La violence, critère de classement des écoles.
Puisque les résultats au bac sont artificiellement nivelés, la violence devient le nouveau critère de sélection des établissements.
Les musulmans l’ont bien compris : ils essaient d'ouvrir leur 2° école confessionnelle à Lyon, après Lille: vue du plus grand groupe scolaire musulman de France, le collège-lycée Al-Kindi, à Décines (intérieur, photo de droite).
Le Point a dressé la carte de France des établissements (234 collèges, 100 lycées généraux et technologiques et 100 lycées professionnels) subissant le plus d'actes de violence et a classé les 450 collèges et lycées les plus violents à partir de données de l'Education nationale obtenues après 18 mois de bataille juridique.
Le ministre de l'Education nationale Gilles de Robien a déploré jeudi la publication de ce classement des établissements scolaires les plus confrontés à la violence, affirmant qu'elle ne lui semblait "pas très pertinente, parce que ces chiffres sont en données brutes, et ne tiennent pas compte du nombre d'élèves".
Il a précisé lors d'une conférence de presse sur la rentrée scolaire 2006, que les statistiques dans ce domaine ne constituent pas "un outil qui nous sert à stigmatiser tel établissement plutôt que tel autre".
"Nous avons lutté contre les actes de racisme et d'antisémitisme. Ils ont baissé de 20%. C'est à ça que nous sert cet outil", a-t-il ajouté. Aux établissements touchés par la violence, il a conseillé "de porter plainte. Ensuite, il y aura un policier référent dans chaque établissement", a souligné le ministre.
Il faut hélas ajouter que les chefs d’établissements maquillent ces données 'a minima', car il n’ont pas intérêt, ne serait-ce que pour leur carrière, à stigmatiser leurs propres établissements, qui risquent d’être considérés comme mal gérés, ce qui est d’ailleurs le cas. Les principaux et proviseurs font pressions sur les enseignants pour précisément qu’ils ne portent pas plainte. Le ministre devra les mettre au pli, si les syndicats le permettent…
Les chefs d’établissements accèdent en outre trop souvent en effet à un poste d’administration lorsqu’ils ne se sentent plus d’enseigner ou sont carrément en situation difficile de désordre dans leurs propres classes. Ce sont avant tout de beaux parleurs et des maquilleurs de chiffres. Nombreux sont les enseignants qui témoignent de leurs défaillances, relationnellement et humainement parlant.
La démagogie n’est pas la solution.
jeudi 31 août 2006
Royal: programme non pas flou, mais vide... Beaucoup de bruit pour pas grand chose... Le tableau noir reste ...quasiment immaculé. Elle privilégie la forme médiatique au détriment du fond, c'est clair...
Elle a déterminé sa priorité en désignant ses porte-parole! Trois, de plus! ... Déjà à elle seule, c'était un accaparement insupportable des médias masochistes, mais alors trois... nous allons devoir nous faire hara-kiri!
Nous y revenons plus loin dans ce blog, pour développer.
Elle a déterminé sa priorité en désignant ses porte-parole! Trois, de plus! ... Déjà à elle seule, c'était un accaparement insupportable des médias masochistes, mais alors trois... nous allons devoir nous faire hara-kiri!
Nous y revenons plus loin dans ce blog, pour développer.
Les enseignants annoncent déjà la grève !Les cinq fédérations de l'Education appellent à la grève le jeudi 28 septembre. Ca n’a pas traîné…
Etrange annonce unitaire de la part des syndicats qui réclament des autres le dialogue et la concertation, se targuent de consulter leurs bases avant toute prise de décision et se parent des adjectifs ‘démocratique’ et ‘républicain’. Or, la rentrée n’a pas encore eu lieu : la pré-rentrée des profs, c’est pour demain vendredi ( !). Les enseignants ont-ils été consultés sur leurs lieux de vacances divers et variés, en France et à l’étranger ? Les syndicats ne vont-ils pas au devant des revendications enseignantes ? En fait, ils dictent manifestement leurs revendications à leurs syndiqués. Ceux-ci vont-ils suivre comme des moutons ?
Les cinq fédérations syndicales enseignantes (FSU, SGEN-CFDT, UNSA-Education, FERC-CGT et FAEN) appellent à une journée nationale de grève (d’emblée) et de manifestations dans toute la France le jeudi 28 septembre prochain pour protester contre les restrictions budgétaires et les suppressions de postes, a-t-on appris jeudi de la FSU (Fédération syndicale unitaire), le syndicat leader : elles annoncent, selon leurs calculs personnels, 15.000 suppressions de postes prévues dans la Fonction publique en 2007, dont plus de la moitié à l'Education nationale (8.500), et le manque de moyens pour cette rentrée 2006, bien que du matériel informatique, par exemple, soit affecté à des établissements suréquipés. Mais cette ritournelle fait partie du folklore, même si paroles et musique tiennent de la rengaine !
Il faudra tout de même entendre les explications, voire les justifications, du Ministre Gilles de Robien. Les syndicats ont pris cette décision lors d'une rencontre commune à Paris aujourd’hui jeudi 31 en début d'après-midi, au nom de leurs bases bien qu’elles n’aient pas encore voté pour leurs représentants…
Lundi prochain, les fédérations de la Fonction publique doivent se réunir à leur tour pour décider d'actions communes. De peur de ne pas être assez vus et médiatisés, les syndicats d’enseignants ont déjà programmé une première journée de mobilisation, sans grève, mercredi prochain 6 septembre, au 3° jour de la rentrée...
Les parents vont devoir s’organiser, mais vont-ils apprécier de démarrer ainsi au quart de tour les huit mois à venir qui promettent d’être chauds? Une concertation préalable a-t-elle eu lieu ?
Peu importe, puisque la FCPE va confirmer, peut à coup sûr dès à présent confirmer, que les besoins vont grandissants. Il va falloir piocher dans les postes ‘vides’ des enseignants qui ne sont pas en présence d’élèves... Les syndicats vont, sans aucun doute, nous produire ces chiffres…prochainement. C’était pourtant l’occasion, maintenant!
La PEEP va s’aligner, puisqu’il faut flatter les familles…
Ils se sont concertés entre eux… mais ont-ils dialogué avec le ministre, nous allions dire ‘de tutelle’. Mais les enseignants ont trop la culture de la domination des ministres de l’Education pour admettre que le pouvoir politique de l’exécutif représentant de la nation entière est démocratiquement et institutionnellement supérieur au pouvoir des syndicats catégoriels et corporatistes.
Etrange annonce unitaire de la part des syndicats qui réclament des autres le dialogue et la concertation, se targuent de consulter leurs bases avant toute prise de décision et se parent des adjectifs ‘démocratique’ et ‘républicain’. Or, la rentrée n’a pas encore eu lieu : la pré-rentrée des profs, c’est pour demain vendredi ( !). Les enseignants ont-ils été consultés sur leurs lieux de vacances divers et variés, en France et à l’étranger ? Les syndicats ne vont-ils pas au devant des revendications enseignantes ? En fait, ils dictent manifestement leurs revendications à leurs syndiqués. Ceux-ci vont-ils suivre comme des moutons ?
Les cinq fédérations syndicales enseignantes (FSU, SGEN-CFDT, UNSA-Education, FERC-CGT et FAEN) appellent à une journée nationale de grève (d’emblée) et de manifestations dans toute la France le jeudi 28 septembre prochain pour protester contre les restrictions budgétaires et les suppressions de postes, a-t-on appris jeudi de la FSU (Fédération syndicale unitaire), le syndicat leader : elles annoncent, selon leurs calculs personnels, 15.000 suppressions de postes prévues dans la Fonction publique en 2007, dont plus de la moitié à l'Education nationale (8.500), et le manque de moyens pour cette rentrée 2006, bien que du matériel informatique, par exemple, soit affecté à des établissements suréquipés. Mais cette ritournelle fait partie du folklore, même si paroles et musique tiennent de la rengaine !
Il faudra tout de même entendre les explications, voire les justifications, du Ministre Gilles de Robien. Les syndicats ont pris cette décision lors d'une rencontre commune à Paris aujourd’hui jeudi 31 en début d'après-midi, au nom de leurs bases bien qu’elles n’aient pas encore voté pour leurs représentants…
Lundi prochain, les fédérations de la Fonction publique doivent se réunir à leur tour pour décider d'actions communes. De peur de ne pas être assez vus et médiatisés, les syndicats d’enseignants ont déjà programmé une première journée de mobilisation, sans grève, mercredi prochain 6 septembre, au 3° jour de la rentrée...
Les parents vont devoir s’organiser, mais vont-ils apprécier de démarrer ainsi au quart de tour les huit mois à venir qui promettent d’être chauds? Une concertation préalable a-t-elle eu lieu ?
Peu importe, puisque la FCPE va confirmer, peut à coup sûr dès à présent confirmer, que les besoins vont grandissants. Il va falloir piocher dans les postes ‘vides’ des enseignants qui ne sont pas en présence d’élèves... Les syndicats vont, sans aucun doute, nous produire ces chiffres…prochainement. C’était pourtant l’occasion, maintenant!
La PEEP va s’aligner, puisqu’il faut flatter les familles…
Ils se sont concertés entre eux… mais ont-ils dialogué avec le ministre, nous allions dire ‘de tutelle’. Mais les enseignants ont trop la culture de la domination des ministres de l’Education pour admettre que le pouvoir politique de l’exécutif représentant de la nation entière est démocratiquement et institutionnellement supérieur au pouvoir des syndicats catégoriels et corporatistes.
Coup de boule encore plus indigne que prévu.
Le coup de boule de Zidane, qui a privé la France d'une vraisemblable victoire au Mondial de football 2006, a inspiré une chanson de circonstances qui aurait eu un succès important, malgré les paroles que nous vous livrons ci-dessous.
Le coup de boule de Zidane, qui a privé la France d'une vraisemblable victoire au Mondial de football 2006, a inspiré une chanson de circonstances qui aurait eu un succès important, malgré les paroles que nous vous livrons ci-dessous.
Coup de boule-Laplage
Attention c'est la danse du coup de boule coup de boule, coup de boule coup de boule à droite coup de boule, coup de boule coup de boule à gauche
Attention c'est la danse du coup de boule coup de boule, coup de boule coup de boule à droite coup de boule, coup de boule coup de boule à gauche
Allez les bleus, allez !
{Refrain:}Zidane il a frappéZidane il a tapé Coup de boule Zidane il a frappé Zidane il a tapé Coup de boule Zidane il a frappé Zidane il a tapé Coup de boule Zidane il a frappé Zidane il a tapé Le rital il a eu mal Zidane il a frappé L'italien ne va pas bien Zidane il a tapé L'arbitre l'a vu à la télé Zidane il a frappé Mais la coupe on l'a ratée On a quand même bien rigolé{au Refrain}Trézéguet n'a pas joué Quand il a joué il a raté Il a tout fait capoter La coupe on l'a ratée Barthez n'a rien arrêté C'est pourtant pas compliqué Les sponsors sont tous fâchés Mais Chirac a bien parlé{au Refrain}
Attention c'est la danse du coup de boule coup de boule, coup de boule coup de boule à droite coup de boule, coup de boule coup de boule à gauche coup de boule, coup de boule coup de boule avant coup de boule, coup de boule coup de boule arrière coup de boule, coup de boule Et maintenant penalty Attention il va tirer Un Deux Trois C'est ratééééééé Zidane il a frappé Zidane il a tapé Zidane il a frappé Zidane il a tapé Zidane il a frappé Zidane il a tapé Zidane il a frappé Zidane il a tapé On a quand même bien rigolé Zidane et Trézéguet La coupe on l'a ratée Zidane et Trézéguet On a quand même bien rigolé Zidane et Trézéguet La coupe on l'a ratée Zidane et Trézéguet Et Trézéguet Et Trézéguet Et Trézéguet guet guet Et Trézéguet coup de boule, coup de boule Et Trézéguet coup de boule, coup de boule Et Trézéguet coup de boule, coup de boule.
Ouf, c'est fini... La raillerie se vend bien, la nullité du texte ne dérange pas les acheteurs, la violence n'y est pas condamnée et le racisme est à peine perceptible, sous l'effet d'un pack de bière: tout va bien... C'est ça, l'effet Canal+ ...!
Pour entendre ce chef d'oeuvre du marketing qui s'est bien vendu en France, mais n'a pas été apprécié à sa juste valeur, nulle part ailleurs, pas même en Italie. Ils sont bien difficiles.
Et qu'on ne nous dise pas que c'est pour exorciser le traumatisme national!
Des clips et des montages circulent aussi qui sont supposés amuser. Ils sont affligeants et démontrent, si besoin, que les dommages collatéraux dépassent ce que la presse veut bien nous en dire. La société Danone va-telle les évaluer à leur juste valeur?
Nous vous len proposons pourtant, pour information, et les assortissons de notre désapprobation: à vous de juger les dégats de ce coup de boule qui nous fait honte, plus que prévu.
Rendez-vous à la date du 2 septembre dans PaSiDupes.
mercredi 30 août 2006
Boycott légal, pour changer…
C’est nouveau : un ministre appelle au boycott d’une augmentation illégale de salaire : il s’agit en l’occurrence pour les patients de s’opposer au "mot d'ordre lancé mardi par trois syndicats de médecins libéraux" d’augmenter leurs honoraires, d’autorité.
Trois syndicats de chirurgiens, obstétriciens et anesthésistes libéraux ont appelé mardi 29 leurs adhérents à "demander des compléments d'honoraires" -doux euphémisme- à leurs patients à partir de vendredi 1er septembre, afin de dénoncer un "blocage" de leurs tarifs. Il convient de rappeler qu’une revalorisation de 12,5% a pourtant été réalisée fin 2004.
Xavier Bertrand, le ministre de la Santé, a réagi de manière tout à fait inhabituelle et pour le moins innovante à cette incivilité. Après avoir en effet rappelé, sur Europe 1, que "les dépassements d'honoraires sont illégaux", il a en conséquence demandé aux patients de faire de la résistance : "Je dis aux patients qui se verraient imposer un dépassement illégal d'honoraires, ne payez pas ce dépassement". Ce sont en effet de véritables hausses sauvages.
Il a également fait appel à la raison, à la modération et à la patience des spécialistes concernés. "Aux chirurgiens qui pourraient être tentés par ce mot d'ordre, je leur dis, 'n'allez pas dans cette voie-là’ car c'est une impasse".
"Ce n'est pas parce que c'est compliqué, ce n’est pas parce que c'est long entre l'assurance-maladie et ces syndicats que les patients doivent en faire les frais". Le gouvernement n’étant pas partie prenante à ces négociations, il sert d’intermédiaire et de facilitateur. Il semble pourtant que l’impatience et l’indécence ont atteint une limite.
Qui sont ces médecins ? Cette agressivité à l’égard de ceux qu’ils sont supposés écouter et aider paraît en effet passablement choquante. S’agit-il d’une prise d’otages ? Les patients ont peut-être assez de soucis comme ça, non ?
Comment ces médecins spécialistes sont-ils syndiqués ?- L’UCDF (Union des chirurgiens de France) et son président, Philippe Cuq, (photo de gauche) semblent à la pointe. Créée en mai 2005, à l'occasion d'un "exil" symbolique des chirurgiens en Grande-Bretagne pour dénoncer, selon eux, le non-respect d'un accord tarifaire signé en 2004, l'UCDF a appelé mardi ses adhérents à appliquer une augmentation de 25% des actes chirurgicaux. Elle publia ses vœux…le 9 mai 2005: ‘Les chirurgiens de France souhaitent un prompt rétablissement au premier ministre M. Jean Pierre RAFFARIN, opéré par coelio-chirurgie de la vésicule biliaire’.
