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dimanche 11 octobre 2020

PMA pour toutes : nombreux rassemblements contre la "PMA sans père" dans plusieurs villes de France

Contre-manifestations de pro, le jour des rassemblement contre la PMA

Ce samedi 10 octobre, le mouvement associatif unitaire rassemblé sous le label "Marchons Enfants !", appelait tous les citoyens à se mobiliser contre le projet de loi bioéthique permettant notamment l'ouverture de la PMA à toutes les femmes. 










Les opposants à la "Manif pour tous"  sont venus en nombre contrecarrer le rassemblement des anti 

Répondant à l’appel du collectif d’associations Marchons Enfants!, dont la Manif pour tous, les manifestants étaient 1.700, selon les organisateurs, à Versailles, plusieurs centaines à Paris, Toulouse, Lille, Rennes, Bordeaux, Lyon ou encore Clermont-Ferrand.

Avant l’examen du projet de loi au Sénat

A Paris, place Vendôme, devant le ministère de la Justice, les opposants ont scandé « Macron, ta loi on n’en veut pas », ou encore « PMA et GPA, on n’en veut pas. En France l’humain ne se vend pas ». A la tribune, plusieurs associations se sont relayées pour dénoncer un texte qui « menace les enfants », l’association anti-IVG Alliance Vita demandant pour sa part « l’arrêt de l’engrenage eugéniste ».

Les forces de l'ordre bloquent les opposants à la manifestation anti-PMA. Ce samedi, le mouvement associatif unitaire rassemblé sous le label "Marchons Enfants !", appelait tous les citoyens à se mobiliser contre le projet de loi bioéthique permettant notamment l'ouverture de la PMA à toutes les femmes.


En réaction, de nombreux activistes de gauche et LGBT, défenseurs de la loi, ont organisé des contre-manifestations, notamment à Toulouse. 

L’appel de "Marchons Enfants" a attiré un millier de personnes, samedi 10 octobre, Place du Salin à Toulouse, sous des drapeaux verts où l’on pouvait lire "Liberté égalité paternité". 

Ce samedi, le mouvement associatif unitaire rassemblé sous le label "Marchons Enfants !", appelait tous les citoyens à se mobiliser contre le projet de loi bioéthique permettant notamment l'ouverture de la PMA à toutes les femmes.

De l’autre côté du palais de Justice, sous le drapeau arc-en-ciel des mouvements homosexuels, avec le soutien, notamment de Act Up, et de l’ultra-gauche, dont le NPA (révolutionnaire trotskiste), une contre-manifestation, non déclarée en préfecture, a été organisée avec des slogans de haute volée. "Mieux vaut une paire de mères qu’un père de merde" ou "Mieux vaut famille gay que famille triste".

"Dieu est gay," assure une pancarte

Inutile de souligner que ces deux mondes ne partagent pas les mêmes idées. Et malgré un important déploiement de force de l’ordre, compagnies de CRS et policiers de la compagnie départementale d’intervention, les activistes pro ont essayé de bloquer le cortège des anti place du Salin. La police les a invités fermement à se disperser ce qui, contre toute évidence, selon les pro de mauvaise foi, a déclenché un premier incident provoqué, disent-ils, relayés par Midi Libre, par certains membres de l’encadrement "très identitaire" de "Marchons enfants". La police a effectué une charge rapide pour séparer les opposants.

Lacrymogènes pour disperser

Les forces de l'ordre bloquent les opposants à la manifestation anti-PMA.Il n’y a plus eu d'affrontement direct entre anti et les quelques trublions pro, la police toulousaine veillant à éviter aux deux groupes de se croiser. Place des Carmes, puis à Esquirol, les forces de l’ordre ont utilisé des gaz lacrymogènes pour obliger les soutiens à la cause homosexuelle et à la PMA, procréation médicalement assistée, à se disperser dans le rester de l'arrêté préfectoral. "Leur manifestation n’avait pas été déclarée en préfecture contrairement à l’autre mouvement", glisse au passage un responsable policier. Le cortège favorable à la loi bio éthique, fort quand même de plusieurs groupes de quelques dizaines d'individus a pu effectuer une marche au départ du rassemblement du palais de justice jusqu’au Grand-rond, dans les deux sens.

