Alors que la violence n'attend plus le nombre des années,
le débat continue sur la fessée précoce...
Une institutrice remplaçante porte plainte contre un moutard de 7 ans.
Le débat est ouvert et prégnant... |
L’élément déclencheur remonte à un lundi du mois de septembre au CE2 de l’école Jules-Verne, à Metz-Borny en Lorraine, quand la maîtresse prend l'enfant en train de jeter des stylos à travers la classe. Elle l’aurait alors interpellé avant que la rebellion de l'enfant ne provoque une bousculade entraînant la chute d’une table qui blesse l’enseignante au pied. L’institutrice doit être envoyée aux urgences pour être soignée et elle dépose une main courante au commissariat. L'affaire aurait pu rester sans suites, d'autant que la maman concède qu' " il est agité, pas facile" et un peu plus que cela, selon l’Inspection d’académie. Mais quelqu'un conseille la famille de l'élève.
Quelques semaines plus tard, la mère de l’enfant porte elle-même plainte pour violences contre l’écolier et harcèlement, comme le révèle vendredi Le Républicain Lorrain. L’enfant et sa mère sont alors convoqués au commissariat pour évoquer les faits.
Un palmarès peu académique
Une réunion pédagogique est organisée au sein de l’établissement pour trouver une solution aux problèmes de l’enfant, "encombré de surefficience mentale", comme ils disent... Doté d’importantes capacités intellectuelles, selon des tests dont la validité est contestée par une forte portion du corps enseignant, l’enfant s’ennuie à l'école et ne s'est fait aucun copain.
De son côté, la mère de l’écolier a décidé de soutenir l'enfant prodige contre l'institution. Joint par Europe1.fr, son avocat Rédouane Saoudi, explique qu’elle a "du mal à comprendre la démarche de l’enseignante". "Elle ne trouve pas normal d’avoir dû accompagner son fils de sept ans au commissariat", précise l’avocat. Pour Me Souadi, "tout cela est regrettable pour tout le monde et il est important qu’on en revienne à des proportions plus raisonnables".
Me Rédouane Saoudi est par ailleurs l'avocat d'un trafiquant présumé de drogue incarcéré en avril 2012 à la maison d’arrêt de Metz: pris en possession de 25 kg de cannabis et d'armes, le grossiste est soupçonné d’alimenter plusieurs réseaux lorrains en herbe de cannabis.
Les policiers ont mis la main sur des documents prouvant que l’auteur présumé a lourdement investi dans l’immobilier, notamment dans les pays du Golfe.
Un individu dont l'identité n'est pas précisée mais, à n'en pas douter, un enfant précoce à qui l'école n'a pas su s'adapter...
Me Rédouane Saoudi est par ailleurs l'avocat d'un trafiquant présumé de drogue incarcéré en avril 2012 à la maison d’arrêt de Metz: pris en possession de 25 kg de cannabis et d'armes, le grossiste est soupçonné d’alimenter plusieurs réseaux lorrains en herbe de cannabis.
Les policiers ont mis la main sur des documents prouvant que l’auteur présumé a lourdement investi dans l’immobilier, notamment dans les pays du Golfe.
Un individu dont l'identité n'est pas précisée mais, à n'en pas douter, un enfant précoce à qui l'école n'a pas su s'adapter...
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