samedi 22 février 2014

Aéroport de Nantes: les "factieux" d'extrême gauche blessent 6 policiers

Valls pointe les violences de "l'ultra-gauche"

Epreuve de force: qui sont les provocateurs ?

Photo d'une poésie inappropriée
"Les forces de l'ordre ont fait usage de gaz lacrymogènes, tandis que des participants ont tiré des projectiles en direction de policiers." Ainsi, la chaîne LCI et l'AFP suggèrent-ils que les forces de l'ordre seraient à l'initiative des agressions physiques. En revanche,  le site Les Echos respecte clairement la chronologie des séquences: "Des heurts ont opposé, samedi après-midi à Nantes, "une minorité" de manifestants hostile au projet d’aéroport aux forces de l’ordre, qui ont fait usage de gaz lacrymogènes et de canons à eau." Le rapport de cause à effets est établi.
Les violences sont intervenues à l'arrivée du cortège en centre-ville.
C'est là que les anarcho-révolutionnaires s'en sont pris à une agence du groupe Vinci, concessionnaire du projet d'aéroport, et à un poste de police. 
VOIR et ENTENDRE un compte-rendu de LCI édulcorant des faits:


La police n'a dénombré que 20.000 personnes.

Les forces de l'ordre ont dû faire usage de gaz lacrymogènes pour repousser des centaines de jeunes manifestants et casseurs. 
Sur différents endroits du parcours de la manif, des participants ont tiré des projectiles en direction des forces de l'ordre et s'en sont pris à un poste de police, à des commerces, ainsi qu'à une agence du groupe Vinci, concessionnaire du projet d'aéroport.  
20.000 manifestants, dont 1.000 "radicaux". C'est le moins qu'on puisse dire !
Et la ministre Cécile Duflot avait apporté son "soutien de coeur" à la manifestation, tandis que les altermondialistes José Bové, Eva Joly et Jean-Vincent Placé étaient sur place.

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