  pour le moins radicale aux agressions de policiers et à leur manifestations. Le petit Boutih a prôné jeudi une "vraie offensive anti-racaille dans les banlieues", alors que les policiers manifestent depuis plusieurs jours après la "très violente agression de quatre d'entre eux à Viry-Châtillon": on peut - à vrai dire- parler de tentative d'assassinats, n'en déplaise à l'AFP et à ses copieurs-colleurs. "Il faut arriver à isoler les voyous aujourd'hui du reste de la population et de la jeunesse. il y a une vraie offensive antiracaille à avoir dans les banlieues", a déclaré le gros bras, ancien président de SOS Racisme, sur RTL. "Ce n'est pas qu'une question de moyens. Ce qui a changé, c'est le niveau de violence, le terrorisme, et cette frange de population qui veut tuer un policier." Ce n'est pourtant pas ce que déclare l'AFP...

Malek Boutih a évoqué un "nouveau gangstérisme...
... né de la prohibition de la drogue, de l'abandon des territoires, d'une décentralisation qui fait qu'on a des élus locaux parfois, soit qui parlementent avec les voyous, soit les laissent faire, soit qui disent "Il me faut de l'argent, de l'argent" ".

"C'est normal que les mecs aient les boules", assure l'élu socialiste "pour justifier la colère des policiers", commente l'AFP.

Le député de l'Essonne a cependant rendu hommage à Bernard Cazeneuve. "D'abord, il y a un ministre de l'Intérieur, tout le monde le reconnaît [sic], qui travaille vraiment beaucoup, qui est dévoué à sa tâche, qui n'en fait pas une carrière politique. Pour un ministre de l'Intérieur, ça change un peu quand même", a polémiqué ce proche du chef du gouvernement de Cazeneuve.

S'agissant des manifestations de policiers, "c'est normal que les mecs aient peur; on doit les protéger". Sauf que les mecs dénoncent d'abord et avant tout le manque de soutien réél du pouvoir, qui les assure de sa compréhension mais déclenche une enquête du GIGN contre eux à la moindre occasion. Peuvent-ils en effet protéger la population s'ils ne sont pas eux-mêmes protégés ? 

"Il y a toujours un peu d'organisation derrière", insinue Boutih

"Je suis un militant, je sais comment ça se passe," ajoute-t-il. "Il y a peut-être des gens d'extrême droite qui chauffent, il y en a toujours, affirme-t-il, dénonçant ainsi une emprise de policiers d'extrémisme de droite. Boutih est passé de peu à côté d'une accusation de fascisme, pour cette fois. 
"Mais je ne pense pas que ce soit le coeur des mécontentements", a-t-il insinué, distillant les germes de la suspicion. Et de la division. 

Il condamne au passage la sortie du premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis, la jugeant "pas délicat(e)". 
"Qu'on s'occupe de tous les jeunes de banlieue qui, eux, ne sont pas des voyous. Tous ceux dont on ne parle jamais", a-t-il délicatement nuancé.

Malek Boutih défend clairement l'option Valls pour la présidentielle de 2017, alors que le président de la République s'est précipité dans une crise de confiance profonde après la multiplication de ses confidences à des journalistes sulfureux du journal Le Monde. "Pour l'instant, [Valls] ne veut pas. Moi, j'ai envie de le pousser [de mes petits bras] en disant : il y a non assistance à gauche en danger".

vendredi 16 août 2013

Valls a des braquages partout à son actif, de Nice au Havre, en passant par Cannes

Braquage au Havre : 10 policiers blessés

Quatre malfaiteurs interpellés

De la Croisette au Havre, les sourcils froncés de Valls ne dissuadent pas les braqueurs de bijouteries. 
Une boutique du centre du Havre a été cambriolée vendredi par quatre malfaiteurs. Selon les informations recueillies par Europe1, dix policiers ont été blessés au cours d'une course-poursuite puis lors de la violente interpellation des malfrats.

La vitrine défoncée à la voiture-bélier
Au moins trois individus encagoulés et armés ont tenté de pénétrer dans la bijouterie-joaillerie Milliaud, située en plein centre-ville du Havre, aux alentours de onze heures vendredi matin. Les employés ont pu repousser cette attaque en verrouillant à temps le sas de sécurité de l'échoppe. 
Mais les malfaiteurs ont lancé un deuxième assaut, à l'aide d'une voiture-bélier cette fois. Une partie de la vitrine a volé en éclats et les cambrioleurs ont pu s'emparer de bijoux avant de prendre la fuite en voiture. Ils ont ensuite foncé sur un groupe de policiers qui se trouvaient par hasard non loin des lieux du casse. Les fonctionnaires ont ouvert le feu, sans faire de blessés parmi les assaillants.

Course-poursuite et interpellation musclée
Plusieurs voitures de police ont pris en chasse le véhicule des bandits dans les rues du Havre. Le groupe a finalement abandonné sa voiture après avoir percuté un véhicule de police. Les quatre malfaiteurs ont été arrêtés au cours d'une interpellation musclée où des coups ont été échangés. Au total, dix policiers ont été blessés au cours de cette course folle. 

Les quatre individus, tous originaires du Havre et connus des services de police, ont été placés en garde à vue. Ils sont âgés de 20 à 25 ans. Pour l'heure, le montant du butin amassé reste inconnu.

Cette affaire intervient alors que le Havre est le théâtre de braquages en série. Une bijouterie a été notamment cambriolée à trois reprises depuis le début de l'année. Un commerce de vêtements a été la cible d'un casse à la voiture-bélier la semaine dernière, tandis qu'un braquage a eu lieu dans un bureau de poste.
Sixième braquage sur la Cote-d'Azur

Deux malfaiteurs ont braqué, ce vendredi matin vers 7 heures,
un hôtel de luxe de la Promenade des Anglais à Nice (Alpes-Maritime), s'emparant de montres de marques présentées dans deux petites vitrines du hall d'entrée, selon la police.

Ce braquage intervient après le vol spectaculaire de bijoux à l'hôtel Carlton à Cannes le 28 juillet dernier, par un homme armé. Le montant record du vol s'élevait à 100 millions d'euros. 

Le 31 juillet, toujours à Cannes, deux hommes dérobaient une centaine de montres d'une valeur d'un million d'euros chez un bijoutier de luxe de La Croisette. Un suspect a été arrêté le 21 juin par la police espagnole à Palma de Majorque (îles Baléares) dans une tout autre affaire. Ce Franco-Algérien de 40 ans, déjà connu des autorités pour de nombreuses affaires de vol, a été interpellé après avoir été pris en flagrant délit de larcin dans un hôtel de luxe sur l'île méditerranéenne, à Cala Ratjada. "Il n'a pas été interpellé" à la demande de la police française, mais "des rapprochements ont été effectués" par la suite avec l'affaire cannoise.

Le député UMP des Alpes-Martimes, rappelle aussi que sa ville est sous vidéosurveillance.
Les trois villes visées sont administrées par des maires UMP: le gangstérisme au service de la politique?