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mardi 15 avril 2014

Libération incite à "se droguer avec modération"

Solution de bobos pour oublier la politique socialiste qui nous opprime 

"Droguez-vous avec modération"
Sociétal avant tout !
Récidive des irresponsables au pouvoir
La Une de Libération fait la promotion de l'usage raisonné des substances illégales, jouant ainsi ce lundi un rôle de support au gouvernement qui  n'a pas renoncé à ouvrir des salles de shoot

L'association des Parents contre la drogue met en garde contre la banalisation des drogues. Son président, Serge Lebigot, est également l'auteur des livres Cannabis: ce que les parents doivent savoir  dans lequel il met en garde contre les addictions qui touchent les jeunes : alcoolisation parfois rapide, heures passées devant les écrans d'ordinateur, drogues... 
Parmi ces dernières, le cannabis est souvent présenté comme une " drogue douce " aux vertus thérapeutiques. Or il n'en est rien, souligne Serge Lebigot, qui anime une association de parents engagée de longue date dans la lutte contre ce fléau. À travers un propos très accessible, l'auteur informe les parents sur les nombreux risques encourus par les jeunes, notamment au plan sanitaire. Nourri d'une véritable expérience de terrain et des drames, il explique comment se comporter face à un adolescent qui consomme du cannabis, mais ne pas le braquer et poursuivre le dialogue. 

Qui oserait prétendre que l'opinion ne se montre pas irritée par le laxisme en ce domaine? 
Dans les débats des municipales et lors des dernières élections, les électeurs ont exprimé leur désaveu de l'insécurité. Apolitique, l'association a alerté, tant Manuel Valls, alors ministre de l'Intérieur, que Marisol Touraine, alors ministre de la Santé, sur la folie et l'incohérence de s'acharner à vouloir ouvrir une salle de shoot à Paris, avant sa généralisation en France. Elle n'a pas été écoutée, alors que l'exécutif clame sa volonté d'écoute et de concertation. 
La Mairie socialiste de Paris s'est portée volontaire, poussant le projet "à la hussarde". "Notre association a dû batailler ferme et n'est pas peu fière d'avoir contribué à faire triompher le droit républicain et à faire chuter ce projet."

Le gouvernement a-t-il renoncé à poursuivre sa politique de dépénalisation de toutes les drogues?

Deux informations, l'une passée inaperçue, l'autre encore non rendue publique, font craindre hélas le contraire et la duplicité du nouveau premier ministre.

Que la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDCA, ancienne MILDT, Mission interministérielle de la lutte contre les drogues et la toxicomanie ) place sur le même pied d'égalité la dépendance au crack (cocaïne) et à l'héroïne et celle aux jeux vidéo, pourquoi pas à l'addiction au café ou au chocolat, en dit long sur la volonté de banalisation.
Dans la plus grande discrétion, Ayrault a signé un décret -pourtant passé au Journal officiel- pour changer le rôle de l'ex-MILDT (Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie). Juste avant de se faire virer, le sombre Ayrault lui a  fait changer de nom pour devenir la MILDCA, Mission interministérielle de la lutte contre les drogues et les conduites addictives.

Or, il ne s'agit pas d'une modification anodine et bénigne de terminologie. Derrière la modification du nom de cet organisme et derrière la révision du périmètre de ses attributions, il faut voir en réalité une modification profonde de l'approche de la lutte contre la drogueLe prosélytisme dont continuent de faire preuve certains cercles du pouvoir en faveur de la dépénalisation des drogues, à commencer par le cannabis, prouve aussi qu'au sommet de l'État on ne renonce pas aux salles de shoot.

Les groupes de pression sont en train de gagner la partie

La lutte contre la drogue est désormais réduite au niveau de n'importe quelle forme d'addiction, comme le jeu. 
Bien qu'il soit indéniable que la drogue est la plus destructrice des addictions, la MILDCA nie les terribles risques qu'elle crée par ses amalgames et banalisations, alors que sa mission est au contraire de les prévenir et de les combattre. Cette réorientation, en particulier sur "l'addiction aux jeux vidéo" écrite en toutes lettres dans sa nouvelle lettre de mission (addiction qu'au demeurant, le 1er mars 2012, l'Académie nationale de médecine a relativisée) est préoccupante pour tous les acteurs de la lutte contre le fléau de la drogue.

Le gouvernement renonce à jouer pas son rôle de protection sanitaire
Le tournant qu'il autorise trouve son origine dans le prosélytisme dont continuent de faire preuve certains cercles du pouvoir en faveur de la dépénalisation des drogues, à commencer par le cannabis.

Le recours de l'association des Parents contre la drogue n'a pas découragé le gouvernement  Puisqu'il ne peut ouvrir des salles de shoot par décret, il va le faire par la loi. Le projet de Marisol Touraine est d'écrire en toutes lettres cette "légalisation" dans un nouvel article L. 3121-1 au Code de la santé publique. C'est ce projet qui figure actuellement dans un avant-projet de loi dite "santé publique" (sic) qui est prévu d'être examiné quand les Français seront sur les routes des vacances, le 16 juillet prochain au Conseil des ministres, dans la torpeur de l'été. 
Au premier ministre, ancien premier flic de France, il est demandé de se positionner en retirant ce texte. La lutte contre la drogue doit être décrétée grande cause nationale.

dimanche 4 août 2013

Drogue: Valls partage la même souffrance que Valérie Trierweiler

Manuel Valls, sa soeur et la drogue : un lourd secret de famille révélé...

