mercredi 29 février 2012

Remake 2012 de l'"attentat" de l'Observatoire en "agression" du resto

Audrey Pulvar et Arnaud Montebourg auraient été agressés

"Pulvar et Montebourg pris à partie par des individus d'extrême droite", titre Libération

La journaliste et le député PS auraient été pris à partie mardi 28 février par un groupe scandant des slogans anti-sémites.
La journaliste Audrey Pulvar et son compagnon, le député PS Arnaud Montebourg, avaient dîné en ville, car Nono ne sait pas cuire deux oeufs au plat et Pupu peut bien être fille de syndicaliste indépendentiste, elle aime la belle vie bourgeoise.


Ils auraient donc croisé des Français aussi "normaux" que Hollande, au AM Restaurant (chef nippon) à l'"angle du boulevard Murat et de la rue Molitor" à Auteuil, dans le XVIe arrondissement, ce que Libération ne juge pas utile de préciser: les "défavorisés pourraient les prendre pour des nantis...
Mais en fin de soirée, ces "individus", assez nombreux pour former une équipe de rugby, n'avait pas partagé un diner fin et scandaient des slogans favorables au FN qu'ils adressaient aux passants. Or, ceux-là, bien qu'ils soutiennent la cause pro-palestinienne, ont aussitôt vu quel parti, dans leur position et puisque la campagne présidentielle bat son plein, ils pouvaient tirer d'injures antisémites, selon un récit d'Audrey Pulvar sur Twitter, confirmé par son compagnon, Nono Montebourg.

Rien ne permet d'affirmer que le couple avait été identifié

"Rentrant à pied avec mon compagnon, nous avons été pris à partie par une quinzaine d'individus. Aux cris de la France aux Français et autres Le Pen président", raconte la journaliste sur son compte Twitter professionnel, - celui de son émission, le "6-7 France Inter".


"Agressés", puis "pris à partie", d'après Le Nouvel Observateur

"Nous avons essuyé des jets de verres qui se sont brisés dans notre dos", écrit-elle. "On sortait d'un resto, ils étaient devant un bar", précise-t-elle, ajoutant que ces individus ont aussi scandé "juden, juden, juden..." ("juifs" en allemand, NDLR) ou "Jean-Marie nous a donné la permission de minuit pour chasser les youpins de Paris". "Mme Le Pen, cautionnez-vous ?" écrit encore Audrey Pulvar, agressant nommément la candidate du Front national à la présidentielle.

La presse faiseuse de flans néglige l'incohérence des insultes

Nono Montebourg revendique son sang arabe et Mme Pulvar n'est pas, jusqu'à plus ample imformé, notoirement juive. En outre, et de surcoît, le PS embrasse largement la cause palestinienne.


Sur Twitter, d
es socialistes instrumentalisent les propos d'ivrognes


"Nous avons porté plainte. Bien sûr. Comment laisser (sans) suite de telles insultes ?", souligne la journaliste de France Inter.
Elle a précisé que l'incident avait duré "quelques minutes". "Je n'ai pas été blessée, mais je trouve cela effrayant que des gens se mettent à hurler dans la rue qu'ils vont chasser des youpins; cela fait froid dans le dos, d'autant qu'ils étaient jeunes", a-t-elle expliqué mercredi matin. Leurs parents ont la bénédiction de Mme Pulvar.
"Je confirme", avait indiqué auparavant Monsieur Pulvar, son compagnon Arnaud Montebourg. "Nous sommes ensemble [avec Audrey Pulvar] avec la police pour dépôt de plainte."



Ayrault attaque le FN, mais ne plaint pas le couple
Sur Twitter, le récit a rapidement suscité des réactions. "Inadmissible, ça prouve qu'il faut combattre sans relâche le FN qui tente d'avancer masqué, ce soir il montre son vrai visage", a posté le député PS Jean-Marc Ayrault, président du groupe PS à l'Assemblée.

Sans preuves, Désir-'Hache' stigmatise le FN


"Solidarité totale avec A. Montebourg et A. Pulvar lâchement agressés. Le vrai visage hideux de l'extrême droite", a renchéri le numéro deux du PS Harlem Désir, ancien président de SOS Racisme.
Des réactions socialistes excessives qui jettent le doute sur l'identité des buveurs, mais confirment la détestation dont le PS est l'objet.


A noter que ni l'un ni l'autre socialiste ne condamne l'antisémitisme des insultes...



Les "individus" étaient-ils pour le couple de parfaits inconnus ?


L'appartenance de ces jeunes éméchés au FN n'est pas démontrée.
Quiconque ne supporte pas les socialistes, leur politique et leurs insultes peut adopter l'agression verbale à son tour et adopter une posture politique provocatrice.

A l'inverse, les Jumbo-Hamon et Désir-Hache ne craindraient pas de parler de "légitime défense".


Devoir de mémoire: l'"attentat" de l'Observatoire
Cette lamentable affaire paraît gonflée à bloc.


Elle évoque surtout un coup monté par François Mitterrand
Le soi-disant "attentat" dit des Jardins de l'Observatoire aurait été mené contre François Mitterrand en 1959 et ouvrit une controverse politique et juridique, François Mitterrand ayant été suspecté d'avoir lui-même commandité l'attentat dans le but de regagner les faveurs de l'opinion publique.


C'était dans la nuit du 15 au 16 octobre 1959, après avoir dîné à la brasserie Lipp et François Mitterrand, ancien ministre de la IVe République, était sénateur de la Nièvre: sa voiture est alors criblée de 7 balles; aucune victime ne fut à déplorer.
La guerre d'Algérie était à son comble. On pensait trouver les coupables parmi les partisans de l'Algérie française... Le 21 octobre, le journal Rivarol publie un témoignage de Robert Pesquet, ancien résistant, ancien député gaulliste, proche de l'extrême droite, qui déclare qu'il est l'auteur de ce qui serait un faux attentat, et qui aurait été commandité par François Mitterrand en personne, dans le but de regagner les faveurs de l'opinion publique au détriment de Mendès France et de provoquer des perquisitions dans les milieux d'extrême droite.
En 1965, Pesquet prétendit que l'attentat a été commandité par l'extrême droite, plus particulièrement par Tixier-Vignancour et son directeur de campagne Jean-Marie Le Pen.


Visite de Sarkozy à Bayonne : "une honte pour les socialistes"? selon MAM

Sud Ouest pose la question !


"Michèle Alliot-Marie revient sur les incidents qui ont émaillé la visite de Nicolas Sarkozy à Bayonne. A croire, selon Sud Ouest, que Bayonne restera comme une "visite" ordinaire dans la campagne d'opposition socialiste du candidat "norm, Hollande.... Et que cette visite est une honte pour les socialistes, mais seulement selon Michèle Aillot-Marie !

