mercredi 22 janvier 2014

Avortement: l'UMP et l'UDI dénoncent une "provocation" socialiste inutile

Vallaud-Belkacem fait de l'auto-promotion; 
Bayrou, mécréant pratiquant, reste couvert

Les centristes dénoncent aussi
, de concert avec la droite, l'amendement socialiste à la loi Veil

par le biais du projet de loi porté par Najat Vallaud-Belkacem, mère-porteuse du texte sur l'égalité hommes-femmes. En rouvrant le débat sur l'IVG qui doit rester une "exception", le gouvernement commet "une faute morale et politique", a estimé François Fillon.D'autres voix de l'UMP ne voient pas davantage pourquoi il faudrait "rouvrir un débat sur la loi Veil", comme Bruno Le Maire ou l'ancien président de l'Assemblée, le Dr Bernard Accoyer qui veut "sanctuariser" ce texte.Une détermination de la droite de convictions déjà observée au début du débat sur le mariage entre personnes du même sexe, dit pour tous... et qui avait permis la libre expression des opposants à la mise en coupe réglée de la société française par les forces nihilistes de gauche.

"Le groupe est à 98% contre l'amendement socialiste qui émane d'un député isolé." 
Le député UMP Philippe Gosselin est en revanche parfaitement représentatif des "différents points de vie au groupe UMP" sur la question de l'avortement et en phase avec une large part de la population comme le démontre la "Marche pour la Vie", manifestation anti-avortement de dimanche, qui a mobilisé quelque 40.000 opposants à la sape des fondements de notre société occidentale, estime  le chef du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Christian Jacob
Cet amendement au projet de loi sur l'égalité hommes-femmes, discuté à partir de ce lundi et aussitôt passé au vote à la hussarde ce mardi soir à l'Assemblée nationale, veut supprimer la notion de "détresse" comme écrit dans la loi de 1975. "Il n'y aucun problème avec la loi Veil. Il n'y a pas d'enjeu. De toute façon, la notion de détresse n'était pas appliquée, elle n'avait jamais été codifiée. Ce n'est qu'une provocation qui ne change rien sur le fond", ajoute Christian Jacob.

Nous ne tomberons pas dans le piège de la provocation 

"Provocation", c'est aussi le terme de Philippe Vigier, porte-parole de l'UDI. Il note que "le mot 'détresse' n'est peut-être plus adapté" et critique clairement la méthode employée. "Passer par un amendement parlementaire, c'est une pratique faussement habile de la part de Najat Vallaud-Belkacemministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement. Le gouvernement dit vouloir apaiser la société, mais là encore il divise sur un sujet sociétal, alors même que l'avortement est remis en cause en Espagne et ailleurs." 

Le patron de l'UDI, Jean-Louis Borloo, lui aussi redoutait récemment le "risque d'ouvrir la boîte de Pandore". 
Soucieux de ne pas l'ouvrir davantage, Philippe Vigier souligne que les centristes sont quasi-unanimes. "Nous voterons le texte sur l'égalité hommes-femmes mais laissons la liberté de conscience des députés du groupe sur cet amendement", ajoute Philippe Vigier. "A l'UDI, nous ne tomberons pas dans le piège de la provocation, nous", assurait-il. 

1 commentaire:

  1. Bonjour. Les gens du gouvernement socialiste impie provoquent les français chrétiens,ils veulent les mettre en colère,ils font tout pour nous rendre méchants.Dieu-Jésus existe,j'attends qu'il venge toutes les victimes innocentes de la république française,je garde l'espoir de voir la justice divine en action.Salut cordial. Dame Béatrice Berthelage-Hervé

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