mercredi 4 mai 2011

FFF, minorités et quotas : Plenel s'est-il bien regardé ?

La FFF est soumise aux groupes de pression

Le pays qui accepte la vision partisane d'un guérilléro va bien mal

Un site révolutionnaire buzze sans que le microcosme médiatique bronche

Il serait sain le pays qui repousserait les attaques subversives et refoulerait les cabales discriminatoires. Les acteurs de la vie politique et sociale se plaisent hélas à faire les coqs sur leur tas de fumier: plus il est haut et pue, mieux porte leur voix. Edwy Plenel se plaît dans le lisier; il y prospère et s'y vautre donc. Quand il vient à manquer, il en produit et engraisse la contestation. Dans le cloaque de la presse aux narines peu délicates, les confrères y trouvent matière à se gorger jusqu'aux dents.

Aucun réflexe, ni d'auto-protection, ni de survie

Les journalistes décrypteurs ne lisent pas la liste des ingrédients de Mediapart. Souvent bio pour la bonne conscience et anti-OGM pour la galerie, ils ingurgitent n'importe quoi: plus c'est gros et mieux ça passe ! Le nombre des épaississants ne leur fait pas peur et il leur suffit que les colorants chimiques soient rouges pour qu'ils accordent le droit de publier. A moins d'ailleurs qu'ils ne soient contraintS à la consommation de produits politiquement corrects. Accéléré, le transit intestinal souffre, mais c'est bon pour le cancer de la société.

La Fédération française de football se laisse dominer par les groupes de pression de la diversité

La FFF a massivement recruté ses joueurs au poids et aux couleurs du packaging. Après près de trente années, elle a fini par devenir plus regardante au rapport qualité-prix mais n'a pas le courage de changer de fournisseurs.
Influencé par la grande distribution idéologique et sous surveillance des associatons de consommateurs de diversité, la FFF se voit interdire les produits blancs du terroir à la commercialisation. Impossible de réduire la consommation de CO2 des bi-nationaux entre Afrique et Europe. Le low-cost blanc ne satisfait pas plus que les économies d'énergie, allez y comprendre quelque chose à Médiapart !
Lien PaSiDupes: le foot, chasse gardée des Blacks

Le droit d'ingérence politique gangrène le sport

L'argent, nous dit-on, pourrit tout et donc le sport, mais il n'est pas le seul facteur de pourrissement et la principale révélation de Mediapart au grand public est le rôle, connu de la FFF, de l'idéologie.
La FFF a fauté contre la pensée unique et accepte du grand dictateur idéologique l'obligation de faire des pompes. Elle tente ainsi de se faire excuser ses saines prétentions à la rationalisation du secteur foot.
La fédération n'a pas la pleine et entière liberté de ses choix. Elle n'est pas libre de décider ce qui, à son sens, est le mieux pour l'équipe de France et la formation des jeunes dans ses clubs. Ce qui est de sa responsabilité lui échappe. Elle subit des pressions extérieures et le sport national est entravé. ce qui la justifieles meilleurs choix le prescripteur autoritaire cache une réalité peu reluisante. Le site d’Edwy Plenel est en effet emblématique des échecs de l’intégration des minorités en France et singulièrement dans les media.
Lien PaSiDupes: les avantages acquis de la diversité

Mediapart a-t-il les mains propres qu'il "salit" tout ce qu'il touche

En donneur de leçons, Mediapart est-il bien placé ?

A y regarder de près, il y a quelque chose de pourri au royaume d’Edwy Plenel… Son site « d’investigation », comme certains journaux qui ont les mêmes prétentions mais attendent les scoops devant leurs téléphones, a reçu une information à domicile et prêt à l'emploi, comme la police à une certaine époque sombre de notre histoire, selon la formule consacrée. Et ce sont justement des organes de presse comme le Canard enchaîné qui tombent dans cette facilité. Cette fois encore, c'est le vertueux site, redresseur de torts, Mediapart qui se livre à l'exploitaion de documents volés. Quand, par le passé, on parlait pour ça de 'délation', ce genre de fuite s'appelle aujourd'hui 'révélation'. Spécialistes en agit-prop, également tritement célèbre de l'autre côté d'un rideau qui n'était pas alors de fumée, Mediapart vient encore de monter un coup médiatique de déstabilisation politicienne en accusant un responsable médiatisé. Un responsable est toujours une cible pour les trotskistes et le sélectionneur de l'équipe de France est particulièrement exposé. Laurent Blanc et la FFF sont donc accusés de racisme sur la base d’un verbatim exploité par amplification de son contenu véritable, avec la malice révolutionnaire avérée de certains milieux politiques et associatifs où gravite Lilian Thuram.
Lien PaSiDupes: agitateur du PS (2007)
Lien PaSiDupes: agitateur radical (2011)

L'arroseur arrosé

Du coup Edwy Plenel attire à nouveau l'attention sur ses méthodes.
La curiosité la plus élémentaire amène ainsi à se demander ce qu’il en est de la diversité chez Mediapart, temple de la morale et dernier bastion de l’intégrité publique. Et le constat de la discrimination est sans appel !