"Députée des Pyrénées-Atlantiques et ancien membre du gouvernement, Michèle Alliot-Marie a accompagné Nicolas Sarkozy ce jeudi lors de sa visite au Pays basque. Une visite mouvementée, Nicolas Sarkozy a été accueilli sous les huées à Bayonne. Des incidents ont éclaté entre forces de l'ordre et jeunes militants de la gauche abertzale, alors que Nicolas Sarkozy était à l'intérieur du bar du Palais.

Michèle Alliot-Marie, qui était à Sud Ouest ce jeudi soir, est revenue sur ces incidents en rappelant d'abord que Nicolas Sarkozy a été particulièrement engagé sur la lutte contre le terrorisme. "Nous avons vu intervenir des groupes de batera qui, au départ, distribuaient des tracts, lançaient des papiers et puis c'est devenu beaucoup plus agressif. J'ai vu la personne devant moi recevoir une pierre sur l'épaule. Alors, du côté de batera, on connaît leur lien avec l'Espagne, les soutiens qui ont été apportés à ETA pendant un certain temps et on connaît aussi la personnalité de Nicolas Sarkozy (...) qui a mené la lutte contre l'ETA. Ca peut expliquer ce genre d'attitude..."
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Mais ces incidents ont surtout déclenché une polémique sur le terrain politique. Nicolas Sarkozy a dénoncé "la violence d'une minorité", dont "des militants PS". NKM, porte-parole du candidat, a emboîté le pas accusant le PS d'avoir organisé des "manifestations de rue" avec des "indépendantistes basques".

Mêmes accusations du côté de Michèle Alliot-Marie: "Ce qui est le plus grave : aux gens de batera se sont associés des militants socialistes, a-t-elle affirmé à Sudouest.fr. C'est une honte, un déshonneur pour les socialistes. Je n'ai jamais vu ça. C'est une drôle de conception de la démocratie qui me choque énormément".
VOIR et ENTENDRE














Michèle Alliot-Marie y voit "une marque d'affolement du parti socialiste". "Les proches de François Hollande se rendent compte que la campagne n'est pas si facile que cela (...). C'est ce qui explique cette agressivité renouvelée".
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A contrario, le directeur de la communication de François Hollande, Manuel Valls, a assuré sur BFMTV qu'"aucun militant socialiste" n'était impliqué dans les incidents survenus à Bayonne. Pour Delphine Batho, l'une des porte-parole de François Hollande, ces accusations "n'ont pas de sens".

Dès lors, le choix de Bayonne était-il judicieux pour Nicolas Sarkozy ? "Le Président est chez lui où que ce soit sur le territoire français", répond Michèle Alliot-Marie. Pourtant des élus UMP avaient alerté le Président sur les risques de possibles débordements.
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Taxation des riches: dix des sportifs que Hollande ferait fuir

Le top dix des sportifs français - en activité - les mieux payés



Il n'est pas question ici des champions retraités,
si nantis soient-ils,
parmi lesquels de grandes pointures, pourtant...



Du football au basket, en passant par le rallye, les sportifs français empochent
chaque année plus de 10 millions d'euros pour certains. En tête depuis 2006, Thierry Henry a été détrôné par Franck Ribéry dans ce classement des plus grosses rémunérations en 2011, établi par L'Équipe Mag du samedi 3 mars.



Liste noire des sportifs menacés


N°1: Franck Ribery
Avec un revenu de 11,4 millions d'euros pour 2011, Franck Ribéry est premier sur le podium des sportifs français les mieux payés. Le milieu de terrain du Bayern Munich et des Bleus a débuté sa carrrière au FC Metz, avant de passer par l'Olympique de Marseille qu'il a quitté en 2007.

N°2: Tony Parker
Le meneur de San Antonio Spurs et de l'équipe de France totalise 11,2 millions d'euros de recettes pour 2011. C'est un peu moins qu'en 2010, le joueur a perdu plus d'un million d'euros à cause du lock out de NBA.

N°3: Karim Benzema
L'ancien joueur de l'Olympique Lyonnais, aujourd'hui attaquant du Real Madrid et de l'équipe de France, a empoché 11 millions d'euros pour 2011.

N°4: Thierry Henry
9,2 millions d'euros: ce sont les recettes de Thierry Henry, attaquant des New York Red bulls. Depuis 2009, il est considéré comme meilleur buteur français de toutes les compétitions confondues.

N°5: Eric Abidal
Le défenseur du FC Barcelone, qui a débuté en 2000 à l'AS Monaco, a empoché 7,5 millions d'euros en 2011.

N°6: Samir Nasri
Le milieu de terrain de Manchester City et des Bleus réalise la meilleure progression dans le classement des sportifs français les mieux payés. Ses recettes se chiffrent à 7,3 millions d'euros en 2011. Après avoir intégré l'Olympique de Marseille et l'Arsenal, il est arrivé à Manchester City l'an dernier.

N°7: Sébastien Loeb
Le détenteur du record des titres mondiaux en rallye a touché 7,2 millions d'euros en 2011.

N°8: Yoann Gourcuff
L'ancien joueur des Girondins de Bordeaux et désormais de l'Olympique Lyonnais a gagné 6,8 millions d'euros en 2011.

N°9: Boris Diaw
Le joueur de basket-ball français des Charlotte Bobcats et de l'équipe de France a empoché 6,1 millions d'euros pour 2011.

N°10: Patrice Evra
Recruté par l'AS Monaco puis par Manchester United en 2006, Patrice Evra a touché l'an dernier 6 millions d'euros.

Deux sur dix seulement sont des Culs-blancs: est-ce à dire que les discriminations ne frappent ceux qu'on croit ?

France: Libération lance la chasse aux "super riches"

Comment reconnaître un "super riche" ?

Les socialos-bobos s'apprêtent à déserter !

L'article de Libération qui fait peur à gauche

"
Alors que François Hollande propose une imposition à 75% pour les revenus «au dessus d'un million d'euros par an», retour sur une enquête de l'INSEE à propos de cette population en forte croissance.

On en connait quelques-uns : Liliane Bettencourt, Yoann Gourcuff, Christophe de Margerie. Mais qui sont les très riches, ceux qui pourraient être concernés par la proposition surprise de François Hollande de créer une tranche d'imposition à «75 %» pour les revenus «au dessus d'un million d'euros par an» ?

Une enquête fouillée de l'INSEE (1), publiée avant l'été 2010 détaille
cette population mal connue. Qui a explosé, avant même l'arrivée de Nicolas Sarkozy au pouvoir.
[Et qui compte aujourd'hui des artistes et des sportifs en activité (l'ensemble du PSG, par exemple) - ou rentiers (tels Z. Zidane ou Y. Noah)- qui jusqu'à présent clamaient souvent leur appartenance politique à gauche !]