Secret médical assuré, à la condition d’une augmentation de seulement 25% des honoraires ? ...
- Mais il faut signaler aussi le SYNGOF (Syndicat des gynécologues obstétriciens de France), associé à l'UCDF depuis sa création, et avec qui il existe de nombreuses participations croisées;
- et l’AAL (Association des Anesthésistes Libéraux), associée à l'UCDF et au SYNGOF dans la défense des plateaux techniques libéraux et pour l'opération : "La France sans blocs opératoires" de l'été 2006.
Sans compter la Coordination Nationale des Médecins Spécialistes (Conatspé) : une coordination de plus, avec, par exemple, celle, de triste mémoire, des étudiants gauchistes anti-CPE qui noyautait les assemblées et les faisait dégénérer.
S’agirait-il encore d’une action politique,
comme nous en observons un grand nombre depuis quelques années : campagne terroriste dans les services d’urgence, exploitation de la canicule, mobilisation permanente du milieu hospitalier qui traumatise les plus faibles, les plus vulnérables, en les alarmant sur leur système de santé, qui pourtant attire paradoxalement des médecins étrangers, qui à leur tour s’insurgent ?… Des chirurgiens libéraux menacaient de partir en vacances "tous en même temps" pendant l'été 2006, pour faire entendre leurs revendications.
Dommage pour les malades… Des otages ? Certainement pas ! La psychose développée par tel et tel syndicats et l’exploitation qu’ils font du risque mortel des femmes enceintes, ou des vieillards, à des fins pécuniaires personnelles, sont odieux. En moyenne, nos médecins nous consacrent généreusement 7 minutes…entières, en consultation. Leur situation catégorielle n’est pas si dramatique qu’ils ne puissent pas accorder une meilleure écoute à leurs patients et consacrer du temps au dialogue avec l’assurance-maladie ?
Combien de chirurgiens se sont comportés impunément en bouchers… Si les patients ne peuvent obtenir de leurs chirurgiens une obligation de résultat, alors il est temps que les citoyens fassent respecter la loi et soutiennent le ministre qui travaille pour leur pouvoir d’achat…? Il nous est tous arrivé en effet de retirer notre clientèle et de faire la réputation d’un pharmacien, d’un commerçant, d’une clinique privée ou d’une grande surface, qui s’est mal comporté. Pourquoi ne pas appliquer ce traitement aux médecins indélicats, dans la mesure où ils doivent s’adapter comme les autres, d’autant qu’ils ne sont pas défavorisés.
Le test nous paraît intéressant, car, espérons-le, il va faire apparaître une résistance civique … légale!
C’est nouveau : un ministre appelle au boycott d’une augmentation illégale de salaire : il s’agit en l’occurrence pour les patients de s’opposer au "mot d'ordre lancé mardi par trois syndicats de médecins libéraux" d’augmenter leurs honoraires, d’autorité.
Trois syndicats de chirurgiens, obstétriciens et anesthésistes libéraux ont appelé mardi 29 leurs adhérents à "demander des compléments d'honoraires" -doux euphémisme- à leurs patients à partir de vendredi 1er septembre, afin de dénoncer un "blocage" de leurs tarifs. Il convient de rappeler qu’une revalorisation de 12,5% a pourtant été réalisée fin 2004.
Xavier Bertrand, le ministre de la Santé, a réagi de manière tout à fait inhabituelle et pour le moins innovante à cette incivilité. Après avoir en effet rappelé, sur Europe 1, que "les dépassements d'honoraires sont illégaux", il a en conséquence demandé aux patients de faire de la résistance : "Je dis aux patients qui se verraient imposer un dépassement illégal d'honoraires, ne payez pas ce dépassement". Ce sont en effet de véritables hausses sauvages.
Il a également fait appel à la raison, à la modération et à la patience des spécialistes concernés. "Aux chirurgiens qui pourraient être tentés par ce mot d'ordre, je leur dis, 'n'allez pas dans cette voie-là’ car c'est une impasse".
"Ce n'est pas parce que c'est compliqué, ce n’est pas parce que c'est long entre l'assurance-maladie et ces syndicats que les patients doivent en faire les frais". Le gouvernement n’étant pas partie prenante à ces négociations, il sert d’intermédiaire et de facilitateur. Il semble pourtant que l’impatience et l’indécence ont atteint une limite.
Qui sont ces médecins ? Cette agressivité à l’égard de ceux qu’ils sont supposés écouter et aider paraît en effet passablement choquante. S’agit-il d’une prise d’otages ? Les patients ont peut-être assez de soucis comme ça, non ?
Comment ces médecins spécialistes sont-ils syndiqués ?- L’UCDF (Union des chirurgiens de France) et son président, Philippe Cuq, (photo de gauche) semblent à la pointe. Créée en mai 2005, à l'occasion d'un "exil" symbolique des chirurgiens en Grande-Bretagne pour dénoncer, selon eux, le non-respect d'un accord tarifaire signé en 2004, l'UCDF a appelé mardi ses adhérents à appliquer une augmentation de 25% des actes chirurgicaux. Elle publia ses vœux…le 9 mai 2005: ‘Les chirurgiens de France souhaitent un prompt rétablissement au premier ministre M. Jean Pierre RAFFARIN, opéré par coelio-chirurgie de la vésicule biliaire’.
Secret médical assuré, à la condition d’une augmentation de seulement 25% des honoraires ? ...
- Mais il faut signaler aussi le SYNGOF (Syndicat des gynécologues obstétriciens de France), associé à l'UCDF depuis sa création, et avec qui il existe de nombreuses participations croisées;
- et l’AAL (Association des Anesthésistes Libéraux), associée à l'UCDF et au SYNGOF dans la défense des plateaux techniques libéraux et pour l'opération : "La France sans blocs opératoires" de l'été 2006.
Sans compter la Coordination Nationale des Médecins Spécialistes (Conatspé) : une coordination de plus, avec, par exemple, celle, de triste mémoire, des étudiants gauchistes anti-CPE qui noyautait les assemblées et les faisait dégénérer.
S’agirait-il encore d’une action politique,
comme nous en observons un grand nombre depuis quelques années : campagne terroriste dans les services d’urgence, exploitation de la canicule, mobilisation permanente du milieu hospitalier qui traumatise les plus faibles, les plus vulnérables, en les alarmant sur leur système de santé, qui pourtant attire paradoxalement des médecins étrangers, qui à leur tour s’insurgent ?… Des chirurgiens libéraux menacaient de partir en vacances "tous en même temps" pendant l'été 2006, pour faire entendre leurs revendications.
Dommage pour les malades… Des otages ? Certainement pas ! La psychose développée par tel et tel syndicats et l’exploitation qu’ils font du risque mortel des femmes enceintes, ou des vieillards, à des fins pécuniaires personnelles, sont odieux. En moyenne, nos médecins nous consacrent généreusement 7 minutes…entières, en consultation. Leur situation catégorielle n’est pas si dramatique qu’ils ne puissent pas accorder une meilleure écoute à leurs patients et consacrer du temps au dialogue avec l’assurance-maladie ?
Combien de chirurgiens se sont comportés impunément en bouchers… Si les patients ne peuvent obtenir de leurs chirurgiens une obligation de résultat, alors il est temps que les citoyens fassent respecter la loi et soutiennent le ministre qui travaille pour leur pouvoir d’achat…? Il nous est tous arrivé en effet de retirer notre clientèle et de faire la réputation d’un pharmacien, d’un commerçant, d’une clinique privée ou d’une grande surface, qui s’est mal comporté. Pourquoi ne pas appliquer ce traitement aux médecins indélicats, dans la mesure où ils doivent s’adapter comme les autres, d’autant qu’ils ne sont pas défavorisés.
Le test nous paraît intéressant, car, espérons-le, il va faire apparaître une résistance civique … légale!
Bons chiffres du chômage annoncés.
Est-ce tellement choquant d'annoncer un mieux en matière de chômage?
Le ministre de l'Economie s'attend à de "très bons" chiffres du taux de chômage pour juillet cette semaine.
Thierry Breton a déclaré sur RMC : "La croissance continue à créer de l'emploi dans notre pays".
"Donc les chiffres qui seront annoncés jeudi matin je les attends bons, très bons, parce que nous sommes dans une dynamique vertueuse", a-t-il ajouté. C'est tant mieux pour les chômeurs de retour dans le circuit et patience aux autres qui ne méritent pas leur sort...
Mais c'est tant pis pour les commentateurs négationnistes!
Est-ce tellement choquant d'annoncer un mieux en matière de chômage?
Le ministre de l'Economie s'attend à de "très bons" chiffres du taux de chômage pour juillet cette semaine.
Thierry Breton a déclaré sur RMC : "La croissance continue à créer de l'emploi dans notre pays".
"Donc les chiffres qui seront annoncés jeudi matin je les attends bons, très bons, parce que nous sommes dans une dynamique vertueuse", a-t-il ajouté. C'est tant mieux pour les chômeurs de retour dans le circuit et patience aux autres qui ne méritent pas leur sort...
Mais c'est tant pis pour les commentateurs négationnistes!
La pub de Flamby 1er pour le groupe français Bel qui produit les Apéricubes nous change du fromage socialiste de Hollande, mais son sens de l'humour laissera les chômeurs sur leur faim et il aurait pu avoir plus de tact.
mardi 29 août 2006
Le clan Johnny Hallyday adhère à l'UMP.
Johnny Hallyday, son épouse Laetitia et son fils David comptent désormais parmi les militants de l'UMP.
La députée sarkozyste, Nadine Morano, l’a indiqué mardi sur RTL : "Ils ont adhéré à l'UMP. Nicolas Sarkozy me l'avait dit (...) Nous sommes très, très heureux de l'accueillir", a-t-elle ajouté.
Elle a également confirmé que le chanteur assisterait au discours de Nicolas Sarkozy ce dimanche à Marseille, en clôture de l'université d'été de l'UMP.
Johnny Hallyday avait affirmé, pour sa part, dans une interview à Nice-Matin, datée du 29 juillet, que Nicolas Sarkozy devait "absolument être notre président". Le chanteur avait ajouté : "Je ne vais pas me contenter de voter pour lui, je vais lui donner un coup de main dans la mesure de mes moyens".
Combien d'autres artistes vont-ils se décider à braver le totalitarisme de gauche dans le mondedu spectacle?
Johnny Hallyday, son épouse Laetitia et son fils David comptent désormais parmi les militants de l'UMP.
La députée sarkozyste, Nadine Morano, l’a indiqué mardi sur RTL : "Ils ont adhéré à l'UMP. Nicolas Sarkozy me l'avait dit (...) Nous sommes très, très heureux de l'accueillir", a-t-elle ajouté.
Elle a également confirmé que le chanteur assisterait au discours de Nicolas Sarkozy ce dimanche à Marseille, en clôture de l'université d'été de l'UMP.
Johnny Hallyday avait affirmé, pour sa part, dans une interview à Nice-Matin, datée du 29 juillet, que Nicolas Sarkozy devait "absolument être notre président". Le chanteur avait ajouté : "Je ne vais pas me contenter de voter pour lui, je vais lui donner un coup de main dans la mesure de mes moyens".
Combien d'autres artistes vont-ils se décider à braver le totalitarisme de gauche dans le mondedu spectacle?
Villepin se soucie du pouvoir d’achat des Français.
Après une période estivale qui n’a pas été de tout repos pour les membres du gouvernement, avec le conflit du Liban et avec l’activisme de l’extrême gauche ciblée sur les sans papiers avec le réseau anarchiste ESF et sur les thoniers avec Greenpeace et WWF, le Premier ministre doit faire face à une relance de l’offensive de l’opposition sur tous les fronts.
Il ne fallait donc pas s’attendre à ce que les mesures qu’il annonce reçoivent l’approbation de cette gauche qui ne s’est pas réjouie de l’embellie économique du 2° trimestre, pourtant incontestable.
Les socialistes, sans surprise, ont vu dans les mesures annoncées par le gouvernement "un rideau de fumée chargé de faire écran à une situation extrêmement dégradée".
François Hollande, fort badin, a immédiatement raillé dimanche les "mesurettes" annoncées pour cette rentrée par le gouvernement qui "sont au pouvoir d'achat ce que sont les Apéricubes à la gastronomie". Flamby 1er sait de quoi il parle, lui qui n’a jamais été aux affaires. Et ne s’est toujours pas déclaré dans la course à l’Elysée…Les plus précaires d’entre nous apprécieront le mépris du PS pour les actions qui peuvent améliorer leur situation.
Les syndicats, qui réclamaient depuis un an le chèque transport et ont fait du pouvoir d'achat leur première revendication de la rentrée, redoutent que les entreprises saisissent le prétexte de l'augmentation de la PPE pour ne pas augmenter les salaires. "Progressivement, ce sont des compléments de salaire payés par l'impôt qui viendraient se substituer à la politique salariale", a observé Jacques Voisin (CFTC) sur France-Info.
Mais les représentants des salariés se sont globalement réjouis de sa création. Il en est pourtant un qui se distingue. "Le Premier ministre a voulu apparaître un peu comme le Père Noël au mois d'août", a ainsi ironisé mardi Jean-Claude Mailly (Force ouvrière), pour qui il n’est pas de sujet plus amusant que la précarité. Il ne sait pas davantage apprécier l’augmentation des efforts des Français en faveur des plus exposés. Quant à saluer cette démonstration de la volonté du Premier ministre d’être à l’écoute des partenaires sociaux, il ne faut pas demander l’impossible à FO, visière sur les yeux!
Le Premier ministre a reconnu le "malaise que ressentent beaucoup de (ses) compatriotes sur le plan des revenus" entre la "réalité d'une vie difficile" pour les bas salaires, la "perspective de ne pas voir progresser ses revenus" pour les moyens salaires, et "certains très gros salaires déconnectés de la réalité".
Dominique de Villepin a détaillé lundi soir sur TF1 deux mesures nouvelles pour augmenter le pouvoir d'achat, sujet de préoccupation majeur en cette rentrée pour beaucoup de Français et de revendication des syndicats.
Il a ainsi annoncé un effort supplémentaire de l'Etat sur la prime pour l'emploi 2007 et la création au 1er janvier d'un "chèque transport" pour compenser la hausse des carburants des plus défavorisés.
Concernant la PPE, qui se traduit par un crédit d'impôt ou même un chèque du Trésor public pour les ménages non imposables, ce qui permet de les encourager à reprendre ou à conserver un emploi, il a précisé que la PPE serait portée non pas seulement à 809 euros au niveau du smic en 2007, comme initialement prévue, mais à 940 euros au 1er janvier 2007 pour un salarié au smic sans enfant, au lieu de 714 euros en 2006 et 538 euros en 2005. "C'est presque un 13e mois pour ceux qui sont au smic", a-t-il souligné. "Cela touchera d'une manière générale (...) neuf millions de personnes."
Pour un couple de "smicards" sans enfant, la PPE représentera un revenu de 1.880 euros par an, auquel s'ajoutera 35 euros par enfant, précise-t-on à Matignon.
"Pour ceux qui sont au SMIC, c'est un doublement", a-t-il calculé. Le Premier ministre a expliqué que le gouvernement ferait au total un "effort tout à fait substantiel" en augmentant la PPE pour 9 millions de personnes.
Concernant le "chèque transport" facultatif, qui fonctionnera sur le modèle du chèque restaurant, il pourra "concerner toutes les entreprises, tous les salariés sur l'ensemble du territoire national", a expliqué Dominique de Villepin. Les entreprises seront incitées à y recourir par un allègement de charges sociales et fiscales et l'Etat prendra en charge la moitié du coût de cette mesure.
