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samedi 28 mars 2009

Combien le concert d’Aubry au Zénith a-t-il coûté au contribuable ?

Pas un seul Dosière pour chiffrer le coût du "Printemps des libertés" ?

Les nostalgiques des présidents de la République qui inaugurent les chrysanthèmes
Les passéistes socialistes envisagent le présent et l’avenir l’œil rivé sur le rétro.

Ils versent régulièrement un pleur sur le temps révolu de la IVe République qu’ils veulent restaurer et du Président Coty qu’ils ne reconnaissent pas en Sarkozy. Le président ne quittait l’Elysée que pour couper des rubans tricolores et tapoter la joue rose des petits enfants. Voilà que Nicolas Sarkozy se dresse face à la crise et va au devant des Français. Son tort ? Il ne leur interprète pas de chansons…
Aujourd’hui, un député PS qui scrute à la loupe les dépenses de l'Elysée pour les interpréter et les stigmatiser, n’a pas noté ni le changement de régime ni la rupture : le président pépère a muté en hyper-président, sans que Darwin et les socialistes n’y soient et n’y puissent rien. Dans le même temps où ils reprochent au Premier Ministre sa gestion austère et casanière, les avaricieux de l’opposition ne considèrent pas un instant que l’un et l’autre puissent au total se compléter et équilibrer les comptes.

S’agirait-il, en dénonçant les frais de déplacement du chef de l'Etat mardi soir à Saint-Quentin dans l'Aisne, d’une volonté de contrôle et de limitation de l’activité présidentielle
, d’une nouvelle tentative de blocage et au bout du compte d’une campagne anti-démocratique d’isolement du président ?
Pour le député apparenté socialiste René Dosière, qui s'est fait connaître par ses chiffrages des dépenses de l'Elysée, il n’y aurait de grosses dépenses que celles engagées par le Président Sarkozy. Le coût de l’entretien-concert de la première secrétaire socialiste au Zénith n’entrerait pas dans le champ de ses compétences. Mais qui paie, si ce n’est le contribuable ? Et combien de fois, quand on est parisien, francilien et français ?

Qui fera les totaux ?
C'était visiblement la fête...

  • Le coût du déplacement des policier et CRS dépêchés par la Ministre de l’Intérieur est-il remboursé par le PS ou à la charge de la collectivité des petites gens ?

  • Les frais annexes ?
    Les invitations envoyées et cocktail aux VIP ne sont-ils pas supportés, bon gré, mal gré, par l’ensemble des parisiens et franciliens, socialistes ou non ?...
    «La première secrétaire s'est adressée au cours d'un meeting aux allures électorales à 1.500 4.000 sympathisants PS», fustige une personnalité socialiste qui a tenu à garder l’anonymat, comme le veut l’usage, quand on invente des commentaires tendancieux.

  • Manque à gagner dans les commerces ?

    Autre information qui n'est pas comptée par l'élu : les commerçants du Zénith ont enregistré un important manque à gagner sur le soda, le pop-corn et la barbe à maman. Ils n’ont pas réalisé le chiffre d’affaire escompté avec moins de 1.500 spectateurs, alors qu’ils en escomptaient «Est-il honnête, est-il moral d'utiliser autant de moyens publics pour un spectacle dont la finalité était partisane ?», n’a pas demandé René Dosière à Michèle Alliot-Marie.
    MAM est la ministre de tous, socialistes compris : «Mon rôle, c'est de permettre à chacun de participer à des événements ou à des manifestations sans qu'il y ait de violence, et par conséquent, il me revient, en liaison avec les préfets, d'apprécier ce que sont les moyens nécessaires».
    Quant au coût de la fête à Neuneu Aubry que l’élu socialiste fait passer en pertes et profits, «il est inscrit tout naturellement dans le budget que vous votez chaque année», aurait pu souligner la ministre de l'Intérieur, sans plus d’acrimonie sur le montant du gaspillage socialiste. Les services de l'Elysée n'ont pas polémiqué non plus sur ce chiffre.