Déjà, une chose : le seuil d'appartenance aux «très hauts revenus» s'élève à 84 500 euros de revenu déclaré annuel par unité de consommation. A partir de là, une personne se situe parmi les 1% les plus riches. Mais on est encore loin du million annuel visé par le candidat socialiste.


Une catégorie hétérogène


D'après l'étude menée calculette en main par Julie Solard, la médiane des revenus des personnes à très hauts revenus se situe à 112 000 euros annuels. Ce qui cache de «fortes disparités». «Même au sein des plus aisés [à partir de 688 000 euros annuels, ndlr], l'hétérogénéité est forte, souligne la statisticienne. Cette catégorie comprend un peu plus de 5 800 personnes, mais le revenu par unité de consommation va de 688 000 euros à plus de 13 millions.»

Les 10% les plus riches reçoivent près de deux tiers des revenus du patrimoine et quatre cinquièmes de revenus exceptionnels. Les très hauts revenus ne constituent qu'1% de la population mais représentent 5,5% des revenus d'activité, 32,4% du patrimoine et 48,2 % des revenus exceptionnels. Si on ne regarde que les plus aisés d'entre eux, ils représentent 0,01% de la population, mais perçoivent 0,6% des revenus déclarés. En fait, plus les revenus sont élévés, plus leurs sources sont diversifiées. Par exemple, en 2007, 40% de la population a touché des revenus du patrimoine... mais c'est le cas de 93 % des très hauts revenus.


Beaucoup de cadres dirigeants

Derrière les pourcentages, on peut dessiner des profils.
Les très hauts revenus sont très fortement concentrés en Ile de France : 65% des plus aisés y résident, contre 17% de la majorité de la population.

Il y a, chez eux, une forte surreprésentation des indépendants : 23% des plus aisés touchent des revenus industriels. La part des revenus non commerciaux, liés à l'exercice de professions libérales (médecin, avocat) est aussi plus fréquente que dans le reste de la population. Enfin, «la proportion de personnes percevant des gains de levée d'option croît avec le niveau de revenu», souligne Julie Solard. En clair, cela montre la présence dans cette catégorie d'une proportion importante de cadres dirigeants. François Hollande a d'ailleurs ciblé les «patrons du CAC 40» pour justifier sa mesure.

Les personnes à très hauts revenus sont en moyenne plus âgées. Parmi eux, peu de moins de 25 ans, ou même de 25-44 ans. En revanche, les 45-64 ans sont surreprésentés : ils sont à l'apogée de leur carrière, ont accumulé du patrimoine et ont même pu hériter. Heureux cumulards...

A l'époque de l'enquête de l'INSEE, un quart des plus aisés avait un taux d'imposition des revenus déclarés inférieur à 15%, et un autre quart un taux supérieur à 35%.

Entre 2004 et 2007, le nombre de riches a augmenté : plus 70% pour les personnes au-dessus du seuil à 500 000 euros de revenu par unité de consommation. Cette tendance s'accompagne d'une explosion de leurs revenus (notamment ceux issus du patrimoine).

L'enquête s'arrête en 2007. On peut imaginer que, depuis, sous Nicolas Sarkozy, les plus riches ont continuer de s'enrichir.

Par Charlotte Rotman (lien)


Le train Vuitton 2012 de
la gauche caviar est à quai,
en partance pour les paradis fiscaux socialistes...



(1) « Les très hauts revenus: des différences de plus en plus marquées entre 2004 et 2007 »

mardi 28 février 2012

La députée socialiste Sylvie Andrieux, poursuivie pour escroquerie

La conseillère régionale de Vauzelle est accusée de "clientélisme à visée électoraliste"



Sylvie Andrieux, amazone marseillaise,
fille et nièce de notables socialistes,
héritière du système Gaston Deferre.




L'élue socialiste doit répondre de détournements de subventions


Sylvie Andrieux sera jugée pour avoir créé "un système clientéliste à visée électoraliste".

Sylvie Andrieux, la député et conseillère régionale socialiste des quartiers nord de Marseille, est l'"auteur principal" d'"un système clientéliste à visée électoraliste" qui a permis le détournement de plus de 720.000 euros de subventions de la Région déversées sur des associations fictives entre 2005 et 2008 de sa circonscription marseillaise.

La lecture du réquisitoire de 147 pages signé la semaine dernière par le procureur Dallest ne laisse pas la place au doute.
Le procureur demande au juge le renvoi en correctionnelle de la députée socialiste pour détournement de fonds publics

Elle avait été mise en examen le 8 juillet 2008 pour complicité de détournement et complicité d'escroquerie. Celle-ci avait, en effet, la responsabilité, en tant que vice-présidente du Conseil régional, de la politique de la ville de la collectivité. Or, la vertueuse fille du sénateur Antoine Andrieux, proche de Gaston Defferre, et filleule de la sénatrice Irma Rapuzzi, a destiné les trois quarts du budget de cette délégation aux quartiers dont elle était l'élue, au profit parfois d'associations fictives.

Sa stratégie de défense consiste à désigner le président du Conseil régional, Michel Vauzelle, l'ancien directeur de cabinet de ce dernier, Franck Dumontel, et l'ancien directeur général du conseil, Jules Nyssen, se comparant à une sorte de reine d'Angleterre sans pouvoirs.

Mais Michel Vauzelle est un intouchable
Le procureur a requis un non-lieu pour les deux autres, mais Vauzelle n'a pas été inquiété. S'il a été entendu comme témoin assisté, il n'a évidemment pas été mis en cause. Il a en effet été délégué national du PS à la justice et aux libertés (1978-1981), directeur adjoint de cabinet de François Mitterrand et porte-parole de la présidence de la République (1981-1986), et les juges sont soumis aux pressions des syndicats de la magistrature, que ce soit l'USM ou le SM.

Et pourtant, le baron de PACA, successeur du sulfureux François Bernardini, actuel maire d'Istres, fait l'objet d'un rapport préliminaire de la Chambre régionale des Comptes de PACA qui révèle le paiement, entre 1998 et 2002, de 79 nuits passées par Michel Vauzelle à l'hôtel Sofitel Vieux-Port par le conseil régional, alors que celui-ci bénéficiait déjà d'une chambre d'hôtel payée par l'assemblée...


Investiture du Parti socialiste

Le Parquet demande en revanche le renvoi devant le tribunal pour 21 personnes en plus de Sylvie Andrieux
, parmi lesquels le collaborateur direct de l'élue, Rolland Balalas (pour «complicité du délit de détournement de fonds publics et complicité d'escroquerie») et le directeur de l'aménagement du territoire à la collectivité, Jean-Guillaume Lalange («complicité de détournement»). Les autres personnes dont il demande le renvoi sont principalement des présidents d'associations fictives.