"Là où il y a des transports collectifs, nous prendrons en charge à travers le chèque transport la moitié de l'abonnement pour un montant qui sera de l'ordre approximativement de 200 euros", a expliqué Dominique de Villepin. "Là où il n'y a pas de transport collectif (ce sera) une compensation de la hausse du prix de l'essence pour un montant de 100 euros."
S’agissant de la création d'une allocation de rentrée de 300 euros pour 80.000 étudiants déjà annoncée la semaine dernière, le Premier ministre a assuré que ces mesures seraient financées grâce à des économies sur le train de vie de l'Etat, sans remettre en cause ses objectifs de réduction des déficits publics et de désendettement. Il a ainsi confirmé que la totalité des recettes fiscales supplémentaires engrangées grâce à l'amélioration de l'économie irait à la réduction de la dette publique.
Il a également annoncé la tenue "d'ici la fin de l'année" d'une "conférence sur les revenus et l'emploi", face au "malaise" suscité par la question du pouvoir d'achat. Il s'agira, sur la base d'un rapport du Conseil supérieur pour l'emploi et les revenus présidés par l'ancien président socialiste de la Commission européenne Jacques Delors, d'établir avec les partenaires sociaux un "diagnostic commun". Il a assuré qu'il n'était pas question de "dilapider l'argent des Français". Les recettes fiscales supplémentaires amenées par la croissance -entre un et trois milliards d'euros- iront au désendettement, a confirmé le Premier ministre.
L'objectif sera notamment de remédier à "un certain nombre d'effets pervers" comme les "trappes à bas salaires" et le nombre croissant de salariés payés au niveau du Smic.
Il a enfin annoncé qu'une troisième phase de son "plan emploi" serait présentée jeudi à Troyes par le ministre de l'Emploi et de la Cohésion sociale Jean-Louis Borloo. "Nous voulons cibler l'effort sur ceux qui rencontrent le plus de difficultés", a-t-il dit - "ceux qui n'ont ni diplômes ni qualifications", ainsi que les chômeurs de longue durée de plus de 50 ans.
Plus globalement, Dominique de Villepin a de nouveau souligné son désir de placer les huit mois qui le sépare de l'élection présidentielle sous le signe de "l'action" et du "rassemblement au service des Français" jusqu'au "dernier jour". "Je sais que le mécontentement peut exister dans notre pays et c'est pour cela que je souhaite (...) revaloriser le sens de l'action politique", a-t-il ajouté.
Dominique de Villepin a dit compter sur ces mesures pour "apporter de nouvelles sécurités aux Français" et réduire le "décalage" entre les "bons résultats" économiques annoncés depuis quelques mois et la perception des Français. A cet égard, il s'est à nouveau réjoui de la baisse du chômage, qui irrite la gauche -260.000 chômeurs en moins dans les 12 derniers mois- et de la reprise de la croissance "sur une tendance de plus de 2%".
L'hôte de Matignon espère par ces différentes mesures "répondre aux préoccupations des Français" et préparer "un débat serein, démocratique" lors des élections du printemps prochain. "Etre dans l'action jusqu'au dernier jour, cela permettra aux Français d'éclairer leur choix en responsabilité", a dit celui qui "n'oublie pas le 21 avril".
Interrogé sur la candidature aux présidentielles de son ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, il a dit considérer celui-ci comme un "atout" pour son camp grâce à la faveur dont il jouit dans "une grande partie de l'opinion".
Après une période estivale qui n’a pas été de tout repos pour les membres du gouvernement, avec le conflit du Liban et avec l’activisme de l’extrême gauche ciblée sur les sans papiers avec le réseau anarchiste ESF et sur les thoniers avec Greenpeace et WWF, le Premier ministre doit faire face à une relance de l’offensive de l’opposition sur tous les fronts.
Il ne fallait donc pas s’attendre à ce que les mesures qu’il annonce reçoivent l’approbation de cette gauche qui ne s’est pas réjouie de l’embellie économique du 2° trimestre, pourtant incontestable.
Les socialistes, sans surprise, ont vu dans les mesures annoncées par le gouvernement "un rideau de fumée chargé de faire écran à une situation extrêmement dégradée".
François Hollande, fort badin, a immédiatement raillé dimanche les "mesurettes" annoncées pour cette rentrée par le gouvernement qui "sont au pouvoir d'achat ce que sont les Apéricubes à la gastronomie". Flamby 1er sait de quoi il parle, lui qui n’a jamais été aux affaires. Et ne s’est toujours pas déclaré dans la course à l’Elysée…Les plus précaires d’entre nous apprécieront le mépris du PS pour les actions qui peuvent améliorer leur situation.
Les syndicats, qui réclamaient depuis un an le chèque transport et ont fait du pouvoir d'achat leur première revendication de la rentrée, redoutent que les entreprises saisissent le prétexte de l'augmentation de la PPE pour ne pas augmenter les salaires. "Progressivement, ce sont des compléments de salaire payés par l'impôt qui viendraient se substituer à la politique salariale", a observé Jacques Voisin (CFTC) sur France-Info.
Mais les représentants des salariés se sont globalement réjouis de sa création. Il en est pourtant un qui se distingue. "Le Premier ministre a voulu apparaître un peu comme le Père Noël au mois d'août", a ainsi ironisé mardi Jean-Claude Mailly (Force ouvrière), pour qui il n’est pas de sujet plus amusant que la précarité. Il ne sait pas davantage apprécier l’augmentation des efforts des Français en faveur des plus exposés. Quant à saluer cette démonstration de la volonté du Premier ministre d’être à l’écoute des partenaires sociaux, il ne faut pas demander l’impossible à FO, visière sur les yeux!
Le Premier ministre a reconnu le "malaise que ressentent beaucoup de (ses) compatriotes sur le plan des revenus" entre la "réalité d'une vie difficile" pour les bas salaires, la "perspective de ne pas voir progresser ses revenus" pour les moyens salaires, et "certains très gros salaires déconnectés de la réalité".
Dominique de Villepin a détaillé lundi soir sur TF1 deux mesures nouvelles pour augmenter le pouvoir d'achat, sujet de préoccupation majeur en cette rentrée pour beaucoup de Français et de revendication des syndicats.
Il a ainsi annoncé un effort supplémentaire de l'Etat sur la prime pour l'emploi 2007 et la création au 1er janvier d'un "chèque transport" pour compenser la hausse des carburants des plus défavorisés.
Concernant la PPE, qui se traduit par un crédit d'impôt ou même un chèque du Trésor public pour les ménages non imposables, ce qui permet de les encourager à reprendre ou à conserver un emploi, il a précisé que la PPE serait portée non pas seulement à 809 euros au niveau du smic en 2007, comme initialement prévue, mais à 940 euros au 1er janvier 2007 pour un salarié au smic sans enfant, au lieu de 714 euros en 2006 et 538 euros en 2005. "C'est presque un 13e mois pour ceux qui sont au smic", a-t-il souligné. "Cela touchera d'une manière générale (...) neuf millions de personnes."
Pour un couple de "smicards" sans enfant, la PPE représentera un revenu de 1.880 euros par an, auquel s'ajoutera 35 euros par enfant, précise-t-on à Matignon.
"Pour ceux qui sont au SMIC, c'est un doublement", a-t-il calculé. Le Premier ministre a expliqué que le gouvernement ferait au total un "effort tout à fait substantiel" en augmentant la PPE pour 9 millions de personnes.
Concernant le "chèque transport" facultatif, qui fonctionnera sur le modèle du chèque restaurant, il pourra "concerner toutes les entreprises, tous les salariés sur l'ensemble du territoire national", a expliqué Dominique de Villepin. Les entreprises seront incitées à y recourir par un allègement de charges sociales et fiscales et l'Etat prendra en charge la moitié du coût de cette mesure.
"Là où il y a des transports collectifs, nous prendrons en charge à travers le chèque transport la moitié de l'abonnement pour un montant qui sera de l'ordre approximativement de 200 euros", a expliqué Dominique de Villepin. "Là où il n'y a pas de transport collectif (ce sera) une compensation de la hausse du prix de l'essence pour un montant de 100 euros."
S’agissant de la création d'une allocation de rentrée de 300 euros pour 80.000 étudiants déjà annoncée la semaine dernière, le Premier ministre a assuré que ces mesures seraient financées grâce à des économies sur le train de vie de l'Etat, sans remettre en cause ses objectifs de réduction des déficits publics et de désendettement. Il a ainsi confirmé que la totalité des recettes fiscales supplémentaires engrangées grâce à l'amélioration de l'économie irait à la réduction de la dette publique.
Il a également annoncé la tenue "d'ici la fin de l'année" d'une "conférence sur les revenus et l'emploi", face au "malaise" suscité par la question du pouvoir d'achat. Il s'agira, sur la base d'un rapport du Conseil supérieur pour l'emploi et les revenus présidés par l'ancien président socialiste de la Commission européenne Jacques Delors, d'établir avec les partenaires sociaux un "diagnostic commun". Il a assuré qu'il n'était pas question de "dilapider l'argent des Français". Les recettes fiscales supplémentaires amenées par la croissance -entre un et trois milliards d'euros- iront au désendettement, a confirmé le Premier ministre.
L'objectif sera notamment de remédier à "un certain nombre d'effets pervers" comme les "trappes à bas salaires" et le nombre croissant de salariés payés au niveau du Smic.
Il a enfin annoncé qu'une troisième phase de son "plan emploi" serait présentée jeudi à Troyes par le ministre de l'Emploi et de la Cohésion sociale Jean-Louis Borloo. "Nous voulons cibler l'effort sur ceux qui rencontrent le plus de difficultés", a-t-il dit - "ceux qui n'ont ni diplômes ni qualifications", ainsi que les chômeurs de longue durée de plus de 50 ans.
Plus globalement, Dominique de Villepin a de nouveau souligné son désir de placer les huit mois qui le sépare de l'élection présidentielle sous le signe de "l'action" et du "rassemblement au service des Français" jusqu'au "dernier jour". "Je sais que le mécontentement peut exister dans notre pays et c'est pour cela que je souhaite (...) revaloriser le sens de l'action politique", a-t-il ajouté.
Dominique de Villepin a dit compter sur ces mesures pour "apporter de nouvelles sécurités aux Français" et réduire le "décalage" entre les "bons résultats" économiques annoncés depuis quelques mois et la perception des Français. A cet égard, il s'est à nouveau réjoui de la baisse du chômage, qui irrite la gauche -260.000 chômeurs en moins dans les 12 derniers mois- et de la reprise de la croissance "sur une tendance de plus de 2%".
L'hôte de Matignon espère par ces différentes mesures "répondre aux préoccupations des Français" et préparer "un débat serein, démocratique" lors des élections du printemps prochain. "Etre dans l'action jusqu'au dernier jour, cela permettra aux Français d'éclairer leur choix en responsabilité", a dit celui qui "n'oublie pas le 21 avril".
Interrogé sur la candidature aux présidentielles de son ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, il a dit considérer celui-ci comme un "atout" pour son camp grâce à la faveur dont il jouit dans "une grande partie de l'opinion".
lundi 28 août 2006
Royal: discours sécuritaire.
Interrogée à Télé-Matin sur France 2, Françoise Laborde, la journaliste stakhanoviste résidente, a posé des questions pertinentes à la Maréchale Me-Voilà-M'As-Tu-Bien-Vue. Les réponses ne sont guères intéressantes, puisqu'elles sont contenues dans les questions...
Cà, c'est du journalisme!
A écouter, un sourire en coin, en double-cliquant ci-dessous:
Interrogée à Télé-Matin sur France 2, Françoise Laborde, la journaliste stakhanoviste résidente, a posé des questions pertinentes à la Maréchale Me-Voilà-M'As-Tu-Bien-Vue. Les réponses ne sont guères intéressantes, puisqu'elles sont contenues dans les questions...
Cà, c'est du journalisme!
A écouter, un sourire en coin, en double-cliquant ci-dessous:
Darfour (Soudan): catastrophe humanitaire.
L’arrivée continue de troupes gouvernementales soudanaises dans la région du Darfour pourrait conduire à "une catastrophe humanitaire dans un futur très proche", a averti Amnesty International lundi dans un communiqué.
"Des témoins visuels au nord Darfour nous disent que des vols militaires affrêtés par le gouvernement transportent des troupes et des armes sur une base quotidienne", a expliqué Kate Gilmore, secrétaire général adjointe d’Amnesty International.
"Et les gens déplacés au Darfour sont absolument terrifiés que les mêmes soldats qui les avaient expulsés de leurs maisons et de leurs villages soient maintenant envoyés, officiellement pour les protéger", a-t-elle ajouté...
Ces arrivées de troupes gouvernementales au Darfour sont peut-être la première manifestation du plan proposé par le gouvernement soudanais pour assurer la sécurité au Darfour, plan qui impliquerait l’arrivée de 10.500 soldats dans la région.
Mais ce projet a été vivement dénoncé par Kate Gilmore lundi: "Ce 'plan de protection' est une arnaque et doit être rejeté fermement", a insisté la secrétaire générale adjointe d’Amnesty International, selon qui les Nations unies doivent exercer une pression maximale sur le gouvernement soudanais pour qu’il accepte la présence de forces internationales de maintien de la paix.
Un traité de paix sur le Darfour a été conclu en mai à Abuja entre la faction majoritaire du Mouvement de libération du Soudan (SLM) et le gouvernement soudanais.
La faction minoritaire du SLM et le Mouvement pour la justice et l’égalité (JEM) ont jusqu’à présent refusé de parapher l’accord de paix sur le Darfour, où les combats et la crise humanitaire ont fait, depuis début 2003, entre 180.000 et 300.000 tués et au moins 2,4 millions de déplacés.
Le régime soudanais et des milices arabes alliées (djandjawids) sont accusés par les Etats-Unis de s’être rendus coupables d’un génocide au Darfour.
L’arrivée continue de troupes gouvernementales soudanaises dans la région du Darfour pourrait conduire à "une catastrophe humanitaire dans un futur très proche", a averti Amnesty International lundi dans un communiqué.
"Des témoins visuels au nord Darfour nous disent que des vols militaires affrêtés par le gouvernement transportent des troupes et des armes sur une base quotidienne", a expliqué Kate Gilmore, secrétaire général adjointe d’Amnesty International.
"Et les gens déplacés au Darfour sont absolument terrifiés que les mêmes soldats qui les avaient expulsés de leurs maisons et de leurs villages soient maintenant envoyés, officiellement pour les protéger", a-t-elle ajouté...
Ces arrivées de troupes gouvernementales au Darfour sont peut-être la première manifestation du plan proposé par le gouvernement soudanais pour assurer la sécurité au Darfour, plan qui impliquerait l’arrivée de 10.500 soldats dans la région.
Mais ce projet a été vivement dénoncé par Kate Gilmore lundi: "Ce 'plan de protection' est une arnaque et doit être rejeté fermement", a insisté la secrétaire générale adjointe d’Amnesty International, selon qui les Nations unies doivent exercer une pression maximale sur le gouvernement soudanais pour qu’il accepte la présence de forces internationales de maintien de la paix.
Un traité de paix sur le Darfour a été conclu en mai à Abuja entre la faction majoritaire du Mouvement de libération du Soudan (SLM) et le gouvernement soudanais.
La faction minoritaire du SLM et le Mouvement pour la justice et l’égalité (JEM) ont jusqu’à présent refusé de parapher l’accord de paix sur le Darfour, où les combats et la crise humanitaire ont fait, depuis début 2003, entre 180.000 et 300.000 tués et au moins 2,4 millions de déplacés.
