Encore une loi pour la protection de la Française musulmane
Dans le cadre du plan triennal (2008-2010) de lutte contre les violences –dites coutumières- faites aux femmes, le gouvernement français a lancé une nouvelle campagne pour "briser le silence" des violences faites aux femmes, en particulier les mariages forcés et les mutilations sexuelles.
Que sont ces « fléaux barbares » (Valérie Létard)
L’excision, une mutilation qui prive les victimes du plaisir sexuel.
Sur les plateaux tanzaniens, en pays masaï, à une quarantaine de kilomètres d’Arusha ? depuis un an ou deux, avec l’aide de l’association Aang Serian (village de la paix en maa, la langue des Masaï) et sous la pression du gouvernement, les jeunes filles ne sont plus « coupées » lors de leur « seconde naissance » à Monduli Juu.
Un « rite de passage alternatif » permet de laisser tomber définitivement la pratique mutilante de l’excision. Ainsi, alors que sa mère et ses sœurs ont été excisées, Naivashe, 14 ans, la tête rasée, car ses cheveux appartiennent au monde de l’enfance, entre dans le groupe d’âge qui bénéficie désormais de l’évolution des mœurs.... On lui écarte les jambes et… on lui fait deux petites entailles sur chacune des cuisses. Elle n’a pas crié et espère que les jeunes femmes de son âge ne hurleront plus jamais. Au village, hommes et femmes disent désormais que « la femme qui n’est pas excisée s’amuse beaucoup plus pendant l’amour ». Et les exciseuses ont même réussi à se convertir en fabricantes de bijoux de perles.
Selon l’Unicef, trois millions de petites filles et de jeunes femmes sont encore excisées tous les ans dans le monde. Vingt-huit pays africains sont concernés. Une mutilation génitale désormais interdites - au moins dans les textes - dans bon nombre de pays islamiques. Mais la réalité du terrain est malheureusement souvent très différente.
Rappelons que la lutte en France contre l'excision existe depuis plusieurs années (au moins 2005)
On constate que les mesures prises depuis 2005 n'ont pas suffit, loin de là, à enrayer ce fléau :
- L' interdiction de cette pratique, les premières condamnations (en 2005),
- La possibilité de recourir aux services d'aides à l'enfance, ou l'existence du numéro vert 119 (violence écoute),
- Les premières associations ont tenté (vers 2005) de faire de la prévention. Mais en vain, puisqu'à l'époque elles évaluaient à 10 à 20 000 les petites filles originaires d'Afrique qui, selon les associations, couraient le risque d'être excisées.
- La Loi en France ne fait pas de différence entre l'excision et les autres mutilations. L'excision est donc passible de la Cour d'Assises, ce qui devrait déboucher sur de très lourdes peines. C'est de plus en plus le cas, mais il est délicat de juger des personnes ayant des coutumes et des traditions différentes des nôtres, et très souvent ignorant la gravité de leurs actes.
- L’association, le GAMS (Groupe des Femmes pour l'Abolition des Mutilations Sexuelles) travaille pour soutenir celles qui en ont besoin et sensibiliser la communauté africaine. Il s'agit de femmes africaines et françaises qui travaillent ensemble.
Sur les plateaux tanzaniens, en pays masaï, à une quarantaine de kilomètres d’Arusha ? depuis un an ou deux, avec l’aide de l’association Aang Serian (village de la paix en maa, la langue des Masaï) et sous la pression du gouvernement, les jeunes filles ne sont plus « coupées » lors de leur « seconde naissance » à Monduli Juu.
Un « rite de passage alternatif » permet de laisser tomber définitivement la pratique mutilante de l’excision. Ainsi, alors que sa mère et ses sœurs ont été excisées, Naivashe, 14 ans, la tête rasée, car ses cheveux appartiennent au monde de l’enfance, entre dans le groupe d’âge qui bénéficie désormais de l’évolution des mœurs.... On lui écarte les jambes et… on lui fait deux petites entailles sur chacune des cuisses. Elle n’a pas crié et espère que les jeunes femmes de son âge ne hurleront plus jamais. Au village, hommes et femmes disent désormais que « la femme qui n’est pas excisée s’amuse beaucoup plus pendant l’amour ». Et les exciseuses ont même réussi à se convertir en fabricantes de bijoux de perles.