    Pourtant, au « Printemps des libertés » du Zénith, les forces déployées n’étaient pas adaptées au faible nombre de participants et auraient pu être mieux employées ailleurs ou laissées au repos. Le PS est responsable d’un gaspillage considérable.
    Le Zénith a en effet accueilli quelque 1.500 militants socialistes (1.000, selon le Télégramme) pour une capacité de 6 400 places environ, dont 5.830 places assises, sur 6.200 m2…«Ce n'est pas si mal pour un parti qui reprend l'habitude de travailler», s'était enthousiasmée l'angélique Martine Aubry, marquise des Anges du PS.

    Il faut savoir que le label Zénith (18 salles en 2008) est le fruit d’un accord entre la société COKER, propriétaire de la marque, et le …Ministère de la Culture. Que Madame Christine Albanel soit donc ici remerciée par Désirdavenir Royal et la Ch’tite Aubry.

    Ce rassemblement historique était présenté comme le point culminant de l'offensive lancée depuis janvier par le PS sur le thème de la défense des libertés. Il reste bloqué à son nadir !

  • dimanche 22 mars 2009

    Le fiasco du « Printemps des libertés" socialiste

    Au PS, ils ne sont pas tous venus, ils ne sont pas tous là !

    Comme on demandait à Martine Aubry si elle faisait sa Obama en imitant Sa Cynique Majesté Royal et si elle virait ségolénienne en cédant à la "peopolisation" et en faisant "son Zénith", la première secrétaire a plaisanté, autant qu’elle peut: "oui, comme vous le voyez, je vais répéter pour cet après-midi!". "La gauche vient toujours au Zénith", a-t-elle hasardé, pensant rivaliser avec la Fête de la fraternité de septembre.

    Certes on s’embrassait à qui mieux mieux, mais le débat de la matinée axé sur la défense des collectivités locales n’a pas réuni plus de 300 personnes, et encore n’est-ce même pas une estimation de la police…

  • La sémillante Elisabeth Guigou a fait sa vilaine en affirmant, comme çà, que "le pouvoir des collectivités est insupportable à Nicolas Sarkozy", qui veut "les mater et les asphyxier". "Nous devons résister et freiner la boulimie de pouvoir de Sarkozy".
  • Le convivial Jean-Marc Ayrault, patron à vie des députés socialistes, n’a encore pas innové en dénonçant la réforme constitutionnelle dont l'application, selon lui, montre qu'elle "donne des pouvoirs supplémentaires à la majorité" et "moins de droits qu'avant à l'opposition". Barack Hussein Obama a le droit de s’adresser au Congrès américain, mais le président du groupe PS a-t-il dénoncé cette confusion des pouvoirs ?
    On le voit, le rassemblement se veut festif, avec le retour en force du Grand Guignol socialiste et le jeu de massacre avec les débats de l'après-midi consacrés aux "libertés sous surveillance".
  • La matinée récréative se poursuivra avec un concert auquel participent le rappeur Axiom (aka. Hicham Kochman, pour les uns français –né à Lille- mais marocain pour les autres), Clarika (essentiellement l’interprète française des chansons des autres, née en 1967 d’un père hongrois, et compagne de belge Jean-Jacques Nyssen ) et le napolitain Sanseverino.
    Au programme : Sabotage (2003), par Axiom ; Le tango des gens (2001) dédiée à Hollande, ou Les Sénégalaises (2004), dédiée à Désirdavenir Royal, par Sansevrino, et le Soldat Rose (2006), conte musical dans lequel il joue le conducteur de train, dédié à Martine Aubry.

    Et les libertés se portent bien.

    Le bide du "printemps des libertés" bidon du PS

    A peine 1500 inconditionnels pour 4000 places

    Le concert-meeting socialiste contre Nicolas Sarkozy et pour la défense des libertés aura été un fiasco, dimanche au Zénith de Paris.