Le régime soudanais et des milices arabes alliées (djandjawids) sont accusés par les Etats-Unis de s’être rendus coupables d’un génocide au Darfour.
Université d"été PS: un non événement.
Les pestiférés socialistes:
Jack Lang nous révèle que le système fiscal est complexe! "Notre système fiscal, c'est une forêt tropicale" ou encore "un millefeuille", a-t-il lancé, se prononçant pour "des impôts clairs, lisibles"...
Dominique Strauss-Kahn, candidat à l'investiture socialiste, est sorti "beaucoup plus fort" de l'université d'été du PS à La Rochelle estime ... son bras gauche, Jean-Christophe Cambadélis!Laurent Fabius n'"envisage pas" une candidature de Lionel Jospin à l'investiture socialiste pour l'élection présidentielle malgré le retour de l'ancien Premier ministre sur le devant de la scène politique à La Rochelle.
Le gang directeur:
François Hollande, le premier secrétaire du Parti socialiste, a enthousiasmé Pierre Mauroy, l'ancien Premier ministre de Mitterrand: il l'a trouvé "vraiment à sa place" lors de l'université d'été du PS à La Rochelle.
Comme Euronews, il a probablement jugé 'offensive' sa prestation de clôture.
Vous allez pouvoir juger sur pièces... et vous enthousiasmer, à l'unison... : c'est un orateur!
Ecoutez et ... bon courage:
Francois Hollande : La Rochelle 2006
La Maréchale-Me-Voilà-M'As-Tu-Bien-Vue a phagocité cette université d'été injustement située à La Rochelle sur son territoire régional, où tout le personnel administratif et l'ensemble des élus politiques étaient réquisitionnés pour vanter ses louanges. Affectant la discrétion, tout était fait néanmoins pour que personne ne l'ignorât un seul instant. A vomir...
Ni Hollande, ni Jospin ne s'est déclaré candidat.
Le parrain, Hollande, joue au pompier-pyromane: après avoir commandé au Frère Rebsamen -le pyromane- le contrat de condamnation à mort de Lang et DSK, il s'est réservé la noble tâche d'empêcher le parti de se déliter dans un parc à huitre de Marennes-Oléron négligé par Madame Royal.
Quant à Yoyo Jospin, il a été pathétique: auto-critique 'a minima' de sa responsabilité dans le naufrage du PS le 22 avril2002 et divan du psychiatre du MFS indifférent à ses larmes contenues. Il s'accroche comme la moule à son rocher. Voir document ci-dessous.
Les militants sont retournés à leurs 35 heures fort dépités...
Les pestiférés socialistes:
Jack Lang nous révèle que le système fiscal est complexe! "Notre système fiscal, c'est une forêt tropicale" ou encore "un millefeuille", a-t-il lancé, se prononçant pour "des impôts clairs, lisibles"...
Dominique Strauss-Kahn, candidat à l'investiture socialiste, est sorti "beaucoup plus fort" de l'université d'été du PS à La Rochelle estime ... son bras gauche, Jean-Christophe Cambadélis!Laurent Fabius n'"envisage pas" une candidature de Lionel Jospin à l'investiture socialiste pour l'élection présidentielle malgré le retour de l'ancien Premier ministre sur le devant de la scène politique à La Rochelle.
Le gang directeur:
François Hollande, le premier secrétaire du Parti socialiste, a enthousiasmé Pierre Mauroy, l'ancien Premier ministre de Mitterrand: il l'a trouvé "vraiment à sa place" lors de l'université d'été du PS à La Rochelle.
Comme Euronews, il a probablement jugé 'offensive' sa prestation de clôture.
Vous allez pouvoir juger sur pièces... et vous enthousiasmer, à l'unison... : c'est un orateur!
Ecoutez et ... bon courage:
Francois Hollande : La Rochelle 2006
La Maréchale-Me-Voilà-M'As-Tu-Bien-Vue a phagocité cette université d'été injustement située à La Rochelle sur son territoire régional, où tout le personnel administratif et l'ensemble des élus politiques étaient réquisitionnés pour vanter ses louanges. Affectant la discrétion, tout était fait néanmoins pour que personne ne l'ignorât un seul instant. A vomir...
Ni Hollande, ni Jospin ne s'est déclaré candidat.
Le parrain, Hollande, joue au pompier-pyromane: après avoir commandé au Frère Rebsamen -le pyromane- le contrat de condamnation à mort de Lang et DSK, il s'est réservé la noble tâche d'empêcher le parti de se déliter dans un parc à huitre de Marennes-Oléron négligé par Madame Royal.
Quant à Yoyo Jospin, il a été pathétique: auto-critique 'a minima' de sa responsabilité dans le naufrage du PS le 22 avril2002 et divan du psychiatre du MFS indifférent à ses larmes contenues. Il s'accroche comme la moule à son rocher. Voir document ci-dessous.
Les militants sont retournés à leurs 35 heures fort dépités...
Royal, ils sifflent ton nom.
L’hébergement de l’université d’été chez l’une des candidates à l’investiture socialiste aux Présidentielles 2007 était encore un avantage éhonté consenti par le n°1 du PS, Flamby 1er, à sa compagne, Marie-sEGOlène Royal, au détriment des cinq autres déclarés ou supposés. Abus de pouvoir? Au nom du rassemblement ?
La démocratie, on en parle beaucoup au PS, mais on ne l’applique pas aux autres ; la direction la confisque à son seul profit, celui de la paire diabolique Royal-Hollande. Hollande devrait être sévèrement condamné ; or, il ne l’est pas (encore). Ce qui démontre que l’appareil est complètement noyauté. La pression anti-démocratique exercée contre les rivaux expérimentés est intolérable pour certains socialistes, mais la presse n’a rien contre. L’événement imprévisible de ce dimanche 27 2006 va-t-il remettre les médias sur la bonne voie de la critique objective et du respect auquel F. Hollande les invite instamment, mais qu'il ne pratique pas lui-même ? Que s’est-il passé ?
Une autochtone, conseillère régionale de Poitou-Charentes, vantait à la tribune les mérites de la Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue. Elle a notamment salué à plusieurs reprises la "démocratie participative" prônée par la présidentiable. Dans son discours, avec une insistance tout en finesse, Régine Joly a mentionné les résultats obtenus -selon elle- en Poitou-Charentes, sous la présidence de sa suzeraine Madame Royal. Service commandé.
Elle s'est faite copieusement siffler par plusieurs centaines de militants en clôture de l'université d'été du PS, à La Rochelle.
"Les militants, on n'est pas des supporters! On n'est pas des groupies!", a expliqué Arnaud de Morgny de Maeyer, adhérent encarté à la fédération socialiste de Paris.
"Elle faisait la pub de Ségolène et c'est insupportable dans un discours de clôture", a ajouté Gilles Séraphin, militant de Haute-Savoie.
"C'est du jamais vu, elle chante les louanges de Ségolène", s'est indigné un autre.
Il est donc des jeunes socialistes qui n'ont notamment pas apprécié cette publicité explicite et déloyale. Les méthodes de Marie-sEGOlène Royal finissent-elles par outrager la base ?
"La ficelle est énorme", s'emporte une militante de DSK devant les journalistes. D’autant plus qu’avant Régine Joly, Catherine Quéré, vice-présidente de Poitou-Charentes, avait souligné qu'il était "formidable" de travailler avec la présidentiable favorite des sondages. Avis personnel, subjectif et téléguidé.
La « démocratie participative », telle qu’elle s’est imposée dans la Région et tend à s’étendre au PS.
Bien qu’elle ne figurât pas au programme officiel de la dernière matinée de l'université d'été, réservée aux discours des responsables du PS, mais parce qu’elle est chez elle, sur son territoire et sait recevoir avec courtoisie, la démocrate Maréchale Royal a pris place dimanche matin au premier rang devant la tribune. Elle affichait ses faux airs doucereux et innocents, à côté du numéro 2 du PS, …frère François Rebsamen, qui a été grondé -pour la galerie- par Flamby 1er, mais n’a pas été sanctionné pour l’anathème prononcé contre le Che français, D’Jack Lang, le révolutionnaire, et D. Strauss-Kahn, en sa qualité de responsable de la …coordination. Il n’a donc pas été expédié en maison de redressement pour délinquants. Le copinage au PS est institutionnel.
Au soir du dernier jour de cette université d’été, F. Hollande est apparu sur TF1, de son ami Bouygues, pour rappeler qu’il fait don de sa personne au PS et pour souligner l’impérieux besoin de ‘rassembler' les socialistes et de ne pas tendre à la droite le bâton pour se faire battre. Pour cela, ils se débrouillent très bien tous seuls…. Il souligne ainsi qu’ils ne sont pas unis et que sa tutelle est contestable et sa personne contestée.
Ses jours à la tête du PS sont-ils comptés ?
Pour nombre de militants, ce sera RIEN...
Les médias à la solde et les sondeurs militants de tous poils ont encore vu clair!...
L’hébergement de l’université d’été chez l’une des candidates à l’investiture socialiste aux Présidentielles 2007 était encore un avantage éhonté consenti par le n°1 du PS, Flamby 1er, à sa compagne, Marie-sEGOlène Royal, au détriment des cinq autres déclarés ou supposés. Abus de pouvoir? Au nom du rassemblement ?
La démocratie, on en parle beaucoup au PS, mais on ne l’applique pas aux autres ; la direction la confisque à son seul profit, celui de la paire diabolique Royal-Hollande. Hollande devrait être sévèrement condamné ; or, il ne l’est pas (encore). Ce qui démontre que l’appareil est complètement noyauté. La pression anti-démocratique exercée contre les rivaux expérimentés est intolérable pour certains socialistes, mais la presse n’a rien contre. L’événement imprévisible de ce dimanche 27 2006 va-t-il remettre les médias sur la bonne voie de la critique objective et du respect auquel F. Hollande les invite instamment, mais qu'il ne pratique pas lui-même ? Que s’est-il passé ?
Une autochtone, conseillère régionale de Poitou-Charentes, vantait à la tribune les mérites de la Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue. Elle a notamment salué à plusieurs reprises la "démocratie participative" prônée par la présidentiable. Dans son discours, avec une insistance tout en finesse, Régine Joly a mentionné les résultats obtenus -selon elle- en Poitou-Charentes, sous la présidence de sa suzeraine Madame Royal. Service commandé.
Elle s'est faite copieusement siffler par plusieurs centaines de militants en clôture de l'université d'été du PS, à La Rochelle.
"Les militants, on n'est pas des supporters! On n'est pas des groupies!", a expliqué Arnaud de Morgny de Maeyer, adhérent encarté à la fédération socialiste de Paris.
"Elle faisait la pub de Ségolène et c'est insupportable dans un discours de clôture", a ajouté Gilles Séraphin, militant de Haute-Savoie.
"C'est du jamais vu, elle chante les louanges de Ségolène", s'est indigné un autre.
Il est donc des jeunes socialistes qui n'ont notamment pas apprécié cette publicité explicite et déloyale. Les méthodes de Marie-sEGOlène Royal finissent-elles par outrager la base ?
"La ficelle est énorme", s'emporte une militante de DSK devant les journalistes. D’autant plus qu’avant Régine Joly, Catherine Quéré, vice-présidente de Poitou-Charentes, avait souligné qu'il était "formidable" de travailler avec la présidentiable favorite des sondages. Avis personnel, subjectif et téléguidé.
La « démocratie participative », telle qu’elle s’est imposée dans la Région et tend à s’étendre au PS.
Bien qu’elle ne figurât pas au programme officiel de la dernière matinée de l'université d'été, réservée aux discours des responsables du PS, mais parce qu’elle est chez elle, sur son territoire et sait recevoir avec courtoisie, la démocrate Maréchale Royal a pris place dimanche matin au premier rang devant la tribune. Elle affichait ses faux airs doucereux et innocents, à côté du numéro 2 du PS, …frère François Rebsamen, qui a été grondé -pour la galerie- par Flamby 1er, mais n’a pas été sanctionné pour l’anathème prononcé contre le Che français, D’Jack Lang, le révolutionnaire, et D. Strauss-Kahn, en sa qualité de responsable de la …coordination. Il n’a donc pas été expédié en maison de redressement pour délinquants. Le copinage au PS est institutionnel.
Au soir du dernier jour de cette université d’été, F. Hollande est apparu sur TF1, de son ami Bouygues, pour rappeler qu’il fait don de sa personne au PS et pour souligner l’impérieux besoin de ‘rassembler' les socialistes et de ne pas tendre à la droite le bâton pour se faire battre. Pour cela, ils se débrouillent très bien tous seuls…. Il souligne ainsi qu’ils ne sont pas unis et que sa tutelle est contestable et sa personne contestée.
Ses jours à la tête du PS sont-ils comptés ?
Pour nombre de militants, ce sera RIEN...
Les médias à la solde et les sondeurs militants de tous poils ont encore vu clair!...
Royal discourt, l’huître meurt en Charentes.
Madame Royal persiste et signe dans l’inconséquence.
A chacun sa façon de ‘construire l’avenir’ ! Le sien, mais certainement pas celui de l'huître. Décidemment, elle ne se paie pas de mots…
A l’université d’été socialiste à La Rochelle, dont le maire, Maxime Bono (photo, ex-inspecteur des impôts né en 1947) est socialiste…, elle a choisi l’environnement pour thème de son intervention dominicale. Et pourtant, l’huître meurt dans la région dont elle est présidente.
Elle se désintéresse de ce qui oppose les paysans de la terre et les paysans de la terre, ses sujets. Ostréiculteurs et agriculteurs charentais s'affrontent en effet sur l'utilisation de la précieuse eau douce du fleuve Charente. Les premiers accusent les seconds de trop en pomper pour irriguer leurs cultures, entraînant un manque d'eau douce dans l'estuaire, gênant la croissance des coquillages. En arbitre de la République, le préfet de Charente maritime a décidé de lâcher, à partir d'aujourd'hui et sur huit jours, 400 000 m3 depuis la retenue de Breuil-Magné. Une goutte d'eau douce dans l'océan.
La Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue ne pourra certainement pas expliquer doctement à ses camarades, à la façon de François Patsouris, président de la section régionale de la conchyliculture Poitou-Charentes que «l'eau douce manque et le maïs continue d'être irrigué même de jour». Pour les conchyliculteurs, l'eau des rivières est aussi destinée à la mer. «Cette eau riche en sels nutritifs se mélange avec l'eau de mer et permet aux huîtres, moules et poissons de se nourrir, et surtout aux larves d'huîtres d'évoluer et de se fixer dans les vingt et un jours suivant leur ponte.» Une huître se développe bien dans une eau contenant 30 à 32 grammes de sel par litre (g/l), voire moins. Entre le 7 et le 28 juillet, la salinité est passée de 34,2 g/l à 35,1 g/l. Quelques grammes de sel en plus et la production larvaire meurt.
Les volumes d'eau douce disponibles sont deux fois inférieurs aux besoins dans le bassin. «Les ostréiculteurs sont en bout de chaîne et utilisent l’eau qu’on leur laisse», signale Harold Réthoret, ingénieur territorial de l’institution Fleuve Charente qui assure les missions de l’eau au niveau du bassin versant. «Actuellement, les conditions sont défavorables pour produire de l’huître.» En 2005 déjà, le chiffre d’affaires de la profession (environ 250 millions d’euros), a chuté de 30 %. Le revenu d’une exploitation moyenne est passé de 200 000 à 140 000 euros. Ce qui se passe dans l’estuaire aura une répercussion néfaste sur la production européenne, car ce sont les larves d’huîtres charentaises que l’on envoie pousser ailleurs en Europe.
