mercredi 3 septembre 2014

Nouveau crime par égorgement en France: petite fille et son frère, victimes par arme blanche à leur domicile, dans le Haut-Rhin

On égorge désormais beaucoup en France

Une pré-adolescente de 11 ans a été tuée à l'arme blanche et son frère de 8 ans gravement blessé

Arrêtez la boucherie,
Monsieur Cazeneuve!
mardi soir, dans des circonstances encore floues.

Le drame s'est déroulé au domicile familial situé dans un lotissement, en bordure du village de Moernach (Haut-Rhin), 600 habitants, proche d'Altkirch, à une quarantaine de km au sud de Mulhouse, près de la frontière suisse.

C'est le frère aîné des deux victimes, âgé de 15 ans, qui a donné l'alerte vers 19 h 30, a précisé le procureur de la République de Mulhouse, Dominique Alzeari. "Il n'y a pas d'hypothèse immédiate ou évidente" dans cette affaire, a-t-il ajouté.

Des voisins ont vu l'adolescent descendre la rue en courant pour se réfugier chez un voisin, par ailleurs parrain d'un des enfants, et donner l'alerte. "Il avait des traces de sang sur lui", a expliqué le procureur de la République.

Les parents étaient absents pour une activité sportive, vraisemblablement un cours de yoga, selon le procureur. Ils ont été prévenus par le voisin chez qui s'était réfugié leur fils aîné. Quand ils sont arrivés sur place, les gendarmes et les secours étaient déjà présents, a raconté le procureur. 
Les enquêteurs ont découvert le corps sans vie de la fillette et de son frère grièvement blessé. Les deux jeunes victimes ont été retrouvées "à l'intérieur du domicile qui n'a pas subi d'effraction", a précisé Dominique Alzeari. Le magistrat a évoqué une "scène de crime très difficile, très complexe. Le garçon de 8 ans, qui présentait "des lésions graves", a été héliporté vers Strasbourg, "dans un état critique", a-t-il poursuivi. Les premiers éléments laissent penser que le crime a été commis à l'aide d'un objet "contondant ou tranchant".

L'adolescent aurait affirmé avoir été attaqué par "un rôdeur"
, vêtu de noir, a expliqué Dominique Alzeari.

Les propos du garçon "n'étaient pas structurés", précise toutefois le procureur. Qualifié de "témoin clé", l'adolescent, "en état de choc et mutique", a été pris en charge par un médecin et se trouvait mardi soir à la gendarmerie. "C'est aux médecins de nous dire s'il peut être entendu", a expliqué le procureur.

"Le but est de récupérer le plus d'éléments possibles, sachant que les deux corps ont été retrouvés dans le salon" de la maison, ont dit les gendarmes. "Toutes les pistes sont envisagées", ont-ils souligné. Mais selon des voisins, les forces de l'ordre n'ont procédé à aucune battue ou opération d'interception d'éventuels suspects dans les heures qui ont suivi le drame.
Un important dispositif de sécurité bloquait pourtant l'unique accès à la maison familiale tard dans la soirée. Une trentaine de gendarmes, des techniciens de l'investigation criminelle et une unité de la section de recherche de Strasbourg étaient mobilisés. Des techniciens de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) ont été appelés en renfort pour prendre en charge les aspects scientifiques de l'enquête. Des fonctionnaires de la section criminelle de la gendarmerie en blouse blanche s'affairaient jusque tard dans la nuit autour et à l'intérieur du pavillon blanc, à la recherche d'indices.

La famille s'est installée il y a quelques années dans cette zone pavillonnaire. Son pavillon cossu, de construction récente, est situé en bordure de champs.

Les égorgements se multiplient



28 décembre 2013 à Avignon: un musulman égorge un jeune français blanc mécréant. 
Samir Kouider a  "mortellement poignardé Kevin à la gorge"  parce que le jeune garçon non musulman sortait avec la sœur de celui-ci. Dans l’islam, les mécréants n’ont pas le droit de fréquenter ni de se marier avec les musulmanes d’où le geste de Samir qui s’est comporté en bon musulman respectant les règles de sa religion.

23 mai 2014 à Bretteville-le-Rabet :"Ce que l'on sait du maire égorgé et émasculé dans le Calvados".
Muni d'un cutter, il a égorgé Dominique Leboucher qui se trouve être le maire. Puis il l'a émasculé, rapporte France 3, qui précise que l'homme est revenu chez lui, à 500 m de la scène du crime, et qu'il "s'est débarrassé en chemin des organes génitaux de sa victime". Il s'est ensuite pendu à son domicile. Les enquêteurs ont retrouvé une lettre à l'intention de ses deux enfants âgés de 5 et 10 ans, ajoute France 3. Rien ne filtre pourtant de l'identité du meurtrier.

19 juillet 2014 dans le Val-de-Marne: une femme et 2 enfants égorgés
La victime, une femme de 36 ans enceinte de sept mois, est née en Roumanie, a précisé le Parquet. Son beau-frère et une voisine la présentent comme une Hongroise prénommée Tina. "la mort des trois victimes est due à des plaies par arme blanche", a indiqué dans la soirée le parquet de Créteil. Selon des sources policières, les enfants et leur mère, qui gisaient dans une mare de sang, portaient des traces de coups de couteau à la gorge. La carotide des enfants a été tranchée et la mère portait également deux coups à la poitrine.


2 août à Roubaix : il se plaint du tapage nocturne et se fait égorger: Ahmed avait 27 ans. Père de trois enfants, ce roubaisien décrit comme calme et gentil est mort égorgé dans la nuit de samedi à dimanche au pied de son immeuble pour s’être plaint d’un tapage nocturne, rapporte La Voix Du Nord. Un "homme" de 21 ans a été placé en garde à vue après les faits, a-t-on appris lundi de source judiciaire. En garde à vue, mais à l'identité floutée.

27 août à Argenteuil, dans le Val-d'Oise: deux hommes ont été tués, l'un égorgé, Alexandre, l'autre décapité, Lionel. Les deux victimes, tuées à l'arme blanche dans des circonstances encore floues, sont âgées de 27 et 29 ans et vivaient en colocation avec la "personne interpellée", âgée de 29 ans, issue de la communauté antillaise anglophone...

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