Les opposants à la manifestation ont été bloqués par la police

Les opposants à la manifestation déclarée ont été bloqués par la police -  

Dans l’après-midi, notamment au croisement de la rue de Metz et d’Esquirol, les partisans de chaque camp se sont copieusement insultés, en paroles et en gestes, les doigts bien tendus… Il n’y a pas eu de nouveau dérapage physique, ni de dégradation. A part les autocollants généreusement distribués et collés un peu partout où on peut lire : "NPA GPA, sans père Non". La police n’a procédé à aucune interpellation.

Le cortège de "Marchons pour les enfants" s’est dispersé vers 17 heures après d’ultimes prises de parole devant le monument aux morts. A 500 mètres de là, sur le boulevard Carnot, quelques grenades lacrymogènes ont été à nouveau lancées pour éloigner, une dernière fois, leurs opposants.

Ils manifestent contre la loi bioéthique

Le collectif d’associations « Marchons Enfants » qui regroupe La Manif pour tous, Alliance Vita, l’association des familles catholiques et le CPDH, comité protestant évangéliste pour la dignité humaine avait lancé un appel au rassemblement autorisé. A Paris, Lyon, Bordeaux mais aussi à Toulouse où au plus fort de l’après-midi, près de deux milliers de personnes ont marché sous les hués et quolibets des membres des mouvements pro-homosexuel ou de l’ultra-gauche. Des opposants dispersés par la police.
« Marchons Enfants » refuse la PMA, procréation médicalement assistée, sans père, et la GPA, la gestation pour autrui. Ils s’opposent donc à la loi bioéthique votée au cœur de l’été par l’Assemblée. « Par seulement 17 % des députés, au milieu de la nuit, un scandale ! », reproche un manifestant. 
Le mouvement ironise sur un président Macron qui allonge le congé parental des pères « mais qui facilite, encourage même la naissance d’enfant sans père ».
À Toulouse, Robert Ménard, le maire de Béziers et son épouse Emmanuelle, députée de l’Hérault, participaient au rassemblement, écharpe tricolore barrant leur poitrine. La députée a invité les participants à écrire aux sénateurs « pour leur faire prendre conscience des dangers de cette loi, » puisque le projet doit leur être présenté pour amendement(s) avant de revenir pour une seconde lecture à l'Assemblée. 

La mise en danger d’autrui est punie par la loi.

Comment un gouvernement peut-il décider de mettre lui-même des enfants en danger en promouvant la PMA pour les femmes seules ?

Les connaissances acquises sur le sujet permettent de savoir que les enfants privés de père, sont en danger. Nos gouvernants ne peuvent l’ignorer. C’est donc délibérément qu’ils sacrifient le développement des enfants pour satisfaire certains adultes, au nom du concept "désir d'enfant", sans père, en contournant les lois de la nature, mais au nom de la Science.

Force est, à ce stade, de constater une colonisation du gouvernement par le féminisme radical dominant dont le but, proclamé, est de « libérer » ses adeptes de l’homme, dénigré comme "dominant" et "violeur", et de l’enfant, objet du désir de maternité, quelles que soient les conséquences qui en résultent pour ces derniers et pour la société.
Un nouvel ordre social se mettrait ainsi en place, sans respect des lois de la Vie et uniquement au service du féminisme radical.

L’objectif du féminisme radical (allié aux associations de type lesbien) est, en effet, de couper complètement le lien entre l’homme et les enfants, c’est à dire, supprimer la parentalité masculine et détruire la famille traditionnelle vouée aux gémonies comme archaïque, selon les femmes de progrès.

Le projet de loi va dans le sens de la femme pouvant s’en pourvoir si elle en a l’usage, mais sans engagement ni contraintes pour elle, ni engagement auprès de l'enfant à naître. La situation idéale étant cependant alignée sur la recommandation exprimée lors de la marche « NousToutes » du 23 novembre 2019 : « soyons lesbiennes pour nous délivrer du mâle »

Les enfants sans père seraient réduits à une moitié de leur identité personnelle, privés de la connaissance, et aussi de la pratique de vie, de l’autre moitié d'eux-mêmes, à jamais détruite. Leur situation serait pire que celle des enfants qui sont actuellement privés de père, soit par accident, désordre culturel et social ou par la volonté de certaines mères, mais qui savent qu’ils ont eu ou ont encore ce père.  

