Le consternant Macron fait son Boris Johnson, circulant sans masque pour conseiller d'en porter...
L'arrogant Macron, irresponsable bravache anti-républicain foulant au pied les consignes de confinement |
"On voit bien", dans les quartiers bobo-chics de Paris et les arrières boutiques de l'extrême gauche, que reste vulnérable un département en marge de la collectivité comme la Seine-Saint-Denis, déclaré pauvre et maintenu sous assistance financière du contribuable républicain solidaire, du fait d'une répartition inégalitaire du produit de l'économie souterraine pourtant florissante et en pleine expansion. Ni les infrastructures installées ou délocalisées en Seine-Saint-Denis, ni les crédits déversés sur le 9.3, rien n'y fait : les communautés exogènes et concurrentes s'y multiplient et s'y combattent, sans que rien ne les unisse, si ce n'est la haine des Blancs et de la France.
La gauche, qu'elle soit extrême et révolutionnaire ou vertueuse et compassionnelle, y maintient ce qui reste de son fonds de commerce : anti-colonialisme, anti-sionisme, anti-capitalisme et multiculturalisme, islamisme et marxisme. Le sujet principal est tout d’abord la surpopulation, avec des familles polygames avec beaucoup d'enfants et vivant d'allocations, dans un contexte de concentration d'un chômage élevé entretenu par une sous-qualification acceptée et une quête de l'argent facile, sans espoir ni volonté de sortir de cet état marqué à la fois par la nonchalance et les accès de colère.
La culture originelle comme refuge et comme lien d'exclusion - attachement à une langue, des traditions et une religion qui coupent du milieu ambiant, son Histoire et ses codes - est entretenue par les gauches, avec la volonté de alimenter les rancoeurs individuelles qui creusent les différences et nourrissent la haine révolutionnaire de l'autre. Au problème grandissant de surpopulation dans le département, est associée la pénurie de logements, exploitée par les gauches, bien qu'elles soient au pouvoir dans le département: huit députés sur douze sont de gauche et le PS dirige le Conseil départemental depuis 2008, à la suite du PCF sans discontinuer depuis la Libération, ce qui amène des personnes à occuper la rue. Difficile pour les autorités territoriales de trouver le terrain pour créer des zones pavillonnaires d'accueil de familles de 6 et plus, actuellement entassées verticalement dans des appartements de 2 pièces, et la tentation de se déconfiner est d'autant plus forte qu'on est traditionnellement enclin à vivre dehors sous d'autres latitudes. Mais, en dépit du risque mortel augmenté que constitue le virus en cas de promiscuité, les crétins au verbe haut et les politiciens malveillants n'hésitent pas à critiquer les mesures nécessaires prises par les acteurs politiques responsables pour éviter la contamination et la mort.
À partir de ce samedi et jusqu’à nouvel ordre, les abords du canal de l’Ourcq et les parcs et squares seront interdits aux promeneurs « pour éviter que les gens ne circulent, précise la préfecture ». « Il y a encore trop de monde. »
"Les gens vont donc rester enfermés chez eux dans des logements indignes à se partager leur miasmes. C’est n’importe quoi," commente une petite tête échauffée. On trouve même mieux :
Le populiste Macron s'aligne sur les briseurs du confinement
et les applaudit à Pantin
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Tout ce que la France comporte de gens sensés est effaré par cette nouvelle incohérence de celui qui ne se prend pourtant pas pour la queue d'une cerise. En pleine période de confinement strict avec drones et hélicoptères de surveillance de la population et verbalisation des contrevenants, les vidéos d'un président sans masque, saluant une foule désoeuvrée que les cours à distance ne motivent pas un seul instant, n'ont pas manqué de scandaliser. S'il n'a plus toutes ses facultés, personne n'ose-t-il donc le remettre en état de marche ?
Ce mardi après-midi, jour ouvrable, Macron a voulu faire le beau dans les rues de Pantin avant de se rendre dans un centre de soins, en Seine-Saint-Denis, l'un des départements les plus touchés par l'épidémie de coronavirus, afin de rendre hommage aux soignants.
Scène invraisemblable, le chef de l'Etat qui se tenait au milieu d'eux, les a exhortés, en joignant les mains, à "respecter les règles" et donc à "rentrer chez eux". Une aberration mentale qui n'a pas manqué de mettre le feu aux réseaux sociaux.
