jeudi 1 septembre 2011

Strauss-Kahn se dresse entre Brochen-Aubry et Royal

Au PS, Dominique Strauss-Kahn déchire

Les deux matrones socialistes se crèpent le chignon

Mardi, la maire Brochen-Aubry choisit de récupérer le vote des femmes en se démarquant pour la première fois de son ancien complice du pacte de Marrakech: elle affirma soudain partager l'avis de « beaucoup de femmes » sur l' « attitude » de l'ex-directeur du FMI à leur égard.

Jeudi, Sa Cynique Majesté Royal a taclé la comploteuse à l’antenne d’i-Télé. « Moi je ne change pas d'avis en fonction des opportunités politiques ou de telle ou telle clientèle électorale » La présidente de Poitou-Charentes fait seulement de la récupération politicienne d'une sordide affaire de violences sexuelles... « Je n'ai qu'une seule ligne: j'avance tranquillement sans retourner ma veste au gré des événements », a ajouté, non sans raison, la vacharde, depuis sa 3e position dans la course de haies de la primaire socialiste.

L’ex-première secrétaire Martine Aubry soutient qu'elle n’a pas changé d’avis

Interrogée sur les propos de sa seule adversaire féminine dans la course à l’investiture socialiste, la maire de Lille, féministe aléatoire, se justifie laborieusement. Elle a assuré à Amiens, qu’elle a « toujours dit la même chose » sur Dominique Strauss-Kahn. « J'ai pris la position que j'ai prise sur DSK depuis le début. Regardez l'ensemble de mes déclarations: le premier jour, j'ai dit qu'il fallait à la fois respecter la présomption d'innocence et la parole de la victime. » La maire de Lille poursuit : « J'ai dit à plusieurs reprises - mais peut-être a-t-on moins entendu parce que Dominique Strauss-Kahn n'était pas encore blanchi - qu'il y avait deux choses: le comportement d'un homme sur lequel chacun pouvait avoir un avis, (et) une décision de justice. Je l'ai accompagné, moi, sans hésitation, parce que j'avais la conviction qu'il n'était pas coupable de ce qu'on lui reprochait, et aussi par amitié. » L'ex-patronne à l'arraché du congrès de Reims se décrédibilise en affirmant que le soudars a été innocenté: le procureur a seulement avoué son impuissance à emporter la conviction unanime des 12 jurés: ça fait une différence !
La candidate à la primaire du PS affirme qu’elle continuera sur cette voie « que cela me permette ou pas de gagner des voix », affirme-t-elle. « DSK lui-même est allé s'exprimer auprès de ses amis du FMI, il revient là dans quelques jours (...) Vous allez pouvoir lui demander tout ce que vous voulez lui demander. Moi je parle aux Français », a conclu Martine Aubry.

Quel crédit accorder aux déclarations de ce pervers, alors qu'un rapport médical accable l'accusé et que plusieurs femmes, à travers le monde, portent plainte pour ses méfaits ?

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