Le racisme anti-Arabes se banalise dans le Gard, selon Le Monde
Le Monde accuse les Français d'origine européenne
Aigues-Mortes, une belle petite ville historique de France:
C'est de là que Louis IX partit par deux fois pour les Croisades !
Voilà près de deux semaines que William Vidal et Monique Guindon, 44 ans tous deux, sont en prison. Ils n'ont bénéficié d'aucune circonstance atténuante: aucun n'a un parent alcoolique qui le frappait et l'autre n'a pas été violé(e)...
Leur identité est publiée. Dans la nuit du 4 au 5 août à Aigues-Mortes (Gard), ils s'en sont pris à une dizaine de jeunes qui "bavardaient" devant l'épicerie Viva, à l'angle des rues du Vieux-Bourgidou et Jeanne-Demessieux, quartier du Bosquet, un endroit ni beau ni moche, situé un peu à l'extérieur de la cité fortifiée. Cette nuit-là, entre 0h30 et 1h00 du matin, alors qu'ils circulaient à bord de leur BMW Audi Citroën Xsara, William et Monique ont voulu "se faire des Arabes". "Une ratonnade à eux tout seuls", raille le quotidien socialiste, supposé sérieux, qui stigmatise des petits blancs, sans risque de polémique avec SOS Racisme ou le MRAP.
Inconscient, Le Monde décrit une zone de non-droit
Lui était un peu alcoolisé - 1,8 gramme dans le sang (le taux légal d'alcoolémie maximale est fixé à 0,5 gramme par litre de sang) - et elle, à jeun. Ils se sont arrêtés une première fois à la hauteur du groupe de "jeunes gens". Lorsque l'un d'eux s'est approché pour les intimider et les inciter à déguerpir, en demandant s'ils voulaient un renseignement, ils ont obtempéré. Mais, humiliés, ils sont revenus dix minutes plus tard, armés d'un fusil de chasse. Ils se sont de nouveau arrêtés au même endroit et, sans sortir de sa voiture, William s'est écrié : " C'est pas un Arabe qui va me donner un renseignement !" Puis il a tiré une première fois en l'air.
Le Monde poursuit son histoire
Effrayés, les jeunes se sont enfuis, les uns à gauche vers le terrain de basket, les autres à droite dans un lotissement. William et Monique ont alors entamé la poursuite - "la chasse à l'homme", dira le procureur. Fenêtres de la voiture grandes ouvertes, William brandissait son fusil tandis que Monique criait : "On est en France ici. On est chez nous !"
On n'est pas à Amiens...
La scène s'est prolongée pendant une vingtaine de minutes, le temps pour William de tirer au moins neuf coups, de blesser un jeune à l'épaule et au bras, de viser une dame et sa fille de 9 ans qui passaient en voiture. A ses côtés, Monique - la plus vindicative, selon les jeunes - rechargeait le fusil. Alertés, les gendarmes ont fini par intercepter le couple, qui a été condamné dès le 6 août par le tribunal correctionnel de Nîmes en comparution immédiate pour "violence avec armes et incitation à la haine raciale". William a écopé de quatre ans ferme et Monique, deux ans. Incarcérés à l'issue de l'audience, l'un et l'autre ont fait appel du jugement.
Par miracle, insiste Le Monde, laïc à ses heures mais croyant à d'autres, il n'y a eu ni mort ni blessé "grave", précise-t-il malgré tout, mais "l'affaire laisse toutefois un profond traumatisme et les victimes restent sous le choc", assure le quotidien partisan : "On n'a jamais eu de souci avec personne. On est tous né ici. On est allé à l'école ici. Tout le monde nous connaît", précise-t-il, sans même prendre la peine d'indiquer qui est son témoin anonyme, probablement terrorisé.