Priorité est donnée au tourisme (10 à 15 % de l’eau prélevée) qui génère 1,2 milliard d’euros de chiffre d’affaires par an. Mais 80 % sont destinés à l’irrigation des cultures en été, lesquelles ne représentent «que» 100 millions d’euros de chiffre d’affaires. Dans le bassin de la Charente, 54 000 hectares de culture sont irrigués (dont 34 000 de maïs), ce qui correspond à plus de 100 millions de m3. Un chiffre qui a diminué de 10 % en dix ans.
Madame Royal va-t-elle fuir ce débat, comme les autres, en se retranchant derrière un moralisateur : ‘Moi je n’alimente pas la controverse’, ou une quelconqu’autre formule pour masquer, non seulement son inexpérience, mais son incompétence ? "Moi je suis dans le respect des autres…", mais à cent lieues, au propre comme au figuré, de leurs préoccupations.
Centrée sur elle-même, obnubilée par sa carrière, la Maréchale retrouve avec appréhension la scène de son entartage du 16 juin 2006 : La Rochelle. Son entarteur avait 22 ans : est-ce la raison de son ostracisme du MJS (Mouvement des Jeunes Socialistes)? Elle est bien rancunière, la sucrée !… Le maire dévôt de La Rochelle, son vassal, qui, accueille la ‘rassembleuse’, selon Rebsamen’ (!), avait porté plainte avec sa suzeraine contre le jeune humoriste et l’avait fait condamner avec sursis à 150 euros. Pas chère, la chantilly…
Rappelons que le fère Rebsamen est responsable de la Coordination au Bureau du PS... ET des mises à mort, 'fatwa' et autres ostracismes socialistes: les mots au PS ne signifient pas la même chose qu'en Français...
Et un entartage à l’huître de Marennes, c’est combien ? Avec sursis, alors…
Etre président de la région implique une prise de responsabilité. Alors, pourquoi la présidente de cette région ne s’est-elle pas impliquée ? N’a-t-elle pas la fâcheuse habitude de fustiger quiconque n’anticipe pas suffisamment les problèmes ? N’a-t-elle pas des mots acides à l’encontre des responsables politiques qui laissent pourrir les situations ? Va-t-elle faire son autocritique sous les caméras et dresser un bilan minimaliste de ses erreurs, comme son ex-Premier ministre qui tire les larmes des nostalgiques socialistes ?
Les problèmes d’irrigation ne seront-ils pas une opportunité rêvée de contredire son camarade Lionel Jospin, qui la connaît bien pour l’avoir vue bricoler dans son gouvernement et qui pense à elle en affirmant que le « tuyau ne remplace pas le contenu .»
Attendons que la cruche à eau déverse sa parole floue hypermédiatisée et, si possible, des mesures concrètes!
Voici la solution de Marie-sEGOlène au problème des huitres de sa région:
Madame Royal persiste et signe dans l’inconséquence.
A chacun sa façon de ‘construire l’avenir’ ! Le sien, mais certainement pas celui de l'huître. Décidemment, elle ne se paie pas de mots…
A l’université d’été socialiste à La Rochelle, dont le maire, Maxime Bono (photo, ex-inspecteur des impôts né en 1947) est socialiste…, elle a choisi l’environnement pour thème de son intervention dominicale. Et pourtant, l’huître meurt dans la région dont elle est présidente.
Elle se désintéresse de ce qui oppose les paysans de la terre et les paysans de la terre, ses sujets. Ostréiculteurs et agriculteurs charentais s'affrontent en effet sur l'utilisation de la précieuse eau douce du fleuve Charente. Les premiers accusent les seconds de trop en pomper pour irriguer leurs cultures, entraînant un manque d'eau douce dans l'estuaire, gênant la croissance des coquillages. En arbitre de la République, le préfet de Charente maritime a décidé de lâcher, à partir d'aujourd'hui et sur huit jours, 400 000 m3 depuis la retenue de Breuil-Magné. Une goutte d'eau douce dans l'océan.
La Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue ne pourra certainement pas expliquer doctement à ses camarades, à la façon de François Patsouris, président de la section régionale de la conchyliculture Poitou-Charentes que «l'eau douce manque et le maïs continue d'être irrigué même de jour». Pour les conchyliculteurs, l'eau des rivières est aussi destinée à la mer. «Cette eau riche en sels nutritifs se mélange avec l'eau de mer et permet aux huîtres, moules et poissons de se nourrir, et surtout aux larves d'huîtres d'évoluer et de se fixer dans les vingt et un jours suivant leur ponte.» Une huître se développe bien dans une eau contenant 30 à 32 grammes de sel par litre (g/l), voire moins. Entre le 7 et le 28 juillet, la salinité est passée de 34,2 g/l à 35,1 g/l. Quelques grammes de sel en plus et la production larvaire meurt.
Les volumes d'eau douce disponibles sont deux fois inférieurs aux besoins dans le bassin. «Les ostréiculteurs sont en bout de chaîne et utilisent l’eau qu’on leur laisse», signale Harold Réthoret, ingénieur territorial de l’institution Fleuve Charente qui assure les missions de l’eau au niveau du bassin versant. «Actuellement, les conditions sont défavorables pour produire de l’huître.» En 2005 déjà, le chiffre d’affaires de la profession (environ 250 millions d’euros), a chuté de 30 %. Le revenu d’une exploitation moyenne est passé de 200 000 à 140 000 euros. Ce qui se passe dans l’estuaire aura une répercussion néfaste sur la production européenne, car ce sont les larves d’huîtres charentaises que l’on envoie pousser ailleurs en Europe.
Priorité est donnée au tourisme (10 à 15 % de l’eau prélevée) qui génère 1,2 milliard d’euros de chiffre d’affaires par an. Mais 80 % sont destinés à l’irrigation des cultures en été, lesquelles ne représentent «que» 100 millions d’euros de chiffre d’affaires. Dans le bassin de la Charente, 54 000 hectares de culture sont irrigués (dont 34 000 de maïs), ce qui correspond à plus de 100 millions de m3. Un chiffre qui a diminué de 10 % en dix ans.
Madame Royal va-t-elle fuir ce débat, comme les autres, en se retranchant derrière un moralisateur : ‘Moi je n’alimente pas la controverse’, ou une quelconqu’autre formule pour masquer, non seulement son inexpérience, mais son incompétence ? "Moi je suis dans le respect des autres…", mais à cent lieues, au propre comme au figuré, de leurs préoccupations.
Centrée sur elle-même, obnubilée par sa carrière, la Maréchale retrouve avec appréhension la scène de son entartage du 16 juin 2006 : La Rochelle. Son entarteur avait 22 ans : est-ce la raison de son ostracisme du MJS (Mouvement des Jeunes Socialistes)? Elle est bien rancunière, la sucrée !… Le maire dévôt de La Rochelle, son vassal, qui, accueille la ‘rassembleuse’, selon Rebsamen’ (!), avait porté plainte avec sa suzeraine contre le jeune humoriste et l’avait fait condamner avec sursis à 150 euros. Pas chère, la chantilly…
Rappelons que le fère Rebsamen est responsable de la Coordination au Bureau du PS... ET des mises à mort, 'fatwa' et autres ostracismes socialistes: les mots au PS ne signifient pas la même chose qu'en Français...
Et un entartage à l’huître de Marennes, c’est combien ? Avec sursis, alors…
Etre président de la région implique une prise de responsabilité. Alors, pourquoi la présidente de cette région ne s’est-elle pas impliquée ? N’a-t-elle pas la fâcheuse habitude de fustiger quiconque n’anticipe pas suffisamment les problèmes ? N’a-t-elle pas des mots acides à l’encontre des responsables politiques qui laissent pourrir les situations ? Va-t-elle faire son autocritique sous les caméras et dresser un bilan minimaliste de ses erreurs, comme son ex-Premier ministre qui tire les larmes des nostalgiques socialistes ?
Les problèmes d’irrigation ne seront-ils pas une opportunité rêvée de contredire son camarade Lionel Jospin, qui la connaît bien pour l’avoir vue bricoler dans son gouvernement et qui pense à elle en affirmant que le « tuyau ne remplace pas le contenu .»
Attendons que la cruche à eau déverse sa parole floue hypermédiatisée et, si possible, des mesures concrètes!
Voici la solution de Marie-sEGOlène au problème des huitres de sa région:
samedi 26 août 2006
vendredi 25 août 2006
L’arrogante Royal, au-dessus des critiques !
Marie-sEGOlène Royal a fait savoir jeudi à ses camarades socialistes, candidats comme elle à l’investiture socialiste aux Présidentielles, qu'elle ne répondait pas "aux critiques" et faisait "confiance aux militants" pour "garder (le) talisman de l'unité des socialistes".
Qu’elle verse dans la magie est une chose, mais qu’elle déverse son mépris sur ses camarades commence à indisposer gravement tous ceux qui observent, réfléchissent et ne se laissent pas impressionner par sa propagande médiatique. Les critiques, "je ne m'en occupe pas. Moi je suis dans le respect des autres…" Ce ‘moi’ est révélateur de la haute estime dans laquelle elle se tient, mais surtout du cordial mépris qu’elle affiche désormais pour ceux qui osent tenir tête et s’opposer pourtant démocratiquement à ses ambitions: telle est sa conception du respect!
La politicienne néophyte, candidate socialiste parmi quatre ou cinq autres, a logiquement été prise pour cible par ses concurrents, tel Laurent Fabius. Sans jamais la citer, il a montré du doigt le "flou" de ses propositions et des "banalités", l'accusant de réduire le débat politique à un "concours de look". C’est le moins qu’on puisse dire.
"Il ne faut pas dire des choses qui empêcheront cette union et ce rassemblement", a répliqué Royal. Tant que c’est sur son nom, évidemment : ensuite, nous verrons…"On verra qui le moment venu est le plus à même de gagner et les militants choisiront celui-ci ou celle-là", a-t-elle ajouté.
Or, les sondages, qui sont à l’origine de ses illusions, ont tendance à réagir à tant de présomption. Certes, LH2 pour Libération estime qu’elle est encore la mieux placée auprès des socialistes (66%) dans l’optique de l’échéance de 2007, dans plusieurs mois. Les produits en tête de gondole se vendent bien, mais sont rarement de bonne qualité. Les militants sont-ils si peu regardants ?
Les militants sortent enfin de la torpeur estivale, car la présidente de la région Poitou-Charentes enregistre un fléchissement de deux points depuis juin parmi les socialistes et chute de sept points chez les sympathisants de gauche en général.
A l'exception de Jack Lang, les autres rivaux de la députée des Deux-Sèvres progressent parmi les sympathisants socialistes, Dominique Strauss-Kahn gagnant huit points (35%), Lionel Jospin trois points (27%), François Hollande cinq points (18%) et Laurent Fabius un point (9%).
Si les sondages ont un sens, et sachant que l'ensemble des sympathisants de gauche hisse l'emploi au premier rang de leurs priorités, suivi des salaires et de la lutte contre la pauvreté, la star des médias a du souci à se faire. En effet, la star, avec laquelle le Che D’Jack Lang a tenté de rivaliser au Festival des Vieilles Charrues, est extrêmement défaillante sur ces sujets fondamentaux. Jacques Attali n’a pas réussi à la hausser au niveau requis.
La sécurité figure au dixième rang. La Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue ne peut compter sur ce domaine de compétence revendiqué, mais non avéré : la gauche n’est pas motivée par le maintien de la sécurité !
La potiche socialiste "ne répond pas aux critiques", car elle n’a ni l’expérience, ni la compétence. Le ‘flou’ qui caractérise ses interventions multiples, mais brèves et superficielles, est révélateur d’un ‘patchwork’ pompeusement baptisé ‘projet’, ou ‘programme’, comme on voudra, mais qui ne trompe personne. Elle se sait d’ailleurs tellement incompétente qu’elle fuit le débat, dans lequel des fiches apprises par cœur ne font pas illusion.
Elle s’en remet à des amulettes, ou à ‘un talisman’, qui devrait éveiller la curiosité de la Commission d’enquête sur les sectes de l’Assemblée Nationale.
Marie-sEGOlène Royal a fait savoir jeudi à ses camarades socialistes, candidats comme elle à l’investiture socialiste aux Présidentielles, qu'elle ne répondait pas "aux critiques" et faisait "confiance aux militants" pour "garder (le) talisman de l'unité des socialistes".
Qu’elle verse dans la magie est une chose, mais qu’elle déverse son mépris sur ses camarades commence à indisposer gravement tous ceux qui observent, réfléchissent et ne se laissent pas impressionner par sa propagande médiatique. Les critiques, "je ne m'en occupe pas. Moi je suis dans le respect des autres…" Ce ‘moi’ est révélateur de la haute estime dans laquelle elle se tient, mais surtout du cordial mépris qu’elle affiche désormais pour ceux qui osent tenir tête et s’opposer pourtant démocratiquement à ses ambitions: telle est sa conception du respect!
La politicienne néophyte, candidate socialiste parmi quatre ou cinq autres, a logiquement été prise pour cible par ses concurrents, tel Laurent Fabius. Sans jamais la citer, il a montré du doigt le "flou" de ses propositions et des "banalités", l'accusant de réduire le débat politique à un "concours de look". C’est le moins qu’on puisse dire.
"Il ne faut pas dire des choses qui empêcheront cette union et ce rassemblement", a répliqué Royal. Tant que c’est sur son nom, évidemment : ensuite, nous verrons…"On verra qui le moment venu est le plus à même de gagner et les militants choisiront celui-ci ou celle-là", a-t-elle ajouté.
Or, les sondages, qui sont à l’origine de ses illusions, ont tendance à réagir à tant de présomption. Certes, LH2 pour Libération estime qu’elle est encore la mieux placée auprès des socialistes (66%) dans l’optique de l’échéance de 2007, dans plusieurs mois. Les produits en tête de gondole se vendent bien, mais sont rarement de bonne qualité. Les militants sont-ils si peu regardants ?
Les militants sortent enfin de la torpeur estivale, car la présidente de la région Poitou-Charentes enregistre un fléchissement de deux points depuis juin parmi les socialistes et chute de sept points chez les sympathisants de gauche en général.
A l'exception de Jack Lang, les autres rivaux de la députée des Deux-Sèvres progressent parmi les sympathisants socialistes, Dominique Strauss-Kahn gagnant huit points (35%), Lionel Jospin trois points (27%), François Hollande cinq points (18%) et Laurent Fabius un point (9%).
Si les sondages ont un sens, et sachant que l'ensemble des sympathisants de gauche hisse l'emploi au premier rang de leurs priorités, suivi des salaires et de la lutte contre la pauvreté, la star des médias a du souci à se faire. En effet, la star, avec laquelle le Che D’Jack Lang a tenté de rivaliser au Festival des Vieilles Charrues, est extrêmement défaillante sur ces sujets fondamentaux. Jacques Attali n’a pas réussi à la hausser au niveau requis.
La sécurité figure au dixième rang. La Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue ne peut compter sur ce domaine de compétence revendiqué, mais non avéré : la gauche n’est pas motivée par le maintien de la sécurité !
La potiche socialiste "ne répond pas aux critiques", car elle n’a ni l’expérience, ni la compétence. Le ‘flou’ qui caractérise ses interventions multiples, mais brèves et superficielles, est révélateur d’un ‘patchwork’ pompeusement baptisé ‘projet’, ou ‘programme’, comme on voudra, mais qui ne trompe personne. Elle se sait d’ailleurs tellement incompétente qu’elle fuit le débat, dans lequel des fiches apprises par cœur ne font pas illusion.
Elle s’en remet à des amulettes, ou à ‘un talisman’, qui devrait éveiller la curiosité de la Commission d’enquête sur les sectes de l’Assemblée Nationale.