"Le caractère déterminant des propositions, interventions et décisions de Sylvie Andrieux, expressions de sa qualité d'élue dépositaire de l'autorité publique bénéficiaire d'une délégation pour le suivi de la politique régionale de la ville, a envoyé tous les autres organes impliqués dans le processus décisionnel au simple statut d'acteurs passifs invités à enregistrer et formaliser ses décisions", écrit le procureur, qui relève les termes cités par les témoins, "clientélisme politique, fidélisation de l'électorat et intérêts électoralistes", comme autant d'"intérêts illégitimes" ayant nourri les détournements.
Ainsi, "tous les contrôles et alertes administratifs n'ont pas résisté à la volonté pressante et insistante de l'élue", souligne le réquisitoire, " et les principaux organisateurs de la fraude, auxquels on a prêté à la fois des vertus ou confié des missions d'agents électoraux et de “pacificateurs territoriaux”, bénéficiaient de contacts privilégiés au sein de l'institution régionale".

Les mis en cause ont reçu hier le réquisitoire et dispose d'un délai d'un mois pour apporter leurs observations. Le juge Franck Landou, qui instruit le dossier, pourra ensuite rendre son ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel.

Le procès ne devrait toutefois pas intervenir avant 2013, c'est-à-dire après les élections législatives pour lesquelles Sylvie Andrieux a reçu l'investiture de la la Ch'tite Martine Brochen-Aubry pour la 3e circonscription des Bouches-du-Rhône...Le 7 avril 2010, le bureau de l'Assemblée nationale avait pourtant levé son immunité parlementaire !
Lien PaSiDupes : "PACA: Sylvie Andrieux (PS) suspendue pour détournements de fonds publics"

L'escroc présumée est membre de l'ordre maçonnique mixte Le Droit humain, qui milite pour les droits civils et politiques des femmes et de la défense des droits des enfants opprimés.

Hollande taxe les 5.000 plus riches à 75%: la belle affaire !

Le plus grand nombre n'en sera pas plus riche

L'improvisation de Hollande prend la gauche par surprise

Coup de menton du candidat autocrate

En visite au Salon de l'Agriculture, François Hollande a défendu mardi matin sa proposition de nouvelle taxation homéopathique des 0,1% de Français les plus riches, rejetant l'idée d'un couac au sein de son équipe.
"Je suis le candidat et les Français attendent que je fixe la direction", a-t-il affirmé.

Adversaire autoproclamé de la "richesse indécente", le candidat socialiste financé par la haute finance s'est prononcé lundi soir sur TF1 pour l'instauration d'un taux d'imposition de 75% pour les revenus au-delà d'un million d'euros par an.

Certains socialistes ont jugé la mesure "juste", à défaut d'intelligente
Sa Cynique Majesté Royal a voulu y voir un "signal fort", tandis que Pierre Moscovici, directeur de campagne du candidat socialiste à l'élection présidentielle s'est dit "surpris (...) que ça surprenne".
"Gardons les proportions, oui cette mesure de justice est forte et elle est assumée et je la revendique," a-t-il déclaré au micro de France Inter.

Pourtant, la veille au soir, le président de la Commission des Finances de l'Assemblée nationale avouait ne pas avoir entendu parler de cette nouvelle mesure fiscale.
Interrogé sur France 2 juste après l'annonce du candidat socialiste, Jérôme Cahuzac, un proche de François Hollande, a admis qu'il était pris au dépourvu et dit attendre "de voir un peu ce qu'il en est vraiment."


La droite a haussé les épaules à la mesurette populiste de François Hollande


Taxer à 75% les revenus annuels au-delà d'un million d'euros
, c'est de l' improvisation, de la spoliation à la trotskiste, une fuite en avant fiscale.


Le défaut de psychologie du candidat socialiste interpelle


Aujourd'hui, un contribuable français s'évade à l'étranger chaque jour. François Hollande organise-t-il dès à présent la fuite des capitaux ? Les plus grosses fortunes actuelles, ce sont des rentiers ou des grands patrons, mais aussi des artistes et des sportifs.

Sous l'effet de la crise, le gouvernement ne s'est pas entêté

En juillet dernier, il a fait supprimer le "bouclier fiscal" qui plafonnait l'imposition à 50% des revenus. Il avait été renforcé en juillet 2007, avant que la crise de la dette ne s'affirme et ce dispositif était alors vivement critiqué par l'opposition, qui le qualifiait "de cadeau fait aux riches".

Pour le ministre de l'Education nationale Luc Chatel, la nouvelle proposition de François Hollande illustre la différence entre le président et le candidat PS.
"Hollande veut (...) qu'il y ait moins de riches. Sarkozy veut qu'il y ait moins de pauvres", a-t-il observé mardi sur Europe 1.

Une mesure "marginale" et "symbolique"


Dénonçant une "course à l'échalote", le ministre de l'Économie François Baroin s'est demandé pourquoi le candidat socialiste avait choisi ce seuil de 75%. "C'est un message d'encadrement global et c'est un message presque de spoliation par rapport à l'effort produit", a-t-il estimé sur France Inter.

La droite préfère la transparence des hauts revenus et leur fixation par les actionnaires

"Ce qu'il faut, c'est que ça soit transparent", a-t-il ajouté, préférant pour sa part la validation des hauts salaires par l'ensemble des actionnaires de l'entreprise, mesure proposée par le président sortant Nicolas Sarkozy.

Même position du côté du ministre des Affaires étrangères.
"C'est la fuite en avant fiscale, la confiscation fiscale," a déclaré Alain Juppé sur RTL. "Monsieur Hollande donne le sentiment qu'il rame (...) pour suivre le flux de Sarkozy", a-t-il ajouté.

Le candidat centriste François Bayrou a également critiqué cette proposition qui pousserait à l'exil de nombreux Français, a-t-il souligné.
"Je crois que c'est Audiard qui avait une phrase un peu rude qui disait 'le déconomètre fonctionne à plein tube'. 75%, plus la Contribution sociale généralisée, plus l'impôt sur la fortune, cela veut dire que l'on est à près de 100% d'imposition d'un certain nombre de sommes", a-t-il dit sur BFM TV. "Il va se passer que ces gens vont aller se payer à l'étranger. (...) Au bout du compte la France n'y gagnera pas, elle y perdra."


