"Bilan globalement positif, donc, à en croire M. Hollande, qui, ultime artifice de communication, s'est installé dans le costume d'un facilitateur entre pays du Sud, Italie et Espagne, d'une part, et Allemagne d'autre part.
"La France est un trait d'union, elle permet de rassembler [...]. Elle ne doit pas contribuer à l'affrontement, elle doit favoriser le rapprochement", a expliqué, fidèle à sa ligne traditionnelle de la synthèse, le chef de l'Etat, quelque peu récupérateur.
Alain Juppé a ramené à de justes proportions le mérite de François Hollande dans l'accord européen dont la presse lui a abusivement attribué une large part du mérite, le 29 juin dernier.
"Le pacte de croissance était déjà dans les tuyaux depuis longtemps, il consiste à réutiliser des fonds qui étaient disponibles mais enfin, cela va dans la bonne direction.' C'est ainsi que l'ancien premier ministre et ministre des Affaires Etrangères a ironisé sur la portée de l'initiative tant mise en avant par le candidat socialiste pendant la campagne présidentielle.
Pour le président de la République, le pacte de croissance permet de justifier la ratification, sans renégociation en bonne et due forme, du traité budgétaire signé en mars par Nicolas Sarkozy, à l'initiative d'Angela Merkel.
Alors que Jean-Luc Mélenchon a parlé de 'figuration' à propos des premiers pas européens de François Hollande, a-t-il eu un rôle décisif dans l'introduction de mesures de relance au niveau européen ?
L'idée d'un pacte de croissance est-elle née avant la campagne de Hollande ? Oui, même si l'élection de François Hollande a participé à l'adoption des mesures envisagées. Dans une feuille de route d'octobre 2011, la commission européenne avait déjà esquissé, un peu en vrac, l'ensemble du dispositif qui deviendra le 'pacte de croissance' final.
Le pacte de croissance a une force juridique moindre que le traité en cours de ratification dans les vingt-cinq Etats signataires. Il va cependant permettre, au niveau européen, de mobiliser quelque 120 milliards d'euros en soutien de l'activité, sur plusieurs années, sans creuser davantage les déficits nationaux.
Pourtant, à l'automne dernier, le pacte de croissance faisait l'objet de blocages entre les Etats membres de l'Union européenne. Pour aller vite, les Européens, et les équipes de François Hollande, ont donc pu s'appuyer sur ces travaux préparatoires. La campagne présidentielle victorieuse de François Hollande a favorisé l'avancée d'un dispositif déjà lancé.
Quelles ont été les avancées depuis l'automne dernier ?
L'Allemagne, en particulier, s'opposait au lancement des project-bonds, ce projet pilote d'emprunts obligataires européens, destinés à financer les infrastructures.
Par ailleurs, l'augmentation de capital de la Banque européenne d'investissement (10 milliards d'euros) était elle aussi examinée depuis la fin de l'année dernière. Il a fallu surmonter les ultimes réserves du Royaume-Uni, qui s'inquiétait entre autres de voir la banque toujours plus concentrée sur les pays de la zone euro en difficulté.
La réallocation des fonds structurels européens inutilisés était elle aussi à l'étude, pour un montant, au final, de quelque 55 milliards d'euros.
La taxe sur les transactions financières faisait quant à elle déjà l'objet d'une proposition formelle de la Commission avant l'élection de François Hollande. Il est très vite apparu que le Royaume-Uni et quelques autres pays, dont l'Irlande et les Pays-Bas dans la zone euro, ne s'associeraient pas à l'initiative.
François Hollande a donc plaidé pour une coopération renforcée, entre les seuls Etats volontaires – neuf sont nécessaires pour aller de l'avant dans les prochains mois. Angela Merkel a fait de même.
Pour des raisons de politique intérieure, la chancelière allemande s'est très vite ralliée à l'idée d'un pacte de croissance.
Pour elle, il s'agissait de s'assurer de l'indispensable soutien de son opposition lors de la ratification du traité budgétaire, le 29 juin, afin d'atteindre les 3/5 des voix requis.
Au pays de la Hollanderie tout est permis
RépondreSupprimerFinalement la DROITE avait bien préparé le terrain
--mais les socialistes ont pour vertu première de ne
--jamais reconnaître les qualités et le travail des autres, eux seuls possède le " savoir ".
Je le dis depuis longtemps sur les commentaire de ce blog
RépondreSupprimerL'un des plus grand organisateur de cette supercherie est le journal collabo gauchiotte: lefigaro
Malheureusement on a pas une opposition forte pour dénoncer les mensonges des socialistes, depuis qui Sarkozy est parti les élus UMP s'écrase devant le PS
Pour sûr
RépondreSupprimerFaut trouver des moyens de rouspétances
La gauche même si elle est molle
elle a le Parlement, les régions, que faire, que dire :
oh mais y a l'Alsace de Hans im quelque chose, y ont pas cru à la farce Olland, quoique c'est plausible, d'après l'histoire du dit Hans
mais eux y sont comme les gaulois, y résistent, y résistent, c'est qu'y ont l'habitude du résistement , de la résistance quoi, vu tous les déboires des envahissements successifs qu'y z'ont eu.
y sont aussi très entêtés tout comme ce Oland, mais eux z'ont rien promis à personne, y veulent garder leurs valeurs valeureuses de résistance, Oland ses valeurs c'est bien bouffer et bien boire avec.
c'est que ça creuse et ça donne soif d'être normal et de parler beaucoup à ses olandniaiministres qui eux se séparent en 4 ( comme les 3 Suisses d'autrefois) pour préparer des plans, des échafaudages, qui devraient être fin prêts pour 2015.Je l'ai lu sur un autre blog de renseignement, faut chercher, on trouve tout sur internet, c'est mon beauf qu'y l' dit, et il en sait des trucs mon beauf.
Après y aura 2 ans pour les faire fonctionner tous ces plans, ces échafaudages, et après y aura p'ête-bin le déluge , ou un tsunami, ou un tremblement de terre, ou des éruptions volcaniques qui foutront les centrales en l'air , et alors et alors , non NON Zorro y viendra pas
y aura plus besoin de rien.
les survivants survivront comme y pourront, Oland y pourra plus rouler dans sa citroën 5 (?) y aura pu d'routes, et y s'ra p'ête bin sur la lune, ces gens-là y ont des moyens eh oui, pas nous, pauvre de nous.
Et pis on s'opposera pu à rien, vu qu'y aura pu rien.
Mais on se tiendra bien droits dans nos bottes ( c'est comme ça qu'on dit même si on a pu d'bottes pour de vrai)
Et les plus malins survivront et tant pi pour les autres
et tout recommencera, PAREIL, y aura toujours des bons et des ballots,
et la course pour commander les "entre les deux " ( ben oui toutes les nuances des bons, plus ou moins bons et les nuances des ballots plus ou moins ballots).
Faut y penser comment organiser la rouspétance , c'est VITAL.
J'ai entendu quéque chose qui démarre sur le blog de B. Raquin et y en a p'ête bin d'autres.
Faut chercher , on trouve tout sur internet.
des fois j'ai honte d'être un Français minoritaire
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