Royal finance ATTAC avec l’argent des contribuables.
A Poitiers (Vienne), aujourd’hui vendredi, Marie-sEGOlène Royal a fait l'ouverture de la septième université d'été (du 25 au 29 août) de l'association altermondialiste Attac (Association pour la taxation des transactions pour l'aide aux citoyens). Malgré des privilèges fiscaux inimaginables, cette ‘association’ parasite tend la main ici et là et trouve du soutien auprès de la gauche et des socialistes, généreux sur le dos des contribuables. Les électeurs approuvent-ils ? Le savent-ils seulement ?
"Les raisons de sa présence n'ont aucune signification particulière. Elle intervient, comme l'an passé, en qualité d'hôte au titre de présidente de la Région Poitou-Charentes", a expliqué Bernard Cassen, jeudi.
Bernard Cassen est un cumulard de bientôt 70 ans, né en 1937, journaliste et directeur général de l''apolitique'... Monde diplomatique, professeur à l'Institut d'études européennes de l'Université Paris VIII, fondateur et président d'honneur d'Attac.
Pourquoi le président d’honneur ? Parce que Attac est menacée de paralysie, voire d'"éclatement", par le porte-parole de Solidaires, Pierre Khalfa, et l'économiste Susan George, selon certains de ses membres, après la fronde d'opposants à l'actuelle direction (de Jacques Nikonoff) qui ont dénoncé, en juin 2006 à Rennes, des "anomalies" lors de l'élection du conseil d'administration…
Jacques Nikonoff, homme lige du PCF, a été directeur -apolitique!- de séminaire à l’ENA (École nationale d'administration), pendant 20 mois membre du Collège exécutif du PCF (mars 2000 à octobre 2001) et dans la foulée élu président d’ ATTAC France en 2002 pour 3 ans. Il est chargé de cours à l'Institut d'études Européennes de l'université de Paris VIII (voir Cassen, sur ce point : cooptation ? Cercle fermé ?)
Cassen est donc le bouche-trou, le cache misère de service. ‘Raisons de sa présence sans aucune signification’, dit-il ? Encore de l’intox, sauf s’il veut dire que la présence de Royal n’a aucun sens !
Le substitut Cassen du président contesté Nikonoff, comme la Maréchale…, a essayé de justifier ce choix de Poitiers. "Nous allons dans les villes où nos membres sont suffisamment nombreux pour assurer la logistique. Ensuite nous sollicitons une aide financière auprès de la région qui nous reçoit. Ce qui n'a jamais posé de problème jusqu'à maintenant". Ainsi, les électeurs de Madame Royal –mais aussi et surtout les autres– subventionnent Attac. Bernard Cassen sait parfaitement où le bât blesse et que les contribuables locaux sont bien loin d’approuver cet usage sectaire des fonds régionaux. Alors, benoîtement, il évoque de supposées retombées économiques non négligeables qu’apprécieraient les élus de Poitiers. Il n’est pas démontré que le solde est positif !... Pour le reste de la région, ce n’est pas évident non plus, ni surtout prouvé !
Royal fait beaucoup de mécontents que les médias ne rencontre jamais…
La Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue a donc préféré ATTAC au MJS (Mouvement des Jeunes Socialistes) qu’elle méprise royalement : elle a réussi à tomber d’accord avec ATTAC, mais ne s’est pas entendue avec les jeunes socialistes…
Par quel hasard les universités d’été du PS et d’ATTAC ont-elles lieu chez Royal? Quelle est la part des énormes frais payée par les contribuables pour la seule gloire de la potiche socialiste ?
Madame Royale parviendra-t-elle à convaincre les contribuables de Poitou-Charentes que l’augmentation de leurs impôts régionaux est imputable au gouvernement ?
A Poitiers (Vienne), aujourd’hui vendredi, Marie-sEGOlène Royal a fait l'ouverture de la septième université d'été (du 25 au 29 août) de l'association altermondialiste Attac (Association pour la taxation des transactions pour l'aide aux citoyens). Malgré des privilèges fiscaux inimaginables, cette ‘association’ parasite tend la main ici et là et trouve du soutien auprès de la gauche et des socialistes, généreux sur le dos des contribuables. Les électeurs approuvent-ils ? Le savent-ils seulement ?
"Les raisons de sa présence n'ont aucune signification particulière. Elle intervient, comme l'an passé, en qualité d'hôte au titre de présidente de la Région Poitou-Charentes", a expliqué Bernard Cassen, jeudi.
Bernard Cassen est un cumulard de bientôt 70 ans, né en 1937, journaliste et directeur général de l''apolitique'... Monde diplomatique, professeur à l'Institut d'études européennes de l'Université Paris VIII, fondateur et président d'honneur d'Attac.
Pourquoi le président d’honneur ? Parce que Attac est menacée de paralysie, voire d'"éclatement", par le porte-parole de Solidaires, Pierre Khalfa, et l'économiste Susan George, selon certains de ses membres, après la fronde d'opposants à l'actuelle direction (de Jacques Nikonoff) qui ont dénoncé, en juin 2006 à Rennes, des "anomalies" lors de l'élection du conseil d'administration…
Jacques Nikonoff, homme lige du PCF, a été directeur -apolitique!- de séminaire à l’ENA (École nationale d'administration), pendant 20 mois membre du Collège exécutif du PCF (mars 2000 à octobre 2001) et dans la foulée élu président d’ ATTAC France en 2002 pour 3 ans. Il est chargé de cours à l'Institut d'études Européennes de l'université de Paris VIII (voir Cassen, sur ce point : cooptation ? Cercle fermé ?)
Cassen est donc le bouche-trou, le cache misère de service. ‘Raisons de sa présence sans aucune signification’, dit-il ? Encore de l’intox, sauf s’il veut dire que la présence de Royal n’a aucun sens !
Le substitut Cassen du président contesté Nikonoff, comme la Maréchale…, a essayé de justifier ce choix de Poitiers. "Nous allons dans les villes où nos membres sont suffisamment nombreux pour assurer la logistique. Ensuite nous sollicitons une aide financière auprès de la région qui nous reçoit. Ce qui n'a jamais posé de problème jusqu'à maintenant". Ainsi, les électeurs de Madame Royal –mais aussi et surtout les autres– subventionnent Attac. Bernard Cassen sait parfaitement où le bât blesse et que les contribuables locaux sont bien loin d’approuver cet usage sectaire des fonds régionaux. Alors, benoîtement, il évoque de supposées retombées économiques non négligeables qu’apprécieraient les élus de Poitiers. Il n’est pas démontré que le solde est positif !... Pour le reste de la région, ce n’est pas évident non plus, ni surtout prouvé !
Royal fait beaucoup de mécontents que les médias ne rencontre jamais…
La Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue a donc préféré ATTAC au MJS (Mouvement des Jeunes Socialistes) qu’elle méprise royalement : elle a réussi à tomber d’accord avec ATTAC, mais ne s’est pas entendue avec les jeunes socialistes…
Par quel hasard les universités d’été du PS et d’ATTAC ont-elles lieu chez Royal? Quelle est la part des énormes frais payée par les contribuables pour la seule gloire de la potiche socialiste ?
Madame Royale parviendra-t-elle à convaincre les contribuables de Poitou-Charentes que l’augmentation de leurs impôts régionaux est imputable au gouvernement ?
jeudi 24 août 2006
Guigou se paie Royal.
Proche de Lionel Jospin, Elisabeth Guigou, l'ancienne ministre PS, essayez de vous rappeler…, a estimé samedi que Marie-sEGOlène Royal symbolise "manifestement le changement" (bien!) parce qu'elle est une femme (aïe!), mais qu'il faut aussi "l'expérience" (ouille, ouille!) pour gagner l'élection présidentielle. Demande-t-on à une potiche d’avoir de l’expérience ? Si, par ailleurs, « être une femme » est pour elle une raison suffisante en soi, une femme noire serait deux bonnes raisons et une femme noire unijambiste, trois. Et ainsi de suite.
La très chaleureuse Guigou continue le déboulonnage et, en digne représentante de la gauche caviar émigrée avec papiers dans le Luberon, la préférée de Jospin (il faut de tout pour faire un monde !) risque aussi une métaphore qui vaut ce qu’elle vaut. "Les élections présidentielles se jouent dans les dernières semaines; c'est l'ascension du Mont Ventoux. Il faut de l'expérience dans la dernière montée. L'expérience et la nouveauté, il ne faut se priver ni de l'un ni de l'autre", a-t-elle jugé charitablement sur RTL, ajoutant que la personnalité de son Lionel exprimait "à la fois la solidité et la densité". Monolithique ! On dirait qu’elle ne reconnaît ni expérience, ni nouveauté –‘et dire qu’elle a 53 ans’– ni solidité, ni densité, à sa bonne camarade. Mais qu’a-t-elle donc pour elle et les médias ?
Le jeu de massacre continue. "Le fait d'être une femme symbolise manifestement le changement dans l'esprit des gens –manifestement pas dans le sien ! – , il y a un symbole fort là, mais symboliser une femme ne garantit pas non plus la pertinence des choix ni la cohérence des décisions, ni les résultats", a ajouté la grinçante Babette Guigou. Cette fois, elle lui nie et la pertinence des choix et la cohérence des décisions et les résultats. Mais que lui reste-il, à la Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue, cette rareté confectionnée pour nous par les médias ? Elle a dû oublier Edith Cresson (à droite) et les dégats collatéraux...
La mise à mort. Au nom de leur franche camaraderie, la gracieuse Guigou ironise et poursuit : "Il faut prendre ce phénomène de popularité - qu'il ne faut pas dénigrer – (mais n’est-ce pas précisément ce qu’elle fait ?…) pour ce qu'il est, essayer d'en comprendre les ressorts (qui lui semblent manifestement incompréhensibles), et en même temps je suis convaincue qu'il faut additionner cela avec d'autres choses pour gagner". Beaucoup de lacunes chez l’arrogante favorite des médias, qui n’ont donc rien à se mettre sous le chicot. Comprenez-vous que Guigou lui souhaite de gagner : pas nous !
Estocade de femme à sa meilleure amie, maintenant, pour en finir. "Il ne faut dénigrer personne. […mais il y a] beaucoup de jeunes dont on ne parle pas", a rappelé la radieuse Guigou. ‘Et dire qu’elle a 53 ans !’ Guigou pense peut-être que Madame Royal les fait bien…
Proche de Lionel Jospin, Elisabeth Guigou, l'ancienne ministre PS, essayez de vous rappeler…, a estimé samedi que Marie-sEGOlène Royal symbolise "manifestement le changement" (bien!) parce qu'elle est une femme (aïe!), mais qu'il faut aussi "l'expérience" (ouille, ouille!) pour gagner l'élection présidentielle. Demande-t-on à une potiche d’avoir de l’expérience ? Si, par ailleurs, « être une femme » est pour elle une raison suffisante en soi, une femme noire serait deux bonnes raisons et une femme noire unijambiste, trois. Et ainsi de suite.
La très chaleureuse Guigou continue le déboulonnage et, en digne représentante de la gauche caviar émigrée avec papiers dans le Luberon, la préférée de Jospin (il faut de tout pour faire un monde !) risque aussi une métaphore qui vaut ce qu’elle vaut. "Les élections présidentielles se jouent dans les dernières semaines; c'est l'ascension du Mont Ventoux. Il faut de l'expérience dans la dernière montée. L'expérience et la nouveauté, il ne faut se priver ni de l'un ni de l'autre", a-t-elle jugé charitablement sur RTL, ajoutant que la personnalité de son Lionel exprimait "à la fois la solidité et la densité". Monolithique ! On dirait qu’elle ne reconnaît ni expérience, ni nouveauté –‘et dire qu’elle a 53 ans’– ni solidité, ni densité, à sa bonne camarade. Mais qu’a-t-elle donc pour elle et les médias ?
Le jeu de massacre continue. "Le fait d'être une femme symbolise manifestement le changement dans l'esprit des gens –manifestement pas dans le sien ! – , il y a un symbole fort là, mais symboliser une femme ne garantit pas non plus la pertinence des choix ni la cohérence des décisions, ni les résultats", a ajouté la grinçante Babette Guigou. Cette fois, elle lui nie et la pertinence des choix et la cohérence des décisions et les résultats. Mais que lui reste-il, à la Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue, cette rareté confectionnée pour nous par les médias ? Elle a dû oublier Edith Cresson (à droite) et les dégats collatéraux...
La mise à mort. Au nom de leur franche camaraderie, la gracieuse Guigou ironise et poursuit : "Il faut prendre ce phénomène de popularité - qu'il ne faut pas dénigrer – (mais n’est-ce pas précisément ce qu’elle fait ?…) pour ce qu'il est, essayer d'en comprendre les ressorts (qui lui semblent manifestement incompréhensibles), et en même temps je suis convaincue qu'il faut additionner cela avec d'autres choses pour gagner". Beaucoup de lacunes chez l’arrogante favorite des médias, qui n’ont donc rien à se mettre sous le chicot. Comprenez-vous que Guigou lui souhaite de gagner : pas nous !
Estocade de femme à sa meilleure amie, maintenant, pour en finir. "Il ne faut dénigrer personne. […mais il y a] beaucoup de jeunes dont on ne parle pas", a rappelé la radieuse Guigou. ‘Et dire qu’elle a 53 ans !’ Guigou pense peut-être que Madame Royal les fait bien…
Parents délèves, la MAE, une assurance inutile.
Parents, ne vous laissez pas abuser.
Le démarchage de la MAE à la télévision est une arnaque
La MAE a déjà commencé sa campagne en direction des parents d'élèves, mais l' assurance scolaire que cette mutuelle propose au forcing en milieu scolaire, et spécialement auprès des nouveaux parents stressés à l'entrée de leurs jeunes enfants, n'apporte probablement aucune garantie supplémentaire. Ce serait une escroquerie de vous faire croire le contraire.
Les parents pensent que deux précautions valent mieux qu'une et ont l'esprit tranquille en souscrivant cette assurance, , en particulier à l'instigation des enseignants du primaire, qui ont 'conscience' d' accomplir leur mission en faveur, non point des enfants, mais de...leur syndicat. Car tout est noyauté et militant!
Une assurance est exigible par le chef d'établissement pour les activités et sorties facultatives (ex: classe de neige),
mais elle ne l'est déjà plus dès lors qu'ils s'agit d'activités obligatoires à l'intérieur de l'école (ex: éducation physique) pour les dommages subis et causés par votre enfant.
Une assurance complémentaire -du type MAE- n'est pas indispensable, puisque vos enfants sont déjà couverts par vos contrats de parent(s) en dehors de l'établissement scolaire (ex: activité scolaire facultative hors de l'école ou trajet sur le chemin de l'école).
Dès l'instant que vous avez une assurance responsabilité civile familiale, sans doute incluse dans votre contrat multirisque habitation et d'une "individuelle accidents"pour votre enfant, voire la famille entière, les dommages causés à d'autres par votre enfant sont couverts par votre assurance. Vérifiez simplement que cette assurance protège effecivement votre enfant au cas où il se blesse -ce qui est assez évident- mais qu'elle complète aussi les remboursements versés par la Sécurité Sociale.
Une assurance scolaire MAE, par exemple, n'est pas chère, mais fait certainement double emploi. Vous ne serez pas couvert ni indemnisé mieux, si vous souscrivez deux fois pour le même risque.
En période de dépenses scolaires lourdes, n'avez-vous pas un usage plus utile de vos deniers?
