La Covid19 activera-t-elle le retour de la France à l'indépendance nationale ?
Le coronavirus fait prendre conscience aux Français de l'intérêt du souverainisme sur l'universalisme et les délocalisations
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Un peu moins de subventions au spectacle de rue et aux associations racisées et tout le monde s'en portera mieux...
La France veut contrôler sur son sol l'ensemble de la chaîne de production du paracétamol d'ici trois ans, ont annoncé ce matin les ministères de l'Economie et de la Santé, deux jours après l'appel du président.
Un appel, suivi d'une annonce et de contacts: encore des mots, mais rien de concret depuis six mois et le début de l'épidémie.
Macron va se mettre à la relocalisation de certains médicaments.
"Des travaux [?] sont ainsi engagés avec Seqens, Upsa et Sanofi pour que, d'ici 3 ans, la France soit en mesure de reproduire, conditionner et distribuer du paracétamol", précise un communiqué conjoint de la secrétaire d'Etat auprès du ministère de l'Economie Agnès Pannier-Runacher, une ex-présidente de comité d’audit (notamment pour une entreprise de nettoyage et d'hygiène), et du ministre de la Santé Olivier Véran, un médecin qui n'a pas diagnostiqué ma pénurie de tout dans les hôpitaux publics.
Ni l'un, ni l'autre n'a pris l'initiative de relocaliser la production des produits pharmaceutiques qui ont fait défaut aux patients décédés. Quant à la pénurie de produits anesthésiants, est-elle durablement surmontée?
Des chefs de service de réanimation ont décrit une tension sur des médicaments
On a cité les curares, qui servent à paralyser les muscles respiratoires pour pouvoir intuber les malades sévères, lesquels n'ont pas non plus toujours bénéficié des doses réglementaires d'anti-douleurs...
La consommation d'hypnotiques et de morphiniques pour endormir les patients et soulager la douleur a été encadrée par nécessité, du fait de stocks insuffisants. Anticipant une éventuelle pénurie, certains praticiens ont adopté une médecine de crise, comme le professeur Bruno Megarbane, chef de la réanimation de l'hôpital Lariboisière. "Nous devons affiner [sic !] au mieux les dosages. Plutôt que de prescrire des doses stables [celles prescrites par les intransgressables protocoles ! ], nous adaptons la posologie au fur et à mesure, ou mélangeons parfois deux médicaments dans une même seringue."
Depuis un discours du 16 mars - il ya trois mois -, Macron avait abusé d'un langage guerrier, le terme "guerre", et les observateurs et politiques à genoux ont usé et abusé de sa métaphore. Avec quels résultats ? Macron s'est flatté en juin d'avoir mieux géré la pandémie que quiconque...
A l'hôpital Saint-Antoine à Paris, le professeur Bertrand Guidet a dû contrôler attentivement l'état des stocks, et en rationner l'utilisation, faute de quantités suffisantes. Mais, en même temps, sa collègue Karine Lacombe ne voyait aucun empêchement déontologique à utiliser des patients comme cobayes en leur proposant un placebo dans les essais cliniques 'Discovery'...
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