Selon l’Unicef, trois millions de petites filles et de jeunes femmes sont encore excisées tous les ans dans le monde. Vingt-huit pays africains sont concernés. Une mutilation génitale désormais interdites - au moins dans les textes - dans bon nombre de pays islamiques. Mais la réalité du terrain est malheureusement souvent très différente.
Rappelons que la lutte en France contre l'excision existe depuis plusieurs années (au moins 2005)
On constate que les mesures prises depuis 2005 n'ont pas suffit, loin de là, à enrayer ce fléau :
- L' interdiction de cette pratique, les premières condamnations (en 2005),
- La possibilité de recourir aux services d'aides à l'enfance, ou l'existence du numéro vert 119 (violence écoute),
- Les premières associations ont tenté (vers 2005) de faire de la prévention. Mais en vain, puisqu'à l'époque elles évaluaient à 10 à 20 000 les petites filles originaires d'Afrique qui, selon les associations, couraient le risque d'être excisées.
- La Loi en France ne fait pas de différence entre l'excision et les autres mutilations. L'excision est donc passible de la Cour d'Assises, ce qui devrait déboucher sur de très lourdes peines. C'est de plus en plus le cas, mais il est délicat de juger des personnes ayant des coutumes et des traditions différentes des nôtres, et très souvent ignorant la gravité de leurs actes.
- L’association, le GAMS (Groupe des Femmes pour l'Abolition des Mutilations Sexuelles) travaille pour soutenir celles qui en ont besoin et sensibiliser la communauté africaine. Il s'agit de femmes africaines et françaises qui travaillent ensemble.
Les mariages forcés
Un mariage forcé désignent un mariage dans lequel une des parties (le plus souvent la femme) ou les deux, est marié contre sa volonté, à ne pas confondre mariage arrangé, dans lequel les deux partis consentent à être assistés de leurs parents ou d'un troisième parti pour trouver un(e) époux (épouse).
C'est encore un problème commun en Asie, au Proche- et au Moyen-Orient, en Afrique, dont le Maghreb, et en Europe de l'Est. Dans certains pays, il s'accompagne de l'enlèvement de la future mariée, notamment au Kirghizistan.
Beaucoup de mariages forcés au Royaume-Uni dans la communauté asiatique sont destinés à obtenir la nationalité britannique à un membre de la famille habitant le sous-continent Indien envers lequel l'organisateur du mariage forcé a un sentiment d'obligation.
En France, le mariage forcé est illégal mais la loi peut être contournée si l’union a lieu dans le pays d'origine. Cette pratique est cependant plus difficile en France depuis la loi de janvier 2006 qui a porté la majorité nubile à 18 ans pour apporter de l’aide aux femmes menacées.
L'islam rappelle que deux êtres ne peuvent être contraint à vivre ensemble parce qu'il en a été décidé ainsi par les parents à la suite d'un arrangement entre deux familles. Le mariage forcé est combattu par la plupart des écoles juridiques, car on ne doit en aucun cas créer une union vouée à l'échec dès le départ. Par ailleurs, la tradition prophétique exige que les deux futurs mariés se connaissent et s'apprécient avant de conclure un contrat de mariage. La femme musulmane a tout à fait le droit de décider qui sera son futur époux.
En savoir plus : lien Le Figaro
Les chiffres officiels
Ces pratiques, liées à des traditions culturelles ou religieuses prégnantes dans les familles originaires de Turquie, du Maghreb, d'Afrique noire et d'Asie, sont difficilement chiffrables. Les associations prennent en charge quelques centaines de cas par an. Une extrapolation sur le nombre de jeunes filles de 15 à 18 ans, originaires de pays où existe cette pratique.