Le démarchage de la MAE à la télévision est une arnaque
La MAE a déjà commencé sa campagne en direction des parents d'élèves, mais l' assurance scolaire que cette mutuelle propose au forcing en milieu scolaire, et spécialement auprès des nouveaux parents stressés à l'entrée de leurs jeunes enfants, n'apporte probablement aucune garantie supplémentaire. Ce serait une escroquerie de vous faire croire le contraire.
Les parents pensent que deux précautions valent mieux qu'une et ont l'esprit tranquille en souscrivant cette assurance, , en particulier à l'instigation des enseignants du primaire, qui ont 'conscience' d' accomplir leur mission en faveur, non point des enfants, mais de...leur syndicat. Car tout est noyauté et militant!
Une assurance est exigible par le chef d'établissement pour les activités et sorties facultatives (ex: classe de neige),
mais elle ne l'est déjà plus dès lors qu'ils s'agit d'activités obligatoires à l'intérieur de l'école (ex: éducation physique) pour les dommages subis et causés par votre enfant.
Une assurance complémentaire -du type MAE- n'est pas indispensable, puisque vos enfants sont déjà couverts par vos contrats de parent(s) en dehors de l'établissement scolaire (ex: activité scolaire facultative hors de l'école ou trajet sur le chemin de l'école).
Dès l'instant que vous avez une assurance responsabilité civile familiale, sans doute incluse dans votre contrat multirisque habitation et d'une "individuelle accidents"pour votre enfant, voire la famille entière, les dommages causés à d'autres par votre enfant sont couverts par votre assurance. Vérifiez simplement que cette assurance protège effecivement votre enfant au cas où il se blesse -ce qui est assez évident- mais qu'elle complète aussi les remboursements versés par la Sécurité Sociale.
Une assurance scolaire MAE, par exemple, n'est pas chère, mais fait certainement double emploi. Vous ne serez pas couvert ni indemnisé mieux, si vous souscrivez deux fois pour le même risque.
En période de dépenses scolaires lourdes, n'avez-vous pas un usage plus utile de vos deniers?
Breton-Villepin : prime de transport pour salariés.
A l'écoute des besoins des Français et afin d'atténuer les conséquences de la flambée du prix des carburants, le gouvernement envisage de mettre en place dans les entreprises, sur la base du volontariat, une prime de transport pour les salariés, sur le modèle du "ticket restaurant". Thierry Breton a exprimé sur France-2 le souci du gouvernement de permettre "d'accompagner [nos] compatriotes qui utilisent beaucoup les transports pour se rendre à leur lieu de travail et alléger un peu leurs factures".
Le Ministre de l’Economie a expliqué que "le Premier ministre annoncera les mesures" et notamment "une mesure très précise qui ira directement dans la poche des consommateurs, qui allégera leurs factures transports".
"L'ensemble des acteurs" financera cette mesure, a précisé Thierry Breton. "On est en train de finaliser tout cela". Concernant la hausse du pouvoir d'achat, Thierry Breton a dit comprendre les inquiétudes des Français. "Nos compatriotes ont l'impression qu'ils ne voient pas toujours l'impact de l'augmentation de la croissance sur leur pouvoir d'achat", a-t-il observé. "On a l'impression dans son porte-monnaie qu'on en a un peu moins", a noté le ministre des Finances qui modernise Bercy. "Nos compatriotes consomment différemment. Il y a beaucoup de dépenses aujourd'hui: le téléphone, le téléphone portable, la télévision, Internet, les contrats d'assurance, tout ce qui fait que le premier du mois par prélèvement on vient vous retirer une petite partie du pouvoir d'achat", a analysé Thierry Breton. Et pour conclure, il a annoncé: "je souhaite que nous ayons la possibilité très vite à l'automne de présenter une grande loi consommation qui permettra de protéger les consommateurs, contre précisément tous ces abus".
A l'écoute des besoins des Français et afin d'atténuer les conséquences de la flambée du prix des carburants, le gouvernement envisage de mettre en place dans les entreprises, sur la base du volontariat, une prime de transport pour les salariés, sur le modèle du "ticket restaurant". Thierry Breton a exprimé sur France-2 le souci du gouvernement de permettre "d'accompagner [nos] compatriotes qui utilisent beaucoup les transports pour se rendre à leur lieu de travail et alléger un peu leurs factures".
Le Ministre de l’Economie a expliqué que "le Premier ministre annoncera les mesures" et notamment "une mesure très précise qui ira directement dans la poche des consommateurs, qui allégera leurs factures transports".
"L'ensemble des acteurs" financera cette mesure, a précisé Thierry Breton. "On est en train de finaliser tout cela". Concernant la hausse du pouvoir d'achat, Thierry Breton a dit comprendre les inquiétudes des Français. "Nos compatriotes ont l'impression qu'ils ne voient pas toujours l'impact de l'augmentation de la croissance sur leur pouvoir d'achat", a-t-il observé. "On a l'impression dans son porte-monnaie qu'on en a un peu moins", a noté le ministre des Finances qui modernise Bercy. "Nos compatriotes consomment différemment. Il y a beaucoup de dépenses aujourd'hui: le téléphone, le téléphone portable, la télévision, Internet, les contrats d'assurance, tout ce qui fait que le premier du mois par prélèvement on vient vous retirer une petite partie du pouvoir d'achat", a analysé Thierry Breton. Et pour conclure, il a annoncé: "je souhaite que nous ayons la possibilité très vite à l'automne de présenter une grande loi consommation qui permettra de protéger les consommateurs, contre précisément tous ces abus".
Socialistes cherchent candidat.
Ceux nombreux qui ne lisent que les titres risquent fort d’être trompés par l’agence Associated Press qui a une façon personnelle et 'apolitique' d’analyser le carnage socialiste annoncé : sur internet un de ses communiqués titre ‘La Rochelle: socialistes cherchent poste à l'Elysée’. Les socialistes en sont à se chercher désespérément et à se trouver un candidat éventuellement capable, et non pas seulement omniprésent. L’agence s’imagine-t-elle que les Présidentielles seront jouées lorsque les socialistes auront investi leur candidat ? Etrange présentation des faits dont la réalité ne lui échappe pourtant pas : l’université d’été socialiste n’a pas pour but d’investir un candidat ! Cette investiture interne interviendra plus tard et, en tout état de cause, n’est nullement le premier tour des Présidentielles !... Souci de ne pas déplaire ? Servilité ? Crainte de réprésailles ? Tout à la fois, mais certainement pas de l’objectivité. Cette agence envisagerait-elle une hécatombe qu’elle jouerait son rôle.
Quel rapport avec la suite ? On peut en effet lire plus loin que ‘c'est dans un climat de grande fébrilité et de suspicion que tous les présidentiables du PS se retrouvent [demain] à La Rochelle pour leur université d'été. L'occasion pour les compétiteurs (euphémisme charmant à l'heure des excommunications!) de [Marie-sEGOlène] Royal de tenter de regagner un peu de terrain face à leur écrasante rivale.’ Ecrasante communication. Ni son programme, ni son argumentaire n’est ‘écrasant’.
L’agence rappelle ensuite: ‘A peine rentrés, déjà à couteaux tirés. La polémique déclenchée en début de semaine par le N°2 du PS et "ségoliste", le frère François Rebsamen, priant Dominique Strauss-Kahn et le [Che D']Jack Lang de retirer leur candidature au profit de [Marie-]Ségolène Royal, a mis le feu aux poudres. Soucieux de ramener le calme, François Hollande a été contraint de recadrer [nouveau charmant euphémisme] son bras droit mardi en appelant chacun au "respect" dans la compétition‘.
Or, la potiche socialiste ne fait pas la majorité comme les médias le disent. Tous les candidats déclarés ou non, sauf Marie-sEGOlène Royal, ont ainsi accepté l'invitation lancée par les jeunes socialistes du MJS à débattre avec eux vendredi et samedi sur le thème "du projet à la victoire", ce qui ressemble à un examen de passage et s'annonce comme le moment fort des retrouvailles rochelaises du PS. Tous, sauf Marie-SEGOlène Royal! La Maréchale ne se livre pas à un débat démocratique: elle répand la bonne parole... Faute d'avoir réussi à s'entendre avec les Jeunes (adieu CPE!...) sur les modalités de son intervention, elle a décommandé. "On est déçus qu'elle ne vienne pas", déplore Razzye Hammadi, président du MJS. Dans l'entourage de la candidate, on évoque des "questions d'agenda" et on souligne que l'université d'été n'est pas "la fête de Ségolène"…
En revanche et sachant que la citoyenne candidate présidente de la région hôtesse (!) de Poitou-Charentes se donne corps et âme aux seuls médias, son agenda permettra peut-être, pour notre chance, de gratifier la presse de deux apparitions: une conférence de presse avec les présidents de région socialistes jeudi à l'Hôtel de Ville de La Rochelle (Charente-Maritime) –et non pas à Lourdes-, et un mot de bienvenue en ouverture des travaux vendredi. Mais elle quadrille les médias, qu’elle va remercier de l’avoir … invitée ( !) et sera sur la totalement acquise France-Inter vendredi et sur la très solidaire France-2 samedi soir –et non pas à Lisieux. Nous n'y échapperons pas. Car Madame Royale a voué sa vie aux caméras et micros, mais certainement pas aux militants du MJS. Ils n’ont pas les mêmes valeurs. Ils ne sont pas du même milieu : pour les uns, le 9.3; pour les autres, Mougins ou le VII° arrondissement… En toute simplicité…
Il est donc légitime que ses adversaires, qui ont des raisons de pointer le "flou" de ses propositions, l'accusent de fuir la confrontation. Ils attendent de pied ferme les débats que le PS doit organiser pendant la campagne interne (du 3 octobre, date de la fin du dépôt des candidatures, au 16 novembre, premier tour du vote militant). D'ici là, ils entendent profiter du week-end et de leur grand oral au MJS pour se démarquer. . Nous attendons de voir si les journalistes -du service public! que Marianne et Libération prétendent soumis au pouvoir)- vont la laisser servir sa soupe ou vont l’interroger sur le fond et ses lacunes : sur sa ligne "chèvre-choux"…
Nous la sentons surmenée ou anorexique, ou les deux, mais nous ‘prions’ les médias de nous épargner et de ne pas nous la montrer les doigts au fond de la gorge pour se faire vomir : ce n’est pas drôle et ce n’est dramatique que chez les personnes qui ont de vrais problèmes.
Mais c'est l'intervention de Lionel Jospin au MJS samedi après-midi qui devrait monopoliser l'attention. Signe de la fébrilité au PS, des rumeurs lui prêtaient l'intention de déclarer sa candidature à la candidature ce week-end. "Il l'a dit clairement" fin juin,", a glissé mercredi Jean Glavany, très proche de l'ancien Premier ministre, sur RMC. Et d'ajouter, sentencieusement: "il a accepté l'invitation des Jeunes socialistes" et se tient prêt à "répondre à leurs questions"…
François Hollande annoncera-t-il sa candidature dimanche au cours de son discours de clôture. Muet et invisible depuis plusieurs jours, le Premier secrétaire quittera ses fonctions après 2007 et cherche à se recaser: un ‘golden parachute’ ? Danone, à la place de Zidane, ou l’Elysée ?
Ceux nombreux qui ne lisent que les titres risquent fort d’être trompés par l’agence Associated Press qui a une façon personnelle et 'apolitique' d’analyser le carnage socialiste annoncé : sur internet un de ses communiqués titre ‘La Rochelle: socialistes cherchent poste à l'Elysée’. Les socialistes en sont à se chercher désespérément et à se trouver un candidat éventuellement capable, et non pas seulement omniprésent. L’agence s’imagine-t-elle que les Présidentielles seront jouées lorsque les socialistes auront investi leur candidat ? Etrange présentation des faits dont la réalité ne lui échappe pourtant pas : l’université d’été socialiste n’a pas pour but d’investir un candidat ! Cette investiture interne interviendra plus tard et, en tout état de cause, n’est nullement le premier tour des Présidentielles !... Souci de ne pas déplaire ? Servilité ? Crainte de réprésailles ? Tout à la fois, mais certainement pas de l’objectivité. Cette agence envisagerait-elle une hécatombe qu’elle jouerait son rôle.
Quel rapport avec la suite ? On peut en effet lire plus loin que ‘c'est dans un climat de grande fébrilité et de suspicion que tous les présidentiables du PS se retrouvent [demain] à La Rochelle pour leur université d'été. L'occasion pour les compétiteurs (euphémisme charmant à l'heure des excommunications!) de [Marie-sEGOlène] Royal de tenter de regagner un peu de terrain face à leur écrasante rivale.’ Ecrasante communication. Ni son programme, ni son argumentaire n’est ‘écrasant’.
L’agence rappelle ensuite: ‘A peine rentrés, déjà à couteaux tirés. La polémique déclenchée en début de semaine par le N°2 du PS et "ségoliste", le frère François Rebsamen, priant Dominique Strauss-Kahn et le [Che D']Jack Lang de retirer leur candidature au profit de [Marie-]Ségolène Royal, a mis le feu aux poudres. Soucieux de ramener le calme, François Hollande a été contraint de recadrer [nouveau charmant euphémisme] son bras droit mardi en appelant chacun au "respect" dans la compétition‘.
Or, la potiche socialiste ne fait pas la majorité comme les médias le disent. Tous les candidats déclarés ou non, sauf Marie-sEGOlène Royal, ont ainsi accepté l'invitation lancée par les jeunes socialistes du MJS à débattre avec eux vendredi et samedi sur le thème "du projet à la victoire", ce qui ressemble à un examen de passage et s'annonce comme le moment fort des retrouvailles rochelaises du PS. Tous, sauf Marie-SEGOlène Royal! La Maréchale ne se livre pas à un débat démocratique: elle répand la bonne parole... Faute d'avoir réussi à s'entendre avec les Jeunes (adieu CPE!...) sur les modalités de son intervention, elle a décommandé. "On est déçus qu'elle ne vienne pas", déplore Razzye Hammadi, président du MJS. Dans l'entourage de la candidate, on évoque des "questions d'agenda" et on souligne que l'université d'été n'est pas "la fête de Ségolène"…
En revanche et sachant que la citoyenne candidate présidente de la région hôtesse (!) de Poitou-Charentes se donne corps et âme aux seuls médias, son agenda permettra peut-être, pour notre chance, de gratifier la presse de deux apparitions: une conférence de presse avec les présidents de région socialistes jeudi à l'Hôtel de Ville de La Rochelle (Charente-Maritime) –et non pas à Lourdes-, et un mot de bienvenue en ouverture des travaux vendredi. Mais elle quadrille les médias, qu’elle va remercier de l’avoir … invitée ( !) et sera sur la totalement acquise France-Inter vendredi et sur la très solidaire France-2 samedi soir –et non pas à Lisieux. Nous n'y échapperons pas. Car Madame Royale a voué sa vie aux caméras et micros, mais certainement pas aux militants du MJS. Ils n’ont pas les mêmes valeurs. Ils ne sont pas du même milieu : pour les uns, le 9.3; pour les autres, Mougins ou le VII° arrondissement… En toute simplicité…
Il est donc légitime que ses adversaires, qui ont des raisons de pointer le "flou" de ses propositions, l'accusent de fuir la confrontation. Ils attendent de pied ferme les débats que le PS doit organiser pendant la campagne interne (du 3 octobre, date de la fin du dépôt des candidatures, au 16 novembre, premier tour du vote militant). D'ici là, ils entendent profiter du week-end et de leur grand oral au MJS pour se démarquer. . Nous attendons de voir si les journalistes -du service public! que Marianne et Libération prétendent soumis au pouvoir)- vont la laisser servir sa soupe ou vont l’interroger sur le fond et ses lacunes : sur sa ligne "chèvre-choux"…
Nous la sentons surmenée ou anorexique, ou les deux, mais nous ‘prions’ les médias de nous épargner et de ne pas nous la montrer les doigts au fond de la gorge pour se faire vomir : ce n’est pas drôle et ce n’est dramatique que chez les personnes qui ont de vrais problèmes.