La gauche bling-bling que la presse ne dénonce pas


La gauche hypocrite l'a cherché: elle se fait démasquer

La presse "insolente" n'a pas informé les électeurs de gauche


François Hollande reçoit ses amis chez Laurent, restaurant gastronomique rose bonbon: est-ce moins bling-bling que la brasserie Le Fouquet's ?
Le 'faux-cul' a même eu l'indécence d'affirmer que les regrets exprimés par Nicolas Sarkozy sur la célébration au Fouquet’s de sa victoire de mai 2007 l’avaient "touché", car il y a "quelque chose d’émouvant". " Il y a un côté petit garçon qui vient de dire qu’il ne retournerait plus au Fouquet’s la fois prochaine", a déclaré le député de Corrèze avant de se rendre chez Laurent.
Lien PaSiDupes : "La gauche caviar s'empiffre auprès de François Hollande "

Les socialistes font ripailles


Au menu de leur cantine, des cocktails "Amérique Latine" (26 pièces, de 15 à 100 personnes) à 89 €
Lien PaSiDupes : "Les socialistes bling bling de la Maison de l'Amérique latine"

Et les privilégiés de la CGT de Montreuil ont des goûts de luxe


Les cadres cégétistes spolient le personnel de la RATP de son centre de loisirs, en réquisitionnant un château du 17e siècle pour leurs menus plaisirs (pêche sur étang privatif, golf, etc...:


Jean-Luc Mélenchon peut-il certifier que ses camarades-patrons du syndicat n'y a jamais été hébergé ?

Lundi, le duel entre François Hollande et Nicolas Sarkozy a investi le terrain des relations de l'un et de l'autre avec le monde de la finance.

Récusant la rengaine de "président des riches" qui lui est accolée par ses détracteurs depuis le début du quinquennat, Nicolas Sarkozy a riposté en évoquant les liens entretenus par François Hollande avec certains patrons et financiers.

Cette vieille rengaine de la gauche sur les liens entre la droite et l’argent ne tient pas la route.

Les liens de François Mitterrand et Pierre Bergé -qui l'étreint ci-contre - sont en tout cas visiblement très intimes.

Aujourd’hui, ces fameuses " puissances de l’argent " ont plutôt tendance à soutenir François Hollande. Les plus habiles mettent leurs oeufs dans les deux paniers, sachant que les promesses de gauche de François Hollande ne sont que de la poudre aux yeux électoralistes. Car les liens qui unissent François Hollande aux multi-milliardaires Pierre Bergé et Mathieu Pigasse qui, dans un premier temps, avait misé sa fortune sur le dossart du titulaire de la course socialiste à l'Elysée, Dominique Strauss-Kahn, avant de la déposer aux pieds de son suppléant Hollande, sont bien réels… et assumés. Les deux hommes d’affaires, co-propriétaires du quotidien Le Monde (qui est censé être la référence du journalisme en France), roulent très officiellement pour les candidats socialistes depuis 2007.

Lorsque, le 26 janvier sur RTL, on demanda à Pierre Bergé s'il allait porter la bannière de François Hollande, le chef d'entreprise multi-nationale de grand luxe n'hésita pas un instant : "Bien entendu et sans hésiter même.(...) Je soutiens officiellement François Hollande"‏.

Le socialiste multi-milliardaire a également évoqué Jean-Luc Mélenchon
, et la gauche de la gauche dont il aura besoin des voix pour faire élire son candidat: "Je dis à Jean-Luc Mélenchon que j'aime, qui est un ami, que c'est très bien de porter comme cela le fardeau des précaires et de la pauvreté, et je le comprends très bien, mais il va falloir qu'il se rallie et je suis sûr qu'il va le faire. Mais il ne faut pas non plus qu'il se taise. Il ne faut pas non plus que cet espoir qu'il porte, et qui est justifié s'évanouisse. Il faut qu'on l'entende !"

Et le magnat de la presse socialiste de prétendre qu'un journal comme Le Monde ne doit pas donner de consignes de vote: " Je pense que si François Hollande est élu, ce que je souhaite profondément et je ferais tout pour qu'il le soit, Le Monde doit dès le lendemain rentrer en opposition." Le Monde passerait à droite ? On croit rêver !
A la question "Vous dites aux journalistes : faites attention ?", il avoue ses pressions: "C'est ce que je leur dit au micro parce que je ne leur parle pas en vrai. Je leur dis qu'ils doivent être attentifs, et que si que si François Hollande est élu il faudra toujours comparer ses promesses, la réalité, voir ce qu'il a dit, ce qu'il a promis, et voir ce qui se fait et être impartial et juger. C'est ce que doit être un journaliste et c'est particulièrement ce que doit être le journal Le Monde." La déontologie professionnelle, ils connaissent, mais c'est pour demain...

Et les liens de François Hollande, socialiste rose pale, avec le diabolique " empire de l’argent " ne s’arrêtent pas là


Sa compagne, Valérie Trierweiler, est une employée particulièrement choyée de Vincent Bolloré (Direct 8) Bien que son émission fasse des scores d’audience calamiteux, la chaîne du milliardaire maintient sa confiance à la peut-être future Première Dame… Lien PaSiDupes - "Pas de fichage: la concubine de Hollande n'a pas retenu l'attention de la police : Hollande-le-suspicieux au coeur d'un coup monté foireux "

D'autres journalistes ont dû quitter leurs postes d'influence, mais, à la différence de Christine Ockrent, épouse Bernard Kouchner, Béatrice Schönberg, épouse Jean-Louis Borloo, ou Marie Drûcker, ex-épouse Baroin, le SNJ ne tracasse pas Mme Trierweiler...
Lien PaSiDupes


Les candidats à la présidentielle touchent au moins 5 200 euros mensuels

Argent des candidats : Sarkozy s'enrichit peu, Hollande échappe toujours à l'ISF


L'Express examine le patrimoine des principaux candidats à la présidentielle

Dans son numéro n°3164 du 22 février 2012, l'hebdomadaire tord le cou aux idées fausses : Nicolas Sarkozy s'est – légèrement – enrichi pendant son mandat et François Hollande tutoie l'impôt sur la fortune (ISF), mais y échappe à ... grâce à une mesure prise par Sarkozy.

Rue89 en reprend les chiffres, en classant leurs patrimoines par ordre décroissant


1 Villepin : environ 4 millions d'euros

L'ancien Premier ministre n'a pas répondu aux enquêteurs, qui révèlent qu'il a fait l'acquisition, en 2010, de l'ancien hôtel particulier de Sarah Bernhardt, à usage professionnel, estimé à 3 millions d'euros, dans le XVIIe arrondissement de Paris. Au total, son patrimoine s'élèverait à 4 millions d'euros, hors biens professionnels.

Dominique de Villepin, qui se verserait une rémunération mensuelle de 20 000 euros (en tant qu'avocat), a versé, en 2011, 26 808 euros au titre de l'ISF.