La France, a rappelé la secrétaire d'Etat à la Solidarité, Valérie Létard, lors d'une conférence de presse, compte sur son territoire environ:
- 55.000 femmes excisées : « L'excision n'est pas une singularité coutumière à respecter. Aucune forme de violence ne peut être tolérée », insiste Mme Létard, qui souhaite que la campagne invite les femmes à 'briser la loi du silence'.
- 70.000 jeunes filles menacées de mariage forcé pour les seuls Ile-de-France et six départements
"Dans les deux cas, ni la tradition ni la coutume ne peuvent justifier une telle remise en cause des droits fondamentaux", a déclaré Valérie Létard.
La campagne gouvernementale
Faut-il, comme l’organisation sénégalaise Enda Tiers Monde, organiser des concours d’images et de vidéos dont le message doit faire reculer cette pratique ancestrale voulue par les hommes, mais contre laquelle une journée mondiale était organisée le 6 février dernier? Elle ciblait les 15-30 ans de neuf pays d’Afrique de l’Ouest francophone : le Bénin, le Burkina-Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal et le Togo.
Un mariage forcé désignent un mariage dans lequel une des parties (le plus souvent la femme) ou les deux, est marié contre sa volonté, à ne pas confondre mariage arrangé, dans lequel les deux partis consentent à être assistés de leurs parents ou d'un troisième parti pour trouver un(e) époux (épouse).
C'est encore un problème commun en Asie, au Proche- et au Moyen-Orient, en Afrique, dont le Maghreb, et en Europe de l'Est. Dans certains pays, il s'accompagne de l'enlèvement de la future mariée, notamment au Kirghizistan.
Beaucoup de mariages forcés au Royaume-Uni dans la communauté asiatique sont destinés à obtenir la nationalité britannique à un membre de la famille habitant le sous-continent Indien envers lequel l'organisateur du mariage forcé a un sentiment d'obligation.
En France, le mariage forcé est illégal mais la loi peut être contournée si l’union a lieu dans le pays d'origine. Cette pratique est cependant plus difficile en France depuis la loi de janvier 2006 qui a porté la majorité nubile à 18 ans pour apporter de l’aide aux femmes menacées.
L'islam rappelle que deux êtres ne peuvent être contraint à vivre ensemble parce qu'il en a été décidé ainsi par les parents à la suite d'un arrangement entre deux familles. Le mariage forcé est combattu par la plupart des écoles juridiques, car on ne doit en aucun cas créer une union vouée à l'échec dès le départ. Par ailleurs, la tradition prophétique exige que les deux futurs mariés se connaissent et s'apprécient avant de conclure un contrat de mariage. La femme musulmane a tout à fait le droit de décider qui sera son futur époux.
En savoir plus : lien Le Figaro
Les chiffres officiels
Ces pratiques, liées à des traditions culturelles ou religieuses prégnantes dans les familles originaires de Turquie, du Maghreb, d'Afrique noire et d'Asie, sont difficilement chiffrables. Les associations prennent en charge quelques centaines de cas par an. Une extrapolation sur le nombre de jeunes filles de 15 à 18 ans, originaires de pays où existe cette pratique.
La France, a rappelé la secrétaire d'Etat à la Solidarité, Valérie Létard, lors d'une conférence de presse, compte sur son territoire environ:
- 55.000 femmes excisées : « L'excision n'est pas une singularité coutumière à respecter. Aucune forme de violence ne peut être tolérée », insiste Mme Létard, qui souhaite que la campagne invite les femmes à 'briser la loi du silence'.
- 70.000 jeunes filles menacées de mariage forcé pour les seuls Ile-de-France et six départements
"Dans les deux cas, ni la tradition ni la coutume ne peuvent justifier une telle remise en cause des droits fondamentaux", a déclaré Valérie Létard.