La population lui a adressé des remontrances et l'a appelé à la "démission"
Les Français ne supportent pas qu'il s'affranchisse des règles qu'il impose aux autres
Les appels à la démission n'ont pas empêché l'autiste de tendre la tête et de saluer la foule hostile:
La population lui a adressé des remontrances et l'a appelé à la "démission"
Les Français ne supportent pas qu'il s'affranchisse des règles qu'il impose aux autres
Les appels à la démission n'ont pas empêché l'autiste de tendre la tête et de saluer la foule hostile:
La presse en profite pour tacler... Marine Le Pen
La présidente du Rassemblement national n'a pas manqué de souligner l'incohérence et l'irresponsabilité du président. L'apparition de cette vedette du petit écran a en effet provoqué sur son passage un attroupement de badauds que l'enseignement du français à distance ne motivent guère : "consternant', déplore Marine Le Pen.
"A Pantin, des habitants agglutinés sans aucun respect du confinement ni de la distanciation sociale, et cela devant le Président de la République... C’est absolument CONSTERNANT,” observe la députée du Pas-de-Calais.
Le tout en relayant le tweet publié par un journaliste de LCI montrant les images d’une dizaine de personnes rassemblées à proximité du chef de l’Etat.
Ces images, tournées à Pantin, n’ont "pas reçu énormément d’approbation sur les réseaux sociaux," juge le huffpost, adepte de la rhétorique des pleutres, alors que le "relâchement" des Français inquiète les autorités politiques et sanitaires. "De nombreux internautes ou observateurs de la vie publique se sont, au mieux [?], interrogés sur les effets néfastes que pourraient entraîner ces images d’attroupement autour du chef de l’Etat". Les images seraient dérangeantes - analyse qui laisse d'autant plus perplexe qu'on est en période de propagande officielle sur la transparence au sommet de l'Etat -, mais la parade médiatique du paon de l'Elysée ne le serait pas.
C'est donc à la celle qui était arrivée au second tour de la présidentielle que le site huffingtonpost.fr s'en est pris aussitôt, plutôt que de déplaire à l'immature de l'Elysée. Alors que la France entamait, mardi 7 avril, sa quatrième semaine de confinement, Macron n'a pas respecté les gestes-barrières qu'il impose aux autres, à moins que son curateur (ou curatrice mature) se soit gardé de l'informer : il s’est exhibé au contact de la population, avant de justifier le motif officiel de sa sortie de l'Elysée, saluer le courage des soignants de Seine-Saint-Denis, lesquels sont exposés au virus létal, notamment par les inconscients qui le bravent et se retrouvent aux urgences. Macron entre-t-il dans la catégorie des candidats à la réanimation, ceux que le préfet Lallement désigne au châtiment divin?
Le site note que Macron félicite les habitants que ses confrères ont vilipendés pour leur mépris des mesures de confinement
Portant un masque chirurgical, comme c’est obligatoire pour toutes les personnes entrant dans l’établissement, Macron a discuté des conditions d’accueil des patients et de travail des soignants.
Un responsable lui a expliqué qu’ils manquent de certains équipements de base, avec “de grosses difficultés pour les surblouses”. “Je n’en n’ai pas assez”, a témoigné une infirmière, en indiquant qu’elle lavait ses deux blouses “tous les soirs” pour les porter à tour de rôle.
Le banquier déconnecté a tenté de l'anesthésier en lui répondant qu’elles font un travail “formidable” et que l’Etat cherche à les "soulager" en "démultipliant" la production et les importations. Et comme l'application de baume en couche n'y fait rien, il a poursuivi: “Même les plans les mieux pensés n’ont pas envisagé que les pays seraient touchés en même temps”, a-t-il ajouté, appelant l'étranger (qu'il a pourtant tenté de priver de masques suédois) à sa rescousse pour justifier le déficit de masques et d’équipements. Il faisait ainsi l'impasse sur l'alerte que lui avait lancé Agnès Buzyn, son ex-ministre de la Santé, fin décembre.
Ce qu’on pensait sans valeur il y a six mois ou un an, d’un seul coup” est devenu rare, a-t-il encore raconté, alors que plus personne ne l'écoute plus - pas plus que Sibeth Ndiaye - : il faut juste faire avec.
r>Pour mémoire : la volte-face du gouvernement sur les "masques alternatifs":
Ce qu’on pensait sans valeur il y a six mois ou un an, d’un seul coup” est devenu rare, a-t-il encore raconté, alors que plus personne ne l'écoute plus - pas plus que Sibeth Ndiaye - : il faut juste faire avec.
r>Pour mémoire : la volte-face du gouvernement sur les "masques alternatifs":
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