lundi 24 décembre 2012

Audrey Pulvar et Clémentine Autain agressent Miss France

Du mépris de classe ? s'interroge ...Le Nouvel Observateur

Le Nouvel Obs propose un Plus de Bruno Roger-Petit: une gageure

Le chroniqueur "politique" illettré relève que Marine Lorphelin, Miss France 2012, était l'invitée de la dernière de "Vous trouvez ça normal" sur France 2
Mais Roger-Petit ne tarde pas à pointer son museau , observant que "ce qui devait être une gentille opération promotionnelle s'est transformé en procès de Miss France, grâce à Clémentine Autain et Audrey Pulvar." Le Nouvel Obs commente les propos de son chroniqueur commentateur pour déplorer (au passé simple, s'il vous plaît!) que "ce fut un pénible moment de télévision, teinté de beaucoup de condescendance". A commencer d'ailleurs par de la condescendance-maison pour une émission qui ne pouvait être que "gentille", puisqu'elle abordait le sujet futile des Miss décérébrées. Condescendance machiste, par conséquent, à cela près que les coups sont portés par deux Walkyries de la gauche. 

Roger-Petit va se répandre à nouveau; vous voilà prévenu(e):
La dernière de la (regrettée) émission Vous trouvez ça normal, sur France 2, accueillait Miss France 2012, Marine Lorphelin. Ce qui devait être une participation télévisée de plus, sympathique et bon enfant, destinée à partager le moment Miss France qui, par tradition accompagne les fêtes de fin d'année, s'est transformée en procès télévisuel devant le tribunal populaire de la Gauche féministe (à voir ici à partir de 40.12').

Les élites françaises en mode "mépris de classe" : édifiant

Formulation ampoulée: "Certes, en apparence, l'événement qui nous préoccupe en ce billet n'est qu'une anecdote, un moment de télévision et rien d'autre. [La télévision se "préoccuperait"-elle de l'anecdotique ?] Mais si on l'ausculte [quand d'autres décryptent] avec méticulosité [au scalpel ?], si on en extraie ["extrait": les correcteurs du Nouvel Obs ne valent pas mieux que le chro-niqueur de mouches] la substantifique moelle audiovisuelle, il met en relief tous les travers de certaines élites françaises lorsqu'elle[s] se mettent à fonctionner en mode mépris de classe.
Car sur le plateau où l'excellent [?] Bruce Toussaint accueillait [est-ce bien le mot le mieux approprié ?] Miss France, se tenaient, de [on est tellement fat qu'on ne se relit donc pas] dressaient même, ces figures indispensables de la gauche ultra et féministe que sont Clémentine Autain (chroniqueuse régulière de VTCN) et Audrey Pulvar, ex-directrice des Inrocks (ce qu'elle était encore quand l'émission fut enregistrée la semaine passée) [à plus forte raison puisque, jusqu'à plus ample informé -sans être chroniqueur- elle le reste jusqu'en ...février !]

En un clin d’œil, on vit se mettre en branle la même mécanique déjà observée quand Philippe Poutou débutait dans la vie publique (et déjà face à Audrey Pulvar, dans On n'est pas couché, sur France 2) : par une sorte d'alchimie assez étrange [ce qui ne veut rien dire], les représentants des classes populaires, ou d'une certaine culture populaire [quelle est la nuance ?], qui accèdent d'un coup à une large notoriété [amer, le Bruno-cuit ?], sont systématiquement [réaction parano] moqués, dénigrés, vilipendés et agressés par des représentants de la gauche politique et médiatique institutionnelle qui s'empressent de leur contester légitimité et représentativité, les renvoient à leur extraction ou leur incarnation populaire au nom même de la représentation de valeurs de gauche, incroyable paradoxe" [découverte tardive d'un quinqua précoce].

Miss France sur le banc [ou au banc ] des accusés : trop facile

Bruno, défenseur de la veuve et de l'orpheline
"Bref, la sympathique Marine Lorphelin, d'invitée de Bruce Toussaint, devint aussitôt l'objet [ou sujet] d'un procès engagé par Clémentine Autain, figure emblématique de la gauche de la gauche mélenchoniste, et Audrey Pulvar, figure de proue éditoriale de la gauche sociétale anti-socialiste : "Accusée Miss France, levez-vous !"

Comme il se doit, c'est au nom du féminisme, de la condition de la femme, de l'image de la femme, de la libération de la femme que le procès fut mené.

