mercredi 2 juillet 2014

Règlements de comptes à OK-DSK

Sarkozy, Valls, Hollande: DSK taille des p..pes  des costards en série

Dominique Strauss-Kahn a tenu des propos faits pour être repris par la presse
Même s'il s'est délocalisé de la politique hexagonale vers la finance européenne, Dominique Strauss-Kahn garde la langue active. 

Conseiller de nombreux gouvernements et banques d'affaires, il ne se prive pas pour autant de distribuer
les cartons jaunes et rouges aux uns et aux autresDans son édition du 26 juin, Le Point recense quelques-unes des sorties pas si amènes du délinquant sexuel du Sofitel de New York. 

Sur Manuel Valls: "ficelé" dans un gouvernement de "brêles"
"Il est ficelé dans un gouvernement composé par Hollande et dont la moitié sont des brêles. Il n'a pas fait le gouvernement qu'il voulait." 

Sur François Hollande: "S'il continue à m'emmerder, je reviens !"
"Le gouvernement de Hollande aurait été parfait pour le début des années 80, quand la crise était encore gérable. Mais par grand vent..."
"Tant que les ménages et les entreprises n'auront pas confiance, les premiers ne consommeront pas et les seconds n'investiront pas. Donc, la question est: Hollande peut-il inspirer confiance ?"  

Sur Nicolas Sarkozy : il était impatient
"Quand, en tant que patron du FMI, je venais exposer un problème à Angela Merkel, on y passait deux heures. L'ancienne ingénieure décortiquait tout dans les moindres détails. Avec Sarkozy, la conversation durait un quart d'heure. Ensuite, il était impatient de passer à autre chose..." 

Sur les 35 heures, trop "rigides et administratives" 
"J'en suis le concepteur parce que la réduction du temps de travail est un phénomène historique et qu'il vaut mieux l'organiser. Mais je ne voulais certainement pas qu'on les applique de façon aussi rigide et administrative. Il y avait une façon de faire, flexible." 

Sur les 50 milliards d'économies du gouvernement: "la moitié est bidon." 

Sur la politique économique de la France: des barrières idiotes entre public et privé
"Cette idée selon laquelle, notamment en France, on veut dresser des barrières intangibles entre le privé et le public est idiote. Vouloir confier toutes les décisions économiques à des fonctionnaires qui n'ont jamais travaillé dans les milieux financiers, c'est comme dire: j'ai un problème cardiaque, je vais aller me faire opérer par le charcutier. Ca ressemble un peu, la charcuterie, mais c'est débile."

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