La violence issue des quartiers et relayée par les media fait des émules dans les établissements scolaires.
Les trois lycéens soupçonnés d'avoir frappé un élève du lycée Evariste-Galois de Beaumont-sur-Oise (maire socialiste DVG en Val-d'Oise) et filmé la bagarre, ont comparu devant le tribunal correctionnel de Pontoise vendredi en comparution immédiate.
La jeune victime a été agressée le vendredi 17 octobre dans l'enceinte même de son établissement scolaire dans ce qu’on nous présente comme un prétendu jeu anodin , le "guet" (pour guet-apens), qui consiste à frapper à plusieurs un jeune esseulé : donc, des violences « en réunion ».
Laxisme Clémence du tribunal
Les agresseurs n’ont été condamnés qu’à quatre et trois mois de prison avec sursis ainsi que de peines de travail d'intérêt général (TIG), bien que ces deux prévenus, qualifiés de ‘jeunes’ par la presse, soient majeurs.
Le tribunal vient en aide à un jeune talent
Le tribunal n’a condamné le troisième ‘jeune’ agresseur, pourtant également majeur, qu’à une peine de quatre-vingts heures de travail d'intérêt général : la clémence du tribunal s’expliquerait par la protection des artistes. Cet intermittent du spectacle et animateur de vie scolaire n’aurait fait que filmer la scène. Le tribunal ne pouvait cadrer le cadreur : comment un réalisateur pourrait-il s’interposer entre la victime et ses bourreaux sans sacrifier son œuvre artistique ?
Matière à polémique ?
Rachida Dati bientôt accusée de ne pas favoriser le mécénat judiciaire : pourquoi en effet ne pas allouer une aide à ce jeune talent ? A la suite de « Entre les murs », son film pourra-t-il être sélectionné pour le Festival de Cannes 2009?
‘C’est Mozart qu’on assassine’, en quelque sorte dans la version Gilbert Cesbron, mais ‘Rachida m’a tuer’ dans celle du Syndicat de la Magistrature (SM) ou de Omar Haddad (sans rapport avec Janine, la vice-présidente Verts du Conseil Régional d’Ile-de-France). Faut-il condamner Rachida Dati ? TIG ou sursis ? Ni l’un ni l’autre, selon l’USM et le SM…
"Engagement solennel" : sur l’honneur ?
On nous la fait "bibliothèque rose"...
La jeune victime a été agressée le vendredi 17 octobre dans l'enceinte même de son établissement scolaire dans ce qu’on nous présente comme un prétendu jeu anodin , le "guet" (pour guet-apens), qui consiste à frapper à plusieurs un jeune esseulé : donc, des violences « en réunion ».
Les agresseurs n’ont été condamnés qu’à quatre et trois mois de prison avec sursis ainsi que de peines de travail d'intérêt général (TIG), bien que ces deux prévenus, qualifiés de ‘jeunes’ par la presse, soient majeurs.
Le tribunal vient en aide à un jeune talent
Le tribunal n’a condamné le troisième ‘jeune’ agresseur, pourtant également majeur, qu’à une peine de quatre-vingts heures de travail d'intérêt général : la clémence du tribunal s’expliquerait par la protection des artistes. Cet intermittent du spectacle et animateur de vie scolaire n’aurait fait que filmer la scène. Le tribunal ne pouvait cadrer le cadreur : comment un réalisateur pourrait-il s’interposer entre la victime et ses bourreaux sans sacrifier son œuvre artistique ?
Matière à polémique ?
Rachida Dati bientôt accusée de ne pas favoriser le mécénat judiciaire : pourquoi en effet ne pas allouer une aide à ce jeune talent ? A la suite de « Entre les murs », son film pourra-t-il être sélectionné pour le Festival de Cannes 2009?
‘C’est Mozart qu’on assassine’, en quelque sorte dans la version Gilbert Cesbron, mais ‘Rachida m’a tuer’ dans celle du Syndicat de la Magistrature (SM) ou de Omar Haddad (sans rapport avec Janine, la vice-présidente Verts du Conseil Régional d’Ile-de-France). Faut-il condamner Rachida Dati ? TIG ou sursis ? Ni l’un ni l’autre, selon l’USM et le SM…
"Engagement solennel" : sur l’honneur ?
On nous la fait "bibliothèque rose"...
"Ils ont pris l'engagement solennel d'aider la victime à rattraper son retard dans les cours pendant les vacances de la Toussaint", a déclaré Me Marion Ménage, l'angélique avocate des deux agresseurs. Pourvu que le tribunal n’ait pas assorti cette peine d’une obligation de résultats. Il faudrait alors que ça rentre, à coups de poings ?
Un tribunal humain, attentif à la douleur de la victime mineure
L'audience s'est déroulée à huis clos à la demande de la famille du lycéen blessé.
Le mineur agressé, qui bien qu’âgé de 17 ans n’est jamais qualifié de ‘jeune’ dans la presse, a eu ‘plus de’ huit jours d'interruption totale de travail (ITT), selon cette presse-là ; Est-ce que «‘plus de’ huit jours » ça en fait 9 ou 15 ?
Un tribunal humain, attentif à la douleur de la victime mineure
L'audience s'est déroulée à huis clos à la demande de la famille du lycéen blessé.
Le mineur agressé, qui bien qu’âgé de 17 ans n’est jamais qualifié de ‘jeune’ dans la presse, a eu ‘plus de’ huit jours d'interruption totale de travail (ITT), selon cette presse-là ; Est-ce que «‘plus de’ huit jours » ça en fait 9 ou 15 ?
La jeune victime souffre en effet de fractures aux côtes et d'un traumatisme crânien.
On n’est pas ‘jeune’, si on est victime, mais seulement à deux conditions : agresseur et majeur. Ce jeune eût-il été un forcéné que des policiers auraient peiné à maîtriser, que n’eût-on écrit ?
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