Clémentin Autain commença par s'en prendre, sourire méprisant à l'appui, au phénomène Miss France : "L'institution me parait datée, surannée", façon élégante [et subjective] de signifier à Marine Lorphelin qu'elle vit dans un temps dépassé et incarne des valeurs mortes, pauvre fille..." [subtile décryptage] 

Puis, elle entreprit (au passé simple "élégant"] de dénoncer le caractère représentatif de l'élue : "Je ne sais si c'est super de désigner une femme en dehors de tout processus démocratique qui représente la France dans le monde", formule assez évocatrice d'une conception un rien "stalinienne" ou "chavezienne" (donc mélenchoniste ?) de la représentation étatique de la culture pensée pour le peuple par son élite avancée : "Des Miss qui représentent la France, oui, mais à condition d'être les ambassadrices du petit père des peuples", voilà ce que signifie en creux la formule. [Il aurait convenu  que le "chroniqueur" socialiste laissé pour compte rappelât au passage à cette aigrelette que les Miss régionales sont désignées par la base "populaire" et que, dans le genre "processus démocratique", le premier secrétaire du PS, Jean-Philippe  Désir, dit Harlem, a quant à lui été désigné par cooptation "stalinienne" depuis le Château.]

Clémentine Autain s'est-elle seulement rendue compte du sens et de la portée de sa remarque ? On s'interroge. ["On" tient-il les autres - et singulièrement les femmes- pour plus sottes que lui ?]

Enfin le réquisitoire ne pouvait manquer de recourir à l'argument ultime : "Je ne comprends pas le sens de ce qui n'est pas autre chose qu'une tradition patriarcale". Miss France, Clémentine Autain, le féminisme et la gauche de la gauche te condamnent, car, à toi seule, tu incarnes vingt siècles de domination masculine. [Pour  condamner ses cibles, le p'tit Bruno recourt au tutoiement à la façon d'un autre laissé pour compte du hollandisme, Philippe Torreton tentant de se hausser dans les media au niveau  de Gérard Depardieu]


Ce que c'est que la force de l'habitus  ['croquignolet' sous la plume d'un analphabète qui nous renvoie ici à l'usage incorrect du mot "impétrant" par Nono Montebourg - Lien PaSiDupes : " Le pédant Montebourg emploie des mots qui le dépassent ! chez celles et ceux qui sont les derniers représentants de la culture communiste et qui, encore et toujours, considèrent que le peuple de gauche pense mal, vit mal, agit mal et qu'il faut le corriger, sans relâche et sans vergogne..." [Ce en quoi il n'a pas tort, mais pourquoi le p'tit homme ne prend-il pas de la graine de cette observation lorsqu'il tourne ses flèches sur le peuple de droite ?]

"Pulvar rappelle au peuple qu'il n'est finalement que... le peuple

Du pain et des jeux
La seconde partie du réquisitoire, fut l’œuvre d'Audrey Pulvar. Toujours au nom du féminisme, cette dernière entreprit de démontrer que la soirée d'élection Miss France tenait lieu d'Opium du peuple télévisuel.

"On est quand même dans un pays libre, hein ? Je suis une féministe prosélyte et engagée, mais en même temps, si c'est regardé par 9 millions de téléspectateurs, c'est très bien... ", débuta Audrey Pulvar, renvoyant les 9 millions de Français à leur misérable condition, avant d'ajouter : "Je ne regarde pas, je ne trouve pas ça que ce soit effectivement épanouissant [là nous sollicitons un sous-titrage] pour l'image de la femme, mais si certaines personnes y trouvent leur compte..." [Un fois encore Pulvar n'a nul besoin de travail personnel ou de fiches de collaboratrices pour nous resservir les mêmes poncifs]

Le sous-texte de la double remarque d'Audrey Pulvar est lui aussi révélateur d'un habitus de gauche [avec 'opus', 'habitus' fait partie de la liste des mots favoris des incultes honteux et dissimulateurs de leur handicap] fonctionnant en mode mépris de classe. De la même façon qu'elle avait expliqué à Philippe Poutou qu'il n'était pas équipé intellectuellement et rhétoriquement [adverbe nouveau] pour les joutes télévisuelles, Audrey Pulvar a renvoyé les 9 millions de téléspectateurs de la soirée d’élection Miss France à leur pauvre condition de personnes indifférentes au combat du féminisme, contemplateurs d'un spectacle peu ou "pas épanouissant pour l'image de la femme" mais y "trouvant leur compte". [Et de la part d'une socialiste, cette découverte à 50 ans, ça fait mal au militant borné, n'est-ce pas ?]

