mercredi 4 mars 2020

La dictature féministe frappe les César: des "folles hystériques" hystérisent les rapports homme-femmes

Les féministes comme définies par Emmanuelle Seigner nous pourrissent la vie 

Le chef d'oeuvre 'J’accuse', réalisé par Roman Polanski et nominé à 12 reprises lors des César, est instrumentalisé par les femmes haineuses de l'autre sexe

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"A partir de maintenant, nous mènerons une guerre implacable d’épuration contre les derniers éléments de la subversion culturelle" (Hitler-1937)
Plusieurs organisations féministes ont pondu et reconnu une lettre ouverte publiée par Le Parisien, ci-dessous. Elles appelaient aussi à un rassemblement le 28 février devant la salle Pleyel pour s’opposer à Roman Polanski, artiste qui, comme Picasso par les Nazis, est poursuivi  par des activistes féministes. 

Alors que la profession reconnaît les qualités cinématographiques du dernier film de Roman Polanski et le place en tête des nominations lors du premier tour de vote des récompenses du cinéma français remises le 28 février, plusieurs associations et personnalités féministes avaient appelé à ne pas voter pour le film public espérant ainsi atteindre l'homme privé, visé récemment par une nouvelle accusation de viol, accusation à laquelle les harpies refusent la présomption d'innocence. A l'initiative d'Osez le Féminisme!, association subventionnée fondée  - avec Mouvement français pour le planning familial, du Parti socialiste, d'EELV, du Front de gauche et de l'UNEF - par Caroline De Haas, exemple parfait d'activiste sectaire et haineuse forte en gueule, ces organisations signent dans Le Parisien () une "lettre ouverte aux professionnel·les du cinéma votant pour les César", dont les excès - justifiant les accusations d'hystérie - sont assumées dans le titre, appelant à la censure artistique.

"Si violer est un art, donnez à Polanski tous les Césars !"

"12 nominations aux Césars pour le film J'accuse de Roman Polanski. 12, comme le nombre de femmes qui l'accusent de viols pédocriminels [attendons que la Justice confirme]. Les associations et personnalités féministes seront là le 28 février 2020 à la cérémonie des Césars pour appeler à dire NON à la célébration d'un violeur qui silencie [bobos-intellos?] les victimes.

Par ces 12 nominations, le monde du cinéma a apporté un soutien franc et inconditionnel à un [artiste réduit à] violeur en cavale, qui a reconnu avoir drogué et violé une enfant de 13 ans et a fui la justice américaine. Deux ans après #MeToo, tandis qu'aux Etats-Unis Harvey Weinstein risque la prison à perpétuité, en France, nous acclamons et célébrons un violeur pédocriminel en fuite.

Nous ne pouvons pas "séparer l'homme de l'artiste" (compliqué pour certain.es [haine] quand Polanski lui-même, dans le dossier de presse du film, parle " d'accusations mensongères, procédures juridiques pourries". Personne n'est dupe. Polanski utilise sa notoriété, instrumentalise l'affaire Dreyfus pour se réhabiliter et se poser en victime alors qu'il est bourreau [selon les accusatrices publiques. Tout le monde va prendre !].

A Alain Terzian, président de l'Académie des Césars qui déclare refuser "les positions morales": vous vous trompez [c'est péremptoire...]. Il s'agit de justice, pas de morale. Refuser de prendre position [chacun dans son rôle et les poules seront bien gardées], célébrer un agresseur comme Polanski [c'est le film qui est présenté et acclamé], c'est soutenir le système d'impunité des violences masculines [amalgame d'hystériques: tous les hommes, sans nuance...], et museler la parole des victimes [muselage, référence obsolète de fossiles à un siècle révolu].

Écoutons les victimes, écoutons Valentine Monnier, 12e femme à dénoncer un viol d'une extrême violence par Polanski, lorsqu'elle écrit : "Le délai de réaction ne vaut pas oubli, le viol est une bombe à retardement. […] Est-ce tenable, sous prétexte d'un film, sous couvert de l'Histoire, d'entendre dire J'accuse par celui qui vous a marquée au fer, alors qu'il vous est interdit, à vous, victime, de l'accuser?" [Elle devra soumettre des preuves de ses accusations]

A vous, les 4 313 professionnel·les du cinéma qui vont voter pour les Césars 2020 [règlement de comptes avec la planète cinéma et au-delà]:

En 2018 aux Césars, vous arboriez en nombre le ruban blanc #MaintenantOnAgit contre les violences masculines. En 2019, vous souteniez Adèle Haenel, son courage et sa vérité [appréciation subjective et partisane]: dépolitiser le réel, c'est le repolitiser au profit de l'oppresseur. Plus d'hypocrisie. En 2020, vous avez la responsabilité de prendre position et de refuser de décorer un violeur pédocriminel qui se pose en victime. En 2020, ne donnez pas raison à une Académie des Césars sexiste qui invisibilise [sémiologues, au secours!] encore trop les femmes au bénéfice des agresseurs (une seule femme nominée pour le meilleur film et la meilleure réalisation; et 55 % des étudiant.es en cinéma sont des étudiantes quand seulement 6 % de femmes sont récompensées aux Césars [sans 's', merci les bobos-intellos agitées et égarées]).

Les associations féministes appellent à un rassemblement devant la salle Pleyel, où se tient la cérémonie des César, le 28 février 2020, à 18h, et demandent instamment aux professionnel·les de voter #METOO ! [capitales agressives...]"

Les signataires : Osez le Féminisme ! Planning Familial, Collectif Féministe Contre le Viol, Hélène Bidard (adjointe [Front de Gauche] à la Maire de Paris en charge de l'égalité femmes hommes), Association Internationale des Victimes de l'Inceste, Mie Kohiyama (présidente de MoiAussiAmnesie), Marche Mondiale des Femmes, Chiennes de garde, Collectif national pour les droits des femmes, Abandon de Famille - Tolérance Zéro !, Réseau féministe Ruptures




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