    Piteuse

    Martine Aubry a assuré hardiment devant un auditoire clairsemé que libertés et crise économiqueétaient "intimement liés" !...
    Bille en tête, la première secrétaire du PS a accusé le chef de l'Etat de "répondre à l'angoisse sociale par la diminution des libertés".
    "Nous voyons bien que devant son échec économique et social, parce que sa main gauche n'a pas su donner, n'a pas su protéger, il serre du côté de sa main droite", a expliqué la maire de Lille, visiblement plus véhémente que convaincue. Et si peu convaincante !
    Le PS a publié au début du mois un pamphlet recensant les reculs, à ses yeux, des droits depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy à l'Elysée. Dans son discours, Martine Aubry a donc dénoncé, entre autres, la "mise sous coupe" de la justice et les attaques contre la liberté de la presse. Attaque malencontreuse ! La presse n'a-t-elle pas plus à craindre du Syndicat du Livre qui dans la semaine venait tout juste de bloquer la parution des journaux ?...
    "On constate que l'Etat social recule mais que l'Etat pénal progresse", a assuré son mignon, Benoît Hamon, virevoltant chez lui, sur France 5.

    Pitoyable
    Le "printemps des libertés" devait marquer l'apogée de la campagne socialiste contre le président de la République, mais peu de franciliens ont finalement fait le déplacement huit mois après la "Fête de la fraternité", en septembre.
    "On nous dit qu'on n'est pas trop nombreux, on me dit 1.500 ou un peu plus. Je trouve que ce n'est pas si mal pour un parti qui a le courage de parler des libertés avant qu'il ne soit trop tard", a relativisé la maire de Lille devant les spectateurs, dont de nombreux membres de sa direction et leurs familles.

    La Ch’tite Aubry a des visions
  • "Des centaines de milliers de personnes sont derrière nous qui pensent que ce n'est pas parce que la France va mal qu'on doit nous faire le coup de la sécurité", a insisté Martine Aubry.
  • "Personne ne refait le coup de la sécurité", a répliqué le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre. Dans son discours, le PS "oublie" et "n'assume pas la réalité", a-t-il dit sur i-Télé. "Les socialistes (...) ont toujours décidé que la sécurité ça n'était pas important".
    L'UMP a diffusé dans l'après-midi une vidéo dressant son propre bilan des libertés depuis 2007.
    En tant que ministre de l'Intérieur, "c'est lui qui a le plus fait reculer la délinquance et tout le monde le sait, la sécurité est la première des libertés dans notre pays", explique Marie-Dominique Aeschlimann, secrétaire nationale de l'UMP aux Libertés individuelles.

    Les critiques sont aussi venues de l'intérieur, au PS
  • Pour Manuel Valls, missionné par Sa Cynique Majesté Royal, le pamphlet socialiste illustre la difficulté du PS à "à trouver le ton juste" face au chef de l'Etat.

    "Déboussolés par nos défaites consécutives aux élections nationales, certains responsables de notre parti cherchent encore leur cap entre le gauchisme infantile et l'anti-sarkozysme obsessionnel", écrit le député-maire d'Evry sur son blog.
  • Manuel Valls, un sarkozyste qui s'ignore ?

    Le démystificateur stigmatise "l'antisarkozysme obsessionnel" du PS

    Attention, le PS a lancé sa campagne des Européennes!
    Ils n'étaient pas 1.500 au Zénith...
    La maîtresse nageuse du grand bassin a dû rassurer: le PS est en ordre de marche nage.
    Après des bousculades et des malaises au plongeoir, ils ont piqué une tête dans la campagne des Européennes samedi avec l'attribution chaotique mais définitive des lignes d’eau.
    Cette eau est tellement limpide qu’Aubry, la maîtresse nageuse du PS a préféré chausser les palmes de l’anti-sarkozysme primaire plutôt que de s’étendre sur la planche instable des Européennes dans le bouillon agité du grand bassin socialiste. Elle a battu violemment des pieds pour ne pas boire la tasse.