La campagne gouvernementale
Faut-il, comme l’organisation sénégalaise Enda Tiers Monde, organiser des concours d’images et de vidéos dont le message doit faire reculer cette pratique ancestrale voulue par les hommes, mais contre laquelle une journée mondiale était organisée le 6 février dernier? Elle ciblait les 15-30 ans de neuf pays d’Afrique de l’Ouest francophone : le Bénin, le Burkina-Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal et le Togo.
Deux brochures
- "Combattre les mariages forcés", où l'on voit une main à laquelle on tente de glisser une alliance en fil barbelé. Des associations et délégations aux droits des femmes sont parties prenantes.
- et "Combattre l'excision", représentant une lame de rasoir barrée d'un trait noir - ont été éditées par le gouvernement. Des centres de protection maternelle et infantile (PMI), des gynécologues ou encore de l'Agence pour la cohésion sociale et l'égalité des chances (ACSE) participent à cette action d’information et de …prévention.
- "Combattre les mariages forcés", où l'on voit une main à laquelle on tente de glisser une alliance en fil barbelé. Des associations et délégations aux droits des femmes sont parties prenantes.
- et "Combattre l'excision", représentant une lame de rasoir barrée d'un trait noir - ont été éditées par le gouvernement. Des centres de protection maternelle et infantile (PMI), des gynécologues ou encore de l'Agence pour la cohésion sociale et l'égalité des chances (ACSE) participent à cette action d’information et de …prévention.
Une campagne d'affichage: la distribution de 100.000 brochures s'accompagnera d'un affichage.
Un site internet
stop-violences-femmes.gouv.fr. est ouvert à la consultation par les femmes qui se sentent en danger.
"Il faut dire aux jeunes filles qu'elles ne sont pas seules, leur donner des outils, des contacts utiles, leur dire que leur entourage - un professeur, une assistante sociale, une association spécialisée - peut les accompagner, les orienter et même les protéger", a expliqué Valérie Létard.
Les réactions
stop-violences-femmes.gouv.fr. est ouvert à la consultation par les femmes qui se sentent en danger.
"Il faut dire aux jeunes filles qu'elles ne sont pas seules, leur donner des outils, des contacts utiles, leur dire que leur entourage - un professeur, une assistante sociale, une association spécialisée - peut les accompagner, les orienter et même les protéger", a expliqué Valérie Létard.
Les réactions
Pour Ernestine Ronai, responsable de l'observatoire des violences faites aux femmes en Seine-Saint-Denis, ces campagnes ont leur utilité pour faire évoluer les mentalités.
"Quand il y a des campagnes de prévention, les filles parlent plus, il y a une prise de conscience plus forte de la part des jeunes filles et de la société tout entière", a-t-elle déclaré sur France Info.
Pour mieux lutter contre les mariages forcés, elle réclame "une politique nationale concertée qui permette à l'ensemble des professionnels de connaître les moyens de lutte notamment en ce qui concerne l'hébergement, pour qu'une fille à un moment donné, pour une durée peut-être limitée, puisse partir de chez elle".
"Quand il y a des campagnes de prévention, les filles parlent plus, il y a une prise de conscience plus forte de la part des jeunes filles et de la société tout entière", a-t-elle déclaré sur France Info.
Pour mieux lutter contre les mariages forcés, elle réclame "une politique nationale concertée qui permette à l'ensemble des professionnels de connaître les moyens de lutte notamment en ce qui concerne l'hébergement, pour qu'une fille à un moment donné, pour une durée peut-être limitée, puisse partir de chez elle".
Khady Koita, présidente du réseau européen pour la prévention et l'éradication des mutilations génitales féminines, voit elle aussi les mentalités évoluer peu à peu.
"Ces dernières années, les réactions ont été plus positives. Beaucoup de parents disent désormais 'je ne le fais plus mais le problème c'est quand je retourne en Afrique, il y a beaucoup de pression'", a-t-elle raconté à Reuters en marge de la conférence de presse de Valérie Létard.