2 Sarkozy : au moins 2,3 millions d'euros


Le président de la République a partiellement répondu aux questions de L'Express, en déclarant un patrimoine de 2,3 millions d'euros. Soit une légère augmentation depuis le début de son mandat, en 2007, quand il déclarait posséder 2,143 millions. Il n'a pas communiqué la valeur de ses éventuels biens immobiliers.

Touchant 18 700 euros de revenus nets mensuels, Nicolas Sarkozy n'a pas communiqué le montant de ses impôts, sauf l'ISF (5 700 euros).


3 Hollande : 1 170 000 euros

Bon gros bourgeois qui investit dans la pierre, le candidat socialiste nanti possède 1 170 000 euros de biens immobilers, mais aucun patrimoine mobilier (ni actions, ni Sicav).

François Hollande, qui touche 8 300 euros nets par mois, a déclaré 5 217 euros d'impôts. Grâce à son rival Sarkozy, qui a relevé en 2011 le seuil de l'ISF à 1,3 million d'euros, il n'a plus à payer cet impôt.
Mais il dénonce les cadeaux faits aux riches...


4 Bayrou : 836 881 euros

Le candidat du MoDem déclare 860 000 euros de biens immobiliers, ce qui, prêt déduit, donne 836 881 euros de patrimoine total.

Non soumis à l'ISF, il a payé 5 383 euros d'impôts en 2009. Ses revenus nets mensuels s'élèvent à 5 189 euros.


5 Mélenchon : 760 000 euros

L'estimation de L'Express montre que le candidat du Front de gauche n'a " rien d'un nécessiteux " : grâce à divers biens, son patrimoine immobilier s'élèverait à 720 000 euros, et le total, biens mobiliers inclus, à 760 000 euros.

Touchant 6 200 euros de revenus nets mensuels - plus que Bayrou -, le député européen n'a pas communiqué le montant de ses impôts.


? Le Pen : non estimé

L'Express n'est pas parvenu à estimer le patrimoine de la candidate du Front National, ni mobilier, ni immobilier : il " est difficile à évaluer car il est partagé entre les membres de la famille Le Pen, souvent dans des sociétés civiles immobilières (SCI) ", écrit l'hebdomadaire.

Avec 6 200 euros mensuels comme députée européenne, Marine Le Pen paie, à la source, 1 746 euros d'impôts mensuels.

D.Strauss-Kahn et A.Sinclair doivent de l'argent au Trésor

D. Strauss-Kahn et Anne Sinclair doivent plus de 16.000 dollars









Le socialisme bien compris
expliqué aux
socialistes...






Les services fiscaux de la ville de Washington réclament leurs taxes foncières



Les riches socialistes ne sont pas solidaires


Ce sont de mauvais payeurs pour leur maison, actuellement en vente, a-ton appris lundi. Selon les documents du service des impôts américains, publiés sur internet, Dominique Strauss-Kahn et Anne Sinclair, la propriétaire de la maison, restent à devoir 16.160,07 dollars d'impôts fonciers.


Avec les pénalités de retard, la somme s'élève à 18.746,38 dollars, selon le service des impôts. La maison avec piscine et trois chambres que l'ancien patron du Fonds monétaire international occupait avec son épouse sur Dumbarton Street dans le quartier chic de Georgetown à Washington, est toujours en vente à 4,7 millions de dollars, en baisse depuis sa mise sur le marché en octobre à 5,2 millions. L'avocat de DSK William Taylor n'a pu être joint.



Un porte-parole de la ville a indiqué que les fonctionnaires municipaux ne font aucun commentaire sur les cas fiscaux individuels. D. Strauss-Kahn a démissionné de son poste de directeur du FMI en mai l'an dernier après la plainte d'une femme de chambre du Sofitel de New York l'accusant d'agression sexuelle. La plainte au pénal a été depuis abandonnée mais une première audience aura lieu le 15 mars à New York dans la procédure civile toujours en cours.



La presse de gauche, moralisatrice mais impertinente auto-censure, au faciès


C'est ainsi que Le Monde, journal indépendant selon Pierre Bergé, le financier de François Hollande, ne s'intéresse pas aux dettes privées de Dominique Strauss-Kahn ... Le journal des socialistes multi-milliardaires ne fait pas de volume et s'en tient strictement à la dépêche de l'A*P, qui ne s'étend déjà pas beaucoup, malgré ses habitudes...
Lien PaSiDupes : "Hollande taxe les 5.000 plus riches à 75%: la belle affaire ! "



Les lecteurs du Monde doivent savoir et aller fouiller dans sa section "Amériques", car DSK n'est Français que lorsqu'il tente de prendre le pouvoir et de le livrer à ses soutiens hexagonaux.

Quant à Libération et Mediapart, ils font l'impasse, ils occultent, ils dissimulent, ils effacent les traces: c'est l'information juste !
A côté de cela, Libération lance la chasse aux riches: " Comment reconnaître un super riche ?
" Et de désigner "Liliane Bettencourt, Yoann Gourcuff, Christophe de Margerie", quand ils auraient pu aussi bien citer Yannick Noah ou Zinedine Zidane, Pierre Bergé, Laurent Fabius ou Anne Sinclair, mais c'est leur choix !
C'est ce qu'on appelle de la belle ouvrage de dénonciation. Sans que pour autant, il va sans dire, elle ne rappelle "les heures les plus sombres de notre Histoire" !

lundi 27 février 2012

Mais pourquoi donc les Français voudraient-ils de Hollande ?

Ce mystère n'en a jamais été un au PS

Ils l'ont jugé bon à rien...

Ils se sont rabattu sur le suppléant de Dominique Strauss-Kahn:
et il faudrait s'en contenter !

Pourquoi nous repasseraient-ils le mistigri ?

Ca ne suffit pas de la crise ?

Escalade des injures socialistes: Najat Vallaud-BelKacem dévisse

Les propos 'trash' de Najat Vallaud-Belkacem (PS) indignent l'UMP

Les socialistes de la diversité radicalisent la campagne présidentielle

Chercheraient-ils à grossir les rangs de l'extrême droite qu'ils ne s'y prendraient pas autrement

Après l'agression verbale perpétrée par Serge Letchimy, Najat Vallaud-Belkacem fait à son tour de la provocation.

Plusieurs responsables de l'UMP se sont indignés dimanche d'"une succession d'injures plus abominables les unes que les autres" proférées, "selon eux" (sic !!) par l'une des porte-parole de François Hollande.

La députée socialiste Najat Vallaud-Belkacem dépasse les bornes et verse dans le 'trash'

Selon elle, "le Nicolas Sarkozy qu'on cherche à vendre aux Français est un faux, une contrefaçon, un produit de contrebande imaginé par des cerveaux d'extrême droite et revendu par des valets sans morale (...)".


