Solution de bobos pour oublier la politique socialiste qui nous opprime
"Droguez-vous avec modération"
Sociétal avant tout ! Récidive des irresponsables au pouvoir |
La Une de Libération fait la promotion de l'usage raisonné des substances illégales, jouant ainsi ce lundi un rôle de support au gouvernement qui n'a pas renoncé à ouvrir des salles de shoot.
L'association des Parents contre la drogue met en garde contre la banalisation des drogues. Son président, Serge Lebigot, est également l'auteur des livres Cannabis: ce que les parents doivent savoir dans lequel il met en garde contre les addictions qui touchent les jeunes : alcoolisation parfois rapide, heures passées devant les écrans d'ordinateur, drogues...
Parmi ces dernières, le cannabis est souvent présenté comme une " drogue douce " aux vertus thérapeutiques. Or il n'en est rien, souligne Serge Lebigot, qui anime une association de parents engagée de longue date dans la lutte contre ce fléau. À travers un propos très accessible, l'auteur informe les parents sur les nombreux risques encourus par les jeunes, notamment au plan sanitaire. Nourri d'une véritable expérience de terrain et des drames, il explique comment se comporter face à un adolescent qui consomme du cannabis, mais ne pas le braquer et poursuivre le dialogue.
Qui oserait prétendre que l'opinion ne se montre pas irritée par le laxisme en ce domaine?
Dans les débats des municipales et lors des dernières élections, les électeurs ont exprimé leur désaveu de l'insécurité. Apolitique, l'association a alerté, tant Manuel Valls, alors ministre de l'Intérieur, que Marisol Touraine, alors ministre de la Santé, sur la folie et l'incohérence de s'acharner à vouloir ouvrir une salle de shoot à Paris, avant sa généralisation en France. Elle n'a pas été écoutée, alors que l'exécutif clame sa volonté d'écoute et de concertation.
La Mairie socialiste de Paris s'est portée volontaire, poussant le projet "à la hussarde". "Notre association a dû batailler ferme et n'est pas peu fière d'avoir contribué à faire triompher le droit républicain et à faire chuter ce projet."
Le gouvernement a-t-il renoncé à poursuivre sa politique de dépénalisation de toutes les drogues?
Deux informations, l'une passée inaperçue, l'autre encore non rendue publique, font craindre hélas le contraire et la duplicité du nouveau premier ministre.
Que la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDCA, ancienne MILDT, Mission interministérielle de la lutte contre les drogues et la toxicomanie ) place sur le même pied d'égalité la dépendance au crack (cocaïne) et à l'héroïne et celle aux jeux vidéo, pourquoi pas à l'addiction au café ou au chocolat, en dit long sur la volonté de banalisation.
Dans la plus grande discrétion, Ayrault a signé un décret -pourtant passé au Journal officiel- pour changer le rôle de l'ex-MILDT (Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie). Juste avant de se faire virer, le sombre Ayrault lui a fait changer de nom pour devenir la MILDCA, Mission interministérielle de la lutte contre les drogues et les conduites addictives.
Or, il ne s'agit pas d'une modification anodine et bénigne de terminologie. Derrière la modification du nom de cet organisme et derrière la révision du périmètre de ses attributions, il faut voir en réalité une modification profonde de l'approche de la lutte contre la drogue. Le prosélytisme dont continuent de faire preuve certains cercles du pouvoir en faveur de la dépénalisation des drogues, à commencer par le cannabis, prouve aussi qu'au sommet de l'État on ne renonce pas aux salles de shoot.
Les groupes de pression sont en train de gagner la partie
La lutte contre la drogue est désormais réduite au niveau de n'importe quelle forme d'addiction, comme le jeu.
Bien qu'il soit indéniable que la drogue est la plus destructrice des addictions, la MILDCA nie les terribles risques qu'elle crée par ses amalgames et banalisations, alors que sa mission est au contraire de les prévenir et de les combattre. Cette réorientation, en particulier sur "l'addiction aux jeux vidéo" écrite en toutes lettres dans sa nouvelle lettre de mission (addiction qu'au demeurant, le 1er mars 2012, l'Académie nationale de médecine a relativisée) est préoccupante pour tous les acteurs de la lutte contre le fléau de la drogue.
Le gouvernement renonce à jouer pas son rôle de protection sanitaire
Le tournant qu'il autorise trouve son origine dans le prosélytisme dont continuent de faire preuve certains cercles du pouvoir en faveur de la dépénalisation des drogues, à commencer par le cannabis.
Le recours de l'association des Parents contre la drogue n'a pas découragé le gouvernement Puisqu'il ne peut ouvrir des salles de shoot par décret, il va le faire par la loi. Le projet de Marisol Touraine est d'écrire en toutes lettres cette "légalisation" dans un nouvel article L. 3121-1 au Code de la santé publique. C'est ce projet qui figure actuellement dans un avant-projet de loi dite "santé publique" (sic) qui est prévu d'être examiné quand les Français seront sur les routes des vacances, le 16 juillet prochain au Conseil des ministres, dans la torpeur de l'été.
Au premier ministre, ancien premier flic de France, il est demandé de se positionner en retirant ce texte. La lutte contre la drogue doit être décrétée grande cause nationale.
En Russie et Pologne, la drogue du pauvre c'est la vodka............ici c'est le cannabis, le crak encore meilleur marché, camez vous mais pas trop, vendez en aussi............comme ça vous fait un revenu sans trop se fatiguer.......le rsa,la cmu, je me marie avec une personne du même sexe que moi, j'achéte un gosse ou deux si j'en ai les moyens, je me convertis et je bouffe allal .............
RépondreSupprimerQuel beau projet de société, des décennies de dégénérés alcooliques et camés.
Et les abrutis adhérent, ils ne se rendent même pas compte que ce n'est pas pour faire leur bonheur avec des mesures permissives, mais être élu à vie.................