Des "jeunes gens" bien sous tous rapports
Agés de 20 à 25 ans, les uns sont étudiants en master à Montpellier, les autres ingénieur dans une société à Marseille ou vendeur en téléphonie, ou encore employé saisonnier dans la commune: au moins cinq. Aucun d'eux n'a jamais eu affaire à la police, pas plus qu'ils n'ont eu "la moindre embrouille" avec leurs agresseurs. Lesquels, tous deux également habitants et natifs d'Aigues-Mortes, ne sont pas non plus des voyous. Certes, William a écopé d'une condamnation pour conduite en état d'ivresse, mais de là à brosser le portrait d'un dangereux délinquant, il y a un pas. On peut néanmoins l'esquisser...
Des agresseurs "normaux
Depuis plusieurs années, William et Monique vivent ensemble dans cette petite ville du coeur de la Camargue où, l'été, les touristes se pressent par milliers le long des rives du canal et dans les rues étroites à l'intérieur des remparts. Lui travaille au cimetière où la municipalité l'emploie. Un honnête travailleur, qui boit sûrement plus qu'il ne faudrait mais sans déchoir pour autant. Probablement un brave type ! [ponctuation d'origine, chargée de sens]
"Beaufs moyens"
Le Monde persiste dans la stigmatisation perfide à portée générale
"C'est en tout cas ce qu'assurent tous ceux qui, dans la ville, le connaissent et prennent aujourd'hui sa défense, n'hésitant pas, sur Internet, à fustiger la justice trop clémente "avec les Arabes" et trop dure "avec les Français" ".
Atmosphère pesante
Dramatisation complaisante de représentants de l'Etat
"Ils oublient la gravité des faits", s'agace le procureur de la République de Nîmes, Robert Gelli, qui "n'avait jamais vu ça : un tel niveau de violence qui aurait pu tourner au carnage".
Réaction identique du préfet du Gard, Hugues Bousiges, qui, tout en condamnant "avec la plus grande fermeté ces actes", regrette que "manifestement, des gens n'ont pas compris la gravité des faits et la sanction qui a suivi". Seul Cédric Bonato, maire (PS) d'Aigues-Mortes (ci-dessus), refuse de commenter les faits, soucieux, selon ses proches, de "pacifier" une situation décrite comme explosive. En dépit de l'onction du Monde aux perturbateurs nocturnes: le ramadan s'impose à tous.
Amalgame: généralisation à l'ensemble de la population
C'est que, "loin de manifester la moindre compassion à l'égard des jeunes tirés comme des lapins, selon Le Monde, nombre de ses administrés ont choisi le camp des coupables "- c'est dit - avec d'autant moins de complexes qu'"il n'y a pas eu mort d'homme". La comparution immédiate, jugementà chaud, convient au quotidien militant: cette procédure expéditive est née d'une loi du 29 mars 2000.
Tout juste une sorte de jeu, peut-être un coup de sang qui, dans leur esprit, doit bien se justifier d'une manière ou d'une autre, commente Le Monde. "Pour eux, la justice est injuste. Ils sont en incapacité de comprendre", indique un responsable local qui souhaite conserver l'anonymat.
Le Monde pointe le bout de son nez
Pourquoi cet excès d'intérêt pour cet accès d'humeur ?
Les autorités administrative et judiciaire locales ne le dissimulent pas : "une atmosphère lourde de menaces plombe ce coin du Gard où la population tend de plus en plus à se replier sur elle-même et où, à chaque élection, le Front national réalise des scores importants." Nous y voilà !
Suggestion d'un lien de cause à effet ?
Gilbert Collard, l'un de ses représentants, a été élu député dans cette circonscription en juin avec le soutien tacite des élus de la droite locale. "Les propos qu'on tenait sous le manteau il y a quelques années émergent aujourd'hui dans la sphère publique", constate le procureur Gelli. Suggère-t-il qu'il faudrait inquiéter l'avocat ?
