huit à neuf anarcho-révolutionnaires internationales
lieu de culte et de l'enterrement de François Mitterrand.
Deux plaintes ont été déposées
Dissimulées dans le flot des centaines de touristes, des féministes extrémistes, neuf intruses, selon le ministère de l'Intérieur, mais seulement huit, selon un journaliste, ont fait irruption vers 10h15 dans la cathédrale - simple "édifice" et "monument le plus visité de Paris (13.650.000 visiteurs en 2010)", selon le Huffington Post. Elles se sont rapidement juchées de manière provocante sur trois des neuf nouvelles cloches provisoirement exposées dans la nef.
Alors que la Mairie de Paris reste bras ballants, l'archidiocèse de Paris a décidé mardi soir de porter plaintes au commissariat du IVe arrondissement de Paris contre les hystériques aux seins nus, a indiqué le recteur et archiprêtre de Notre-Dame, Mgr Patrick Jacquin.
Ce groupe possède à Paris un camp d'entraînement international qui vise à former les activistes aussi bien physiquement qu'intellectuellement en vue d'actions de commando. Situé dans un ancien théâtre, elles ont profité de sa fermeture par liquidation judiciaire: le "Lavoir moderne parisien" est au coeur du quartier chaud de la Goutte d'or - classé "zone de sécurité prioritaire" dans le 18e arrondissement.
Or, une ordonnance datant de 1945 empêche les changements d’affectation des salles de spectacles sans autorisation du ministre de la Culture et l’expulsion des artistes du Lavoir est le fait de la Mairie de Paris avec la complicité de la ministre féministe Aurélie Filippetti qui, de surcroît, n'a pas fait obstacle à l'installation des Ukrainiennes de Femen, en août 2012.
L'une au motif de "profanation d'un espace cultuel" et "profanation d'objets sacrés".
"Elles sont montées sur les podiums de trois de nos nouvelles cloches exposées jusqu'à fin février dans la nef" pour le 850e anniversaire de la cathédrale, explique-t-il.
"Elles s'en sont pris à une en particulier, la cloche baptisée Denis, et l'ont esquintée à trois reprises. La feuille d'or de cette cloche est tombée", explique le recteur, qui entend bien obtenir réparation.
"Elles s'en sont pris à une en particulier, la cloche baptisée Denis, et l'ont esquintée à trois reprises. La feuille d'or de cette cloche est tombée", explique le recteur, qui entend bien obtenir réparation.
L'autre plainte a été déposée pour "coups et blessures".
Le commando de femmes a porté des coups de pieds aux gardiens.
Expulsées par le service d'ordre de la cathédrale, elles ont continué sur le parvis à scander des slogans pendant une dizaine de minutes comme "Dégage homophobe !" ou "In gay we trust"...
L'un des agents malmenés a eu "une épaule démolie, il est en incapacité", précise Monseigneur Jacquin.
Un autre surveillant a fait un malaise et a dû être pris en charge par les pompiers. "Ce commando inqualifiable a été d'une violence inouïe, reprend Mgr Jacquin, les enfants qui étaient là ont été extrêmement choqués", souligne le Figaro.fr.
Les para-militaires ont eu le temps d'exhiber leurs "pectoraux" nus et de crier "Pope no more" ("Plus de pape"), faisant tinter les cloches en les frappant à coups de bâtons. Sur leur torse et leur dos, elles avaient écrit des slogans lapidaires comme "No homophobe", "Crise de la foi", "Bye bye Benoît !"
Expulsées par le service d'ordre de la cathédrale, elles ont continué sur le parvis à scander des slogans pendant une dizaine de minutes comme "Dégage homophobe !" ou "In gay we trust"...
Complice des " happenings " anarcho-révolutionnaires, Caroline Fourest, la journaliste partisane et militante qui, le 18 décembre 2012, jouait les "vierges effarouchées" en participant aux pseudo-violences des Femen et en se déclarant tabassée, aujourd'hui, prend fait et cause pour les harpies de la révolution féministe, dans le Huffington Post. Pour tenter de justifier le raid des furies, elle y écrit que " l'Eglise et l'Etat flirtent ensemble contre les libertés..." La journaliste étiquette Femen "mouvement anti-religieux, comme Charlie Hebdo" et la totalitaire se dresse contre la liberté de "croire à des dogmes, des religions, ou à des superstitions". Pour être vertueux, les démocrates doivent aujourd'hui afficher leur sectarisme !
