La barbarie des jeunes issus de la politique de prévention
La génération Jospin a bénéficié de la politique socialiste de prévention
Résultat, les actes d'incivilité se succèdent et les crimes se multiplient, sous couverture de crise et de vie difficile qui justifient tout. De soi-disant experts en psychiatrie, qu'ils soient militants ou incompétents, déclarent les criminels irresponsables et le tour est joué.
La victime du mercredi 13 janvier au soir est décédée des suites de ses blessures après avoir été frappée avec une violence inouïe hier soir à Sannois (Val d'Oise), a-t-on appris aujourd'hui « de source proche du dossier ».
"Il a été pris à partie par 4 ou 5 personnes", selon cette source anonyme qui confirme une information du Parisien.fr. Quand on veut taire la vérité, on écrit que « gravement blessé par des "coups provoqués par des objets contondants et tranchants", le jeune homme a été transporté à l'hôpital d'Argenteuil où il est décédé dans la soirée. Mais si on est objectif ou insolent, on ne craint pas d'appeler les armes du crime par leur nom: les « objets contondants et tranchants » étaient en fait « des clubs de golf, des bâtons et des armes blanches ».
LePost est friand de détails et le site ne se fait pas prier pour préciser: "Ils étaient 6 ou 7, cagoulés et armés de battes de base-ball et de clubs de golf, nous dit la procureure de Pontoise, Marie-Thérèse de Givry. »
Selon le Parisien.fr, « le jeune homme aurait tenté de se réfugier chez un garagiste avant d'être rattrapé par ses agresseurs. » Ne lui laissant aucune chance, les lyncheurs sont repartis en abandonnant leur victime à son sort, la mort. A 19 ans.
De qui se moque-t-on ?
A plusieurs contre un: des mecs, des vrais !
Et pourtant ils restent anonymes pour le public. C'est à peine s'il a droit de savoir que les bourreaux sont des hommes. La liberté de la presse, c'est aussi de ne pas respecter notre droit à l'information.
"Assez fermement [sic] , les jeunes ont demandé au propriétaire du garage de sortir. Il est sorti. Les jeunes sont entrés et sont ressortis 20 secondes plus tard, avant de s'enfuir. Le propriétaire du garage est rentré et a constaté le décès." (LePost)
Un arrêt cardiaque !
"Le père de ce jeune, inquiet de ne pas avoir de nouvelle, a retrouvé son fils mort, poignardé de 3 coups de couteau" nous dit aussi la procureure de la république de Pontoise.
"Il est mort à 20h30 d'un arrêt cardiaque", ose déclarer la procureure de Pontoise, qui veut bien à la rigueur préciser que le jeune homme était originaire de Fosses, dans le val-d'Oise et qu' "il n'est pas connu de nos services", selon le parquet et la police. Mais la victime et les barbares restent anonymes. Sont-ils connus de leurs services, secret défense des droits des agresseurs. Ils courent toujours, alors pensez s'ils sont présumés innocents !
"Une autopsie est prévue demain", nous dit encore le parquet de Pontoise. Imaginez que l'arrêt cardiaque ait été provoqué par une lame de couteau.
Les circonstances exactes et les motifs de l'agression restent nébuleux
Le blackout observé par la presse sur l'identité de la victime -comme de ses assassins- laisse à penser que la menace de troubles pèse sur les quartiers concernés. Quand la paix publique est menacée, la presse militante assure volontiers son auto-censure ou/et respecte les consignes de réserve, malgré son impertinence revendiquée.
L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la direction régionale de la police judiciaire de Versailles (DRPJ Yvelines), « de source proche du dossier » ?...
La génération Jospin a bénéficié de la politique socialiste de prévention
Résultat, les actes d'incivilité se succèdent et les crimes se multiplient, sous couverture de crise et de vie difficile qui justifient tout. De soi-disant experts en psychiatrie, qu'ils soient militants ou incompétents, déclarent les criminels irresponsables et le tour est joué.