En France, la lutte contre les mariages forcés a été renforcée par la loi d'avril 2006 qui a porté à 18 ans l'âge minimum pour se marier. Le viol conjugal est inscrit dans le Code pénal et le vol des papiers par l'époux est considéré comme un délit.
Des silences qui font du bruit
Tandis que l’Université al-Azhar du Caire, plus haute référence religieuse du monde musulman, a lancé une fatwa contre les mutilations génitales féminines, qualifiées de «crime contre l’espèce humaine», Gaye Petek, directrice de l'association Elele, qui aide les immigrés venus de Turquie, ajoute : "Ce sont des archaïsmes qui doivent être combattus", a renchéri.
Mais trois responsables de l’opposition française, des femmes, gardent le silence…
Ni le premier secrétaire du PS, Martine Aubry, ni sa concurrente, Désirdavenir Royal, classée par un sondage , derrière tout ceux qui comptent, ni Marie-George Buffet (PCF) ne soutiennent l’initiative de Valérie Létard, simplement parce qu’elle est secrétaire d'Etat à la Solidarité…
La campagne municipale 2008 serait « brutalement descendue en dessous de la ceinture » [sic !]. En mars, « Charlie Hebdo » titra subtilement et sans risque de verser dans le compassionnel : « Un clitoris en campagne. » avant de présenter la numéro deux sur la liste de Sébastien Huyghe, Brigitte Mauroy, nièce du gros Pierre, comme un médecin qui donne son blanc-seing à l’excision féminine partielle. La numéro deux sur la liste UMP s’indigne que pareille polémique soit introduite à quelques jours du premier tour des municipales. Martine Aubry faisait alors simplement savoir -avec conviction- que bien évidemment elle a toujours combattu l’excision. Point final.
Les violences faites aux femmes ne les interpellent pas ? Féministes, mais pas trop !
"Ces dernières années, les réactions ont été plus positives. Beaucoup de parents disent désormais 'je ne le fais plus mais le problème c'est quand je retourne en Afrique, il y a beaucoup de pression'", a-t-elle raconté à Reuters en marge de la conférence de presse de Valérie Létard.
En France, la lutte contre les mariages forcés a été renforcée par la loi d'avril 2006 qui a porté à 18 ans l'âge minimum pour se marier. Le viol conjugal est inscrit dans le Code pénal et le vol des papiers par l'époux est considéré comme un délit.
Des silences qui font du bruit
Tandis que l’Université al-Azhar du Caire, plus haute référence religieuse du monde musulman, a lancé une fatwa contre les mutilations génitales féminines, qualifiées de «crime contre l’espèce humaine», Gaye Petek, directrice de l'association Elele, qui aide les immigrés venus de Turquie, ajoute : "Ce sont des archaïsmes qui doivent être combattus", a renchéri.
Mais trois responsables de l’opposition française, des femmes, gardent le silence…
Ni le premier secrétaire du PS, Martine Aubry, ni sa concurrente, Désirdavenir Royal, classée par un sondage , derrière tout ceux qui comptent, ni Marie-George Buffet (PCF) ne soutiennent l’initiative de Valérie Létard, simplement parce qu’elle est secrétaire d'Etat à la Solidarité…
La campagne municipale 2008 serait « brutalement descendue en dessous de la ceinture » [sic !]. En mars, « Charlie Hebdo » titra subtilement et sans risque de verser dans le compassionnel : « Un clitoris en campagne. » avant de présenter la numéro deux sur la liste de Sébastien Huyghe, Brigitte Mauroy, nièce du gros Pierre, comme un médecin qui donne son blanc-seing à l’excision féminine partielle. La numéro deux sur la liste UMP s’indigne que pareille polémique soit introduite à quelques jours du premier tour des municipales. Martine Aubry faisait alors simplement savoir -avec conviction- que bien évidemment elle a toujours combattu l’excision. Point final.
Les violences faites aux femmes ne les interpellent pas ? Féministes, mais pas trop !
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