Mais c'est l'intervention de Lionel Jospin au MJS samedi après-midi qui devrait monopoliser l'attention. Signe de la fébrilité au PS, des rumeurs lui prêtaient l'intention de déclarer sa candidature à la candidature ce week-end. "Il l'a dit clairement" fin juin,", a glissé mercredi Jean Glavany, très proche de l'ancien Premier ministre, sur RMC. Et d'ajouter, sentencieusement: "il a accepté l'invitation des Jeunes socialistes" et se tient prêt à "répondre à leurs questions"…
François Hollande annoncera-t-il sa candidature dimanche au cours de son discours de clôture. Muet et invisible depuis plusieurs jours, le Premier secrétaire quittera ses fonctions après 2007 et cherche à se recaser: un ‘golden parachute’ ? Danone, à la place de Zidane, ou l’Elysée ?
Greenpeace, indésirable à Marseille: du vent !
France-Info n'a pas cessé toute la journée de faire des commentaires tendancieux, complices de Greenpeace contre nos thoniers français... Les thoniers ne se sont laissés intimider
- ni par les journalistes engagés du service public,
- ni par les méthodes de Greenpeace qui renonce à ré-éduquer les Marseillais de force.
Le Rainbow Warrior II, de l’organisation activiste Greenpeace, qui était venu faire sa propagande et provoquer les thoniers jusque chez eux, s’était retrouvé encerclé par d’authentiques marins, au large de Marseille.
Les marins-pêcheurs marseillais ont laissé partir ce matin le navire de Greenpeace, sous escorte d'un remorqueur de la préfecture maritime. Une douzaine de thoniers qui avaient encerclé le Rainbow Warrior à l'aube se sont écartés après un accord trouvé avec la préfecture maritime
"Les pêcheurs, moyennant l'engagement de Greenpeace d'être remorqué, ont accepté de s'écarter", a déclaré le préfet de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Christian Frémont à la presse, à l'issue d'une rencontre en mer avec les représentants syndicaux des pêcheurs. Le blocage du terminal marseillais du port de commerce entamé hier soir a cessé avec le départ de Greenpeace vers l’Espagne. Espagnols, boutez Greenpeace hors de vos eaux territoriales !
Les thoniers ont ainsi débarrassé le port d’un navire qui se comportait en envahisseur. "Le trafic devrait reprendre normalement très rapidement", a indiqué un porte-parole du Port. Un millier de passagers vers la Corse et le Maghreb étaient restés bloqués en raison de cette action de Greenpeace contre les thoniers.
Les pêcheurs professionnels de thon accusent Greenpeace de désinformation sur l'état des stocks de thon rouge en Méditerranée du fait d’une supposée sur-pêche. Le thon rouge est aujourd'hui pêché par une vingtaine de pays, dont la France, l'Espagne, l'Italie, et le Japon.
Greenpeace, organisation supranationale, a donc soumis, arbitrairement, la France à un régime de faveur, mais c’était ne pas connaître les Marseillais.
France-Info n'a pas cessé toute la journée de faire des commentaires tendancieux, complices de Greenpeace contre nos thoniers français... Les thoniers ne se sont laissés intimider
- ni par les journalistes engagés du service public,
- ni par les méthodes de Greenpeace qui renonce à ré-éduquer les Marseillais de force.
Le Rainbow Warrior II, de l’organisation activiste Greenpeace, qui était venu faire sa propagande et provoquer les thoniers jusque chez eux, s’était retrouvé encerclé par d’authentiques marins, au large de Marseille.
Les marins-pêcheurs marseillais ont laissé partir ce matin le navire de Greenpeace, sous escorte d'un remorqueur de la préfecture maritime. Une douzaine de thoniers qui avaient encerclé le Rainbow Warrior à l'aube se sont écartés après un accord trouvé avec la préfecture maritime
"Les pêcheurs, moyennant l'engagement de Greenpeace d'être remorqué, ont accepté de s'écarter", a déclaré le préfet de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Christian Frémont à la presse, à l'issue d'une rencontre en mer avec les représentants syndicaux des pêcheurs. Le blocage du terminal marseillais du port de commerce entamé hier soir a cessé avec le départ de Greenpeace vers l’Espagne. Espagnols, boutez Greenpeace hors de vos eaux territoriales !
Les thoniers ont ainsi débarrassé le port d’un navire qui se comportait en envahisseur. "Le trafic devrait reprendre normalement très rapidement", a indiqué un porte-parole du Port. Un millier de passagers vers la Corse et le Maghreb étaient restés bloqués en raison de cette action de Greenpeace contre les thoniers.
Les pêcheurs professionnels de thon accusent Greenpeace de désinformation sur l'état des stocks de thon rouge en Méditerranée du fait d’une supposée sur-pêche. Le thon rouge est aujourd'hui pêché par une vingtaine de pays, dont la France, l'Espagne, l'Italie, et le Japon.
Greenpeace, organisation supranationale, a donc soumis, arbitrairement, la France à un régime de faveur, mais c’était ne pas connaître les Marseillais.
Hollande humilie l’odieux Rebsamen, sans état d’âme.
Le piston des médias en faveur de Marie-sEGOlène Royal n’impressionne pas ses rivaux du Parti socialiste qui entendent se relancer dans la course à l'investiture présidentielle lors de l'université d'été de La Rochelle.
Malgré l’inégalité de traitement, les candidats méprisés des médias ont fourbi leurs armes sur les thèmes respectifs suivants : Europe pour Strauss-Kahn, environnement pour Madame Royal, immigration et "révolution fiscale" pour D’Jack Lang, le Che français et questions économiques et sociales pour Laurent Fabius.
Une seule présidentiable fuit le débat avec le MJS, manifestant ainsi sa faiblesse idéologique et son mépris de la jeunesse : la Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue. Les prises de position de la présidentiable sur l'encadrement militaire des jeunes délinquants ont laissé des traces chez les jeunes militants, très courtisés par les "dinosaures" depuis leur mobilisation victorieuse contre le CPE. Elle craint donc l’affrontement et parade ici et là, préférant le flou à l’émergence de ses lacunes et de son inexpérience. Elle abandonne aux autres les idées et s’occupe de peaufiner son look.
Parce que l’arriviste frère François Rebsamen, n°2 du PS, a dépassé la ligne blanche dans un désir d’avenir en allant au casse-pipe sur ordre de son n°1, Flamby 1er, et en demandant à ses camarades Lang et DSK de renoncer à la course à l’Elysée, le monde socialiste est indigné : et il en faut pour indigner un socialiste avec les pratiques d’exclusion anti-démocratiques et anti-républicaines, d’un camarade socialiste. Ils ont l’éthique politique à géométrie variable.
D’Jack Lang –le 'révolutionnaire' qui, poings serrés, hurle à la ‘fatwa’– et DSK ont sommé Flamby 1er d’établir enfin l'équité entre les présidentiables du PS. François Hollande, sous la pression, est donc enfin sorti de son mutisme et a dû se résoudre à désavouer son n°2. Il faut avoir l’échine souple et un sens de l’honneur fort sous développé pour encaisser cette réprimande, donc cet affront, après avoir agi en service commandé, dans l’intérêt du machiavélique tandem Royal-Hollande.
Le n°1 a donc appelé tout le monde au "respect", mais tous les regards se sont tournés vers l’odieux Rebsamen. "Chacun a ses préférences, chacun peut les exprimer sans dénigrement, sans abaissement et sans disqualification", a intimé le premier secrétaire et souverain socialiste absolu. Des propos qui visaient sans le nommer son homme de main, frère François Rebsamen.
"Le rassemblement des socialistes" est la "condition de la victoire" aux élections de 2007 et "j'en suis le garant", a mis en garde Flamby 1er en souverain absolu et faisant allusion à la prétendue action de rassemblement, qu’à Dijon, Rebsamen, qui n’a pas froid aux yeux, attribuait à sa Royal suzeraine. Heureux Dijonnais !...
"Nous sommes à trois mois de la désignation du candidat. Cela doit se faire dans le respect: le respect du calendrier, le respect des militants -parce que c'est eux [ce sont eux, en français, Ndlr] qui décideront- et le respect des personnes", a-t-il dû clarifier dès l'ouverture du bureau national de rentrée du PS, qui s'annonçait houleux et augure mal du climat des retrouvailles socialistes de La Rochelle vendredi.
Mais savent-ils seulement ce qu’est le respect ?... Manque de pratique !
Le comique de la situation, c’est que Dominique Stauss-Kahn ne connaît pas Rebsamen, le n°2 de son propre parti, le PS, et ne sait pas qui peut bien être le camarade socialiste qui prononce cet ostracisme contre lui...
Si vous avez peine à le croire, voyez, écoutez :
FRANCOIS REBSAMEN INCONNU AU PS
Au royaume socialiste de Royal-Flamby 1er, il faut le voir et l’entendre pour le croire.
Le piston des médias en faveur de Marie-sEGOlène Royal n’impressionne pas ses rivaux du Parti socialiste qui entendent se relancer dans la course à l'investiture présidentielle lors de l'université d'été de La Rochelle.
Malgré l’inégalité de traitement, les candidats méprisés des médias ont fourbi leurs armes sur les thèmes respectifs suivants : Europe pour Strauss-Kahn, environnement pour Madame Royal, immigration et "révolution fiscale" pour D’Jack Lang, le Che français et questions économiques et sociales pour Laurent Fabius.
Une seule présidentiable fuit le débat avec le MJS, manifestant ainsi sa faiblesse idéologique et son mépris de la jeunesse : la Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue. Les prises de position de la présidentiable sur l'encadrement militaire des jeunes délinquants ont laissé des traces chez les jeunes militants, très courtisés par les "dinosaures" depuis leur mobilisation victorieuse contre le CPE. Elle craint donc l’affrontement et parade ici et là, préférant le flou à l’émergence de ses lacunes et de son inexpérience. Elle abandonne aux autres les idées et s’occupe de peaufiner son look.
Parce que l’arriviste frère François Rebsamen, n°2 du PS, a dépassé la ligne blanche dans un désir d’avenir en allant au casse-pipe sur ordre de son n°1, Flamby 1er, et en demandant à ses camarades Lang et DSK de renoncer à la course à l’Elysée, le monde socialiste est indigné : et il en faut pour indigner un socialiste avec les pratiques d’exclusion anti-démocratiques et anti-républicaines, d’un camarade socialiste. Ils ont l’éthique politique à géométrie variable.
D’Jack Lang –le 'révolutionnaire' qui, poings serrés, hurle à la ‘fatwa’– et DSK ont sommé Flamby 1er d’établir enfin l'équité entre les présidentiables du PS. François Hollande, sous la pression, est donc enfin sorti de son mutisme et a dû se résoudre à désavouer son n°2. Il faut avoir l’échine souple et un sens de l’honneur fort sous développé pour encaisser cette réprimande, donc cet affront, après avoir agi en service commandé, dans l’intérêt du machiavélique tandem Royal-Hollande.
Le n°1 a donc appelé tout le monde au "respect", mais tous les regards se sont tournés vers l’odieux Rebsamen. "Chacun a ses préférences, chacun peut les exprimer sans dénigrement, sans abaissement et sans disqualification", a intimé le premier secrétaire et souverain socialiste absolu. Des propos qui visaient sans le nommer son homme de main, frère François Rebsamen.
"Le rassemblement des socialistes" est la "condition de la victoire" aux élections de 2007 et "j'en suis le garant", a mis en garde Flamby 1er en souverain absolu et faisant allusion à la prétendue action de rassemblement, qu’à Dijon, Rebsamen, qui n’a pas froid aux yeux, attribuait à sa Royal suzeraine. Heureux Dijonnais !...
"Nous sommes à trois mois de la désignation du candidat. Cela doit se faire dans le respect: le respect du calendrier, le respect des militants -parce que c'est eux [ce sont eux, en français, Ndlr] qui décideront- et le respect des personnes", a-t-il dû clarifier dès l'ouverture du bureau national de rentrée du PS, qui s'annonçait houleux et augure mal du climat des retrouvailles socialistes de La Rochelle vendredi.
Mais savent-ils seulement ce qu’est le respect ?... Manque de pratique !
Le comique de la situation, c’est que Dominique Stauss-Kahn ne connaît pas Rebsamen, le n°2 de son propre parti, le PS, et ne sait pas qui peut bien être le camarade socialiste qui prononce cet ostracisme contre lui...
Si vous avez peine à le croire, voyez, écoutez :
FRANCOIS REBSAMEN INCONNU AU PS
Au royaume socialiste de Royal-Flamby 1er, il faut le voir et l’entendre pour le croire.
mercredi 23 août 2006
Frère Rebsamen, Royal expert économique...
Voyez-le dans ses oeuvres: ça ne s'invente pas!
Marie-sEGOlène a, dit-elle, besoin des autres et a sélectionné un illustre gestionnaire, maire de Dijon, qu'elle destinerait sans doute au Ministère des Finances...
Voyez plutôt et, surtout, écoutez l'expert socialiste'
Voyez-le dans ses oeuvres: ça ne s'invente pas!
Marie-sEGOlène a, dit-elle, besoin des autres et a sélectionné un illustre gestionnaire, maire de Dijon, qu'elle destinerait sans doute au Ministère des Finances...
Voyez plutôt et, surtout, écoutez l'expert socialiste'
Rebsamen: rassemblement socialiste avant ostracisme.
François Rebsamen fait allégeance à Madame Royal à Dijon.
C'est à Dijon, le 22 août 2006. Le Président de Région socialiste, François Patriat -c'est lui qui invite; en fait, ce sont tous les contribuables, socialistes, ou non, qui paient- , Patriat, donc, assiste à cette messe laïque . Observez tous les dévôts: ça fait peine à voir et notre idée du genre humain en prend un coup. Courage!
A vous de juger de la platitude du personnage. Armez-vous de patience: il est saoûlant! Car il n'a rien à dire, mais il lui faut un temps infini...
L'intérêt de ce document réside dans la bassesse des compliments, certes, mais aussi dans l'hypocrisie des propos. En effet, frère Rebsamen est capable d'affirmer que la Maréchale Me-Voilà-M'As-Tu-Bien-Vue est une rassembleuse,
mais nous savons qu'il s'apprête à frapper les camarades Lang et DSK d'ostracisme.
Exemple de duplicité...
Discours de François Rebsamen pour ...
Envie de vomir? C'est naturel...
François Rebsamen fait allégeance à Madame Royal à Dijon.
C'est à Dijon, le 22 août 2006. Le Président de Région socialiste, François Patriat -c'est lui qui invite; en fait, ce sont tous les contribuables, socialistes, ou non, qui paient- , Patriat, donc, assiste à cette messe laïque . Observez tous les dévôts: ça fait peine à voir et notre idée du genre humain en prend un coup. Courage!
A vous de juger de la platitude du personnage. Armez-vous de patience: il est saoûlant! Car il n'a rien à dire, mais il lui faut un temps infini...
L'intérêt de ce document réside dans la bassesse des compliments, certes, mais aussi dans l'hypocrisie des propos. En effet, frère Rebsamen est capable d'affirmer que la Maréchale Me-Voilà-M'As-Tu-Bien-Vue est une rassembleuse,
mais nous savons qu'il s'apprête à frapper les camarades Lang et DSK d'ostracisme.
Exemple de duplicité...
Discours de François Rebsamen pour ...
Envie de vomir? C'est naturel...