mercredi 12 décembre 2012

L'Algérie entrera-t-elle au capital de PSA ?

L'Algérie s'offrirait Peugeot-Citroën en pièces détachées

L'Algérie, soucieuse de rembourser ainsi la dette de ses ressortissants à la sécurité sociale ?

L'idée d'une participation algérienne au capital du constructeur français commence à prendre corps entre la France et l'Algérie, affirme Latribune.fr. 

L'envoyé spécial du président français, Jean-Pierre Raffarin, a abordé cette question lors de sa visite à Alger fin novembre. 
En Algérie, les ventes de Peugeot - marque très populaire localement - explosent et "l'État algérien, dont les réserves de change avoisinent les 200 milliards de dollars, dispose de moyens financiers pour devenir actionnaire de PSA", souligne le quotidien en ligne.

Lors de la visite de François Hollande des 19-20 novembre, le Président Abdelaziz Bouteflika s’était montré particulièrement prévenant à l'égard du camarade socialiste. 
Que ce soit sur le Mali ou sur les questions mémorielles, le président avait choisi d’être consensuel et non plus conflictuel. 
Il avait toutefois laissé transparaître le reproche classique des responsables algériens à l’égard des Français de ne voir dans l’Algérie qu’un marché déversoir de leurs produits et non un espace d’investissement et de partenariat. Il faut, avait-il déclaré, "  construire un partenariat qui résiste aux contingences et qui dépasse les seules relations commerciales où chacun réduit l’autre à un débouché ". 

PSA sera-t-il le cheval de Troie de ce programme algérien de conquête financière de l'Hexagone ?

Notre premier fournisseur de pétrole brut est la Russie, qui satisfait 17,3% des importations françaises. L'Algérie n'arrive plus qu'au 12e rang avec (1,4%).

L'Algérie en est à utiliser son gaz pour produire son électricité. 
Pour  faire face à ses opérations de délestage électrique, le ministre a annoncé le lancement d’un programme de production d’électricité: un supplément de 8 000 mégawatts vient s’ajouter aux 4 000 mégawatts, pour un total de 12 000 mégawatts, déjà programmés à l’horizon 2016. 
La Sonatrach devra pour sa part importer 42 millions de tonnes par an pour faire face à la demande interne en carburant. De pays exportateur de pétrole, l’Algérie devient donc un pays importateur de pétrole. D'où la nécessité pour l'Algérie de se reconvertir et de placer ses liquidités.

Bouteflika efface la dette de treize pays

L'Algérie crée-t-elle de l'emploi
et assume-t-elle
ses charges sociales ?
L’Algérie aurait effacé les dettes de 13 pays africains, pour un total de l’ordre de 2,2 milliards de dollars. 
Ni le Conseil des ministres, ni le Parlement n’ont été associés, pas même simplement informés de cette décision. Seul un télégramme de " Sa Majesté Bouteflika ", pour reprendre l’expression d’un fonctionnaire des Affaires Etrangères, a été adressé aux différents ambassadeurs. 

Cette mesure fait suite à l’effacement de la dette irakienne l’année dernière
Ces mesures interviennent au moment où le chef de l’État déploie une campagne politico-médiatique sans précédent pour convaincre de la crédibilité des " réformes pour plus de démocratie et de transparence ".

2 commentaires:

  1. L'algerie pleine aux as nous envoie sa racaille et ses niards pour que nous les nourrissons les éduquons (si peu, ils ne sont pas là pour ça) les soignons............et pendant ce temps l'Europe l'engraisse un peu plus....merci aux commissaires européens fonctionnaires qui distribuent notre argent sans avoir été élu.............quelle honte.


    Bruxelles : 45 millions d’euros à l’Algérie

    L’UE soutient la transition démocratique. La Commission européenne a débloqué jeudi quelque 45 millions d’euros dans le cadre de programmes de coopération destinés à favoriser la bonne gouvernance et la diversification de l’économie algérienne.


    Abdelaziz Bouteflika, le visage de la démocratie algérienne


    Le commissaire européen chargé du dossier, Stefan Füle, a assuré vouloir “soutenir l’approfondissement du processus de réformes en Algérie, notamment l’élargissement des libertés fondamentales“, promettant de faire profiter le pays de son expérience en matière de “transition vers une démocratie solide, une économie durable qui profite à tous“.

    Un premier programme, doté d’un budget de 15 millions d’euros, interviendra “en faveur de la diversification de l’économie algérienne et appuiera le développement durable du secteur de la pêche et de l’aquaculture“, a précisé l’exécutif européen dans un communiqué.

    Le deuxième programme, doté d’un budget de 30 millions d’euros, “soutiendra la pleine mise en oeuvre de l’Accord d’association et visera à renforcer la bonne gouvernance au sein de l’administration publique“, a précisé la Commission. L’UE, qui s’est engagée à la faveur du Printemps arabe à soutenir la transition démocratique dans les pays de la région, est liée depuis 2005 à l’Algérie par un accord d’association.



    Ce collabo de hollande va lui apporter en plus une usine clé en main pour noel....................

    Ce gouvernement responsable d'un couac par jour......qui est en train de nous foutre dans la mouise.........1 milliard par ici, trois milliards par là.............mais ou vont il chercher ce pognon à part dans nos poches........

    RépondreSupprimer
  2. "mais ou vont il chercher ce pognon à part dans nos poches" :

    Tout est dit et ce n'est pas fini.

    Des infos passent, disparaissent aussitôt des Unes de quelques journaux et pourtant certaines infos concernent notre quotidien.

    A ce tarif-là, les Français ne vont plus travailler pour leurs familles et pour préparer leur retraite mais pour l'Etat ; il ne restera que des miettes en fin de mois, s'il en reste !

    Vous connaissez l'histoire de la note partagée entre les bons et mauvais élèves ?
    On y arrive !

    La solidarité, ce n'est pas l'Etat qui se mêle de TOUT !

    Bien sûr, il ne faut pas gaspiller mais doit-on pour autant faire un bond en arrière comme "dans le temps", comme nos grands-parents et même nos parents qui n'avaient aucun confort parce que c'était une autre époque, le siècle d'avant.

    "Énergie: la tarification votée en janvier"

    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/12/12/97002-20121212FILWWW00589-energie-la-tarification-votee-en-janvier.php

    Bien sûr que cela aura un impact sur le quotidien puisque arbitrairement, l'état va décider pour le citoyen ce qu'il doit consommer.

    Pour rester dans la "norme" faudra-t-il vivre en ermite, sans moyens modernes ?

    Liberté ? Egalité ? Fraternité ?




    RépondreSupprimer

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):