vendredi 1 novembre 2019

Cognac : profanation d’une centaine de tombes chrétiennes dans un cimetière

La haine religieuse s'exprime pour la Toussaint, plongeant la paisible ville charentaise dans la stupeur

L'évêque d’Angoulême dénonce un acte d’une nature "barbare"
Castaner, ministre des Cultes, est-il seulement au courant ?


Perpétrée dans la nuit du mardi 26 au mercredi 27 octobre, cette profanation d'envergure a visé une centaine de tombes, sur lesquelles les symboles chrétiens ont été particulièrement visés, sans qu’aucune inscription visible ne trahisse les lâches profanateurs. Sachant que la communauté juive n'a pas ce type de comportements, les regards se tournent vers les intolérants et les violents qui traitent les Chrétiens de "mécréants", ce que l'enquête devra déterminer. 

Pour l'heure, un "jeune homme" de 18 ans a été déféré samedi. Il va sans dire que l'identité du profanateur - dont on ne se préoccupe pas de savoir s'il a agi seul - est tenue jalousement secrète, comme ses origines. L'individu qui reconnaît les faits, s’est revendiqué 'sataniste' et a expliqué que "des voix lui disaient de faire certaines choses". L'islamiste qui a assassiné quatre de ses collègues à la préfecture de police de Paris, lui aussi, avait des voix... Etait-il adorateur de Satan ?

Des crucifix face contre terre. Des croix arrachées. Des statues de Vierge et d’anges malmenées. C’est le cruel spectacle qu’ont découvert les familles venues fleurir les tombes de leurs défunts dans le cimetière du Breuil, à Cognac (Charentes), mercredi 30 octobre au matin, à l’avant-veille de la Toussaint, fête de tous les Sains.

"J’espère qu’il s’agit d’actes de vandalisme gratuit et imbécile", a réagi  Michel Gourinchas, le maire de Cognac, PS et DVG, banalisant l'imbécilité pour ne pas y voir de haine religieuse, comme on exonère les terroristes islamistes en les déclarant "déséquilibrés". 

Cet élu oriente les recherches, mais en trouvant des excuses aux profanateurs;
Il espère qu’ "aucun lien n’existe avec l’attaque à la mosquée de Bayonne," lâche-t-il dans La Charente Libre : la vengeance sert-elle à gauche un bon motif ? 
Ce maire socialiste indique qu’il a reçu un appel du directeur de cabinet du président de la République. En l'absence de Macron, pour raison de vacances en couple, Patrick Strzoda lui a fait part des mots d’amitié du président de la République dans cette épreuve pour la commune. Le président ne tweete donc pas et, contrairement aux déclarations de l'Elysée, il peut couper les ponts avec les Français et les affaires de l'Etat pendant quatre jours 

Les familles, dont les tombes des défunts ont été profanées sont, elles, sous le choc, comme elles l’ont confié à des journalistes de France 2. "Quand on voit des choses comme ça, je ne sais pas, ça ne peut pas être des humains, c’est incroyable", s’indigne un habitant. "C’est du dégoût, juste un sentiment de dégoût", ajoute un autre riverain interrogé sur les lieux de la profanation.
En espérant qu'aucune "revenante" n'est impliquée.

"C’est un acte d’une nature barbare et scandaleuse", a dénoncé Mgr Hervé Gosselin, évêque d’Angoulême

Résultat de recherche d'images pour "Mgr Hervé Gosselin"Habillé en péquin, ci-contre, le prélat privilégie la prudence et le pardon, comme d'autres à propos de l'islam politique  "Une société dans laquelle on n’arrive pas à se respecter dans nos convictions religieuses, c’est grave, commente-t-il faiblement dans un premier temps, avant  de se révéler rapidement plus politique que religieux. 

"Après, il faut voir les circonstances", hasarde-t-il auprès du site Aleteia, pensant peut-être apporter du réconfort aux familles éplorées en imaginant que le saccage d'objets religieux est simple bagatelle et les dommages aux tombeaux des défunts une affaire subalterne.  
Cognac : stupeur après la profanation d’une centaine de tombes dans un cimetière
Si l'évêque ne s'appesantit pas sur les motivations de ce saccage, comme si la moindre excuse était recevable, ce n'est pas l'enquête pour dégradation volontaire de ...biens privés ouverte par le procureur d’Angoulême qui les déterminera.

Mgr Hervé Gosselin présidera un temps de prière dans le cimetière le samedi 2 novembreaccompagné du curé et doyen de Cognac, après la messe paroissiale pour les défunts. A cette occasion, l’évêque d’Angoulême bénira les tombes, "pour réaffirmer la foi sur un lieu qui a été profané". "Notre foi n’est pas atteinte. Jésus en a vécu bien d’autres", a-t-il ajouté, non sans légèreté. Un appel à continuer de s'attaquer aux morts...
Le journal La Croix a rendu son article payant sur son site...

"Bienheureux sont les pauvres d'espritcar le royaume des cieux leur appartient"
"Par ce temps de prière l’Eglise catholique exprime sa compassion [sic] et veut faire monter une prière de supplication pour ces défunts et les vivants. C’est notre humanité et notre vie qui reposent là. C’est un événement très douloureux et tragique", s’est désolé le doyen, Pierre-Marie Robert.
De peu, Hervé Gosselin promettrait 72 vierges aux profanateurs...

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