Hollande décide que la "frontière" n'est pas "le sujet principal" de l'élection
mais convoque les syndicats ou des commissions quand la décision lui apprtient !
François Hollande aimerait imposer ses thèmes au président-sortant
L
e candidat suppléant de D. Strauss-Kahn a estimé lundi que le thème de la frontière développé dimanche par Nicolas Sarkozy n'est "pas "le sujet principal" de l'élection
Sur Europe 1, le candidat socialiste a donné son sentiment: "Je ne pense pas que la frontière soit le sujet principal de l'élection présidentielle". Ca le regarde et les Français jugeront. Le journaliste complice lui tendait ainsi la perche sur le discours de Nicolas Sarkozy, dimanche à Toulouse, où il a souligné l'"enjeu majeur" de "remettre les frontières au centre du débat et de la question politique".
Le socialiste de salons confond causes et conséquences
Sur Europe 1, le candidat socialiste a donné son sentiment: "Je ne pense pas que la frontière soit le sujet principal de l'élection présidentielle". Ca le regarde et les Français jugeront. Le journaliste complice lui tendait ainsi la perche sur le discours de Nicolas Sarkozy, dimanche à Toulouse, où il a souligné l'"enjeu majeur" de "remettre les frontières au centre du débat et de la question politique".
Le socialiste de salons confond causes et conséquences
Plutôt que de désépaissir le flou de ses intentions, Hollande a accusé le président-candidat d'être responsable des problèmes qui peuvent se poser autour de la question.
François Hollande a déclaré des banalités
"La France n'a jamais été sans frontières. La France n'est pas ouverte à tous. La preuve, c'est que nous avons des règles et des principes pour entrer sur le territoire. Elle n'est pas ouverte à tous les produits.... Ne laissons pas penser qu'il y a eu dans ces dernières années une espèce d'acceptation". Le candidat du changement n'a rien rien voulu préciser de l'avenir des Français si une majorité, si faible soit-elle, le désignait.
En généraliste, le candidat "normal" s'est abstenu d'informer les électeurs sur les moyens qu'il mettrait en oeuvre
En généraliste, le candidat "normal" s'est abstenu d'informer les électeurs sur les moyens qu'il mettrait en oeuvre
" Certes, a-t-il relevé, il faut empêcher l'entrée de produits "qui ne respectent pas précisément des considérations écologiques ou sociales" ou encore "maîtriser l'immigration", et c'est au niveau européen, a-t-il ajouté, sans rien dire.
Sur la défensive, il s'est réfugié dans la polémique
Oublieux de l'opposition socialiste à tout au Parlement, il s'est encore lancé dans le dénigrement. " Toutefois, s'il y a une "Europe offerte" et s'il y a eu "la levée d'un certain nombre de règles", "qui en a décidé ? Qui est le président de la République depuis cinq ans ? Qui a présidé le G20 ? Qui a présidé l'Union européenne ?, a lancé François Hollande à l'adresse de Nicolas Sarkozy. Le président-sortant que l'Europe loue comme meneur d'hommes n'est pas prophète ni Rue de Solférino ni à Libération !
Le débatteur qui refuse les débats se fait les questions et les réponses
Oublieux de l'opposition socialiste à tout au Parlement, il s'est encore lancé dans le dénigrement. " Toutefois, s'il y a une "Europe offerte" et s'il y a eu "la levée d'un certain nombre de règles", "qui en a décidé ? Qui est le président de la République depuis cinq ans ? Qui a présidé le G20 ? Qui a présidé l'Union européenne ?, a lancé François Hollande à l'adresse de Nicolas Sarkozy. Le président-sortant que l'Europe loue comme meneur d'hommes n'est pas prophète ni Rue de Solférino ni à Libération !
Le débatteur qui refuse les débats se fait les questions et les réponses
"On viendrait vous dire: au bout de dix ans, nous constatons finalement que nous ne maîtrisons pas la mondialisation, c'est vrai, la mondialisation n'est pas maîtrisée", s'est-il étonné. "C'est le président de la République, Nicolas Sarkozy, qui a été aussi ministre de l'Intérieur pendant cinq ans, qui a été le responsable de la politique migratoire", a-t-il accusé sans faire avancer la réflexion.
François Hollande doute de François Bayrou
François Hollande doute de François Bayrou
Le député de Corrèze ne touche toujours pas le sol
Hollande a également déclaré lundi qu'il ne voulait pas "peser" sur une décision éventuelle de François Bayrou concernant sa candidature, répétant qu'il n'est pas question pour lui de "négociations" entre les deux tours. "Je ne veux pas peser sur sa décision", a souligné le candidat socialiste sur Europe 1.
Comme Martine Brochen-Aubry n'a pas pesé non plus sur la décision des Verts d'Europe-Ecologie?
Hollande ostracise les électeurs du MoDem
"Il est libre, il n'appartient pas à la gauche, il l'a dit, il n'appartient pas à la droite. C'est tout son problème et c'est une partie de la solution", a-t-il jugé, décidé à ne pas s'abaisser. "Je ne fais pas de négociations entre les deux tours. Je l'ai toujours dit. Je rassemble la gauche d'abord. Elle s'est elle-même mise en mouvement derrière ma candidature", a poursuivi le candidat socialiste. Attendons la prochaine nuit sans lune pour un complot au centre !
A noter que dans le même réflexe d'hégémonique, il exclut pareillement l'électorat de l'extrême droite.
Ainsi, Bayrou et ses électeurs n'ont-ils rien à espérer de la gauche socialo-communiste: ils n'ont pas les mêmes valeurs... Savoir si les serviettes du centre se mélangeraient donc avec les torchons de gauche et d'extrême gauche.
http://www.euractiv.fr/sites/default/files/sondage_csa.pdf
RépondreSupprimer