L'automobiliste qui a renversé 11 passants à Dijon a prémédité son acte
Et on voudrait faire passer le terroriste pour dérangé !
Sous traitement psychiatrique, mais en liberté, l'individu avait prévu une réserve de ses médicaments pour 96 heures, soit la durée possible d'une garde-à-vue pour acte terroriste, a déclaré aux policiers celui qu'officiellement on veut faire passer pour un déséquilibré. Il voulait initialement s'en prendre à des policiers et militaires, mais n'en a pas trouvé sur sa route, a-t-il encore expliqué... Pourtant, le journal local, Le Bien Public, a d'abord eu le réflexe de travestir la vérité en évoquant une "une voiture folle"..., tandis que BFMTV présente comme "toile de fond" le terrorisme islamiste qui est en fait le moteur de ces fauchages.
La piste terroriste se confirme.
Perpétré aux cris de "Allahou Akbar" (Dieu est grand) l'acte est prémédité par le fanatique qui avait fait une réserve de médicaments pour la durée légale d'une garde à vue avant d'aller renverser 11 personnes à Dijon, faute d'avoir pu s'attaquer à des policiers et des militaires, comme à Joué-les-Tours.
Perpétré aux cris de "Allahou Akbar" (Dieu est grand) l'acte est prémédité par le fanatique qui avait fait une réserve de médicaments pour la durée légale d'une garde à vue avant d'aller renverser 11 personnes à Dijon, faute d'avoir pu s'attaquer à des policiers et des militaires, comme à Joué-les-Tours.
Le conducteur de 40 ans a échangé son prénom chrétien pour un musulman. Le domicile du prévenu devait être perquisitionné, et son ordinateur saisi pour être épluché. La sous-direction anti-terroriste de la police judiciaire va être associée à l'enquête. Suivant les résultats de l'audition et des perquisitions, le Parquet anti-terroriste pourrait être saisi.
A trois jours de Noël dont les crèches sont l'objet d'une polémique,
la panique s'est emparée des alentours de la Place Wilson, dimanche vers 20 heures à Dijon. Un automobiliste à bord d'une Clio a foncé sur des passants aux cris d'"Allah Akbar". Des témoins ont d'ailleurs décrit un agresseur vêtu d'une djellaba, robe qui n'est pas traditionnelle en Bourgogne. La scène a duré au total près d'une demi-heure. Sur un carrefour du centre-ville, près de la place Wilson, quelques traces de sang, recouvertes de sable par les pompiers, témoignaient encore dimanche soir de la violence de l'agression.
De source policière, l'islamiste aurait également crié "au nom des enfants de la Palestine", dont les soutiens français pourraient se sentir responsables, tels Olivier Besancenot (NPA) ou Marie-George Buffet (PCF) et Jean-Luc Mélenchon (PG) qui, par leur militantisme pro-palestinien, se rallient des partisans et agitent les communautés musulmanes.
Quatre collisions en quatre lieux différents
Quatre piétons ont d'abord été percutés par le véhicule rue Chabot-Charny, à l'angle de la place Wilson, avant que sept autres ne soient renversés quelques minutes plus tard dans trois autres collisions survenues respectivement rue du Transval, rue Monge, et enfin rue des Gondrans, selon les informations du quotidien Le Bien Public, confirmées par la préfecture.
Il y aurait treize blessés dont deux graves, sans que leur pronostic vital soit engagé. Ces deux derniers souffrent de traumatismes crâniens. Des victimes et leurs familles ont été accueillies aux urgences de l'hôpital, dont l'entrée a été refusée aux journalistes dans la nuit. "L'homme, né en 1974, présente le profil d'un déséquilibré et serait suivi en hôpital psychiatrique", a insisté "une source proche du dossier", prétendant que "pour l'heure ses revendications semblent encore floues". Floue, comme son identité... Cherchez le loup !
Manuel Valls a fait tweeter ses services, mais ne s'est pas rendu sur place:
Solidarité à l'égard des victimes de Dijon et soutien aux familles. MV
— Manuel Valls (@manuelvalls) 21 Décembre 2014
Le conducteur s'est enfui après l'accident avant d'être interpellé, au terme d'une course-poursuite.
Il est actuellement en garde à vue à l'hôtel de police de Dijon. Selon Le Bien Public, l'enquête s'oriente vers la piste de l'islamisme radical et a donc été confiée à la section antiterroriste de Paris. Le préfet de Côte-d'Or, Eric Delzant, s'est rendu sur place et a confirmé que les fauchages de mécréants innocents sont "volontaires."
La veille, aux cris d' "Allah Akbar", un fanatique musulman avait déjà agressé des policiers dans leur commissariat de Joué-les-Tours (Indre-et-Loire).
La presse ne cesse d'enfumer l'opinion. Dans les deux cas concrets dont les Français ont eu à souffrir à Joué-les-Tours et à Dijon, les agresseurs sont des convertis endoctrinés par les imams, les partis et les media pro-palestiniens mais sont présentés comme des individus isolés auto-radicalisés: ainsi la gauche extrême se blanchit-elle de sa propagande activiste. La presse persiste à détourner l'attention de ce "terrorisme de proximité" sur le risque d'attentats islamistes commis en France, notamment par des djihadistes de retour de Syrie. Que les services français prennent le danger au sérieux est une chose, mais que les organes institutionnels l'entretiennent en est une autre.
L'Etat islamique encourage les candidats au djihad à lancer des attaques contre les "infidèles", militaires, policiers ou même civils, nommément des fauchages de passants des rues. Cinq "projets d'actions terroristes" djihadistes auraient été déjoués en France depuis l'été 2013, selon le gouvernement, et la France est nommément citée comme cible par l'organisation djihadiste après le début des frappes françaises en Irak cet été. Mais les prises de position de l'extrême gauche contrecarrent l'action gouvernementale prise entre le marteau et l'enclume de la répression anti-terroriste, d'un côté, et de la paix sociale, de l'autre. C'est dire que les ambiguïtés du pouvoir socialiste mettent la sécurité publique en péril.
Le gouvernement traite les djihadistes comme des malades mentaux
Malgré la préméditation, le pouvoir désigne le tueur de Dijon comme un déséquilibré, élément de langage stigmatisant véhiculé par la presse. L'objectif est bien évidemment de déclarer l'assassin irresponsable. Dans un communiqué, l'Union des mosquées de France (UMF) ne procède d'ailleurs pas différemment. Après avoir condamné cette agression, l'UMF a appelé "les jeunes Français à ne pas se tromper d'ennemi et de combat". Mais quels sont donc alors l'ennemi et le combat de ces Français auxquels l'Union des mosquées de France s'adresse en tant que citoyens, plutôt que musulmans ?
Mais les milieux musulmans radicaux se disent blessés par cette volonté d'humiliation de leur cause.
d'ou prroviennent ces informations ?
RépondreSupprimer