Mais l'agence de presse française occulte certaines informations
Car l'élue socialiste de la diversité arrose large. La bi-nationale franco-marocaine s'en prend aussi à Xavier Bertrand, en le stigmatisant parmi les "valets sans morale".
Mais l'A*P tente de ne pas aggraver le cas de celle que l'on présente parfois comme une espionne du roi du Maroc
en France.
Lien PaSiDupes relatif à cette sujette royale : "Najat Belkacem, l’espionne du roi qui se rêve à l’Elysée "

Les auto-censures de la presse vertueuse (qui se dit "insolente") servent le PS, mais en manquant à leur devoir d'information, trahissent leurs lecteurs et nuisent à la vérité dont les électeurs auraient besoin. La complicité des media rend possibles les injures socialistes. Mélenchon est villipendé pour ses excès, mais ceux de la bande à Hollande sont banalisées, voire justifiés et, dans cette situation, les indignés sont des 'snipers'...

Le PS se maintient dans l'invective injurieuse et la provocation

"Les déclarations de Najat Vallaud-Belkacem sont une succession d'injures plus abominables les unes que les autres et indignes du débat démocratique", a dénoncé le député UMP Franck Riester, qui y voit "une étape supplémentaire dans l'antisarkozysme érigé en stratégie politique" et qui, pour avoir exprimé son indignation, est traité de "sniper" par les journalistes impartiaux de l'A*P, agence de presse française, semi-gouvernementale: en 1991, la part de l'État revint pour la première fois à moins de 50%.
Le député-maire de Coulommiers (Seine-et-Marne) déplore que l'équipe de campagne de François Hollande perd manifestement son sang-froid, car elle se rend compte que les Français découvrent petit à petit l'imposture, la vacuité des propositions et le double langage continuel du candidat socialiste".

Pour sa part, Guillaume Peltier, secrétaire national de l'UMP, a jugé que "par ce communiqué, le PS prouve en tout cas sa volonté de faire de la campagne un concours d'anti-sarkozysme primaire
".
"A ce jeu-là, la porte-parole de François Hollande obtient le césar de l'insulte la plus basse avec cette phrase : 'le Nicolas Sarkozy qu'on cherche à vendre aux Français est (...) un produit de contrebande imaginé par des cerveaux d'extrême-droite et revendu par des valets sans morale'".

Selon G. Peltier, "le PS semble perdre pied et tente de masquer l'archaïsme de ses propositions par le choix d'une campagne de rejet et d'outrance sur les personnes". "Les attaques personnelles dont il se délecte depuis cinq ans maintenant sont insupportables et affaiblissent le pacte républicain", ajoute le responsable UMP.

Enfin, Bruno Beschizza, secrétaire national du parti présidentiel, a dénoncé "les propos calomnieux tenus par Najat Vallaud-Belkacem quand elle utilise les termes 'abus de confiance' ou 'escroquerie' au sujet de la proposition de Nicolas Sarkozy de baisser les cotisations salariales pour 7 millions de travailleurs modestes".

Dans un communiqué, le responsable UMP "stigmatise", selon l'A*P, mais s'indigne légitimement, selon les autres, de "la portée des termes judiciaires qu'elle a utilisés... plus en rapport avec les affaires pénales en cours qui secouent les fédérations PS de Marseille, du Pas-de-Calais ou de l'Hérault et les nombreuses mises en examen des responsables socialistes".


Les éléphants socialistes doivent assumer leurs bassesses

F. Riester demande à François Hollande de "se désolidariser de sa porte-parole ou d'assumer publiquement cette attaque inadmissible, ce qui serait gravissime".

Le sénateur-maire de Lyon, Gérard Collomb, ne peut faire le sourd aux propos de sa 5e adjointe , d'autant qu'il lui a donné la charge de la ...jeunesse !

La Ch'tite Brochen-Aubry , qui a donné le ton en lançant les premières insultes caractérisées et orchestré la campagne d'invectives, aurait pu inspirer la délinquante. Elle ne peut donc plus échapper dignement au désaveu de la jeune membre du Bureau national du PS.

La presse pro-socialiste fabrique des électeurs lepénistes et au mieux des abstentionnistes dégoûtés des ordures de la politique.

La tentation française de châtier les présidents qui font du bien à la France

L'opposition sclérosée dans le refus et la haine peut-elle se reconstruire ?


"Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs."

(Le Bâteau ivre, Arthur Rimbaud, 1854-1891)



Le PS a mis des bleus à l'âme des Français

Ils ont appris la paresse de Hollande et la haine d'Aubry
Hollande, premier secrétaire du PS, a cru gagner le peuple à lui en lui offrant des bonbons à la sortie de l'école. Les militants ont tendu la main et, maintenant que la crise est venue, réclament toujours plus de douceurs au "Père Fouettard". Et, tandis que l'Occident vacillait, la France se salissait au contact de Martine Brochen-Aubry, comploteuse et malfaisante.

Le groupe socialiste à l’Assemblée nationale a choisi de s’abstenir sur la ratification des traités européens.

Le PS a ainsi donné la semaine dernière une parfaite illustration de sa position sur tout ce qui pourrait l'engager et lui être reproché.
Son candidat en campagne vit pareillement dans la hantise du couac et de l'erreur stratégique.

Toute la stratégie de François Hollande repose sur un postulat : Sarkozy serait si détesté que même une chèvre arriverait à le battre au second tour de la présidentielle. A l'inverse, Désirdavenir Royal avait coulé des mois heureux sur l'idée fausse que véhiculèrent les entreprises de sondages: l'Elysée lui tendait les bras. Une bonne part de l’enjeu consistera, pour Nicolas Sarkozy, à faire qu’une majorité d’électeurs arrive à surmonter les sentiments et impressions qui les assaillent, l'aveuglement par le rideau de fumée médiatique pour les uns et la tentation du rejet pour les autres. Les faits ont la vie dure mais résistent-ils aux coups de têtes ?
Choisir un président par rejet du sortant serait une défaite pour la démocratie, une faillite même. Quels pouvoirs retirerait l'élu d'un vote par défaut ? Quand depuis 20 ans, pour arriver au pouvoir, une opposition ne compte plus que sur la crise internationale, le contre-coup des réformes trop longtemps remises à plus tard et la chute de l’adversaire honni, caricaturé et insulté, la République rencontre un problème majeur.

Le flou de la Gauche entretient les naïfs dans l'espoir
L'opposition se sera-t-elle discréditée dans l'opinion à force de dénigrement et d'obstruction systématique?

Mais les Français semblent avoir apprécié que le PS les venge des difficultés auxquelles ils ont à faire face.
Reste à savoir s'ils en rendent véritablement Nicolas Sarkozy responsable. Le PS réussira-t-il à les convaincre que le président-sortant est la cause de tout et que son champion aurait été à la hauteur, lui qui n'a jamais rien fait de constructif et continue de pratiquer l'esquive ?