La victime du mercredi 13 janvier au soir est décédée des suites de ses blessures après avoir été frappée avec une violence inouïe hier soir à Sannois (Val d'Oise), a-t-on appris aujourd'hui « de source proche du dossier ».
"Il a été pris à partie par 4 ou 5 personnes", selon cette source anonyme qui confirme une information du Parisien.fr. Quand on veut taire la vérité, on écrit que « gravement blessé par des "coups provoqués par des objets contondants et tranchants", le jeune homme a été transporté à l'hôpital d'Argenteuil où il est décédé dans la soirée. Mais si on est objectif ou insolent, on ne craint pas d'appeler les armes du crime par leur nom: les « objets contondants et tranchants » étaient en fait « des clubs de golf, des bâtons et des armes blanches ».
LePost est friand de détails et le site ne se fait pas prier pour préciser: "Ils étaient 6 ou 7, cagoulés et armés de battes de base-ball et de clubs de golf, nous dit la procureure de Pontoise, Marie-Thérèse de Givry. »
Selon le Parisien.fr, « le jeune homme aurait tenté de se réfugier chez un garagiste avant d'être rattrapé par ses agresseurs. » Ne lui laissant aucune chance, les lyncheurs sont repartis en abandonnant leur victime à son sort, la mort. A 19 ans.
De qui se moque-t-on ?
A plusieurs contre un: des mecs, des vrais !
Et pourtant ils restent anonymes pour le public. C'est à peine s'il a droit de savoir que les bourreaux sont des hommes. La liberté de la presse, c'est aussi de ne pas respecter notre droit à l'information.
"Assez fermement [sic] , les jeunes ont demandé au propriétaire du garage de sortir. Il est sorti. Les jeunes sont entrés et sont ressortis 20 secondes plus tard, avant de s'enfuir. Le propriétaire du garage est rentré et a constaté le décès." (LePost)
Un arrêt cardiaque !
"Le père de ce jeune, inquiet de ne pas avoir de nouvelle, a retrouvé son fils mort, poignardé de 3 coups de couteau" nous dit aussi la procureure de la république de Pontoise.
"Il est mort à 20h30 d'un arrêt cardiaque", ose déclarer la procureure de Pontoise, qui veut bien à la rigueur préciser que le jeune homme était originaire de Fosses, dans le val-d'Oise et qu' "il n'est pas connu de nos services", selon le parquet et la police. Mais la victime et les barbares restent anonymes. Sont-ils connus de leurs services, secret défense des droits des agresseurs. Ils courent toujours, alors pensez s'ils sont présumés innocents !
"Une autopsie est prévue demain", nous dit encore le parquet de Pontoise. Imaginez que l'arrêt cardiaque ait été provoqué par une lame de couteau.
Les circonstances exactes et les motifs de l'agression restent nébuleux
Le blackout observé par la presse sur l'identité de la victime -comme de ses assassins- laisse à penser que la menace de troubles pèse sur les quartiers concernés. Quand la paix publique est menacée, la presse militante assure volontiers son auto-censure ou/et respecte les consignes de réserve, malgré son impertinence revendiquée.
L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la direction régionale de la police judiciaire de Versailles (DRPJ Yvelines), « de source proche du dossier » ?...
Je suis d'accord sur le fait qu'il y a beaucoup de zone d'ombre sur ce tableau et étant habitante de Sannois, j'aimerai savoir le fin mot de l'histoire...
RépondreSupprimerMais je ne comprends ces gens qui s'insurgent sur cette affaire :
Déjà, c'est un jeune de Fosse et non de Sannois...que faisait-il donc ici et si tard ?
Le garagiste n'est-il pas aussi en tort ?
Sannois n'est pas une ville où les embrouilles et affaires de ce genre sont légions, il y a bien sûr quelques citées "chaudes" mais rares sont les "règlements de comptes" comme celui-ci.
A suivre ...