Le ton et le propos étaient condescendants, voire méprisants, empreints de cette morgue propre à ceux qui s'estiment culturellement dominants car supérieurs. [Alors ça !! Il a dit  écrit "supérieurs": tout est dit !] S'en est-elle seulement rendue compte, elle aussi ?" [Nous ne demandons même pas à BRP si il sait ce qu'il dit ni s'il pense ce qu'il dit, sachant qu'il n'est capable que de réactions d'humeur que l'on nomme un peu abusivement 'chroniques' au Nouvel Obs, dans la lignée du site Le Post : un passage au Sanibroyeur s'impose]

"La culture populaire face à la violence sociale de la télé

Face à Miss France [ou à elles-mêmes, pour tout dire], Audrey Pulvar et Clémentine Autain n'ont pas dit "Salauds de pauvres", mais elles ont su signifier leur mépris de classe [le raisonnement fait du sur-place] à l'encontre d'un symbole de la culture populaire française avec un talent et une assurance qui forcent l'admiration. [Un  peu excessif, le Bruno-cuit, non ?]

Décidé à venir au secours de Miss France, Guy Carlier, présent lui aussi sur le plateau, trouva les mots justes pour ramener le phénomène à sa juste dimension et rétablir Marine Lorphelin dans sa dignité de femme bafouée au nom du peuple, du féminisme, et de l'image de la femme : "Je ne vais pas aller dans la démagogie, mais Miss France, c'est comme Johnny qui nous accompagne depuis toujours..."

Ce petit moment de télévision fut en tout cas l'occasion de constater que les âmes charitables de la gauche de la gauche [voilà donc enfin le "hic" fétide  qui remonte du tréfonds du "chroniqueur politique"], lorsqu'elles expriment leur compassion à l'égard du peuple manipulé et égaré font parfois preuve de bien plus de violence sociale que les plus réactionnaires des réactionnaires.


Dinde en chocolat
et lunettes en écaille de tortue
Et de penser à ce mot, jeté par Danton à Robespierre, preuve que le débat interne à la gauche est ancien : "Tu veux faire le bonheur du peuple ? Mais est-ce que tu sais ce que c'est que le peuple ?" 
Mlle Autain aurait elle-même
été victime de viol
[Les deux rédactrices "en cheftaines" ont en effet dû oublier leurs origines: Pulvar (ci-contre), fille de syndicaliste et indépendantiste antillais, comme Autain, fille du chanteur Yvan Dautin et de Dominique Laffin qui tourna deux fois avec Philippe Torreton Gérard Depardieu, est la nièce de François Autain,  sénateur du Parti de gauche de Loire-Atlantique,  ancien secrétaire d'État chargé des Immigrés, puis de la Défense sous la présidence de François Mitterrand et père de Kristian Autain, grand reporter à France 2. Le microcosme est encore plus petit que ne pense le peuple...]


Ainsi, pesamment, Roger-Petit  s'est -il posé en juge de chacun

TF1 qui diffuse la soirée a échappé à la critique. Le concours de Miss France aurait-il été fustigé s'il avait été programmé sur M6, Canal+ ou le service public ? France 2 aurait eu les parts de marché que ne lui rapportent pas l'émission de Frédéric Lopez, "Rendez-vous en terre inconnue", qui consiste à mettre en présence de "bons sauvages" et des "people", tels Adriana Karembeu en Ethiopie, Emmanuelle Béart au Yémen ou Édouard Baer au Mali. Une "gentille opération" tiers-mondiste, ça au moins, ça suscite l'empathie  de la gauche caviar  microcosmique...

Ce qui dérange la gauche dirigée par la pensée unique n'est-il pas au bout du compte qu'une fille du peuple puisse être mignonne et élégante, voire diplômée, plutôt que travailleuse défavorisée ou immigrée clandestine mal nourrie et à la charge du SAMU et de la CMU ? 

4 commentaires:

  1. Juju ( merci gigi)
    Entendre parler de processus démocratique
    est tout simplement hallucinant venant de la gauche qui se fout de ce que pensent les autres, une nouvelle " preuve est là",
    " la critique est aisée, la création l'est beaucoup moins "

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  2. Alphonso(idem)
    Inviter des gens pour les démolir ?
    Qu'est cela ?
    = LA FAÇON HABITUELLE DES SOCIALISTES QUI GONFLENT À VUE D'OEIL, comme dans la fable " La grenouille qui veut être aussi grosse que le boeuf " ( chaque mois qui passe un peu plus)
    Ils n'ont pas lu " The Economist "

    " Pour le premier sinistre Aille Euros, le titre et la photo ne sont là que pour vendre du papier. La preuve que le socialisme c'est se voiler la face en chantant cocorico les pieds dans la M.....

