jeudi 30 octobre 2008

Xavier Bertrand : des mises au point salutaires face à l’intox des partis et des media

Le ministre tord le cou aux « canards » lâchés par l’opposition

Xavier Bertrand, lministre du Travail répondait aux questions de Roland Sicard, le 27 octobre, sur France 2.
sur France 2, dans l’émission Les 4 Vérités :


1- Les revenus du travail. Les stock-options ne profitent plus qu’aux seuls patrons
: les salariés y ont droit ainsi qu’à des actions gratuites, de l’intéressement ou de la participation.
Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a annoncé lundi sur France 2 qu'un amendement pour que "tous les salariés" bénéficient de stock-options ou d'actions gratuites quand il y en a dans l'entreprise, allait être déposé.
"Nous allons déposer un amendement qui fait que dans une entreprise, quand il y a des stock-options, il y a forcément pour tous les salariés, soit des stock-options aussi pour eux, soit des actions gratuites, soit de l'intéressement, soit de la participation en plus", a-t-il déclaré alors que le Sénat examine lundi le projet de loi sur les revenus du travail qui vise à favoriser l'intéressement et la participation.
"Le système où c'était réservé uniquement à quelques-uns, c'est terminé", a affirmé M. Bertrand. "C'est quand même logique que dans une entreprise, les salariés puissent davantage profiter des revenus de leur travail".
M. Bertrand a dit qu'il y avait une volonté de "moraliser" ces stock-options, mais qu'il s'agissait de "faire surtout en sorte que ce ne soit plus pour quelques-uns dans une entreprise". Le projet de loi sur les revenus du travail prévoit un crédit d'impôt pour les entreprises concluant un accord d'intéressement, une mesure contestée jeudi par la commission des Finances du Sénat.
Concernant la participation dont le produit est actuellement bloqué pendant cinq ans, le texte prévoit de donner la possibilité aux salariés "une mobilisation immédiate des sommes reçues".
Enfin, le montant des allègements de cotisations patronales pourra être réduit de 10% si l'entreprise qui en bénéficie n'ouvre pas, chaque année, une négociation sur les salaires lorsqu'elle y est légalement tenue.
Voilà qui est ‘intéressant’, mais, tout autant, dans un autre registre, le redressement de la vérité travestie par l’opposition et sa presse militante.

2- Les 360 milliards d’euros ne sont pas des cadeaux aux banquiers, mais une garantie de l’Etat en faveur des Français
(à partir de 4 :35)
Libération : « L'Etat met 360 milliards sur la table pour sauver les banques ». Ambigu, mais manipulateur. D’où, dans Libération, le commentaire ‘relou’ de
loulou
et vlam passe moi l'ardoise.....
mais où sont nos gauches....on se moque de nous!comme tout le monde le dit; les caisses sont vides, notre gestion (la france) n'est pas touchée et de fait....vlam!!! sarko nous sort des millards de son chapeau.à gauche, qu'est ce qu'on fait??? on attend!et nous pauvres dindons, nous allons payer la farce!ça fout les boules grave, comme dirait n'importe quel jeune!!!je suis vraiment triste de voir tant de mèpris et de legeretè.louis
Lundi 13 octobre à 18h58

Marianne : « 360 milliards pour les banques, 600 fois moins pour le logement social ! », le 21/10/2008. Amalgame polémique et malsain, bien dans la manière du très moralisateur Marianne…
Mais dans Libération, un commentaire condamne toutefois les procédés d’une certaine presse :
claude 45
tous nuls en économie !!! pauvre Français !!!
d'accord on est tous anti Sarkook quoiqu'il fasse ce sera une connerieet s'il ne fait rien...aussi !!!Mais quand même, chers Français être aussi nuls en économie pour confondre donner 360 milliards aux banques, avec donner une garantie à hauteur de 360 milliards ....!!!heureusement que les lecteurs de Libé ne gèrent pas mon portefeuille!!!alors donner une garantie cela veut dire: que si une banque en fait la demande (pour éviter la faillite de la banque et de ses épargnants comme vos lecteurs ) l'état peut prêter (avec intérêts) pour éviter le crash de nous tous possesseurs de compte bancairesdonc quoiqu'il arrive nous (l'état) récupérerons nos 360 milliards !!oui mais quand même Sarko etc...!!oui c'est pas bien
Lundi 13 octobre à 18h55


Le ministre fustige le « mensonge socialiste »
Un « vrai scandale »
: ce n’est pas de l’argent pris à qui que ce soit, mais une garantie, une caution de nature à encourager la confiance des banques et à les encourager à soutenir l’investissement.
VOIR et ENTENDRE, en cliquant sur la photo.

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