La gauche salissante de Martine Aubry s'indigne...
Libé et sa bande:
le rival socialiste malheureux règle les comptes de la prise manquée du journal Le Monde par le banquier rose, Matthieu Pigasse.
Faouzi Lamdaoui, conseiller de François Hollande à l’Elysée, juge "ridicule", le vendredi 6 septembre, "la vague de dénigrement qui vise, dans la presse, le Président, le Premier ministre et les ministres".
Et accuse les media de se livrer ainsi à un "dopage des ventes".
(Crédit photo : tvntprogrammes.com)
Lien Le Point : FOG et "le Hollande-bashing" ("On reprochait au premier de trop s'agiter. On reproche au second de ne pas s'agiter assez.")
Lien Le Point : FOG et "le Hollande-bashing" ("On reprochait au premier de trop s'agiter. On reproche au second de ne pas s'agiter assez.")
Les Unes successives et critiques consacrées à François Hollande font râler à les démocrates de l'Elysée
Les proches du chef de l’Etat n’apprécient pas vraiment le déferlement de critiques sur le pouvoir exécutif de la part d'une presse qui les a habitués à plus d'indulgence tout au long de la campagne présidentieelle.
Les proches du chef de l’Etat n’apprécient pas vraiment le déferlement de critiques sur le pouvoir exécutif de la part d'une presse qui les a habitués à plus d'indulgence tout au long de la campagne présidentieelle.
Dans un style direct, sans filtre de communication aucun, un membre du cabinet du chef de l’Etat, raconte ainsi, sur sa page Facebook – totalement publique - le sentiment ambiant :
"La vague de dénigrement qui vise, dans la presse, le Président, le Premier ministre et les ministres tombe, à force de saturation, dans le ridicule."
Ce très proche de Hollande – ancien chef de cabinet du candidat pendant la campagne présidentielle - caricature également les media qui cherchent à vendre en cassant du sucre sur le dos du chef de l’Etat :
"Les observateurs avertis savent que [cette vague] a pour unique objectif le dopage des ventes".
Et de tenter de justifier cette amertume en entonnant l’air connu du gouvernement en plein travail :
"Le gouvernement anticipe l'application de plusieurs mesures du projet présidentiel pour répondre au plus vite aux priorités qui préoccupent les Français."
Un "élément de langage" puisque, vendredi matin, c'est la ministre aux personnes âgées, Michèle Delaunay, qui écrivait sur Twitter, son agacement face à ces critiques du chef de l'Etat, bien qu'on s'interrogeât sur son activité principale :
Faouzi Lamdaoui et Michèle Delaunay réagissent à un article du Monde, publié le 6 septembre, qui révélait qu’un hebdo comme l’Express avait vu ses ventes passer de 75 000 à 95 000 numéros par semaine quand la une était anti-Hollande. Mediapart, en son temps, ne faisait pas autant grincer l'entourage de Hollande.
Avertissement sans frais
Cette attaque frontale et "on the record" (le secret des sources n'est pas maintenu) contre les media est d’autant plus rare que la parole des conseillers de l’Elysée, lorsqu’elle est attribuée nominativement à l’un d’entre eux, est davantage policée.
Cette attaque frontale et "on the record" (le secret des sources n'est pas maintenu) contre les media est d’autant plus rare que la parole des conseillers de l’Elysée, lorsqu’elle est attribuée nominativement à l’un d’entre eux, est davantage policée.
Pendant le quinquenat de Nicolas Sarkozy, seul Henri Guaino, "conseiller spécial" de Nicolas Sarkozy, bénéficiait d’une telle liberté de ton.
Vendredi 18 mai, Faouzi Lamdaoui s'était lui-même chargé d'annoncer par tweet sa nomination comme conseiller du président: c'est dire ses aigreurs de ne pas être ministre, si "nul" qu'il pût être !
Quand la presse de gauche était "solidaire" et la liberté d'expression préservée
Ha ha ha ça les ennuie d'être devenu les points de mire, après leurs dénigrements constant de la droite, de leurs moindres faits et gestes mais ce n'est qu'un juste retour de bâton, justifié en plus, au vu de leurs maigres capacités dans tous les domaines à la fois.
RépondreSupprimerPour masquer cela,
et ne soyons pas dupes :
parler des homos avec tant d'insistance
c'est de L'ENFUMAGE
parler de faire payer les riches avec tant d'insistance :
C'EST DE L'ENFUMAGE FISCAL