Ainsi, le 5 août, dans les heures qui ont suivi la "ratonnade" (terme stigmatisant de Le Monde), des jeunes gens ont profité d'une course camarguaise au Cailar, à quelques encablures d'Aigues-Mortes, pour faire irruption dans l'arène au cri de : "On n'a pas de bougnoules chez nous ! On est des fachos !" La source du Monde souhaite-t-elle, cette fois, conserver l'anonymat ou est-ce un élu local qui se dissimule ? La "mairesse" a aussitôt condamné cet acte et le Parquet de Nîmes a ouvert une enquête préliminaire afin de retrouver les auteurs: Le Monde présente donc la rumeur comme un fait... "Même" le président (PS) du Conseil général du département, Damien Alary, s'inquiète de ces dérives de plus en plus fréquentes. L'élu voit dans "cette escalade le résultat de dix ans (ni plus, ni moins...) de banalisation d'un discours de rejet".
Un Aiguemortais, dont on ne sait s'il est représentatif de quoi que ce soit, "impliqué dans les affaires de la commune" (merveilleux floutage !), s'alarme également de ce passage à l'acte : "Quand les difficultés sociales et économiques pèsent sur cette terre camarguaise, il est de bon ton de rendre l'autre responsable. La haine de l'autre est exacerbée." Au premier trimestre 2012, le taux de chômage dans le département atteignait 13,1 %.
Devoir (sélectif) de mémoire, maintenant
Chacun ici garde en mémoire un épisode tragique de l'histoire locale qui remonte au 16 août 1893 (!...) Ce jour-là, des ouvriers aiguemortais ont massacré des immigrés italiens venus pour échapper à la misère, et ouvriers comme eux aux Salins du Midi. Il y eut au moins 8 morts côté italien, et les autochtones, relayés par la presse locale, en profitèrent pour rivaliser de propos nationalistes et xénophobes contre "les ritals". Le Monde blanchit Gilbert Collard mais salit l'ADN des Aiguemortais, si mêlé soit-il depuis plus d'un siècle !
Qu'est-ce qui agite ces Français vigilants issus de la diversité du XIXe siècle ?
Le Jakarta Globe répond : " La communauté musulmane dispose d’un potentiel formidable pour changer le monde, comme elle l’a fait en Tunisie et en Egypte, par exemple. "
Le Monde aimerait les voir changer, mais eux font de la résistance: cette résistance-là dérangerait-elle ?
En Europe
RépondreSupprimerhttp://www.postedeveille.ca/2012/08/norvege-des-musulmans-reclament-un-etat-islamique-autonome-a-oslo.html
Depuis que ce gouvernement laxiste promusulman est en place,
RépondreSupprimerun changement est en train de s'accélérer :
on parle tout le temps des musulmans, on leur construit des mosquées,
en France, alors que nos églises qui font partie de notre patrimoine depuis des siècles sont menacées pour certaines de destruction.
Ces musulmans, en prime, sont en cause dans des désordres parfois violents.
Et maintenant, CERISE SUR LE GÂTEAU EMPOISONNÉ, vous ne pouvez plus allumer la télé sans entendre parler de leur ramadan.
MAIS ON N'EN A RIEN À " FOUTRE " DE LEUR RAMADAN.
POUR CELA IL Y A DES CHAÎNES DANS LEUR LANGUE.
Alors que se passe-t-il, que va-t-il se passer :
de l'ÉTONNEMENT on passe à,
l'INCRÉDULITÉ puis à,
l'ÉNERVEMENT puis au REJET par saturation de ce qui ne nous concerne pas et ensuite
ce n'est pas compliqué
NOUS PASSONS DU REJET DE CE QUI NE FAIT PAS PARTIE DE NOUS, DE NOTRE CULTURE, DE NOTRE FAÇON DE VOIR, DE RESSENTIS, nous passons,
À LA HAINE, car il n'y a PLUS qu'un petit pas, qui je le crains est en train d'être franchi.
Dans leur culture, leurs habitudes : la rue, LES ESCALIERS, LES LIEUX PUBLIQUES QUEL QU'ILS SOIENT, sert de lieu de rencontres,
de palabres, que ce soit de jour comme de nuit, avec souvent des nuisances car ils sont bruyants tout de même.