La presse nous avait apitoyés sur le fils drogué de Valérie Trierweiler
Valérie Trierweiler, née Massonneau, a eu trois enfants de son seul mari, Denis Trierweiler, rencontré à Paris-Match et épousé en 1995. Sur la Toile a été évoquée l'arrestation d'un de ses enfants pour consommation de stupéfiants à Paris ou au Canada. Ces informations restent totalement invérifiables, alors la première concubine les a démenties sur ...Canal+. 
Une information de l'hebdomadaire Le Point révélait récemment que Léonard, le fils cadet de Valérie Trierweiler, âgé de 15 ans, bénéficie d'une protection rapprochée aux frais de l'Etat. Ce dernier serait escorté en permanence par deux policiers, "un brigadier et d'un gardien de la paix," selon l'hebdomadaire.
On se demande comment la famille de la favorite peut coûter aussi peu cher au pays, à en croire la presse socialiste.
Pas un mot en revanche sur la révélation selon laquelle le fils de Valérie Trierweiler a passé plusieurs heures au poste de police pour détention de haschich, en mars 2012, selon plusieurs sources policières concordantes. Ni le père du garçon, Denis Trierweiler, contacté sur son lieu de travail à Paris Match, ni l'avocate de Valérie Trierweiler, maître Frédérique Giffard, n'a souhaité communiquer. Quant à François Hollande, il s'est prononcé publiquement contre la dépénalisation des drogues douces. 
Et Valls ?


La com fait le ministre et une super com, le héros
Tandis que François Hollande (59 ans en août) "fête" sa première année de couacs à répétitions, de hausse du chômage avec un ministre du Budget fraudeur fiscalManuel Valls peut se vanter d'une politique répressive populaire à l'encontre de certains Français, malgré les bâtons mis par Taubira dans ses roues d'hyper-actif. L'homme peut bien chasser les Rom à Evry et ailleurs, manifestant ainsi ses préférences xénophobes, ou réduire la liberté d'expression des opposants pacifiques de la droite de conviction, tout en tolérant les "antifa" ou les Femen, manifestant ainsi des tendances anarcho-révolutionnaires, la presse continue avec constance de flatter le totalitaire de la Place Beauvau.

Pour favoriser son ascension politique, les media se sont en outre penchés sur ses douleurs intimes !
Relayé par VSD, un livre, Manuel Valls, les secrets d'un destin, a révélé un lourd passé. Le ministre de l'Intérieur aurait en effet sorti sa soeur Giovanna de l'enfer de la drogue...

Dans ce livre signé par Gilles Verdez et Jacques Hennen, Manuel Valls a choisi de parler pour la première fois de sa part d'ombre, à savoir Giovanna. "J'ai une soeur qui a seulement seize mois d'écart avec moi, s'épanche-t-il. Giovanna s'en est sortie, elle va mieux désormais. Elle est très belle et a retrouvé le sourire. Quand vous la voyez, vous n'imaginez pas qu'elle a 50 ans.
"Pourtant, cette dernière a bien failli ne plus jamais revoir son frère," lit-on! "J'avais 20 ans quand un homme m'a fait du mal", raconte-t-elle aux auteurs, sans donner plus de détails, mais en faisant le point de départ de sa chute qui l'entraîne alors dans l'enfer de l'héroïne.

Pour s'en sortir, Giovanna va alors déménager à Barcelone, sa ville natale, en août 1985, pendant que Manuel Valls fait ses premières classes en politique en tant qu'assistant parlementaire. Malheureusement, elle continue de sombrer avant de s'en sortir au bout d'un an et de ne plus toucher à la drogue pendant quinze ans. 

Mais en 1998, elle rechute après avoir encore subi les violences d'un homme.
 
"J'ai tendu mon bras, je le revois encore ce bras, on m'a fait un shoot. J'ai eu une overdose et j'ai fini à l'hôpital (...) Je me suis shootée pendant cinq, six, dix ans. Je suis devenue junkie, une marginale, un fantôme dans une ambiance de Rolling Stones ou de Freddie Mercury", raconte-t-elle. Jusqu'à connaître la prison, où elle découvre qu'elle est infectée du virus "sida et de l'hépatite C", mais continue à se shooter.

Manuel Valls reconnaît ne pas s'être occupé "directement" de Giovanna
Il s'en justifie, comme il sait si bien le faire: "Elle l'aurait "mal vécu", assure-t-il maintenant. 
Et la légende se construit pourtant. Ce serait bien lui qui l'aurait sauvée en se rendant à Barcelone, alors qu'il brigue la mairie d'Évry. "Manuel m'a tenu la main, m'a dit : fais quelque chose, se souvient-elle. J'ai mis sur la balance d'un côté l'héroïne, de l'autre ma vie." Un véritable déclic pour sa soeur qui va suivre une thérapie en Amazonie aux côtés d'anciens junkies. Un roman !

Héros de BD à Beauvau
Présente au mariage de son frère, maire et député de l'Essonne, avec Anne Gravoin annoncé en janvier 2010 lors de ses voeux à la mairie d'Evry, les Français sont désormais censés savoir pourquoi son frère est opposé à la légalisation des drogues douces. "Il a vu les ravages qu'elle cause", assure-t-elle. Un lourd passé qui habite toujours l'homme mais également le ministre de l'Intérieur qu'il est.
Tout ce long montage médiatique pour justifier un positionnement qui heurte la gauche laxiste.
Si Anne est une artiste, Manu connaît la musique.