A part étaler son inanité de faible et d'impuissant tout juste capable de mauvais coups et de bassesses, le PS a-t-il été d'un quelconque apport dans la crise et le soutien des plus faibles ? Faut-il croire que les plus défavorisés sont aussi les plus stupides ?
En 1981, la Gauche avait un programme. On pouvait ne pas être d’accord avec la plupart de ses 110 propositions , mais au moins, elles avaient une consistance, mais les engagements de François Hollande en 2012 sont limités à 60 et encore leur cohérence reste-t-elle à démontrer. Et il ne serait pas venu à l’idée du PS, début 1981, de s’abstenir sur un texte important. Le PS a certes bénéficié d’un rejet de Giscard, mais il y avait aussi une vraie adhésion de la part des électeurs. Peut-on en dire autant de la boîte trousse à outils usagés de la "gauche molle" ?

Aujourd’hui, le PS s’abstient à peu près sur tous les sujets, quand il ne vote pas contre.

L'opposition parlementaire a-t-elle démontré sa capacité de longue haleine à construire?

Comment la gauche paresseuse et négative réussirait-elle en cinq ans sa reconvertion du refus haineux à la en parti de gouvernement actif et du refus produirait-elle une politique de gouvernement ? Il reste encore quelques semaines pour que le PS nous propose de vraies orientations. On ne demande pas des propositions de mesures concrètes, juste quelques engagements lisibles sur les grandes questions des prochaines années.

Même si le Français aime critiquer et se plaindre, il devra prendre garde de ne pas en faire trop
Il est de bon ton de tout reprocher au pouvoir central, mais nul ne prendrait Nicolas Sarkozy pour un "capitaine de pédalo" dans cette tempête qui alarme les Français. Au moins avec lui, on sait qu'il y a quelqu'un au gouvernail. Or, il n'est nécessaire d'être inquiet de nature pour craindre que les urnes libèrent un "bâteau ivre" aux mains molles de Hollande et d'un PS insensé.

Le PS a sacrifié une génération de ses élus à la haine.

Il doit réapprendre à aimer son pays et ses habitants pour se reconstruire avant d'accéder au pouvoir.

samedi 25 février 2012

En campagne, Hollande parque les journalistes comme du bétail

Hollande en bottes pour ne pas salir la campagne présidentielle

François Hollande en Mayenne pour un déplacement agriculture

Le candidat socialiste s’est rendu en cortège de onze voitures sur une exploitation de 125 hectares.
Il consacra une heure au Groupement d’exploitation en commun (Gaec) du Moussey qui compte 75 vaches laitières.

Pour l’occasion, François Hollande, en costume-cravate, s'était chaussé de bottes en caoutchouc bleu foncé, tandis que le troupeau de journalistes qui l'entourait avait reçu des bottes transparentes en plastique: en fait, des 'pochons', comme on dit sur place..

François Hollande s’est arrêté quelques minutes pour discuter avec les quatre associés du groupement agricole avant d’aller saluer les vaches, sous l'oeil du SPHP (service de protection des hautes personnalités) et des objectifs des photographes
maintenus derrière une corde tendue par le service d’ordre.


Le candidat socialiste se fait voir du peuple, mais de loin...

" Faut aller à l’enclos ! On a du fil à vaches," lancent les agriculteurs militants.

"Le candidat s’étant plein de la meute journalistique à ses basques, lors de chaque déplacement qui l’empêchait [sic] de voir les Français, décision à été prise de lui donner un peu d’air. D’où le système de la corde blanche. Qui permet aussi d’éviter les photos au grand angle, qui déforment les visages", expliquent le site Les Inrocks, avec son orthographe du niveau du site Le Post...

Encore faut-il soigner le reste : le décor, le candidat. Les proches de François Hollande et le service de presse prennent le relais du SPHP. " François, prend juste un peu ton temps pour éviter de foncer tête baissée ", lui glisse un de ses proches avant qu’il ne pénètre dans l’étable. Quant au service de presse, il demande aux élus locaux qui suivent François Hollande de sortir du cadre : " On les laisse-là. On laisse le champ libre. " Au final, l’image est léchée, tout sauf spontanée : Hollande d’un côté avec les agriculteurs, les vaches et le foin en décor, de l’autre un mur de caméras pour fixer la scène pour l'Histoire.

En revanche, Sarkozy recherche le contact

Si la majorité soigne tout autant les images que l'opposition, notamment lors des déplacements de son candidat Nicolas Sarkozy, le président-candidat est plus accessible que François Hollande, malgré le service de sécurité.

Au salon de l’Agriculture, mardi 28 février, l'équipe Hollande a prévu une tournante de " pools " (un petit choix de média, généralement une télé, une radio, une presse écrite) : un pool par stand. Cette précaution devrait certes éviter la cohue autour du candidat, mais elle révèle sa peur des affrontements et des projections. Se faire enfariner, c'est fait, mais se faire passer au lisier, ça reste à faire...
Histoire de rétablir un équilibre des senteurs républicaines entre l'air de la vraie campagne et ses invectives nauséabondes.

Quand le candidat de la gauche "improvise" un point presse
dans l’étable, agriculteurs sont gentiment autorisés dans le cadre des télés.

Mais au moment où François Hollande évoque " l’agriculture ", " un produit pas comme les autres " (sic !) et qu’il faut veiller à maintenir sur l’ensemble du territoire [on sent bien que "le changement, c'est maintenant" !], les vaches se mettent à meugler: le son est raccord, sans qu'on sache si elles approuvent ou s'opposent, mais Joffrin devrait nous interpréter ces beuglements dans son propre langage cousin.

Puis, dix minutes plus tard et quelques pas plus loin, François Hollande se fait offrir un petit café-chouquettes partagé avec les quatre associés de l’exploitation, face au mur de journalistes toujours contenus derrière leur corde. Prochaine initiative, la corde sera passée dans les naseaux...

Tout guilleret, François Hollande se met à plaisanter: " Y a une campagne, c’était manger des pommes ". Il fallait comprendre l'allusion à celle de Jacques Chirac, en 1995... " Là, c’est manger des chouquettes ! " poursuit-il, toujours ravi, la panse pleine. Puis plus loin, réalisant son flop, il traduit: " Manger des chouquette's ", en prononçant le ' s ' , " si vous voulez oublier le Fouquet’s ! " reproche-t-il finement. La séquence est dans la boîte.

Pas de chance: la plaisanterie 'relou' oublie que la chouquette est aussi le péché mignon de Nicolas Sarkozy, qu'il invite lourdement partout sur son passage… Hollande est passé, mais sa campagne est restée au ras des pâquerettes.