Ces « femmes seules », éventuellement demandeuses de PMA sont rarement des femmes véritablement seules. Or, des statistiques et l’actualité ont prouvé que les enfants dont l’homme qui cohabite, occasionnellement ou en permanence avec la mère n’est pas le père biologique ont sept fois plus de risques d’être maltraités (des études nord-américaines disent cent fois) que les enfants qui vivent avec leurs deux parents biologiques. L’actualité, occultée à dessein, nous le prouve avec les enfants martyrs tels que Marina, Fiona, etc. tués par leur mère et leur « beau-père ».

D’une façon générale, la monoparentalité accroît le nombre d’enfants maltraités, d’abord par la force des choses, parce que l’on sait qu’un seul parent ne peut pas faire face à tout, puisque deux parents n’y parviennent pas de façon satisfaisante, en raison de la multitude des tâches à accomplir de nos jours et des décisions complexes à prendre. Mais aussi, l’enfant sans père maltraité par sa mère, n’a pas de recours auprès d’un deuxième parent. Il doit subir. Ce n’est pas anodin puisque les mères seraient, d’après l’étude OMS confirmée par des travaux nord-américains, responsables des maltraitances dans plus de 60 % des cas (leur plus grande présence auprès des enfants est à prendre en compte pour leur responsabilité).

D’autre part, référons-nous au magazine « Pour la science » qui signale la reprise d’une étude ancienne suivie alors par l’INSERM (docteur Robine), qui estimait à 30 % le nombre d’Européens qui souffrent de difficultés psychologiques suffisantes pour leur rendre difficiles les activités du quotidien, donc les relations avec leurs enfants. Les demandeuses de PMA considèrent pour leur part que l'absence de père facilite la prise de décisions: elles feraient mieux que les magistrats isolés à qui on reproche des jugements malheureux pris en solitaire.  

Les pressions du lobby  « NousToutes »

Les plus violentes féministes radicales, réunies sous les banderoles de « NousToutes » lors de la marche contre les féminicides et contre les violences faites aux femmes du 23 septembre 2019 se sont aperçues qu’elles pouvaient instrumentaliser les enfants. A partir de la notion (déjà répandue par les ministres successives de l’enfance) du fait que la violence conjugale était toujours masculine et que la maltraitance des enfants découlait uniquement de cette violence conjugale masculine (rappelons qu'ils sont tous "dominateurs et violeurs"), le mouvement a demandé avec insistance le retrait de l’autorité parentale aux pères violents. C’est à dire, selon la doxa, potentiellement à tous les pères. En situation de divorce, les pères se voient refuser la garde de leurs enfants. Mais ils peuvent contribuer aux frais de leur éducation...

En plus de l’instrumentalisation des enfants et de leur mise en danger, soulignons la disproportion qui existe entre la réalité et le volume considérable donné par le féminisme radical à la campagne organisée autour des « féminicides » et autres « violences faites aux femmes », avec la complicité des media en pénurie de matière. C’est le cas notamment, avec le Grenelle et la marche du 23 novembre 2019. 
 
On voit bien que le féminisme radical instrumentalise les « féminicides » pour en faire une arme offensive contre la masculinité, sans garantir un mieux pour les enfants objets de leur désir de maternité.  
Les féministes dénaturées ont installé un climat de rejet du masculin - déjà dans l''"écriture inclusive",  le langage dit « non sexiste » ou « dégenré »  ! - suffisamment violent pour justifier l’éradication des pères (par le retrait de l’autorité parentale dans l’immédiat, ensuite grace à la PMA pour les femmes seules.

C’est une manœuvre qui ne peut plus se cacher. Elle est dans le droit fil des précédentes étapes qui se déroulent depuis plusieurs décennies, et qui se poursuivront sans aucun doute, si nous restons passifs comme ce fut le cas jusqu’à aujourd’hui. Que l’on n’oublie pas, par ailleurs, que les coupables ne sont pas les femmes, mais les féministes radicales minoritaires.
Et le droit à la paternité est-il garanti ?

13 commentaires:

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