    Mais bien sur, ils plaisantent à The Economist :

    - La France n'a que 1 800 milliards de dettes
    - La balance commerciale déficitaire est de seulement 70 milliards
    - La sécu est déficitaire d'un misérable 20 milliards
    - L'économie est en pleine décroissance
    - On a seulement 10 millions de chômeurs (eh oui les chiffres sont déguisés depuis des années)
    - Des entreprises ferment tous les jours
    - Le nombre d'élus est un record
    - Et pour finir, la France a à sa tête les hommes politiques les plus incompétents de la planète.

    Donc tout va bien ! "




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    1. En plus : suite de ce qui précède, même source

      " Voici la vérité sur la dette de la France qui met en évidence l'influence néfaste du socialisme sur la gestion de la dette de la France :

      En Euros, Mitterrand a multipliée la dette de la France par 6, durant son mandant du 21 mai 1981 au 17 mai 1995.

      Chirac, lui, l’a multipliée par 1,8 (17 mai 1995 – 16 mai 2007)

      Sarkozy, accusé d’avoir explosé les compteurs, s’est « contenté » d’un « modeste » coefficient multiplicateur de 1,5, depuis le 16 mai 2007.

      Et si l'on compare les gouvernements de gauche et les gouvernements de droite cela donne ceci :

      Gouvernements Mauroy, Fabius, Rocard, Cresson, Bérégovoy, Jospin : la dette a été multipliée par 6,2.

      Gouvernements Chirac, Balladur, Juppé, Raffarin, Villepin, la dette est multipliée par 2,3.

      Gouvernement Fillon, la dette est multipliée par 1,5.

      Conclusion : Lorsque la gauche est au pouvoir elle multiplie la dette Française 3 fois plus que la droite...


      Read more at http://www.dreuz.info/2012/03/augmentation-de-la-dette-de-la-france-on-nous-prend-pour-des-billes/#zMU4D8wGDTQ4lcKk.99

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  3. Suite : même source, suite et fin

    "TAXES TAXES TAXES : Les socialistes, François HOLLANDE en tête sont en train d'achever l'économie Française qui croule sous le poids hallucinant du pays qui taxe le plus au monde.

    Les notaires et les avocats fiscalistes tirent la sonnette d'alarme. Tous ceux qui ont réussi à créer de la richesse en France sont en train de quitter le pays. By By pouvoir d'achat, By BY entreprises By BY emplois.

    http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0202319434964-plus-values-le-gouvernement-refuse-d-aller-plus-loin-en-depit-de-l-ultimatum-du-patronat-371048.php

    Le socialo-communisme qui n'a su qu'appauvrir les citoyens des pays dont l'histoire fait foi, sont en train de ruiner le France. Ils piquent dans nos poches pour s'enrichir eux. Comme au bon vieux temps du Kremlin en Russie. La Russie justement, libérer du socialo-communisme ne cesse de s'enrichir. Il n'y a qu'a faire un tour à Moscou pour s'en rendre compte. Vive le capitalisme vous dirons-t-ils.

    Je réfléchi sérieusement moi aussi à quitter la France pour aller m'installer à Londres. Il ne sert à rien de développer un business dans un pays où on va tout vous piquer pour nourrir la bande de fainéants qui ne veut pas travailler.

    Les ministres du gouvernement de François HOLLANDE se déplacent sur la tête en réfléchissant avec leurs pieds. Il n'y en a pas un qui sait mettre deux mots censés à la suite. Juste TAXE TAXE TAXE.

    Le socialisme c'est la plus grande mafia du monde oui. Et attention, ces Nazis ce croient tout permis et n'aiment pas qu'on les contredisent avec leur aire hautain puant de prétention de celui qui croit tout savoir en constatant, jour après jour, toute la puissance de leur incompétence à attirer des investisseurs dans le pays pour créer des emplois.

    Des mesurettes, rien que des mesurettes comme la baisse ridicule du prix du carburent (300 à 500 million de recettes en moins pour l'état) et les emplois jeunes pour les services publics (1 milliard 500 millions d'euros de dettes supplémentaires).

    Le président socialiste François HOLLANDE pris pour cible par les journalistes pour son incapacité à tenir ses promesses électorales. Les Français qui ont voter pour lui se sentent floué.
    Il coule sous les critiques des journalistes."









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