Le ramadan n'adoucit pas les moeurs à la mosquée de Marseille
La femme voilée
veut rester soumise
à la loi de l'imam
veut rester soumise
à la loi de l'imam
Un contrôle d’identité d’une femme voilée a conduit trois policiers à l'hôpital hier
Trois policiers ont été blessés dans la nuit de mardi à mercredi, près d’une mosquée, suite à un contrôle d’identité qui a tourné au pugilat, a-t-on appris, non pas de la presse socialiste locale, mais de source syndicale policière.
En application de la législation sur la burqa, une jeune femme de 18 ans, entièrement voilée sur la voie publique, a été contrôlée par deux gardiens de la paix.
Mais l'inconnue a refusé d’obtempérer : " Je n’obéis pas à la République ", s'est écriée l'inconnue.
Ses cris ont attiré son concubin et un petit groupe de musulmans, qui ont finalement provoqué une bagarre.
Parmi les agents présents lors de l’échauffourée, une fonctionnaire de la BAC, intervenue en renfort, s’est faite mordre à la main par la fanatique.
Le couple réfractaire à la loi a alors été mis en garde à vue, puis libéré après avoir été entendu librement, pour ne pas créer de polémique pendant cette période sensible du Ramadan, lequel s'achève fin août.
L'affaire n'est pas classée
Mais le secrétaire zonal adjoint du syndicat de policiers Alliance de la région, Provence-Alpes-Côte d’Azur, s’indigne " Cette affaire nous laisse dans l’expectative la plus complète. S’en prendre aux forces de l’ordre, sans être inquiétés, le message donné est hors de propos, les policiers de Marseille se sentent complètement délaissés," explique David-Olivier Reverdy, pour le syndicat.
D'après le Parquet, les extrémistes religieux pourront être à nouveau convoquées au commissariat.
Une enquête administrative a parallèlement été ouverte sur ces faits, certaines personnes impliquées dans l'affaire se sont plaintes - en toute bonne foi- "de violences illégitimes de la part des policiers", a précisé le parquet, qui a saisi le cabinet de discipline de la Direction départementale de la sécurité publique.
Une enquête administrative a parallèlement été ouverte sur ces faits, certaines personnes impliquées dans l'affaire se sont plaintes - en toute bonne foi- "de violences illégitimes de la part des policiers", a précisé le parquet, qui a saisi le cabinet de discipline de la Direction départementale de la sécurité publique.
le carème, c'est une période de paix, de recherche de la paix pour mieux trouver le chemin vers dieux....sans commentaires
RépondreSupprimerLa république une fois encore est ridiculiser par l'islam les polciers sont confronter a une communoter fanatique qui ne veut rien entendre sur la laiciter refuse la démocratie et refuse de s'intégrer la france et les français sont en danger .
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