vendredi 2 novembre 2007

Nouveau lieu branché des ‘people’ : Rue de la Banque !

Le tout-Paris ‘people’ célèbre un Hallowe’en compassionnel…
L’odeur de l’argent est irrésistible, Rue de la Banque, aux abords de la Bourse…
Plusieurs personnalités, notamment les vignerons BCBG Carole Bouquet et Gérard Depardieu (à gauche), les comiques à pleurer Guy Bedos et Josiane Balasko, ou Emmanuelle Béart, retendue comme une toile de tente, ont apporté leur soutien à ces mal-logés. Un soutien moral ! Par leur présence, en passant. De source officieuse et anonyme, ces stars désargentées n’ont pas les moyens de les recueillir chez elles et s’en sont retournées.
Mais Jean-Baptiste Eyrault n’a pas d’états d’âme au passage des nantis de la gauche caviar. Son business, c’est aussi le show-biz…
Mais sortir ces personalités-là, le soir d’Hallowe’en, c’est aussi savoureux que du potiron!
Le potiron Depardieu...








... et la citrouille Balasco





C'est encore la saison des champignons?

On attend la ‘gauche politicienne’ sur les lieux…

3 commentaires:

  1. Depardieu a tout de même dit : "C'est pas de la politique, je suis pas Carole Bouquet !"

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  2. DEPARDIEU, BOUQUET, BEART, et autres p... médiatiques et démago gauche-caviar ???

    Et bien, n'allons PLUS DU TOUT voir leurs films au ciné, et boycotons les sketchs du Bedos, et autres consorts, à la téloche...

    Comme cela, peut-être que eux-aussi, ils se retrouveront dans la panade, et pour de vrai hein ! Pas pour faire beau sur la photo cette fois...

    Cela devient quoi un artiste sans public ???

    Et... un écrivain que plus personne ne lit, vous imaginez la tête du BHL si son dernier torchon se retrouve au pilon faute du nombre de lecteurs suffisant... et que son éditeur le vire parce que plus suffisement rentable en chiffre de vente...

    Au fait, vous vous souvenez de l'histoire du clown qui ne faisait plus rire que lui !

    Et bien tout cela c'est POSSIBLE !!!

    Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, la punitions pour ces sinistres individus donneurs de leçons de "politiquement correct" C'EST VOUS !!!

    Si vous vous vous munissez TOUS de la sagesse du droit au boycot...

    Foutez-moi TOUS ces bouffons en quarantaine : plus d'entrée au ciné ! Plus de télespectateurs pour applaudir leurs gesticulations de chiens savants ! plus d'achat de livre !

    Vous finirez par voir la gueule qu'ils tireront tous au bout d'un certains temps de vaches maigres imposé par l'absence angoissante d'un public qui ne veut plus suivre... Ah ! Ah ! là, CELA VAUDRA 10 !!!

    Bien sur, cela ne changera rien à nos problèmes de tous les jours, mais pour une fois que l'on aura une bonne et vraie occasion de bien se marrer...

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  3. A ma dalton
    'ma dalton' est une 'citoyenne toute simple' et une lectrice fortuite de Pasidupes qui a bousculé ses certitudes. C'est la fonction de PaSiDupes! Le but n'est manifestement pas atteint,puisqu'elle perd son sang froid et s'emporte car elle semble croire que c'est la solution à tous les problèmes et mal-être(s) divers. Mais il faut faire confiance aux hommes et aux femmes de ce pays et en leurcapacité de se remettre en question et de se réformer.
    Elle découvre donc que les actions qu'elle cautionne (auxquelles elle participe probablement) ne rencontrent pas la compréhension qu'elle en attend et qu'elle partage avec les honnêtes gens de son entourage. Le problème, c'est qu'elle ne réalise pas à quel point sa possible générosité naturelle et apolitique (?)est instrumentalisée.
    Qui plus est, ma dalton est une grande naïve, impressionnée par les people, qui eux ne sont pas aussi candides! C'est précisément la justification officielle des apparitions fugitives de people sur les lieux de compassion… Sans compter que ce n'est pas mauvais pour leur image de passer quelques instants sous les caméras qui les ont parfois délaissés depuis un moment…
    Mais si 'ma dalton' veut bien ouvrir les yeux, elle verra la différence entre les agitateurs politiques du type DAL et les caritatifs discrets mais efficaces toute l'année -pendant, mais aussi avant et après les coups de pub médiatiques. Et si elle ne voulait pas admettre que la présence de l'Armée du Salut ou d'Emmaüs, par exemple, avec constance et abnégation, fait plus, au fil des années, pour l'assistance et le réconfort des sans-logis et des mal-logés, alors 'ma dalton' démontrerait sa volonté non pas d'assistance, mais de déstabilisation. Sa reconversion dans une association incontestable serait une manière d'être utile plutôt que celle d'une agitée. Ce qu'elle ne va pas manquer de faire, car "aller rue de la Banque", ça ne suffit pas...
    Aveuglée par l'idéologie et son cercle de calarades, elle ne peut voir ce que font les autres, sans invective.'ma dalton' s'écrie donc, accusatrice et forte de ses préjugés militants: 'Qu'avez-vous fait, vous, pour les personnes qui crèvent de misère en France actuellement ?' C'est la démonstration qu'accuser et hurler la satisfont mais qu'elle n'imagine pas que ses opposants puissent agir autrement qu'en sortant des femmes et des enfants de leurs misérables logements pour les mettre sous la tente et les promener d'arrondissement en arrondissement. Est-ce bien digne!
    Vous avez en outre choisi un créneau bien particulier d'"assistance" à une catégorie bien particulière de précaires. Pourquoi pas! Sachez pourtant qu'il existe aussi des sans abris (et non pas des mal-logés) qui n'ont pas même un taudis où se réfugier. Nous ne serons d'accord que sur une chose: c'est intolérable. S'il faut faire des choix, je suggère que ce ne soit pas des préférences, mais des priorités.
    Un autre choix consiste à aimer les gens -sans exclusive, et pas seulement aux heures de bureau- et alors on se sent mieux dans sa peau. Mettons notre énergie débordante au service de tous, sans préférence ni religion ni de couleur, et ce sera plus crédible. Vous avez certainement un proche ou une voisine qui aimerait vous rencontrer plus souvent, sans avoir à aller à votre rencontre Rue de la Banque, et que vous ne voyez pas.
    Enfin, j'insiste sur le fait que ce blog n'est pas un 'forum' et qu'il ne sera plus répondu en ligne aux coups de gueule.
    A bientôt, ma, qui sait, sur une mission de maraude nocturne…
    pakool

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