Mais ceci est facile à comprendre, il ne faut pas être sorti de polytechnique.
Que savons-nous du cheminement qui a amené des citoyens apparemment ordinaires à en venir à un comportement extrême ?
ÇA C'EST LA QUESTION PRIMORDIALE.
LA PAYS TOUT ENTIER RISQUE D'EN ARRIVER LÀ.
Personnellement j'accuse les médias de l'audiovisuel de faire la promotion des musulmans, de quel droit, que cela cache-t-il?
VOULOIR NOUS IMPOSER CE QUE DEPUIS DES SIÈCLES NOUS REJETONS, LA CULTURE MUSULMANE QUI VEUT S'IMPOSER AVEC PAR DERRIÈRE TOUS LES EXCÈS
NOUS L'AVONS VU EN AFGHANISTAN, ET JE NE VAIS PAS CITER TOUT CE QUI SE PASSE DANS LE MONDE À CAUSE D'EUX, SOUS NOS YEUX, ALLER VIVRE EN IRAN ET VOUS SAUREZ CE QU'EST RÉELLEMENT UN ÉTAT MUSULMAN, JE NE CROIS PAS AUX SORNETTES DOUCEREUSES ET MENTEUSES QUE LES MUSULMANS NOUS ASSÈNENT AVANT D'ÊTRE AU POUVOIR, ET CROISER UNE FEMME ENTIÈREMENT VOILÉE EST INTOLÉRABLE, C'EST UN CHOC.
Il y a 20 ans, voire plus, les immigrés apprenaient le français, maintenant ils ne s'en donnent même plus la peine et parlent leur langue où qu'ils soient, j'en ai ras le bol d'entendre parler l'arabe,
d'être seule autochtone dans un transport en commun.
OUI CELA COMMENCE À BIEN FAIRE
La faute à l'anti-racisme galopant :
RépondreSupprimer- l'attitude et les propos de Patapouf
- l'attitude et les propos de ses ministres dont certains ont des
conjoints ou conjointes d'origine .....
- idem de certains maires
Et cela va se propager au pays tout entier :
qui ne sait plus sur quel pied danser ( a-t-on le droit de danser ou risque-t-on un coup des islamistes)
ni sur quelle musique ( la marseillaise ou un hymne arabe)
qui se demande s'il va falloir émigrer à son tour( grave question, OÙ).
TOUT POUR LES AUTRES ET RIEN POUR NOUS ?
Mais quel est cet insecte piqueur qui a inoculé une telle maladie du cerveau, inutile de vous préciser les cerveaux en question!!!
Mais bon sang ! Ce n'est pas possible !!! Vous n'aimez pas les jeunes délinquants (qu'ils soient arabes ou pas) , ça je veux bien le comprendre! Mais alors vous excusez le geste de willam vidal?? Nous ne sommes pas des animaux (je suis française pure souche , mariée à un français pure souche blond aux yeux bleus)!! Où va-t-on si chacun peut faire justice à sa façon ! Cet homme willam vidal (même s'il a été poussé à bout), n'est rien d'autre qu'un meutrier! De quel droit se permet-il de tirer sur des jeunes?? Et ce qui me choque, c'est son air satifait sur les photos de son arrestation ! Pour moi il méritait plus que 4 ans de prison ! Il aurait pu tuer, c'est d'ailleurs ce qu'il voulait . On critique certains arabes, mais croyez vous que le comportement de vidal vale mieux??????? Alors à ces jeunes traqués, je leur dis pardon messieurs de faire partie de cette population de soi disant bons français et qui me font honte ! Chacun est libre de vivre dans ce monde avec sa religion, ses habitudes..... Et à ces chers si bons français.... honte à vous !!!!!!
RépondreSupprimerVoilà estelle qui est pro racaille et musulmans. Avec des gens comme elle que le navire sombre peu à peu . On ne peut plus fermer les yeux ou tourner la tête . Il faut agir . Ce que William a fait ce n'est rien par rapport aux attentas diriges par ces lâches! !!!!
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