L'opportunisme nécrophage de Emmanuel Macron est En Marche ! 
"Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas" (Charles Baudelaire)
En politique, il est de notoriété publique que certains malins vont jusqu'à instrumentaliser les morts à peine refroidis. C'est ce qu'on peut appeler de l'opportunisme nécrophage. Et c'est ce qui arrive en pleine présidentielle, lorsque l'équipe de campagne d'Emmanuel Macron reçoit la famille de Shoayao Liu.
"Emmanuel Macron s'est entretenu, vendredi 31 mars à son QG de campagne, avec la famille de Shaoyao Liu, le Chinois qui a été tué dans des conditions controversées par la police il y a une semaine," révélèrent des media. Depuis, plusieurs manifestations de la communauté chinoise en colère se sont tenus afin de réclamer justice pour ce père de famille de 56 ans. Si la police évoque la légitime défense, les proches eux parlent plutôt d'une bavure policière.
Dans la plus grande discrétion, l'ancien ministre de l'Economie a donc reçu les membres d'une vingtaine d'associations à son QG de campagne. L'entretien est finalement apparu à la lumière publique parce que des journalistes chinois qui s'étaient infiltrés dans la délégation ont publié un cliché de la rencontre.
Or, lors de cette rencontre, il y avait également un homme - Jacques Sun, président du CRAAF (Conseil représentatif des associations asiatiques de France) - qu'une note de la DGSI présente comme un agent de Pékin."
C'est une rencontre que les media ont escamotée en faisant du tapage autour de la rencontre que Christian Estrosi (LR) a acceptée, à l'invitation d'Emmanuel Macron, samedi matin.
Le jeune Macron aurait donc rencontré un espion chinois.
Le candidat Macron s'occuperait déjà des affaires intérieures de l'Etat en rencontrant la famille du défunt Shaoyao Liu, alors que l'élection présidentielle n'est pas déjà passée et qu'il n'a pas encore gagné. Cette situation insolite est en fait un empiètement caractérisé de l'ancien conseiller de l'Elysée sur le domaine réservé du président sortant.
Quand un chef d'Etat tient sa place, c'est lui qui vole vaillamment ou délègue une autorité légitime au secours des victimes ou de familles des victimes. Comme a d'ailleurs jugé bon de le faire le président Hollande, sous les projecteurs, avec Théo, mais un geste qu'il n'a pas daigné renouveler s'agissant d'un membre de communauté paisible. Un site web délicat s'interroge alors, dans le cas de Théo : "Emmanuel Macron aurait-il pu régler une affaire de matraque dans un rectum plus rapidement que François Hollande dans l'affaire Théo ? Un media 100% citoyen et 100% participatif peut s'autoriser ce genre d'allusion sans qu'aucune association de lutte contre l'homophobie ou le CSA ne sourcille. Propriété de la gauche, l'anti-racisme est bien gardé !
Emmanuel Macron serait donc ainsi mandaté désormais pour s'exhiber au chevet des familles de victime.
Un candidat qui se sert des morts pour sa pub ne mérite-t-il pas la l'attention affectueuse des entreprises mercantiles de sondages. Après tout c'est gratuit et ça peut émouvoir, ensemble, la midinette ou la ménagère de plus de cinquante ans ! Les morts ne demandent pas de ristourne !
Hollande, le père, et Emmanuel, son fils, se sont-ils répartis les tâches ?
Cet opportunisme nécrophage est-il une façon décente pour un candidat à la Présidence de la République de faire sa campagne ?
Un candidat au poste de garant de l'indépendance nationale doit-il faire du clientélisme électoral communautariste ? Qui plus est sur la mort d'un quinquagénaire réputé violent.
Une (am)bivalence que l'extrême gauche exploite
L'exploitation de la couleur de peau n'est pas plus tolérable que l'exploitation des travailleurs, mais celle des candidats à voile et à vapeur serait vertueuse. Après avoir être passé du privé, comme banquier, au public, comme conseiller du président, puis ministre de l'Economie, de l'industrie et du numérique. "Emmanuelle Macron est tantôt parisien, tantôt marseillais. Tantôt homme, tantôt femme", écrit le site sus-nommé. "Tantôt musulman, tantôt chrétien, tantôt juif. Tantôt citadin, tantôt paysan. Tantôt noir, tantôt blanc. Tantôt pour les ouvriers et tantôt pour les patrons. Tantôt pour les riches, tantôt pour les pauvres. Tantôt pour les vivants, tantôt pour les morts," insiste le media d'opinion participatif (et sélectif et discriminant, dans l'indifférence des associations à emplois fictifs subventionnés).
"En somme Monsieur Emmanuelle [orthographe d'origine] Macron est un parfait caméléon. "Un peu de tout et son contraire en fonction de qui lui tend l'oreille. Et désormais, il n'a pas peur de se servir des morts afin de se faire connaître encore et toujours un peu plus. (On ne sait jamais, la communauté asiatique pourrait le trouver sympa !...)", ironise le site.
Savoir si toute cette pub sera positive à l'Adoubé de Rothschild et Hollande, ennemi promis des riches.
