L’ultra-gauche répand la peur : Juppé menacé de mort à son tour

Quand la gauche est épargnée, c’est la démocratie qui est menacée…

De l’intox selon l’hebdomadaire Marianne au passage à l’acte

Ruptures de caténaires partout sur le territoire, agressions verbales ou sifflets du Président élu au suffrage universel, dans le 9.3, mais aussi au Salon de l’agriculture ou en Bretagne parmi des pêcheurs, partout dans l’hexagone et en Guadeloupe, partout des extrémistes minoritaires cherchent à créer un climat d’incivilités et d’insécurité. Des syndicalistes, tel Che-Besancenot, mais aussi des acteurs politique, telle Désirdavenir Royal, sèment le désordre sur leur passage.

Une lettre contenant des menaces de mort et une balle de 9 mm a été adressée hier lundi au maire UMP de Bordeaux et ancien Premier ministre Alain Juppé. Ces menaces, révélées mardi par le quotidien Sud Ouest, ont été confirmées par le service de presse de Alain Juppé.

Le « vent de révolte » annoncé par Sa Cynique Majesté Royal

"Le choc de confiance promis a laissé place à un choc de défiance, qui dégénère aujourd'hui en vent de révolte", déclarait l'ancienne candidate socialiste à l'élection présidentielle dans une tribune publiée jeudi 5 février dans Le Monde. Au point qu’Agoravox titrait « Ségolène Royal prend la tête de la révolte », le 12/02/09 et écrivait : « Quand ça va mal on sait bien que les hommes politiques sans scrupule jouent avec le feu. Pour l’instant Nicolas Sarkozy envoie ses francs-tireurs comme Michèle Alliot-Marie qui n’hésite pas à nous faire peur avec une pseudo menace intérieure. » Pseudo journalistes mais vrais militants partisans déconsidérés par les faits.

Le courrier, qui avait la forme d’une «lettre circulaire», a été reçue au Palais Rohan par Alain Juppé, qui a rapidement porté plainte. «La lettre contenait une balle de 9 mm», indique le quotidien Sud Ouest, qui affirme que «l’écrit, d’une vingtaine de lignes» viserait plusieurs membres du gouvernement.
Deux élus UMP ont récemment reçu le même type de courrier.

En fin de semaine dernière, le sénateur UMP de Lozère Jacques Blanc, maire de Lacanourgue, avait reçu une lettre accompagnée d’une cartouche de 9 mm.

Deux semaines auparavant, le sénateur-maire (UMP) de Béziers, Raymond Couderc, avait aussi reçu un tel courrier accompagné d’une balle de calibre 38. Nicolas Sarkozy était également nommé dans ce courrier.

Ces menaces à l’encontre de Jacques Blanc et Nicolas Sarkozy visaient aussi Rachida Dati et Michèle Alliot-Marie, ainsi que Alain Juppé et à nouveau Raymond Couderc.

Condamnable, selon le cas
Dreyfus aussi fut menacé de mort.