Les policiers manifestent contre leur lâchage par Castaner, leur ministre foireux de tutelle
Les annonces et déclarations du ministre de l'Intérieur créent le dégoût
Les policiers restent mobilisés partout en France comme devant la préfecture de police de Paris, ce mercredi, une semaine après des annonces contestées du ministre de l’Intérieur.
Leur profession est stigmatisée par des mouvements anti-flic animés par l'ultra-gauche qui exacerbe la colère de la famille Traoré, noire et racisée.
Trop contente des encouragements reçus de Mélenchon (LFI) et de toute la gauche politique, cette fratrie de 17 enfants d'un père polygame malien tente d'intimider la Justice au moment où celle-ci va ré-ouvrir le dossier d'Adama, ca¨d de quartier mort il y a quatre ans des suites d'une révolte avec fuite contre un contrôle de police.
Dans ce climat de suspicion et de manifestations de rue répétées visant à dénoncer un racisme systémique dans la police, plusieurs centaines de policiers se sont de nouveau rassemblés ce mercredi à Paris, notamment devant la préfecture de police, où des menottes et des brassards ont symboliquement été déposés au sol.
C'est leur sixième jour de mobilisation et la colère ne retombe pas. Certains réclament les moyens en équipement qui manquent, d'autres voudraient que la justice soit plus ferme lorsqu'un policier se fait agresser, mais tous accusent le gouvernement, notamment Castaner, de lâchage. La grogne s'amplifie dans les rangs des forces de l'ordre du fait que leur fonction de protection de la population n'est plus respectée et leurs personnes visées par des injures, des agressions et des appels à des violences anti-flic.
Plusieurs déclarations du ministre Castaner a fait se lever un vent d'indignation et de révolte dans les commissariats et gendarmeries
Plus proche des voyous de son jeune âge à Marseille que des forces de l'ordre, ce mauvais choix de Macron au ministère de l'Intérieur a notamment condamné la clé d'étranglement qui permet de neutraliser les délinquants violents qui menacent la sécurité des policiers. L'annonce de l'abandon de la clé d'"étranglement" par Christophe Castaner, après un week-end de mobilisations contre les violences policières, a donc déclenché la colère des "gardiens de la paix" sur le terrain et de leurs syndicats.
Des policiers outragés se sont rassemblés devant le Stade de France à... Saint-Denis
Dans la nuit de mardi à mercredi, déjà, environ 200 policiers, en uniforme et en civil, se sont réunis devant des grilles du Stade de France à Saint-Denis dans un silence régulièrement troublé par les sirènes. Des dizaines de voitures de service étaient stationnées, gyrophares allumés.
"Après Paris et la Défense, ce soir on est au Stade de France pour montrer qu'on a du cœur et qu'on aime notre République. On continuera tant que le président n'aura pas entendu notre appel à nous recevoir", a prévenu Stéphane Finance, du syndicat Alliance, zappant Castaner. Désignant ses collègues, il a ajouté: "Ce sont des policiers qui travaillent sur la voie publique et viennent de toute l'Ile-de-France. Des gens qui sont dehors quel que soit le temps, même le jour de Noël," a-t-il ajouté, désignant ses collègues.
Une minutes de silence
A la mi-journée, vers 13h, à Bobigny, préfecture du 9.3 et commune PCF jusqu'en 2014, mais où la liste gauche d'Abdel-Madjid Sadi, apparenté PCF est arrivee en tête au premier tour des municipales 2020, une centaine de policiers en uniforme et en civil s'étaient réunis devant le tribunal, où ils ont observé une minute de silence pour "les collègues blessés et morts en service" avant d'entonner la Marseillaise. Ils ont ensuite allumé les gyrophares et les sirènes de leurs voitures.
A la même heure, une centaine de fonctionnaires s'étaient aussi rassemblés à Mulhouse, devant le commissariat. Ils ont symboliquement jeté leurs menottes au sol et ensuite allumé des fumigènes, aux couleurs nationales en chantant La Marseillaise.
Les policiers maintiennent la pression avec une nouvelle journée de manifestation
"Notre ministre a annoncé la suppression de la clef d'étranglement qui aboutira sans aucun doute possible à de nombreux blessés supplémentaires dans nos rangs et à la suspension de policiers en cas de 'soupçon avéré' de racisme faisant de nous tous des sous-citoyens ne bénéficiant d'aucune clef d'étranglement !", a regretté Michel Corriaux, délégué syndical Alliance.
"Ce discours a laissé place à la consternation au sein de notre institution! Après ces quelques mots, les forces de l’ordre se sont senties lâchées, abandonnées et je le dis avec force aujourd’hui : déshonorées sur l'autel politique !
Pourtant, qui était là pour faire face à Mohamed Merah ? Aux frères Kouachi ?
Qui était présent au Bataclan et tant d'autres endroits ?
Et qui sera toujours là pour faire face au terrorisme ! C'est la police !", a-t-il dit.
"180 collègues ont déposé en début d'après-midi les menottes devant le tribunal de Perpignan en signe de ras-le-bol, un malaise dans la police accentué par notre ministre," indique Alliance.
<br>A Nîmes et Lille, soignants et forces de l'ordre s'applaudissent mutuellement.
Mardi 16 juin à Nîmes, des policiers ont déposé leurs casques pour exprimer leur soutien aux soignants, lesquels leur ont rendu la pareille.
Une scène similaire s’est déroulée à Lille, où des manifestants présents dans le cortège de la CGT ont échangé des applaudissements avec des policiers encadrant l’événement.
Toutes les images issues des manifestations de soignants du 16 juin ne véhiculent pas des messages aussi conviviaux.
A Paris, la manifestation pacifique des soignants a dégénéré , telle Farida, une infirmière racisée, interpellée pour "outrage et jets de projectiles [des morceaux de pavés] sur les forces de l’ordre", a été relayé par de nombreux internautes.
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