Il a condamné cette "provocation" mardi soir, la jugeant "inopportune et déplacée".
Un constat non suivi d'effets.
Le ministre de l'Intérieur et des Cultes, Manuel Valls s'est déclaré "consterné", assurant ainsi le minimum
"Ces agissements commis au sein même d'un lieu de culte, sont contraires aux valeurs [et aux lois ?] républicaines qui offrent - faut-il le rappeler -, à chacun, la possibilité de s'exprimer librement", a-t-il notamment déclaré, non sans ambiguïté.
"Si la laïcité permet à chacun de croire ou de ne pas croire en toute liberté, la République entend, dans le même temps, garantir à tous les croyants de pouvoir pratiquer leur religion dans la dignité et le respect mutuel", a-t-il ajouté.
Des paroles non suivies d'effets, car Valls ne poursuit pas les provocatrices, bien qu'elles troublent l'ordre public et malgré les violences qu'elles mettent en scène et leurs attentats publics à la pudeur, depuis plusieurs mois.
VOIR et ENTENDRE le comportement des Femen à Notre-Dame à l'annonce du départ du pape Benoît XVI à la retraite:
Cette violation de lieu de culte est un sacrilège
Les anarcho-révolutionnaires dépoitraillées ont suscité l'indignation des catholiques et d'une partie de la classe politique.
A l'issue du conseil des ministres de ce mercredi, la porte-parole de l'exécutif et ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, a sobrement jugé cette provocation "inutile", élément de langage minimaliste repris par Manu Valls.
Mais la république laïque garantit-elle encore les libertés d'expression et de culte quand l'Etat est socialiste ?
Les Femen ont-elles été provoquées ? Ont-elles contrevenu à la loi ?
Le raid sur Notre-Dame de Paris a évidemment choqué dans les cercles catholiques et au-delà.
Le député UMP Lionnel Luca a réagi par l'ironie à ce coup de force.
La provocation de trop ?
Certains élus estiment qu'il faut désormais agir.
Les sénateurs de Paris Yves Pozzo di Borgo (UDI) et Pierre Charon (UMP) estiment qu'il est "incompréhensible que ces activistes étrangères ne soient pas empêchées d'agir, surtout aujourd'hui où il y a une conjoncture spéciale".
Le Parquet et la Garde des Sceaux laisseront-ils impunie l'agression commise par des femmes aux seins nus sur la voie publique ?
http://www.dailymotion.com/video/x9akhg_le-pape-en-terre-sainte-un-voyage-h_news#.URzMnKWvHng
RépondreSupprimerÇa donnerait presque envie de voir ce qu'il se passerait si ça se produisait dans une mosquée...
RépondreSupprimerQuand l'extrême gauche a le pouvoir, il ne faut pas être surpris de telles démonstrations... Certaines sont sans doute les les filles indignes de pauvres femmes russes qui ont vu leur églises fermer en URSS et la leçon ne leur a pas servi...
Quelle médiocrité faut-il pour s'en prendre avec un tel niveau de provocation a des lieux de cultes ?
Dommage qu'Hollande ne présente pas de candidat à la succession du Pape...
Bonjour la dignité... Et ça se prétend femme ?
RépondreSupprimerQuel monde se fabrique sous nos yeux impuissants et qui tire les ficelles ?
RépondreSupprimerBien des questions ?????????????
http://www.rue89.com/2013/02/09/les-indigenes-de-la-republique-et-limperialisme-gay-suite-239476
Cette pauvre ministre idéologue de la kulture a souillé l'ordre des Arts et des Lettres en faisant Caroline Fourest chevalier à Paris le 17 janvier 2013. Les autres chevaliers ne sont pas honorés de cette proximité.
RépondreSupprimer"Inna est en permanence dans la guerre et moi dans le combat' a déclaré Caroline Fourest à France Info.
RépondreSupprimerMais Fourest assure par ailleurs que les Femen ne sont pas agressives: elles seraient même "pacifiques" (pacifistes?) La journaliste doit savoir de quoi elle parle, puisqu'elle publie un livre sur sa relation homosexuelle avec Inna.
Mais Fourest parle trop dans les media pour ne pas se contredire. La presse continue de lui accorder du crédit...