A part Lilian Thuram qui s'y pavane, combien de noirs et d’arabes à Mediapart ?

Combien sont-ils à travailler pour ce site, parmi la trentaine de journalistes ? Quel est le statut de Mohammed Belkacemi, le fuiteur de la FFF, celui qui a enregistré la fameuse réunion du 8 novembre: sympathisant des luttes contre certaines discriminations et pour les inégalités ou militant trotskiste, caution morale de la fédération ou taupe à la solde de Mediapart ? Le traitre à la FFF n'est-il pas conforté dans son activité: «il a d’énormes compétences que la fédé peut utiliser», remarque la ministre, qui explique qu’il fera tout de même l’objet d’un ...«rappel à la règle» !

Soit les journalistes de la diversité sont si bien intégrés à Mediapart qu'on ne les distingue pas, soit ils sont si rares qu'ils servent d'alibis, soit ils ont été carrément discriminés à l'embauche, mais alors le site leur applique des quotas sévères qui ne leur permetttent visiblement pas de représenter équitablement la diversité de ce pays.
C'est un comble que le MEDEF et la gauche ne trouvent pas à Mediapart le soutien à leur politique de recrutement de migrants hautement qualifiés. La chance de la diversité est en effet circonscrite à la FFF qui utilise les "énormes compétences" de ses pros du foot de l'audio-visuel et leur verse des salaires pour filmer en caméra cachée.

E. Plenel peut-il dès lors se permettre de fustiger les ratés de l’ascenseur social français dans lequel les enfants d’immigrés resteraient désesperemment coincés, quand ils ne sont pas interdits à bord du Soyouz de Plenel ? Alors pourquoi donc s'en prendre à l’unique institution française dont le modèle d’intégration fonctionne au-delà de toute espérance sociale et parité ethnique, la FFF ?

Pas d'empêcheurs de tourner en rond à Mediapart, où les journalistes-bourgeois refont le monde entre eux, sans aucune prise avec la France réelle et totalement déconnectés des véritables problèmes des classes populaires, en se mordant la queue et tout ce qui passe.

Le vrai scandale

Ce qui serait inconcevable, ce n’est pas qu'une fédération s'interrogeât sur les causes des contre-performances de l'équipe fanion, mais bien plutôt qu'un sélectionneur national reste les bras ballants, qu'il ne remette pas en cause le système en place, coûteux et improductif, et qu'il privilégie la masse musculaire de ses joueurs sur leur technicité, qu'il accepte donc la dictature de l'idéologie dominante qui lui impose de promouvoir les gros noirs et arabes des quartiers défavorisés et d'assurer ainsi la paix sociale.

La limitation du nombre de bi-nationaux n'est qu'une des possibilités de redressement du niveau du football hexagonal.

Mais que le simple fait de la mettre à l'étude, a fortiori sans même l'avoir expérimentée, puisse provoquer un scandale, est parfaitement effarant. Il fallait bien l'envisager, puisque les petits gabarits donnent satisfaction en Espagne ou en France avec des Giresse par le passé ou des Valbuena actuellement.

De même qu'il est inacceptable que les Blancs continuent d'être dévalorisés et ridiculisés dans les centres de formation de la fédération, de même est-il intolérable qu’un site de presse - en principe soumis à la déontologie de la profession - pratique une discrimination ethnique à l'embauche, alors qu'elle prétend promouvoir l'éthique révolutionnaire et l'égalité sociale, sans complaisances ni réserves.

La gauche pratique le double-standard médiatique

La liberté d'expression, le secret des sources et le droit à discriminer


Le scandale de cette discrimination éthnique et sociale par Mediapart ou autres n'est possible qu'avec la complicité de la corporation verrouillée des journalistes opposés à la transparence et au droit d'ingérence.
Les associations et « autorités administratives 'indépendantes' »

Indépendantes du pouvoir, soit, mais indépendantes de toute idéologie ?
La LDH est-elle exclusivement dédiée à la droite ?
La LICRA et le MRAP soutiennent-ils partie liée avec le trotskiste Plenel ?
La HALDE va-t-elle se pencher sur le cas de la discrimination à l'embauche des salariés d'Edwy Plénel ?
Le CRAN se satisfait-il de la présence assidue de Lilian Thuram au partenariat de Mediapart ?
SOS Racisme compte-elle fermer les yeux encore longtemps?

Pour une meilleure crédibilité, que n'organisent-ils pas une défense concertée de la diversité ostracisée par Edwy Plenel au sein de Mediapart ?

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