mardi 16 août 2011

Royal fait une rechute: "Je suis la plus forte pour battre Nicolas Sarkozy"...


La crise internationale l'a durement frappée


Elle est incurable: les soins palliatifs ne peuvent plus rien pour elle !

La candidate socialiste battue en 2007 veut être "la présidente des solutions" face à un chef de l'Etat sortant, son vainqueur, qu'elle qualifie de "président-déficit", dans un entretien dimanche 14 août au Parisien-Dimanche.
Sarkozy, "le président-déficit"

"Nous sommes présidés par le président-déficit : il a plus que doublé le déficit public, en grande partie à cause des cadeaux fiscaux aux grandes fortunes", dénonce Ségolène Royal, qui a la mémoire qui flanche: Mitterrand, qu'elle a servi, a décidé de trois dévaluations du franc et donné le départ des déficits publics de ces trente dernières années.

Face aux enjeux de la crise liée à l'endettement des Etats, elle propose "l’ouverture d’états généraux sur la réforme des prélèvements et de l’impôt, puis un référendum pour stabiliser les règles pendant cinq ans". L'U.E. se chargera de la déconsidérer sur ce point.

Selon elle, "l'Etat s’est aussi surendetté en renflouant les banques sans aucune contrepartie. Je propose l’entrée de l’Etat au capital des banques qui sont aidées et l’interdiction de la spéculation sur les dettes publiques. Dans les pays qui contrôlent le système bancaire, la croissance est au rendez-vous", affirme Ségol'haine Royal, qui ne peut citer les gouvernements socialistes espagnols et grecs qui ont mené leurs pays respectifs à la 'faillite'.

"Les sondages actuels sont des bulles spéculatives"

Largement distancée dans les enquête d'opinion par François Hollande et Martine Aubry, les deux favoris de la primaire socialiste, la présidente de région estime que "les sondages actuels sont des bulles spéculatives" et regrette que "les débats entre candidats n'ont pas commencé". Non seulement sa voix compte donc que pour du beurre de Charentes-Poitou au PS, mais elle est bien peu reconnaissante aux sondages qui la portaient à bouts de bras en 2006.

"Certains veulent rester dans le confort des sondages", juge-t-elle.

"Je vais prouver que je suis la plus forte et la plus expérimentée pour battre Nicolas Sarkozy, pour rassembler largement de l’extrême gauche aux centristes humanistes et surtout pour agir vraiment : je serai la présidente des solutions", assure la présidente de Poitou-Charentes.
Mais elle est restée la candidate de la défaite et de l'humiliation: elle s'est faite coiffer de 6 points , du jamais vu de mémoire de socialiste, elle est la honte du PS et les socialistes ne lui tirent pas leur chapeau !

Allez, avec les progrès de la science, rendez-vous en 2017 !...

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