Le patrimoine de Macron est tout aussi suspect que ses préférences
Emmanuel Macron déclare à peu près 120.000 € sur ses comptes et aucun bien immobilier.
"Mais où est donc passé l'argent ?"
- "C'est une bonne question ! "Mais les journalopes sont sur le trottoir… le Canard étant Enchainé par définition, il ne faut pas trop en demander à celui qui [anarchiste] porte [pourtant] les fers de ses maîtres."
"Tout comme chez Cacapart [Mediapart], histoire qu'on ne ressorte pas trop le semi-emploi fictif de la fille d'Edwy Plenel qui viendrait d'une rumeur de la soi-disant fachosphère présente dans l'étoile noir de Dark Vador."
"Et bon ! Macron ! C'est leur chouchou à tous, il était même au dîner [du CRIF] le 22 février !"
- "Chut ! Tais-toi ! On va se faire gronder ! On mélange pas religion et politique, la France, c'est le pays de la Laïcité !"
Pour conclure : N'apprenez jamais à vos enfants à manger les morts, sinon ils pourraient finir politique d'une lignée douteuse !"
Deux philosophes viennent d'offrir de Macron un réduction de tête
M. Onfray explique que "Macron bénéficie du fameux 'instant propice' des Grecs. Il est là au bon moment." Alors que la presse est désemparée.
Pour Marcel Gauchet, "Macron est l’un de ces hommes politiques qui se nourrissent d’une situation, d’une conjoncture, bien plus qu’ils ne la créent. Macron est indéfinissable et se veut tel (...) Macron serait plutôt un Jean Lecanuet qui aurait coiffé le képi du Général" [De Gaulle].
Mais un internaute est allé plus loin. Il a décrypté en détail la nature, le parcours et les stratégies du candidat de 'En marche!".
Après avoir lancé sa chaîne you tube, intitulée 'trouble fait', cet insolent internaute et investigateur s’est d’abord penché sur la carrière de Macron, laquelle n’est finalement pas si flamboyante.
Tout d’abord, Macron n’est pas normalien, comme l’explique l’hebdomadaire 'Marianne', et si d’aucuns ont pu le croire, c’est que l’intéressé faisait tout pour que ce soit le cas, expliquant à ses interlocuteurs "qu’il avait assisté à des cours à Normal Sup", créant ainsi une légende. En réalité, il n’a jamais été élève dans cette école et a raté deux fois le concours d’entrée.
Donnons la parole à Marc Endeweld qui, dans son livre récent 'L’ambigu Monsieur Macron', détaille comment l’intéressé à "arrangé son CV", notamment sur son passage à l’ENS, concours qu’il a en réalité échoué.
Il raconte aussi l’époque où le jeune Macron a estimé que l’échec de Jospin était dû à l’incapacité de la gauche à tenir un discours de fermeté sur les questions de sécurité, et avait à ce moment rejoint le mouvement de Jean-Pierre Chevènement. Lien
Son appartenance à un réseau explique son parcours professionnel
Lors de son passage à l’IGF (inspection générale des finances), il rencontre Jean-Pierre Jouyet qui va le prendre sous son aile. C’est d’ailleurs ce même Jean–Pierre Jouyet qui l’avait présenté à François Hollande, en 2006, lors d’un dîner.
Macron va adhérer au PS, paiera sa cotisation jusqu’en 2009 et sera nommé conseiller économique de Hollande pour la campagne des primaires socialistes de 2007, ce qui l'amènera plus tard à l'Elysée comme conseiller de Hollande lequel le nommera ministre...
On peut donc être ministre par affinité d'un éléphant, alors que la confiance du peuple lui avait échappé, puisqu'il avait tenté, mais en vain, d’obtenir une investiture en Picardie: rejeté par les militants, il ne sera jamais député, ni élu à aucun mandat.
Durant la campagne de 2007, il va toutefois rejoindre Jean-Pierre Jouyet dans le groupe Les Gracques, groupe dans lequel on trouve pêle-mêle Daniel Cohn-Bendit, Bernard Cazeneuve, Jean-Louis Borloo, Gérard Collomb et beaucoup d’autres... lien
Pas étonnant dès lors de voir la plupart de ceux-ci le rejoindre plus tard pour son 'En marche!'
Son élection à la présidentielle nous attirerait une mafia au pouvoir. Tapie dans l'ombre, ce serait plus que jamais une mafia.
N'importe quoi ! Quand l'espion chinois était encarté à l'UMP, il était bien sous tous rapports !
RépondreSupprimerN'importe quoi, ce que Marianne écrit en 2014. " Interrogé sur l’existence supposée d’un bâtiment des renseignements chinois sur le territoire français, le quai d’Orsay répond « pas de commentaires ». En théorie, le ministère de l’Intérieur, les Affaires étrangères et les services de renseignement français sont parfaitement au courant de l’existence de cette annexe de l’ambassade de Chine et les autorités françaises auraient même validé l'installation de ces antennes. "
RépondreSupprimerL'Etat-PS ferme les yeux: du n'importe quoi !
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