    Tout ce qui est excessif est insignifiant
    Déjà les critiques internes refont surface sur l'angle d'attaque choisi par la direction du parti pour s'en prendre à Nicolas Sarkozy et au gouvernement.
    Le député PS Manuel Valls voit dans le réquisitoire du PS sur les libertés publiques un "danger" de "l'antisarkozysme obsessionnel", dans une tribune publiée samedi sur son blog. Le PS a publié la semaine dernière un "livre noir" qui, sous le titre "La France en liberté surveillée, la République en danger", dresse une caricature des "atteintes aux libertés publiques" depuis l'arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy. "Bien entendu, nos critiques à l'égard de l'exercice du pouvoir par le président de la République doivent être inflexibles (...) Mais faut-il pour autant parler de mouvement historique de régression des droits et d'étouffement systématique de tous les contre-pouvoirs ? Ma réponse est non. Faut-il voir dans ces évolutions la manoeuvre réfléchie et diabolique d'un Bonaparte en Ray-ban ? Ma réponse est encore non", s’écrie le député de l'Essonne.
    Je t’aime, moi non plus
    Ce livre noir illustre, selon lui, "de manière exemplaire les difficultés de l'opposition à trouver le ton juste". "Déboussolés par nos défaites consécutives aux élections nationales, certains responsables de notre parti cherchent encore leur cap entre le gauchisme infantile et l'antisarkozysme obsessionnel." Des noms !

    "Du gauchisme, ce livre retient la vision complotiste et paranoïaque de l'histoire. Faire de Sarkozy un démiurge capable d'ébranler, à lui seul, les institutions républicaines et les droits fondamentaux, c'est témoigner d'une répulsion qui confine à la fascination. En noircissant son portrait à l'excès, il grandit le personnage et donne le sentiment d'une réaction hystérique de la faiblesse devant la manifestation de la force."

    Manu valse entre obsession et banalisation
    L’opposition se trompe de cible
    "À notre époque, les libertés individuelles sont menacées, hélas, par des dangers beaucoup plus pernicieux (...) Clin d'oeil au Printemps des peuples de 1848, le Printemps des libertés" organisé dimanche au Zénith est une occasion ratée ."


    Pour Valls, le « Printemps des libertés" pourrait tourner à l’automne d’une carrière socialiste.
    Sanseverino dédiera-t-il à Manu sa chanson "Mal ô mains" dans laquelle on peut entendre le saxophone ténor jouer un court extrait de la musique du dessin animé Popeye. Peut-être alors, la chanson "Il se la pète"…

    Le Che-Besansenot nuit gravement au PS

    Les libertés ne sont pas autant menacées

    Le thème des libertés ne fait pas recette !
    Le PS a fait "salle vide" à son 'Printemps des Libertés' du Zénith dimanche 22
    Le Parti socialiste,a donc intérêt à "changer de répertoire" et cesser d'être "à la remorque" du dirigeant du NPA, Olivier Besancenot, a estimé lundi Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'’UMP.

    Les chanteurs du spectacle Axiom, Sanseverino et Aubry, disques de papier

    "Faire salle vide, ça veut dire qu'ils sont à côté de la plaque, ils ne sont pas sur les préoccupations des Français", a observé F. Lefebvre sur LCI, commentant le concert-meeting du PS pour la défense des libertés dimanche au Zénith qui n'a pas réuni autant de participants qu'espéré, avec quelque 2.500 places vides.
    "Je dis à Mme Aubry que si elle était chanteuse, et vous faites un bide comme ça, je peux vous dire que votre producteur vous lâche et vous ne faites pas de disque", a-t-il ironisé à l'intention de la première secrétaire du PS.

    Les socialistes bientôt en première partie du show Besancenot
    Selon le député de Hauts-de-Seine, "le Parti socialiste a intérêt à changer de répertoire ; il a intérêt à arrêter d'être à la remorque, matin, midi et soir, de M. Besancenot qui est devenu le nouveau leader de la gauche".