Les révolutionnaires étaient une fois encore en tête de défilé
Les "black blocs" avaient promis "une journée en enfer", mais ont pu s'infiltrer
Le défilé à Paris a été perturbé de bout en bout par de violents heurts qui n'ont pas eu lieu "en marge", mais bien parmi les manifestants (avec leur complicité) et au cours du défilé :
commis par environ 1.200 activistes violents d'extrême gauche proches du PCF et du NPA,
donc de la CGT et de Solidaires (SUD).
Anarchistes ou "autonomes", ce sont des anti-sociaux et anti-capitalistes
qui ont en commun d'être anti-républicains, qu'on les appellent "casseurs" ou "voyous", mots fourre-tout qui privilégient la notion de délinquance pour nier l'aspect politique,
ou "antifa", "ultra gauche" et "black blocs" (avec banderoles, photo ci-dessus),
Des activistes politiques peuvent-ils être qualifiés de "casseurs" ? Ce sont des révolutionnaires. |
lesquels avaient promis "une journée en enfer".
Violences lors de la manifestation du 1er-Mai à Paris : "Il est hors de question de trouver des excuses aux services de renseignement ou à la police. Ils ont un job à faire ils sont payés pour ça. Et c'est ce que l'on attend d'eux", Aziz Senni, chef d'entreprise #lesinformés pic.twitter.com/RJgyXOMFnQ— franceinfo (@franceinfo) 2 mai 2018
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