Les milices se multiplient en France: dealers,migrants ou justiciables se font justice eux-mêmes
Les anti-racistes racisés du 'Comité JusticePourAdama', les trafiquants ou les "réfugiés politiques" règlent leurs comptes dans la rue
Les violences inter-communautaires s'étendent des "zones de non droit" des territoires abandonnés de la République aux centre-villes.
A Dijon, au quatrième jour des affrontements d'immigrés pour défendre leurs territoires, des zones de trafic de stupéfiants, les forces de l’ordre sont enfin intervenues pour séparer les gangs encagoulés et équipés d'armes automatiques, après trois expéditions punitives menées par des dizaines de Tchétchènes dont l'un de leurs jeunes trafiquants, âgé de 16 ans, avait été agressé par des Maghrébins, le 10 juin, selon la police.
Lundi, après les trois premières nuits de violences inter-communautaires dans le quartier "sensible" (!) de Dijon, Les Grésilles, des hommes encagoulés pour la plupart avaient tiré à l'arme automatique sortie du sac, détruit des caméras de vidéo-protection et incendié poubelles et véhicules, ont rapporté à l’Agence France-Presse des sources policières. Un conducteur a été "agressé et son véhicule projeté contre une barricade enflammée", selon la préfecture et, accessoirement, une équipe de journalistes de France 3 "a été prise à partie et son véhicule caillassé", comme peut l'être un véhicule de police, sans recevoir le soutien de la presse.
Le préfet, Bernard Schmeltz, a établi une distinction ethnique entre les belligerents, évoquant des "violences [perpétrées], semble-t-il [il avoue ne pas être au courant], dans le cadre d’un règlement de comptes entre des membres de la communauté tchétchène de France [des réfugiés politiques] et des résidents [maghrébins]" de la métropole dijonnaise.
Dans la soirée, le ministère de l’Intérieur titulaire a jugé "inadmissibles" les "violents troubles à l’ordre public et les actes d’intimidation" de ces derniers jours, promettant "une réponse ferme".
Pour faire face aux violences inter-communautaires et après ces paroles fortes, à faire trembler des guerriers tchétchènes, le ministre apparent a préféré envoyer le titulaire réel, son secrétaire d’Etat, Laurent Nunez, sur place mardi. La préfecture a annoncé qu’une demi-section des compagnies républicaines de sécurité (CRS, 37 policiers) et des renforts de la brigade anti-criminalité (BAC) étaient arrivés avant lui lundi matin, et non pas dimanche soir. Un escadron de gendarmes mobiles, soit 110 militaires, a été déployé lundi soir. Soit des effectifs armés équivalents à ceux des migrants sunnites des deux factions.
Après toutes ces nuits de violences inter-communautaires, mercredi à la matinale d’Europe 1, le maire PS sortant de Dijon, François Rebsamen, a déploré le fait de ne pas avoir été informé par le ministère de l’Intérieur de l'arrivée soudaine, selon lui, de "150 ou 180 Tchétchènes" sur sa commune, en renfort de leurs coreligionnaires agressés par des Maghrébins, pourtant sunnites comme eux.
Jeudi 18 juin, la police a procédé à quelques interpellations dans la communauté tchétchène de l'Est de la France.
Les enquêteurs ont mis trois jours pour identifier les participants tchétchènes aux actes d'intimidation menés pour venger un jeune adolescent agressé huit jours plus tôt à Dijon.
Une demi-douzaine de raiders tchétchènes a été interpellée ce jeudi 18 juin par la BRI et le RAID dans plusieurs villes de l’Est de la France, dont Dijon.
Les interpellés sont soupçonnés d'avoir pris part aux affrontements armés qui les ont opposés à des habitants maghrébins du quartier des Gresilles à Dijon, durant plusieurs jours.
Une enquête a été ouverte pour tentative de meurtre en bande organisée, violences volontaires, dégradations aggravées et incitation à la violence. Elle a été confiée à la sûreté départementale et à la police judiciaire de Dijon.
A noter que la population maghrébine n'est pas inquiétée, bien qu'il faille deux camps pour qu'il y ait affrontement et que les dégâts commis soient donc imputables aux deux communautés...
Selon Europe 1, les hommes interpellés ont été identifiés grâce aux appels lancés sur les réseaux sociaux et des vidéos de l'expédition punitive diffusées sur internet.
A la différence des anti-racistes du ComitéPourAdama, qui ont proféré des cris antisémites et ont commis des dégâts à Paris, lors de leurs rassemblements anti-flics, ou des activistes antifas et du Black Bloc, qui ont pourri de leurs violences la manifestation de soignants contre le "Ségur de la Santé", les Tchétchènes interpellés ont pu être identifiés : il faut certes une volonté politique réelle et forte mais les enquêtes "sensibles" peuvent progresser si on fait appel aux réseaux sociaux et si on veut bien exploiter les vidéos de protection ou si on donne l'ordre de nettoyer de ses grésillements et parasites divers (originels ou ajoutés) la vidéo antisémite qui confond les anti-racistes, les enquêtes "sensibles" peuvent progresser.
A la différence des anti-racistes du ComitéPourAdama, qui ont proféré des cris antisémites et ont commis des dégâts à Paris, lors de leurs rassemblements contre la police de la République accusés de racisme, ou des activistes antifas et du Black Bloc, qui ont pourri de leurs violences la manifestation de soignants contre le "Ségur de la Santé", les Tchétchènes interpellés ont été identifiés grâce aux appels lancés sur les réseaux sociaux et des vidéos de l'expédition punitive diffusées sur internet. Un deux poids-deux mesures de l'Etat qui alimente les rancoeurs des uns et confortent les autres sur leurs territoires abandonnés de la République.
Les agresseurs maghrébins de l'adolescent tchétchène sont-ils activement recherchés?
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